Le Syndicat national des journalistes (SNJ) est l’instance majoritaire, dans la profession, pour défendre les intérêts moraux et matériels de la profession. Normalement, c’est à cela qu’ils servent, et cela donne déjà beaucoup de travail à un syndicaliste digne de ce nom.
Mais cette structure et nombre de ses adhérents, dans les entreprises, ont décidé de jouer aux commissaires du peuple, et de mener la chasse aux mal-pensants, semant dans les rédactions un climat de délation et de persécution des journalistes qui osent ne pas être de gauche. Réussir à rentrer dans un journal en se disant de droite est un exploit, si on est militant du RN, c’est mission impossible. C’est cela, la réalité de la presse, par ailleurs gavée de subventions, bien que les quotidiens appartiennent à des milliardaires.
Ainsi, sans vergogne, ce syndicat, très proche des thèses d’extrême gauche, a-t-il osé demander à Bolloré de renoncer à embaucher Éric Zemmour à CNews, après avoir demandé son interdiction sur tous les plateaux de télévision. Ses délégués ont ensuite menacé le propriétaire de Canal Plus de déclencher une grève, s’il maintenait sa décision. Ce dernier leur a dit “chiche”, et leur a dit qu’il était prêt à tenir 2 mois, qu’il s’en foutait, que les médias, c’était 2 % de son chiffre d’affaires. Pas téméraires, les petits flics du politiquement corrects se sont couchés. Depuis, on en est à 700.000 visiteurs, tous les soirs, quand au début de l’émission, il n’y avait, avec Laurence Ferrari, que 80.000 téléspectateurs. Ce qui rend fous les collabos, bien sûr, qui, de temps en temps, SNJ en tête, se sentent obligés de glapir qu’ils n’ont aucune valeur commune avec Zemmour. Sauf que c’est lui qui fait bouillir la marmite et tire la chaîne vers le haut.
Les militants du SNJ viennent de franchir un nouveau pas dans l’ignoble, voire dans la pourriture. Ils ont en effet impulsé une pétition crapuleuse et délatrice contre le journal France-Soir, le seul organe de presse qui a pris clairement, depuis le début de la crise sanitaire, une ligne critique au confinement, au couvre-feu, aux restrictions liberticides qui l’accompagnent, et au vaccin. Aggravant son cas, le journal donne régulièrement la parole aux contestataires du discours officiel du régime, comme le professeur Perronne, les docteurs Nicole et Gérard Delépine, les avocats Brusa et Di Vizio, Florian Philippot. Ils ont défendu le film “Hold Up”, lynché sur l’ensemble des médias. Et ils ont publié le coup de gueule de Francis Lalanne, demandant la destitution de Macron. Ajoutons que l’ancien journaliste du service public, Richard Boutry, amène tout son savoir-faire à la rédaction, par d’excellentes interviews, souvent de mal-pensants, qui s’avèrent d’une grande qualité.
Contre-pouvoir insupportable pour Macron, ses complices et les grands laboratoires pharmaceutiques ? Toujours est-il que suite à l’article de Lalanne, de curieuse manière, dans une démocratie, on a vu le SNJ impulser une pétition ahurissante, s’appuyant sur de prétendus anciens rédacteurs de France-Soir qui n’osent même pas afficher leur nom, salissant ouvertement la nouvelle ligne du journal, et calomniant Xavier Azalbert, le nouveau directeur, qualifié “d’homme d’affaires”. Dans un milieu où tous les patrons de presse sont des milliardaires mondialistes, sans que cela ne dérange leurs salariés, il fallait oser ce qualificatif.
Encore plus putassier, le syndicat collabo et mouchard s’adresse à Roselyne Bachelot, et lui demande de réexaminer les conditions d’attribution du certificat de presse de France-Soir. Naturellement, dans un pas de deux parfaitement orchestré, la Pintade, qui a montré par le passé sa bienveillance avec les grands laboratoires pharmaceutiques, se dépêche de prendre la balle au bond et d’ordonner une enquête.
Il ne faut pas tourner autour du pot. Le principal syndicat de journalistes demande donc au régime de couler France-Soir, en revenant sur la légalité de sa publication, et les quelques avantages que procure cette autorisation. Cela s’appelle tout simplement tuer la liberté d’expression, et éradiquer le rare pluralisme qui existe encore dans ce pays.
Notons que ce syndicat pourri, ainsi que ses collègues, n’ont jamais un mot quand des milliers de comptes sont supprimés sur les réseaux sociaux, pour délit d’opinion, tout simplement parce que cela touche ceux qui ne pensent pas comme eux. Ils n’ont pas bougé quand Valeurs Actuelles a été victime d’une grave remise en cause de la liberté d’expression, et de celle des dessinateurs, suite à un dessin représentant Danièle Obono en esclave. Curieux, pour les “Je suis Charlie”, qui défendaient la liberté des crayons.
Dans un autre registre, une autre officine de la profession, un machin nommé “Conseil de déontologie journalistique” (défense d’éclater de rire) cible une nouvelle fois Éric Zemmour et la présentatrice de “Face à l’Info”, Christine Kelly.
Le crime du journaliste du Figaro : avoir qualifié l’islamo-racaille déguisé en journaliste, Taha Bouhafs, de “militant indigéniste et islamiste”. Deux qualificatifs pourtant évidents, pour qui suit de près l’ancien Insoumis, embauché à présent par Daniel Mermet.
Autrement dit, dans cette profession où les soumis et les collabos sont largement majoritaires, il se trouve des instances syndicales et des comités Théodule sans aucune légitimité pour décider qui a le droit de s’exprimer, et à qui il faut imposer le silence.
Ces mouchards professionnels font le travail du régime, au service de la dictature sanitaire et de la tyrannie du politiquement correct, pour éradiquer les trop rares paroles libres qui existent encore dans ce pays. Craindraient-ils que leurs mensonges, au service du régime, soient démasqués, et que les Français, réinformés, refusent le troisième confinement, qu’ils sont chargés de présenter comme inéluctable ? Toujours est-il qu’ils appliquent à la lettre les consignes de Véran, demandant aux responsables sanitaires des départements de dénoncer ceux qu’il appelle “les complotistes”.
Il y a longtemps que nos compatriotes ont compris que ces prétendus journalistes n’étaient que les serpillières du régime, et les larbins du mondialisme.
On ne doute pas que de substantielles subventions, qui complèteront les avantages fiscaux de la profession, viendront récompenser leur soumission et leurs basses œuvres.
Martine Chapouton
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Boutry a vraiment l ‘air intègre ! Il respire la franchise ce journaliste et n ‘est pas comme la plupart , à couper la parole aux invités , style , Bourdin , Appo de merde ou Praud !!!!
C’est un type bien ! Quant à Lalanne , ben pour une fois , je lui fais crédit de mon appréciation pour sa sortie envers Macron !
Lalanne n ‘est pas ma tasse de thé , mais , dans la mesure , où il emmerde la vie et les plans de Macron , je l ‘appuis , pour qu’on se libère du joug Larem à jamais !!!!!
Supprimons leur les avantages fiscaux qu’ils ont sur notre dos tous ces s…..ds de journaleux. ras le bol de payer pour ces enfoirés d’enfoirés de merdias
les médias gauchos collabos ont encore pignon sur rue ??????????????????????????
cible n° 1 avant toutes choses……………………………
Philippot : avec le Covid-19, « on se rebelle » ou « c’est l’esclavage pour dette »
https://www.youtube.com/watch?v=xxlVc3K6FGw&feature=youtu.be&ab_channel=SputnikFrance
Cette gauche putassière que rien n’arrête est capable de tout et surtout n’hésite pas à employer tous les moyens illégaux et toutes les saloperies et les tricheries inimaginable pour arriver à ses fins. Je ne me rappelle pas avoir vu autrefois ce genre de chose. Ce n ‘est plus le bons sens, c’est carrément la haine pour ceux qui ne pensent pas comme eux.
On a vu en amérique jusqu’où ils sont capable d’aller dans la tricherie et la haine de l’autre. Triste époque.
On connait la haine des gauchos , ils ont fait leur preuves dans le monde .Partout ou la gauche a pris le pouvoir , ca a fini en dictature et avec des millions de morts