Terrorisme : même les libéraux de l'IREF dénoncent l'islam

Chez les libéraux aussi, on voit clair.

La menace islamiste n’est pas un accident

De sauvages assassinats se succèdent en France au nom de l’islam contre la liberté d’expression ou contre les catholiques. Il y a des fous partout et des gens bien partout. Il ne s’agit donc pas d’incriminer les musulmans de manière générale. Mais la question mérite d’être posée de savoir si l’islam a favorisé ces attentats ou non.

Plusieurs époques ont déjà connu des vagues d’attentats. Parmi tant d’autres, il y eut la Terreur qui avait institutionnalisé le meurtre quand coulait « la Loire, rouge de sang depuis Saumur jusqu’à Nantes, dans une longueur de dix–huit lieues » (Flaubert, Bouvard et Pécuchet). Il y eut, dit-on, en Russie de 1900 à 1917,17 000 victimes d’attentats terroristes (AnnaGeifman, La mort sera votre Dieu, La Table Ronde, 2005, p. 49). Il y eut Staline, Hitler, Mao. Il y eut en Italie les années de plomb des Brigades rouges. Ben Laden fit les choses en grand en envoyant des avions s’écraser contre des immeubles pour saisir d’effroi l’Occident auquel il avait déclaré la guerre. Boko Haram continue différemment. Il y a désormais une rage djihadiste qui frappe aveuglément et qui pourrait être plus dangereuse que le coronavirus.
Mais un trait commun réunit tous les auteurs de ces actes insensés. Tous sont animés d’une même croyance, totalisante, en une société parfaite qu’ils se croient prédestinés à faire advenir en ce bas monde, jusqu’à la folie.

A cet égard, l’islam n’est pas vraiment une religion ou est plus qu’une religion car tandis que le christianisme est né sur la séparation (pas toujours respectée) du politique et du religieux, dans le « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu », l’islam a été fondé dans la confusion du religieux et du politique et dans l’absorption de celui-ci par celui-là. Mahomet incompris à La Mecque s’est enfui en 622 à Médine pour en devenir le chef tout à la fois religieux, politique et militaire. Il y a gouverné la Cité sous une loi unique, la sienne, dictée chaque nuit par l’ange Gabriel. Bientôt les tribus juives furent pourchassées et fréquemment exterminées ou déportées. Puis l’extension de l’islam fut entreprise par la conquête plus que par la persuasion. Le pillage et le partage du butin, instaurés en règle, incitaient à élargir toujours les conquêtes de l’Etat islamique permettant aux arabes de vivre des tributs payés par les vaincus et les populations non converties qui n’appartenaient donc pas à l’Oumma, la communauté des croyants.
L’islam est donc autant une religion qu’une nation. L’Iran de Khomeyni s’est appelé République islamique d’Iran en 1979 ; en 2014, le califat autoproclamé en Irak et en Syrie a pris le nom d’État islamique (Daech). L’islam est un droit autant qu’une foi. Et il est un droit tatillon, exigeant, menaçant. Le père Henri Boulad, jésuite égyptien, observe que l’islam est un tout, « il se veut à la fois religion, Etat et société […]. Dans l’islam se mêlent indissolublement le sacré et le profane, le spirituel et le temporel, le religieux et le civil, le public et le privé ». (Christophe Geffroy et Annie Laurent, L’islam, un danger pour l’Europe ?, Ed. La Nef, 2009, p. 78-79). « L’islam est un communisme avec Dieu » notait le communiste Maxime Rodinson, en pire si c’est possible, parce qu’il mobilise la vertu de la religion au service d’une politique tandis que le communisme est obligé de faire croire au miracle de l’avenir sans recourir à un dieu quelconque.
Qui plus est, l’islam ne croit pas au libre arbitre. Il y eut un courant, le mutazilisme, qui du IXème au XIème siècle le fit prévaloir, mais ses disciples furent ensuite persécutés et il fut oublié au profit de la thèse déterministe des musulmans ash’arites, toujours prédominante, selon laquelle tout serait prédestiné. Raison de plus pour les fanatiques d’agir au nom de Dieu dont ils se prétendent les bras… armés, les simples exécuteurs… irresponsables, dans la soumission à une religion de combat plus souvent que d’amour.
Il manque à l’islam la séparation des pouvoirs, la tempérance, et la liberté corrélée à la responsabilité, pour limiter ses prétentions ici-bas et obliger à la mesure. Au travers de ses caractéristiques, qui mériteraient bien entendu des commentaires plus abondants, il apparaît que, malgré sans doute la bonne volonté de nombre de ses adeptes, l’islam véhicule volontiers et d’une certaine manière presque naturellement des messages de violence et peut inciter des êtres faibles ou emportés à passer à l’action sans beaucoup de réflexion.
L’erreur, naïve, de l’Occident a été de croire que l’islam pourrait adopter ses principes de liberté et de tolérance alors qu’ils sont intrinsèquement incompatibles avec lui. Nous pouvons respecter les valeurs des autres civilisations, arabes, asiatiques…, mais à condition qu’elles ne mettent pas en péril notre propre civilisation. Nous pouvons accueillir l’autre à condition qu’il respecte ce que nous croyons et ce que nous sommes. Or précisément, il y a péril en la demeure et nous en sommes au point où pour une fois le principe de précaution devrait être appliqué avec force pour éviter que des fanatiques détruisent ce que nous sommes.

C’est un vaste ouvrage à entreprendre car nos magistrats dévoyés acceptent indûment sur notre sol des étrangers qui ne justifient pas suffisamment de la nécessité de leur exil. Le droit européen et la Cour européenne des droits de l’homme ont une interprétation extensive et délétère des principes fondateurs de nos démocraties, nos dépenses sociales excessives ne permettent plus à l’Etat d’assurer ses charges régaliennes de maintien de l’ordre et de la sécurité… Il faut donc réorienter nos politiques pour protéger tout à la fois nos libertés et le respect des personnes sans lesquels il n’y aura plus de patrie, plus de vie commune possible..

https://fr.irefeurope.org/Publications/Articles/article/La-menace-islamiste-n-est-pas-un-accident

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5 Commentaires

  1. On ne mélange pas les musulmans et les terroristes mais il suffit de lire le coran pour comprendre que cet ouvrage encourage au crime de tout non musulman donc l’islam porte en elle les germes de l’islamisme et du terrorisme donc avec le développement de la population musulmane, cela ne peut que s’aggraver, il faut prendre des mesures radicales.

  2. ce sont des fainéants de tarés qui veulent s’approprier l’occident sans se fatiguer.

  3. Tant qu’on aura pas compris que l’islam est lié au terrorisme on n’avancera pas, le musulman modéré n’est qu’un musulman en veille, ce n’est pas un musulman indépendant du coran, c’est la même idéologie.

  4. L’islam n’est PAS une religion ! »
    C’est une SECTE qui veut conquérir la planète entière.
    Que seraient les 57 pays musulmans sans les pétrodollars ???? Des trous à merde ( shit hole countries comme la Somalie. Le Yémen, le Bangladesh, le soudan du Nord, et tant d’autres
    Ils ne connaissent que leur torche cul de coran et méprisent tout ce qui pourrait les faire évoluer.
    Pendant ce temps, des abrutis des ONG partent dans ces pays de merde au risque de se faire trucider pour les nourrir, les éduquer, les faire évoluer…..
    La solution c’est de les ignorer! Ils n’existent pas !

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