Pourquoi les souverainistes français sont-ils toujours les cocus de l’Histoire ?

Le livre de David Desgouilles, publié en 2018, « Leurs guerres perdues », fait un constat implacable, à travers l’engagement militant de trois jeunes Français, une de droite, et deux de gauche, dans les années 1990. Les souverainistes ont perdu toutes les batailles, et, pire encore, ont souvent contribué, à l’image de Seguin et Chevènement, à faire gagner des hommes, Chirac et Mitterrand, dont ils savaient qu’ils les trahiraient. Pourquoi les salauds gagnent-ils toujours, et pourquoi les souverainistes français sont-ils toujours les cocus de l’Histoire ? Peut-être parce que ce sont des idéalistes, alors que les mondialistes sont de cyniques tueurs froids…

 

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2 Commentaires

  1. je remarque que les politiques souverainistes sont souvent très isolés, hors on compte largement plus de souverainistes dans la population proportionnellement à la classe politique. Il ya quelque chose qui ne colle pas!
    Les politiques ont peur du peuple et se battent aujourd’hui contre le peuple.
    Ils mettent des organismes et des associations qui filtres les revendications populaires que sont les couches intermédiaires. Donc placées entre peuple et exécutif comme si celui ci avait besoin d’être tenu par la main!!
    Sans compter qu’ils font des mariages contre nature entre droite et gauche et subventionnent les syndicats et les médias pour ficeler le tout .Comment s’y retrouver dans ce fratras?
    Il est d’ailleurs notable de constater que les gens s’attachent plus à des personnalités non politiques comme Raoult ou Perronne qu’à des gens dont le boulot est de faire de la politique; Je crois que la classe politique se réjouie même dans une sens de l’abstentionnistes, cela joue toujours pour le système en place!

  2. Je caricature mais peut être parce qu’ils passent trop de temps à chouiner, on le voit avec la ré-élection de Donald Trump. Ça pleurniche « ouin ouin c’est perdu » , mais punaise avec cette mentalité larmoyante ce n’est pas étonnant qu’on se traîne du chirac-hollandouille-macron et cie depuis des décennies. Quand à la folle aux chats qui a glapit qu’il fallait « céder » la victoire à pedobiden, il ne faudra pas se plaindre si elle n’est pas définitivement dégagée du paysage politique.

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