Alors que les deux chefs du Renseignement, le Directeur de la sécurité extérieure (DGSE) ainsi que celui de la sécurité intérieure (DGSI), tirent la sonnette d’alarme sur la menace terroriste, les libérations se poursuivent parmi les 505 islamistes détenus dans nos prisons, mais sans que les services de police puissent assurer une surveillance de long terme.
Tandis que l’actualité se focalise sur la campagne de vaccination et la sortie du confinement pour les fêtes, un danger bien plus menaçant que la crise covid n’agite guère les salles de rédaction. C’est cet islam conquérant que les autorités rechignent à combattre avec fermeté, la France ne voyant toujours pas qu’elle danse sur un volcan, dont l’éruption est pourtant inéluctable !
Crise sanitaire ou pas, confinement ou pas, crise économique ou pas, le cancer islamiste est toujours là et ronge la société en silence, avant de frapper à nouveau, toujours plus violent. La France, avec ses 10 millions de musulmans, est un vivier inépuisable d’islamistes en herbe, qui se laissent bercer par les sirènes de Daech et se rêvent en soldats d’Allah.
Immigration incontrôlée, intégration ratée, frontières passoires, justice laxiste, perte de notre souveraineté et divisions de la classe politique face au danger, la France cumule tous les handicaps dans la lutte contre le terrorisme.
Si la DGSE et la DGSI ont su mettre un terme avec le cloisonnement de l’information et bâtir une union sacrée bénéfique, la tâche est immense.
Les foyers jihadistes se multiplient partout, au Moyen-Orient et au Sahel, l’EI et Al Qaïda cherchant à se reconstruire. Et en Europe, les attentats terroristes complexes ont cédé la place aux attentats “low-cost”, perpétrés par des anonymes et difficiles à déjouer.
Depuis 2015, les moyens ont suivi, avec effectifs et budgets en hausse. Un parquet national antiterroriste a été créé en 2018 et les procédures juridiques adaptées.
Sauf pour le suivi des détenus libérés, comme nous le verrons.
Nos services de renseignement travaillent évidemment avec des dizaines de services étrangers, pour prévenir une menace venue de l’extérieur, mais sur le territoire national ce sont 8.000 radicalisés qui sont en théorie suivis. Autant dire que les failles du système sont inévitables.
Depuis 2015, la France a été frappée par 20 attentats, tandis que 19 autres attaques ont échoué. Par ailleurs, depuis 2013, ce sont 61 projets qui ont été déjoués. Beau bilan de nos services de police et de renseignement.
Mais ce qui est inquiétant, c’est la libération des islamistes incarcérés.
Nous avons actuellement 505 détenus pour faits de terrorisme, auxquels s’ajoutent 758 détenus radicalisés.
Depuis 2015, 150 détenus pour terrorisme ont été libérés. 20 sont libérables d’ici le 31 décembre 2020.
70 seront libérés en 2021, 50 en 2022 et 30 en 2023.
Comment assurer un suivi socio-judiciaire dans ces conditions ?
Selon un magistrat, “les libérés actuels sont les jihadistes de la première vague, des individus souvent hyper-entraînés et prêts à tout, y compris à mourir, pour certains.”
Ces agneaux qui ont combattu nos soldats sous la bannière de l’EI n’ont écopé que de 6 ans de prison ! Pas cher payé pour de la haute trahison.
Ajoutons qu’ils ont conservé leur nationalité française et qu’ils auront donc droit à tout le social que perçoit le citoyen qui travaille et cotise !
La France bichonne ses terroristes comme aucun pays au monde.
Il paraît que les peines se sont durcies depuis 2015, mais comme les remises de peine sont légion, ces jeunes tueurs qui ont combattu la France pourront recommencer, après 10 ou 12 ans de prison.
Le suivi post-carcéral est quasi inexistant. Sur 276 détenus libérés, seuls 80 seront suivis à leur sortie de prison.
En clair, la loi antiterroriste laisse les individus les plus dangereux maitres de leurs mouvements une fois libérés !
Un terroriste est traité comme un délinquant sexuel. S’il passe devant un psychiatre, celui-ci décrète que l’individu n’est pas fou, il est donc libre !
Juges et psychiatres ne font rien pour combattre le risque de récidive.
La conclusion de tout cela est que la France va perdre sa guerre de 30 ans contre le terrorisme.
Peines sévères incompressibles, déchéance de la nationalité française et expulsions, pertes des droits sociaux ne font pas partie de la panoplie de la lutte antiterroriste.
La France est décidément bien décidée à s’autodétruire !
(Source : “Le Figaro”)
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Je me souviens toujours que du temps où le miteux errant était sinistre de l’inférieur, on enterrait toujours les victimes du FLN la nuit…
BRAVO et encouragement à Florian PHILIPPOT qui donne des baffes à ce petit CON qui n’est même pas bon sur les plateaux de télé; je ne me ferais pas soigner par lui….
Les Patriotes doivent rapidement réunir tous les FRANCAIS , autres que les lâches, couards et collabos qui bavent devant la saloperie de l’Elysée, pour s’unir et le virer avant 2022 …..
Il faut rétablir la PEINE DE MORT pour tous ces envahisseurs et leurs complices de l’intérieur
a mon avis la cocote est en train de bouillir et le couvercle va sauter d’ici peu !les prochaines élections vont envoyer tous ceux qui ont pactisé avec Big-Pharma au tapis ,et je prévoie un déluge de plaintes qui vont s’abattre sur haut conseil bidon avec tous les pieds nickelés qui y sévissent!
cela me rappelle Vichy et le sort des collabos va falloir rembourser et payer l’ardoise qui va étre salée !
505 égorgeurs, découpeurs, trancheurs de têtes,
et toute cette viande Hallal que sont les Kouffars
de Français aux yeux de ces bouchers-charcutiers-tripiers mahométans libérés et lâchés dans la nature !
En fait nous sommes face à 2 types d’assassins qui se valent :
– Les djadhistes
– Les malades mentaux
Aussi coupables les uns que les autres quoi qu’on en pense.
Les terroristes pour éviter la récidive on les neutralise définitivement. Les dealers et autres sous-merdes, travaux forcés avec obligation de réparation des dégâts causés, ensuite retour au pays. Rien à foutre de ces inutiles. Et comme le dit si bien Renaud Camus « une boîte de préservatifs offerte en Afrique c’est trois noyés en moins en méditerranée, cent mille euros d’économie pour la caf, deux cellules de prison libérées et trois centimètres de banquise préservés ».
à croire que tous ces djihadistes sont des agents
double voire triple travaillant pour le compte
de la DGSI/SE
et qui pratiquent la Taqîya pour le compte
de l’EI avec la complicité de Ali Ben Macron
La France n’a toujours pas prit la mesure du danger qui nous attend et on va en prendre plein la gueule.
Je renvois à l’un des meilleurs avocats que la France
n’ai jamais eu:Henri-René Garaud,à propos des
cambrioleurs.Si on les tue,ils ne recommenceront
pas! On ne fait pas d’omelette sans casser les oeufs!
Peine pour blasphème en prétendant agir de Dieu
pour justifier ses crimes:le Bucher! L’enfer terrestre!
Solution Radicale! Solution Finale! « Bon débarras »!
Il suffit d’appliquer l’article 411-4 du code pénal qui prévoit trente ans de réclusion criminelle pour intelligence avec l’ennemi.
Si on met un djadiste trente ans en prison, le problème de récidive est réglé, de plus cela aurait un effet dissuasif envers ceux qui seraient tentés de passer à l’acte.
Pourquoi cette coupable indulgence envers des individus qui ont attenté aux intérêts de la France et porté atteinte à la vie des français?
C’est absolument incompréhensible et inexplicable, surtout en mise en perspective avec les atrocités dont ces gens sont capables non seulement dans les pays où ils règnent mais également chez nous.
Que l’on fasse une loi pour un verdict de perpétuité incompressible concernant les terroristes. Au moins la société sera à l’abri de ces fanatiques. Comme on l’a fait pour Fourniret. Quand on veut on peut !
On est gouverné par des psychopathes, des fous, et des assassins.