Thilo Sarrazin décrit le lamentable niveau scolaire des enfants musulmans en Allemagne

Je vous propose ci-dessous la traduction d’un  troisième extrait de son dernier livre, datant de 2018Feindliche Übernahme – Wie der Islam den Fortschritt behindert und die Gesellschaft bedroht Feindliche Übernahme –  OPA Hostile-Comment l’islam fait obstacle au progrès et menace la société. Son éditeur l’a refusé par crainte que ce livre ne renforce le rejet de l’islam en Allemagne, mais Thilo Sarrazin a fini par trouver un autre éditeur.
Premier extrait déjà publié dans nos colonnes.
https://resistancerepublicaine.com/2020/11/28/thilo-sarrazin-extrait-de-comment-lislam-fait-obstacle-au-progres-et-menace-la-societe/
Deuxième extrait publié il y a peu 
https://resistancerepublicaine.com/2020/11/30/thilo-sarrazin-lhomme-est-le-veritable-destinataire-du-coran-on-ne-sy-adresse-presque-jamais-aux-femmes/
 

Extrait correspondant aux pages 271 – 278 du livre

 

Coup d’œil sur Berlin et le quartier de Neukölln

Dans le Land de Berlin sont organisées annuellement des enquêtes d’entrée à l’école pour les enfants au début de leur scolarité obligatoire. Les résultats de ces enquêtes sont analysés en partie de façon différenciée en fonction de l’origine des enfants. À Berlin, l’enquête d’entrée à l’école en 2015 a montré que 23,1 pour cent des enfants n’étaient pas issus d’Europe ou des pays industrialisés occidentaux ; dans le quartier de Neukölln, ils étaient 43,1 pour cent, en majorité des enfants turcs ou arabes.

À Berlin en 2015, 19,9 pour cent de toutes les enquêtes d’entrée à l’école ont mis en évidence des connaissances linguistiques insuffisantes soit chez l’enfant, soit chez le parent accompagnateur, soit chez les deux. À Neukölln, c’était le cas pour 37,4 pour cent de toutes les enquêtes d’entrée à l’école. Le rapprochement avec le pourcentage nettement plus élevé d’enfants turcs et arabes qui y vivent est frappant.

Les enquêtes d’entrée à l’école sur l’ensemble du territoire de Berlin ont une longue tradition. Elles montrent régulièrement depuis de nombreuses années que le pourcentage de déficits et de retards du développement chez les enfants issus de l’immigration turque ou arabe est particulièrement élevé. Tous les facteurs qui y sont mesurés n’ont aucun rapport avec les ressources matérielles. Les paramètres du comportement des familles turques et arabes correspondent en grande partie à ceux de la sous-couche sociale à faible niveau d’instruction. À Neukölln, 60 pour cent et plus des enfants présentent des retards du développement lors des enquêtes d’entrée à l’école. En avril 2017, une enquête dans les garderies d’enfants de Berlin a révélé qu’un an et demi à peine avant d’être scolarisé, un enfant sur six ne parle pas suffisamment l’allemand et n’est pas capable de répondre aux simples demandes de participation à l’école. Une directrice d’école à Neukölln décrit la situation de son école et de ses élèves comme suit : « Le pourcentage d’immigrés varie entre 80 et 90 pour cent. Trente à cinquante pour cent de mes élèves bénéficient de prestations sociales de l’État. Un taux d’élèves garçons et filles supérieur à la moyenne sont issus de familles à faible niveau d’instruction. Cela va de pair avec un pourcentage supérieur à la moyenne d’enfants ne maîtrisant pas suffisamment ni la propre langue maternelle, ni la langue allemande courante parlée et écrite. (…) An total, quelque 40 pour cent des écoliers et écolières qui se situent en permanence dans le tiers inférieur des notes n’ont guère de chance d’avoir accès au marché normal du travail. »   

Malgré les exigences en baisse ces dernières années, 16 pour cent des élèves turcs et arabes à Neukölln ne terminent pas leur scolarité ; avec 26 pour cent, leur taux de réussite à l’abitur (baccalauréat) est à moitié aussi élevé que chez les Allemands. Ces chiffres de Neukölln s’accordent avec les chiffres correspondants de la ville de Wiesbaden : sur les élèves issus de l’immigration, 29 pour cent ont passé le baccalauréat à Wiesbaden en 2019, par rapport à 55 pour cent chez les élèves non issus de l’immigration. Neuf pour cent des élèves issus de l’immigration ont quitté l’école sans diplôme de fin de scolarité contre trois pour cent des élèves non issus de l’immigration.

La recherche sur l’instruction montre à cet égard qu’à résultats et couche sociale de même niveau, on recommande l’entrée au lycée plutôt aux enfants issus de l’immigration qu’aux élèves non issus de l’immigration. Par conséquent, ils ne sont pas discriminés, c’est plutôt l’inverse. Malgré le faible taux de réussite au baccalauréat, presque la moitié des étudiants issus de l’immigration dans les universités allemandes arrêtent prématurément leurs études. L’expert en intégration au Centre d’Essen pour études de la Turquie, Caner Aver, en nomme la cause : « Il manque des projets portant de manière consciente et structurelle sur les difficultés de langage et d’écriture, par exemple quand il s’agit de rédiger un bon devoir à la maison. » Le chercheur en matière d’instruction d’origine turque dit ainsi de manière indirecte que les étudiants qui ne sont pas à la hauteur ont obtenu leur diplôme de l’abitur à tort sans maîtriser à un niveau suffisant la langue allemande orale et écrite.

On peut toujours entendre dans la politique et les médias la demande d’une amélioration de l’égalité des chances en matière d’instruction, en améliorant la mixité des enfants. C’est une demande de luxe qui ne peut être formulée que tant qu’une large majorité des enfants est d’origine allemande. Le débat politique met en lumière des contradictions flagrantes : pour que la promotion adéquate des enfants de langue allemande ne soit pas tronquée, la quote-part d’immigrants doit être limitée dans les classes, c’est ce que demandent l’Union des Philologues et entre-temps également la ministre fédérale de l’Enseignement. Mais cette demande est déjà dépassée par la réalité dans de grandes parties de l’Allemagne. Dans des villes comme Berlin, elle est  devenue tout bonnement absurde, quand ceux qu’il s’agit de promouvoir atteignent la majorité démographique, comme c’est déjà le cas aujourd’hui à Neukölln. Entre-temps, les chercheurs en matière d’instruction émettent le souci que la promotion des enfants d’immigrants ne se traduise par le déclin de la promotion des élèves les plus performants.

En septembre 2016, dans les 39 écoles primaires publiques de Neukölln, en moyenne 71,1 pour cent des élèves avaient une langue maternelle non allemande. Mais dans 11 écoles, ce pourcentage excédait 90 pour cent, dans 20 écoles, 80 pour cent et il était inférieur à 40 pour cent uniquement dans 4 écoles. Ainsi, il est aisément compréhensible que des parents soucieux de l’instruction mettent les enfants à l’école ailleurs et les écoles privées sont en plein boum. Mais si l’ensemble de l’Allemagne évolue dans la direction démographique de Neukölln, de telles échappatoires seront closes dans quelques décennies pour la majorité  des gens.

Heike Schmoll a résumé en mars 2017 la misère berlinoise en matière d’instruction : « Le plus dramatique, c’est que les élèves les moins performants venant de familles immigrées peu soucieuses d’instruction ne se sont pas améliorés. Les élèves dits à risque, qui ratent souvent leur examen de sortie de l’école, sont déjà arrivés dans les écoles complémentaires avec d’importants déficits. » Le chercheur en matière d’instruction, Heinz-Elmar Tenorth, va encore un peu plus loin. À son avis, la politique salue à tort le fait qu’en Allemagne « seuls six à sept pour cent n’ont pas de diplôme de fin d’études », et ignore – nonobstant ses propres mesures de compétences – que plus de 20 pour cent n’acquièrent pas à l’école les compétences nécessaires pour participer de manière autodéterminée à la vie sociale, et qu’environ 25 pour cent des contrats d’apprentissage sont résiliés après peu de temps pour manque de capacités élémentaires. »

Une étude de l’Office fédéral allemand pour l’immigration et les réfugiés parue en décembre 2017 – réalisée à la demande de la Conférence islamique allemande – concernant « L’encadrement préscolaire des enfants du point de vue des familles musulmanes » met en évidence le déséquilibre dans le débat allemand : dans l’étude, il ne s’agit pas de la façon de s’attaquer le plus prématurément possible aux déficits des musulmans en matière d’instruction. De tels déficits ne font l’objet d’aucune thématique tout au long de l’étude. L’étude mène plutôt aux « résultats principaux » suivants : « La demande principale des parents musulmans est de promouvoir la communauté sociale de leurs enfants par la fréquentation des garderies d’enfants et d’améliorer leurs chances de participation. (…) Des thèmes culturels ou religieux sensibles ne sont proposés que dans de rares garderies, mais ils sont souhaités par les parents. » C’est ainsi que la politique gouvernementale en matière d’islam esquive les véritables problèmes.

Perspectives

Quand la grande vague des réfugiés et des immigrants illégaux a submergé l’Allemagne en 2015/2016, on a souvent entendu parler dans un premier temps d’enrichissement du marché du travail allemand et d’une possible contribution à faire face au manque de main-d’œuvre spécialisée. Ces voix se sont tues, car des examens plus précis du niveau d’instruction des migrants montrent une image très décevante. Selon l’estimation de l’Agence fédérale pour l’emploi (Bundesagentur für Arbeit), 70 à 80 pour cent ne disposent d’aucune qualification adéquate.

 

  • Dans la mesure où les migrants font valoir un diplôme formel de fin d’études, aucun de ceux-là ne correspond aux standards allemands. Un diplôme de fin d’études dans le pays d’origine signifie un niveau d’études qui correspond en règle générale au mieux à celui de la troisième ou quatrième année scolaire.
  • Les postulants aux études universitaires possèdent en moyenne un niveau de compétences qui correspond au mieux en Allemagne au niveau de fin d’études en collège. Selon les critères allemands, ils sont en grande partie incapables de suivre des études universitaires.
  • Une partie importante des immigrants allant de 60 à 70 pour cent se compose d’analphabètes fonctionnels.
  • Les cours d’allemand proposés sont eux-mêmes abandonnés prématurément par 70 pour cent des nouveaux arrivants. Motivation et disposition à faire des efforts sont systématiquement très réduites, l’attitude d’évitement par contre très marquée. Le taux de réussite est d’une faiblesse à l’avenant.

Concernant les immigrés auxquels est accordé un droit de séjour, le regroupement familial est possible. En 2016/2017, environ 200 000 personnes sont arrivées dans le cadre de ce regroupement familial, les chiffres vont continuer à grimper à l’avenir. La plus grande partie du regroupement familial concerne les conjoints. Dans le cercle des immigrants depuis 2015, le nombre de jeunes familles avec une quantité d’enfants en hausse va rapidement augmenter. La plupart de ces jeunes familles musulmanes vivront totalement ou en grande partie de subsides publics. L’Allemagne répète à grande échelle l’erreur qu’elle a déjà commise dans les années soixante-dix et quatre-vingt du siècle dernier avec le regroupement familial des travailleurs immigrés turcs et marocains.

Mais la nouvelle vague actuelle arrive dans un pays dans lequel les masses démographiques se sont déjà sensiblement décalées. L’intégration dans un environnement allemand et dans des écoles avec des élèves allemands ne seront même plus possibles pour la majeure partie de la nouvelle vague d’immigrants et de fondateurs de famille musulmans, parce qu’il manque pour eux un environnement allemand suffisant au plan qualitatif et quantitatif. C’est pourquoi les résultats de l’intégration seront encore plus mauvais pour les nouveaux immigrants que pour les Turcs et Arabes et leurs enfants arrivés en Allemagne dans les années soixante-dix à quatre-vingt-dix. Comme le dit le chercheur en matière d’instruction, Hans Anand Pant, les omissions politico-culturelles du passé se vengent à présent dans la question des réfugiés.

Il faut espérer et faire le nécessaire dans le système d’enseignement afin que chacun puisse exploiter son potentiel d’instruction s’il le souhaite. Mais il ne faut pas confondre les efforts nécessaires à cet effet et les souhaits qui s’y rattachent avec une prédiction de succès, encore moins une prédiction de succès pour des groupes entiers. On ne constate nullement que la tendance particulièrement lente vers l’ajustement du niveau d’instruction des élèves musulmans va s’accélérer dans le futur. Dans l’ensemble, le problème va encore s’accentuer, parce que le nombre de réfugiés musulmans avec un arrière-plan sans culture et en conséquence également le nombre de leurs enfants grimpent plus fortement que jamais auparavant.

Dans toute l’Europe, le retard relatif des immigrants musulmans en matière d’instruction est plutôt uniforme. Cela porte à croire que ce retard a des causes culturelles. On cherche souvent l’explication dans une discrimination et stigmatisation des immigrants musulmans. De tels facteurs spécialement applicables aux musulmans ne sont pas visibles si on compare avec d’autres groupes de migrants en Europe. De plus, le niveau d’instruction des musulmans en Europe montre une très bonne conformité avec le niveau d’instruction dans les pays d’origine. Tant qu’on exclut des différences dans l’intelligence innée, tout laisse à penser que le niveau d’instruction nettement inférieur à la moyenne des musulmans en Europe est dû à des raisons culturelles et a en fin de compte ses racines dans la religion et l’environnement culturel marqué par celle-là. La réalité de ce retard est malheureusement impossible à nier. Si on a une attitude sceptique concernant l’explication principalement par un arrière-plan religieux, on peut élargir l’approche et supposer avec le sociologue, Georg W. Oesterdiekhoff que les sociétés des pays musulmans et leurs individus sont au total encore plus proches de la phase primaire de l’humanité que les pays occidentaux et d’Asie orientale. La question des causes me ramène toutefois personnellement à la religion. L’écrivain d’origine turque, Feridun Zaimoglu, dit à ce sujet : « Les personnalités immatures cherchent la faute chez les autres. Ce que je proclame à mes sœurs et frères de croyance : sortir, devenir plus sage, peut-être retrouver une belle sobriété allemande. » 

Traduction pour Résistance républicaine par Jean Schoving

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19 Comments

  1. En Allemagne, on peut faire des études fondées sur l’origine et la religion, ce qui permet au moins de mesurer l’ampleur du problème et déjà de le voir.
    En France cela est interdit, ce qui nous interdit de l’objectiver et encore plus d’y porter un remède sous prétexte qu’il n’existe pas, puisqu’on ne le mesure pas.
    Et permet aux moulins à connerie gauchistes de raconter leurs fadaises de neuneus en prétendant que les immigrés réussissent formidablement bien à l’école, dans la lignée « c’est vrai puisque c’est moi qui le dit, car je suis de gauche, donc incontestable ». [comment peuvent-ils l’affirmer puisqu’il n’y a pas de données?]
    Et pourtant tout prof et tout parent d’élève sait tout ça sans avoir besoin d’une étude, le vécu suffit.
    ___
    « Dans toute l’Europe, le retard relatif des immigrants musulmans en matière d’instruction est plutôt uniforme. Cela porte à croire que ce retard a des causes culturelles. »
    C’est une évidence. Chaque année, l’institut Emhrod fait une enquête sur la lecture en Tunisie.
    Et chaque année, il constate que la plupart des Tunisiens ne lisent AUCUN livre en-dehors du coran (des passages). Pire, cela s’aggrave d’années en années.
    http://kapitalis.com/tunisie/2019/04/11/enquete-emrhod-61-des-tunisiens-ne-lisent-pas-du-tout-de-livres/
    https://www.courrierinternational.com/article/tunisie-un-peuple-qui-parle-mais-ne-lit-pas
    Je ne sais plus quel intellectuel maghrébin (peut-être Mohamed Kacemi) signalait encore une fois que le monde arabe tout entier publiait moins de livres que la Catalogne.
    J’avais lu ailleurs que le monde musulman a publié moins de livres en 14 siècles que n’en publie un pays européen chaque année(même dans une langue musulmane, ne parlons pas des traductions en-dehors de celle de Mein Kampf).
    L’historien Niall Ferguson rapportait que l’empire ottoman n’avait traduit en cinq siècles qu’un seul ouvrage de kouffars, un traité sur la syphilis…
    Pourquoi d’ailleurs ouvrir un livre quand on vous martèle depuis la naissance que le seul livre important c’est le coran, et que les autres sont inutiles? Et que tous les bourricots qui font l’imam à la mosquée vous le disent et redisent? On dit que le calife Omar qui fit détruire les livres des Perses brandissait déjà le coran en disant que « tout ce qu’il y a besoin de savoir est dans le livre ».
    Ajoutons que dans la culture musulmane contrairement à la culture juive puis européenne, on n’apprend pas à réfléchir par soi-même et à se poser des questions. Les intellectuels arabes sont tous en fait frottés à la pensée occidentale, qui leur a appris à réfléchir.
    ____
    Un autre facteur, c’est que le corps professoral est massivement féminin (80% en France). Or pour un musulman, un homme n’a rien à apprendre d’une femme, ce qu’elle dit n’a aucune valeur.

    • Bonjour,
      Oui, c’est très vrai.
      Le premier livre imprimé en Turquie, le fut au 19ème siècle.
      J’ai lu aussi, dans le même style, que le conquérant musulman de l’Egypte disait à propos de la bibliothèque d’Alexandrie:
      « Brûlez tous ces livres ! Soit ils contredisent le Coran et ils sont nuisibles, soit ils le confirment et ils sont inutiles ».
      D’ailleurs les musulmans de « Boko haram » répètent exactement cela en 2020 :
      « Boko » (= le « book » = le livre occidental) est « haram » (=interdit).
      Les musulmans n’ont pas changé car leur secte mahométane proscrit le « bida’h » = (l’innovation).
      Sauf, dans le cas des « Frères musulmans », si l’innovation peut être retournée contre les mécrants occidentaux …

  2. Ca, c’est comme le Macron qui poursuit son plan de destruction. La grosse Merkel fait pareil et les allemands voient leur pays qui est détruit à petit feu. Tout ça, c’est voué à un échec car les peuples ont toujours raison, tôt ou tard. Et les traîtres payent le prix fort. C’est ce qui va arriver car ce sont ces traîtres qui fabriquent la prochaine réaction des peuples.

  3. J’ai constaté ça à l’université en France, j’étais gestionnaire d’un département de langue turque et arabe, le niveau était tellement mauvais qu’un enseignant estimait que 80% des étudiants étaient incapables d’exploiter leur licence pour trouver du travail, il est à noter qu’il avait fallu augmenter leurs notes pour qu’elles puissent atteindre la moyenne, leur diplôme ne valait tout simplement rien.

  4. il parle du diplôme de fin d’études du pays d’origine qui n’a aucune valeur et c’est juste .
    Là bas on signe d’une croix si on sait pas lire , de deux si on sait lire mais de trois croix si on est docteur Honoris Causa de l’Université locale .

  5. à Lille-Roubaix-Tourcoing
    les petits écoliers Français
    savent mieux parler l’arabe
    wesh-wesh que leur propre
    langue maternelle …
    noyés qu’ils sont dans la masse
    afro-maghrébine !
    la MEL qui en réalité
    et dans les faits n’est qu’un
    Califat ou les islamonazis
    barbus en djellabas-babouches
    font et dictent leurs Lois et font appliquer
    la CHARIA à la sourate et au hadith près !
    grâce à l’appui financier et au soutien logistique
    des Dhimmis- Mahométiques
    que sont les Aubry-Castelain-Percheron

  6. Ben voyons, qui s ‘ étonne encore ici, puisque tout est dans leur fichu coran donc pas besoin d ‘apprendre des mécréants.

  7. Pas qu’en Allemagne. En France, j’ai été témoin de classes de troisième à très forte majorité d’enfants issus de parents de l’autre côté de la Méditerranée dont aucun, je dis bien aucun, n’a su calculer un pourcentage – j’avoue que la petite partie constituante de nos chères têtes blondes non plus…
    C’est la somme du nivellement intellectuel vers le bas auquel nous assistons, impuissants, depuis quelques décennies.
    Autre anecdote : un prof d’anglais, à qui j’avais soumis une réponse en étude de texte dans la langue de Shakespeare, m’a carrément avoué que ma rédaction, bien correcte, devrait être simplifiée afin que les élèves puissent en comprendre le sens, le vocabulaire étant trop abscons… sauf que la réponse que j’avais éditée était prélevée du texte soumis aux élèves…

  8. pitoyable, lamentable, affligeant !
    avec tous ces dégénérés de consanguins
    le niveau intellectuel a chuté, a baissé en dessous du niveau de la mer.de !
    tellement si bien que Martine Aubry
    a fait ouvrir un lycée privé de Muzzs (Averroès)
    à Lille
    et dont les profs sont majoritairement
    des dhimmis et des convertis blancs Français
    pour rehausser le niveau de leur QI .
    et bien évidemment avec l »argent racketté
    ou/et volé aux contribuables-solvables Lillois
    et bien Français pour ceux-là !

  9. leurs parents leur ont bien mieux inculqué l’islam plutôt que d’apprendre la langue française , l’histoire géo et l’instruction civique. ils n’ont même pas essayé d’apprendre le français eux-mêmes ces enfoirés
    eux ce qui les interagissait c’étaiement les allocs pour leurs gniards et aides aides. car ils crevaient de faim dans leurs pays

  10. De toute façon, le but des gouvernants actuels est de pourrir l’Europe, de faire un mélange de races, ce qui donnera une sous-race manipulable à volonté par ceux qui détiennent le pognon. C’est l’argent qui gouverne. Macron vient bien du milieu de la banque.
    Les gouvernants veulent-ils le bien de leur pays ?
    C’est la question.

  11. Ah ça oui, j’ai pas vécut en Allemagne mais j’ai connu ça quand j’étais dans un collège bien POURRI, 1994-1998. Non seulement ils plombent le niveau mais aussi pourrissent l’ambiance.
    Quelle merde!
    Giscard a clamsé, que son « âme » putride pourrisse à tout jamais.

  12. Si ils sont aussi cons que ça, pourquoi les faire venir. Même leur têtards sont de futur dégénérés terminé à la pisse et au coran. Pas besoin de ça en Europe. foutez moi ça dehors et vite.

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