On ne trouve déjà plus de profs… l’élite a fichu le camp depuis longtemps… De peur de se retrouver à Créteil, de peur de devoir mettre en oeuvre des programmes débiles ou trahissant nos valeurs… Dans l’article ci-dessous on découvre que l’académie de Versailles recrute des remplaçants… à qui on ne demande pas d’être profs !
Il s’agit donc, avec les nouvelles directives concernant le Capes de faciliter l’entrée dans le métier aux militants associatifs de terrain et à la diversité...
L’épreuve d’entretien avec le jury mentionnée à l’article 7 porte sur la motivation du candidat et son aptitude à se projeter dans le métier de professeur au sein du service public de l’éducation.
L’entretien comporte une première partie d’une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d’une durée de cinq minutes maximum, par le candidat des éléments de son parcours et des expériences qui l’ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment ses travaux de recherche, les enseignements suivis, les stages, l’engagement associatif ou les périodes de formation à l’étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury.
La deuxième partie de l’épreuve, d’une durée de vingt minutes, doit permettre au jury, au travers de deux mises en situation professionnelle, l’une d’enseignement, la seconde en lien avec la vie scolaire, d’apprécier l’aptitude du candidat à :
– s’approprier les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l’égalité, notamment entre les filles et les garçons, etc.) ;
– faire connaître et faire partager ces valeurs et exigences.
Durée de l’épreuve : trente-cinq minutes. Coefficient 3.
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Bonjour Christine,
Ceci dit, rien n’empêche de prendre ces gens-là à leur propre piège. Un candidat peut très bien, à l’oral, raconter avec force trémolos dans la voix, qu’il milite activement au sein d’une association d’aide aux migrants. Il peut même en rajouter dans le pathos en prétendant qu’il en héberge chez lui… alors qu’il n’en est rien ! Le jury n’aura aucun moyen de le vérifier.
Bien évidemment, je suis d’accord avec vous sur le principe : ces dispositions sont scandaleuses et visent à détruire le peu qu’il reste de notre enseignement.
Remplacer des épreuves écrites anomymes par des « entretiens », la fin des concours au mérite, la mise en place du recrutement par l’opinion conformiste et la discrimination positive… Ecoeurée comme vous Christine, car, comme vous, j’ai suivi l’ancien parcours AGREG Lettres classiques. Mais surtout parce que la majorité des Français ne verra pas l’entourloupe, on les a bien habitués à haïr les « privilégiés » qui avaient passé des concours, (haine solide chez tous ceux qui ne les ont pas passés dans lEducation nationale et l’administration). Encore un renversement du sens des mots, car ce « privilège » n’en est justement pas un… comme pour le « privilège blanc ».
D’un de mes collègues :
https://www.bvoltaire.fr/recrutement-des-professeurs-vers-un-formatage-ideologique-et-pedagogique/
pays d’enfoiré et de fils de……. rien ne changera tant que l’on ne virera pas toutes ces merdouilles
Un copier-coller de l’admission à une école d’imans isla-idéologues.
Et maintenant une épreuve de Théologie « progressiste », pour vérifier qu’on pense « bien ».
En quoi le fait d’être un militant associatif, autrement dit un MILITANT POLITIQUE, est-il un élément d’évaluation pour devenir prof et doit-il vous donner des points?
Encore un effet du militantisme gauchiste : dans les pays communistes, on vérifiait la pureté de votre pensée politique, que vous étiez un bon communiste. C’était un plus d’avoir la carte du Parti.
On glisse subrepticement dans un régime totalitaire gauchiste, établi non par les urnes, mais par la prise de contrôle des instances juridiques (Conseil d’Etat, Défenseur des Droits, etc et bien entendu Ministère de la Justice) et judiciaires (juges rouges, jugements partisans), ainsi que de tous les organismes d’Etat et de son Administration.
Également des instances culturelles (cinéma, spectacle), et médiatiques (presse), qui dictent le prêt-à-penser, la pensée unique du jour par une propagande et une manipulation de l’information massives, un bourrage de crâne.
Et bien entendu l’école, lieu privilégié de formatage des jeunes esprits malléables.
Comme ça il y aura encore plus de gauchiasses dégénérés dans l’inéducation antinationale , encore plus de dégâts pour nos chères petites têtes blondes
Les entretiens d’admission ont toujours servi de variable d’ajustement pour sélectionner ceux qui sont « recommandés » et recommandables par rapport à ceux qui sont bons parce qu’ ils ont bossé. Maintenant ça va servir à sélectionner les isalamo-collabos gauchos-mondialistes par rapport a ceux qui bossent et sont patriotes et respectueux de la république. J’ai un ami qui était un vrai génie, tout ce qu’il entreprenait il le réussissait brillamment. Après de brillantes études de médecine et de cardiologie après avoir réussi plusieurs concours, il a voulu postuler comme chef de service dans un hôpital. Après les épreuves écrites, il était, comme attendu, largement en tête, mais à l’épreuve orale d’admission (épreuve bidon où en fait on n’interrogeait quasiment pas le candidat) on lui a dit sans aucune vergogne qu’il était premier mais qu’il n’aurait pas le poste. A l’issue de cette épreuve orale les notes ont été bidonnées de telle sorte que la moyenne des candidats soit réajustée pour que le candidat « recommandé » ait la meilleure note et soit sélectionné
Et en effet celui qui a eu ce poste était médiocre mais,comme par hasard, fil d’un « politicard » du coin.
Vive la France, pays de magouillocratie!!
A merde donc moi je ne serai jamais reçu. Je n’ai aucune chance, je me sens discriminé, stigmatisé…. c’est pô juste.