« La Toussaint rouge »… Ce fut la désignation des premiers attentats en Algérie Française. Une parenthèse sans doute peu importante.
Monsieur Philippe de Villiers semble avoir ignoré les événements de 1954 en Algérie Française.
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Je vous rappelle ces faits pour rétablir une vérité quant à la première victime.
Sans doute sans importance aujourd’hui.
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Nombre de Français, hélas une majorité, n’a toujours pas compris que le terrorisme, en France, s’affiche désormais ouvertement, que les attentats ici et là déclenchent un effet de compétitivité à travers tout le territoire. Cela ira en s’accélérant car les terroristes se rendent bien compte qu’ils n’ont aucun obstacle face à eux. 14 douilles jonchaient le sol de la Basilique? Aucune n’a fait sauter la cervelle du dégénéré.
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Les Français vont commencer à connaître la peur. Vont-ils continuer à se manifester par les slogans devenus la devise de la France « Vous n’aurez pas ma haine ». En revanche, en face, eux possèdent jusqu’aux fonds de leurs entrailles la haine.
Triste Toussaint mes amis. Un ami cher parti trop tôt avait écrit un livre dont le titre est » QUE DIEU SAUVE LA FRANCE ».Mémoire, ne nous abandonne pas
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Dans la nuit du 31 Octobre au 1er Novembre 1954 plusieurs attentats étaient perpétrés en une trentaine de points du territoire Algérien.
Soixante dix attentats furent commis parmi lesquels plusieurs victimes civiles européennes et musulmanes.
La Toussaint rouge fut le nom donné à cette vague d’attentats, jour de la fête Catholique de la Toussaint. L’histoire a retenu que la toute première victime de cette Toussaint Rouge fut ce jeune instituteur Métropolitain, Guy Monnerot, tout fraîchement arrivé de Métropole afin d’y enseigner dans le Bled.
Soixante dix attentats furent commis parmi lesquels plusieurs victimes civiles européennes et musulmanes.
La Toussaint rouge fut le nom donné à cette vague d’attentats, jour de la fête Catholique de la Toussaint. L’histoire a retenu que la toute première victime de cette Toussaint Rouge fut ce jeune instituteur Métropolitain, Guy Monnerot, tout fraîchement arrivé de Métropole afin d’y enseigner dans le Bled.
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Bien que cet assassinat ait mérité d’être largement diffusé pour sensibiliser l’opinion, notamment Métropolitaine, il n’en reste pas moins que cette médiatisation ne devait en aucun cas occulter sciemment les 3 autres victimes civiles assassinées bien avant Guy Monnerot.
Du reste la médiatisation du meurtre de Guy Monnerot ouvrit béante la porte aux détracteurs de la présence française en Algérie qui gangrénèrent l’opinion métropolitaine quant à sa souveraineté et, par la suite, l’envoi des troupes du Contingent.
Depuis plusieurs années la vérité tente de s’installer, mais en vain ; l’histoire continue à poser sa chape de plomb sur les réalités.
Du reste la médiatisation du meurtre de Guy Monnerot ouvrit béante la porte aux détracteurs de la présence française en Algérie qui gangrénèrent l’opinion métropolitaine quant à sa souveraineté et, par la suite, l’envoi des troupes du Contingent.
Depuis plusieurs années la vérité tente de s’installer, mais en vain ; l’histoire continue à poser sa chape de plomb sur les réalités.
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Ainsi 3 jeunes Français d’Algérie ne firent l’objet que ’un contre-filet dans la presse.
Dès le début 2000 j’ai entrepris de relater l’histoire de Laurent François, ce jeune Mostaganémois assassiné dans des conditions abominables, le 31 Octobre 1954 à 23h.30, devant une Gendarmerie sourde aux appels de détresse. Je pus recueillir et reprendre l’historique de cet événement grâce au témoin, compagnon de Laurent François, Jean-François Mendez.
Jean-François Mendez est cousin germain de mon épouse ; lors d’une visite nous avons évoqué cet attentat auquel il avait échappé miraculeusement.
Dès lors je le décidai, malgré quelques réticences, à lui faire évoquer cette tragique soirée afin de rendre hommage à son ami Laurent François dont personne n’évoquait son assassinat, ni son acte héroïque.
Dès 2002 plusieurs sites accordèrent crédit à ce rappel : Site Algérie Française, Pieds Noirs d’Hier et d’aujourd’hui ; la Seybouse.
Les faits et témoignages ainsi furent repris par divers compatriotes et associations.
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A Oran, il est 0h20, lorsque Georges- Samuel Azoulay, chauffeur de taxi prend en charge un musulman pour le conduire à Eckmühl; en cours de route le client demande un changement d’itinéraire vers la poudrière. Azoulay refuse ; le client l’abat de trois balles, jette le corps sans vie et s’empare du véhicule. L’assassin est arrêté quelques semaines plus tard dans un douar près de St-Denis du Sig. Cet assassinat sera considéré comme un fait divers de droit commun.
Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre à 1h30, le garde-forestier François Braunest attaqué dans la maison forestière de la Mare d’ Eau (entre Zahana et Oggaz ; il refuse de remettre son arme ; il est abattu par Ahmed Zabana qui est arrêté le 8 novembre 1954 et guillotiné à la prison de Barbe-Rousse le 19 juin 1956.
Fait remarquable, François Braun était le beau-frère de l’oncle de Laurent François.
Ainsi 3 jeunes Français d’Algérie ne firent l’objet que ’un contre-filet dans la presse.
Dès le début 2000 j’ai entrepris de relater l’histoire de Laurent François, ce jeune Mostaganémois assassiné dans des conditions abominables, le 31 Octobre 1954 à 23h.30, devant une Gendarmerie sourde aux appels de détresse. Je pus recueillir et reprendre l’historique de cet événement grâce au témoin, compagnon de Laurent François, Jean-François Mendez.
Jean-François Mendez est cousin germain de mon épouse ; lors d’une visite nous avons évoqué cet attentat auquel il avait échappé miraculeusement.
Dès lors je le décidai, malgré quelques réticences, à lui faire évoquer cette tragique soirée afin de rendre hommage à son ami Laurent François dont personne n’évoquait son assassinat, ni son acte héroïque.
Dès 2002 plusieurs sites accordèrent crédit à ce rappel : Site Algérie Française, Pieds Noirs d’Hier et d’aujourd’hui ; la Seybouse.
Les faits et témoignages ainsi furent repris par divers compatriotes et associations.
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A Oran, il est 0h20, lorsque Georges- Samuel Azoulay, chauffeur de taxi prend en charge un musulman pour le conduire à Eckmühl; en cours de route le client demande un changement d’itinéraire vers la poudrière. Azoulay refuse ; le client l’abat de trois balles, jette le corps sans vie et s’empare du véhicule. L’assassin est arrêté quelques semaines plus tard dans un douar près de St-Denis du Sig. Cet assassinat sera considéré comme un fait divers de droit commun.
Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre à 1h30, le garde-forestier François Braunest attaqué dans la maison forestière de la Mare d’ Eau (entre Zahana et Oggaz ; il refuse de remettre son arme ; il est abattu par Ahmed Zabana qui est arrêté le 8 novembre 1954 et guillotiné à la prison de Barbe-Rousse le 19 juin 1956.
Fait remarquable, François Braun était le beau-frère de l’oncle de Laurent François.
Laurent François ce jeune homme de 22 ans tout juste libéré de son service militaire qui plutôt que de s’enfuir fit un détour pour prévenir les autorités militaires.
CASSAIGNE, nuit du 31 Octobre au 1er Novembre 1954
Ce dimanche 31 octobre 1954, à la tombée de la nuit, un groupe d’hommes sous les ordres de Sahraoui et Belhamiti se réunit au lieu dit « Oued Abid ». Sahraoui dispose d’armes de guerre (3 carabines italiennes, un fusil mauser et des munitions) qui lui ont été procurées par Bordji Amar. Cette réunion a pour but l’organisation d’une attaque qui doit être déclenchée à une heure du matin.
Tous se réunissaient vers le centre de Cassaigne ; Belhamiti prenait la tête d’un demi-groupe composé de Mehantal, Belkoniène, Chouarfia qui devaient se poster légèrement au sud et à l’Est des bâtiments de la gendarmerie.
L’autre demi groupe sous la direction de Sahraoui Abdelkader et composé de Belkoniène Taïeb, Tehar Ahmed et Beldjilali Youssef allait par l’Ouest s’approcher de la cour extérieure de la gendarmerie.
Pendant que les terroristes préparent leur embuscade, Laurent François et son ami Jean-François Mendez reviennent d’un bal organisé au Grand Hôtel de Mostaganem ; Laurent François a 22 ans, il est libéré du service militaire depuis 6 mois, Jean-François Mendez est son cadet de 18 mois.
Tous deux habitent Picard, petit village du Dahra situé à 70 kms de Mostaganem. Plutôt que prendre la route principale, ils décident d’emprunter la route de l’intérieur qui est un peu plus longue mais en meilleur état ; cette route passe devant la ferme Monsonégo.
Arrivés à hauteur de la ferme Monsonégo, les deux amis voient surgir dans le faisceau de la 4 CV un homme vêtu d’un tricot de peau et d’un slip qui agite ses bras de façon désordonnée en criant : »au secours ! au secours ! ».
A l’instant où Jean-François Mendez ouvre la portière des coups de feu claquent ; une balle fait éclater le pare- brise et une autre fait sauter la vitre de la portière avant gauche ; Laurent François a été touché à la tête. L’homme hurle d’avertir la gendarmerie de Cassaigne qui est tout proche mais qui contraint à un détour. D’autres coups de feu claquent et contraignent les deux amis à reprendre la route pour se rendre à Cassaigne.
Tous deux ignorent que la gendarmerie est, elle-même, la cible de terroristes qui s’apprêtent à l’attaquer. En quelques minutes les deux jeunes gens arrivent devant la gendarmerie.
Le demi-groupe de soutien de Belhamiti se dissimula alors dans le fossé bordant la route.
Belkoniène et Tehar de leur côté, de peur d’être surpris eux aussi, cherchèrent à se cacher derrière les bâtiments de la gendarmerie ; ils y retrouvèrent Saharaoui Abdelkader qui leur donna l’ordre de se porter en avant et de tirer sur les arrivants.
Ce dimanche 31 octobre 1954, à la tombée de la nuit, un groupe d’hommes sous les ordres de Sahraoui et Belhamiti se réunit au lieu dit « Oued Abid ». Sahraoui dispose d’armes de guerre (3 carabines italiennes, un fusil mauser et des munitions) qui lui ont été procurées par Bordji Amar. Cette réunion a pour but l’organisation d’une attaque qui doit être déclenchée à une heure du matin.
Tous se réunissaient vers le centre de Cassaigne ; Belhamiti prenait la tête d’un demi-groupe composé de Mehantal, Belkoniène, Chouarfia qui devaient se poster légèrement au sud et à l’Est des bâtiments de la gendarmerie.
L’autre demi groupe sous la direction de Sahraoui Abdelkader et composé de Belkoniène Taïeb, Tehar Ahmed et Beldjilali Youssef allait par l’Ouest s’approcher de la cour extérieure de la gendarmerie.
Pendant que les terroristes préparent leur embuscade, Laurent François et son ami Jean-François Mendez reviennent d’un bal organisé au Grand Hôtel de Mostaganem ; Laurent François a 22 ans, il est libéré du service militaire depuis 6 mois, Jean-François Mendez est son cadet de 18 mois.
Tous deux habitent Picard, petit village du Dahra situé à 70 kms de Mostaganem. Plutôt que prendre la route principale, ils décident d’emprunter la route de l’intérieur qui est un peu plus longue mais en meilleur état ; cette route passe devant la ferme Monsonégo.
Arrivés à hauteur de la ferme Monsonégo, les deux amis voient surgir dans le faisceau de la 4 CV un homme vêtu d’un tricot de peau et d’un slip qui agite ses bras de façon désordonnée en criant : »au secours ! au secours ! ».
A l’instant où Jean-François Mendez ouvre la portière des coups de feu claquent ; une balle fait éclater le pare- brise et une autre fait sauter la vitre de la portière avant gauche ; Laurent François a été touché à la tête. L’homme hurle d’avertir la gendarmerie de Cassaigne qui est tout proche mais qui contraint à un détour. D’autres coups de feu claquent et contraignent les deux amis à reprendre la route pour se rendre à Cassaigne.
Tous deux ignorent que la gendarmerie est, elle-même, la cible de terroristes qui s’apprêtent à l’attaquer. En quelques minutes les deux jeunes gens arrivent devant la gendarmerie.
Le demi-groupe de soutien de Belhamiti se dissimula alors dans le fossé bordant la route.
Belkoniène et Tehar de leur côté, de peur d’être surpris eux aussi, cherchèrent à se cacher derrière les bâtiments de la gendarmerie ; ils y retrouvèrent Saharaoui Abdelkader qui leur donna l’ordre de se porter en avant et de tirer sur les arrivants.
Pendant plusieurs minutes qui durent une éternité, les deux amis tambourinent en hurlant à pleins poumons. Plusieurs minutes s’écoulent sans que quiconque n’intervienne.
Belkoniène et Tehar, en position de tireurs immédiatement derrière la clôture en fil de fer de la gendarmerie, à une vingtaine de mètres environ de Laurent François et de Mendez Jean-François, tirèrent chacun un coup de feu. Laurent pousse un cri et s’écroule devant Jean-François qui continue à cogner sur la porte de la gendarmerie.
Le gardien de prison réveillé par les cris et coups de feu a allumé la rue.
Il est 23h.30 ; Laurent François est à terre, râlant, crachant du sang ; une balle lui a fracassé le crâne.
Les gendarmes sont toujours inexistants. Jean-François Mendez se précipite chez le docteur Gilbert qui s’habille promptement et se rend immédiatement sur les lieux du drame.
La cour de la caserne est allumée mais la porte de la gendarmerie est toujours fermée. Laurent François, le malheureux, est là inanimé, baignant dans une large mare de sang. L’infortuné jeune homme est toujours en vie mais il rendra son dernier soupir à la clinique.
Un gendarme, revolver à la main, se décidera à sortir après de nouveaux appels de Jean-François Mendez et du docteur Gilbert.
L’intervention de ces deux jeunes gens aura fait échouer l’attaque prévue de la gendarmerie et ainsi sans nul doute sauva bien des vies ; devant cet échec les terroristes s’enfuirent et se replièrent au lieu-dit « La pierre Zerouki ».
De même qu’ils ne purent faire sauter le transformateur électrique de Ouillis qui alimentait toute la région du Dahra.
Les terroristes sont arrêtés quelques jours plus tard ; leur chef est tué lors de leur appréhension.
Les gendarmes, quant à eux, firent tous l’objet de mutations sans qu’un motif ne soit évoqué ; et pour cause !
De même on n’entendra plus parler de Cassaigne… jusqu’au jour du procès des assassins de Laurent François le 23 Juillet 1955.
Le verdict de la Cour d’Assises de Mostaganem fut prononcé le 24 juillet 1955
Condamnés à la peine capitale : Belkoniène Taïeb, Tehar Ahmed et Saharoui Abdelkader ; Travaux forcés à perpétuité : Belhamiti ;
20 ans de travaux forcés : Chouarfia, Belkoniène Mohamed.
Belkoniène et Tehar, en position de tireurs immédiatement derrière la clôture en fil de fer de la gendarmerie, à une vingtaine de mètres environ de Laurent François et de Mendez Jean-François, tirèrent chacun un coup de feu. Laurent pousse un cri et s’écroule devant Jean-François qui continue à cogner sur la porte de la gendarmerie.
Le gardien de prison réveillé par les cris et coups de feu a allumé la rue.
Il est 23h.30 ; Laurent François est à terre, râlant, crachant du sang ; une balle lui a fracassé le crâne.
Les gendarmes sont toujours inexistants. Jean-François Mendez se précipite chez le docteur Gilbert qui s’habille promptement et se rend immédiatement sur les lieux du drame.
La cour de la caserne est allumée mais la porte de la gendarmerie est toujours fermée. Laurent François, le malheureux, est là inanimé, baignant dans une large mare de sang. L’infortuné jeune homme est toujours en vie mais il rendra son dernier soupir à la clinique.
Un gendarme, revolver à la main, se décidera à sortir après de nouveaux appels de Jean-François Mendez et du docteur Gilbert.
L’intervention de ces deux jeunes gens aura fait échouer l’attaque prévue de la gendarmerie et ainsi sans nul doute sauva bien des vies ; devant cet échec les terroristes s’enfuirent et se replièrent au lieu-dit « La pierre Zerouki ».
De même qu’ils ne purent faire sauter le transformateur électrique de Ouillis qui alimentait toute la région du Dahra.
Les terroristes sont arrêtés quelques jours plus tard ; leur chef est tué lors de leur appréhension.
Les gendarmes, quant à eux, firent tous l’objet de mutations sans qu’un motif ne soit évoqué ; et pour cause !
De même on n’entendra plus parler de Cassaigne… jusqu’au jour du procès des assassins de Laurent François le 23 Juillet 1955.
Le verdict de la Cour d’Assises de Mostaganem fut prononcé le 24 juillet 1955
Condamnés à la peine capitale : Belkoniène Taïeb, Tehar Ahmed et Saharoui Abdelkader ; Travaux forcés à perpétuité : Belhamiti ;
20 ans de travaux forcés : Chouarfia, Belkoniène Mohamed.
Ainsi périt dans l’indifférence générale un jeune Français d’Algérie, Laurent François né un 6 Février 1939, assassiné un 31 Octobre 1954 à 23h.30, qui n’hésita pas à se détourner de sa route pour alerter les autorités d’attaques
Ce n’est qu’en 2007 que Laurent François eut les Honneurs de la Nation et fut reconnu Mort pour la France.
Le rappel de ce tragique évènement démontre que les Français d’Algérie étaient déjà des « Français entièrement à part ».
Ce n’est qu’en 2007 que Laurent François eut les Honneurs de la Nation et fut reconnu Mort pour la France.
Le rappel de ce tragique évènement démontre que les Français d’Algérie étaient déjà des « Français entièrement à part ».
Le malheureux Guy Mo
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Au stand de tir vous avez un carton en face de vous et il n’est pas vraiment dangereux . En situation réelle vous ne savez pas si celui qui est devant vous va vous tirer dessus et ça , ça stresse alors forcément vous ne mettez pas à chaque fois dans le 10!! Essayez, vous verrez.
Dans la Gendarmerie Nationale que j’ai connu, il y a une brigade par canton avec un planton qui répond immédiatement aux appels extérieurs, téléphone et sonnette. 2 gendarmes sont désignés » premiers à marcher » chaque jour ; ce sont eux qui partent en cas de besoin, accident, agression, cambriolage, etc mais les autres gendarmes peuvent venir en renfort car ils sont de service 24h/24, 5 jours par semaine. Nous demandons une augmentation des effectifs pour améliorer nos conditions de vie mais les politiques préfèrent le système de la brigade de permanence, les autres sont fermées le soir à 18h00. Quand vous sonnez aujourd’hui à la brigade, en fait vous sonnez au chef lieu de département, le Centre Opérationnel Gendarmerie, le COG. C’est lui qui décide s’il envoie quelqu’un ou pas. Si vous êtes cambriolé à une extrémité de la » communauté de brigades » et que la » brigade de permanence se situe à l’autre extrémité, vous êtes dans la merde ! Pour peu que cette unité soit déjà engagée sur un autre événement grave….. Cette situation n’est pas le fait des gendarmes mais des choix des politicards que les citoyens qui se plaignent ont élu.
Par contre, « … 14 douilles jonchaient le sol de la Basilique? Aucune n’a fait sauter la cervelle du dégénéré… » Il ne suffit pas d’armer les Polices Municipales, il faut IMPÉRATIVEMENT leur apprendre à utiliser leurs armes. Une telle maladresse démontre que ces tireurs sont dangereux. Si leur entrainement officiel ne s’améliore pas, il vaut mieux qu’ils adhèrent à un club de tir, pour leur sécurité.
Les faits sont tus et niés. En France cela fait combien de temps que l’on nous habitue à une délinquance endémique qui ne pouvait déboucher que sur ce que nous vivons aujourd’hui. Comment avons nous pu excuser, expliquer, argumenter pour éternellement défendre ces voyous .
La délinquance n’ayant pas été traitée à sa juste mesure , ses protagonistes vont former maintenant l’armée des ennemis de la France .
On ne règle pas les choses en ayant peur hors tout les gens qui ont eu à traiter de ces sujets ont niés les faits pour ensuite les édulcorer ou les dissimuler mais on, a bien compris qu’ils redoutaient surtout de s’y attaquer si bien qu’ils ont envenimer le problème tout cela dans le cadre société qui se féminisait fortement .
Une féminisation de plus très marquée idéologiquement à l’extrême gauche.
Pour moi il ya femmes et femmes , toutes les femmes ne se valent pas !
Il y a celle qui veulent protéger la société des pires en ayant à l’esprit leurs propres enfants et il ya celles qui prennent des multirécidivistes pour les enfants de la société!!!
Je regrette ,mais je n’ai pas engendré ce genre d’individus qui se complaisent dans le voyoucratie.
La société n’est pas responsable de ça ce sont leurs parents qui sont entièrement responsables !! Les parent éduquent et l’école enseigne chacun son rôle.
Il est compréhensible que des profs soient paumés , ils ne sont pas formés à être des gardes chiourmes . Et heureusement !!!
Et ces parents ont éduqué leurs enfants à l’hostilité envers les Français. Et aujourd’hui on récolte la mauvaise graine!!!
Je cite: « Cet assassinat sera considéré comme un fait divers de droit commun ».
En effet, alors que le djihad était clairement annoncé par le FLN , les autorités ne comprirent pas qu’une guerre était déclarée. Je sais, pour l’avoir déjà dit, qu’à cette époque, nombre de tueries étaient dissimulées en faits divers en Algérie du genre crimes crapuleux.
Cela ne vous rappelle rien ? C’est le même classement de ces faits d’agressions djihadistes sur notre sol ( estimées à 120/j) qui sont aussi qualifiées de faits divers.
Enfin, sur cet autre point que je cite aussi: « Dans la nuit du 31 Octobre au 1er Novembre 1954 plusieurs attentats étaient perpétrés en une trentaine de points du territoire Algérien ».
Nous convergeons vers ce scénario et suis étonné qu’il n’ait pas été encore d’application déjà en 2015.
Rappelez-vous l’hyper-casher, ce qui a précédé et la réaction désemparée de la police mais en puissance 30, 50 !
Je m’interroge si elles prennent enseignement du passé ( les zotorités ) pour anticiper des scenarii!
Je suis si heureux que Villiers l’ait ouverte que je lui pardonne cette formulation malheureuse. Il n’avait que 5ans le 1er Novembre 1954, il n’a donc pas vécu la chose comme toi Ami Régis.
Et même très heureux, oui, car je vois en ce personnage la seule personnalité politique capable, actuellement, d’incarner la Résistance française contre l’islamisme et de rassembler une majorité de français. Je ne vois personne d’autre et la situation va empirer très rapidement avec cette république des mignons et beaux parleurs …
Au secours Villiers ! Tu auras le soutien des militants du RN et certainement celui des LR et de tous les patriotes !
Allez, pour fêter notre prochaine libération :
https://www.youtube.com/watch?v=pblXDrbFikc
Hé oui, Ami Régis,
Nous étions fort jeunes lors de la tragédie de la Toussaint rouge, mais, je me souviens encore aujourd’hui de la brève annonce de ce que la radio d’alors appellera les «évènements» d’Algérie!
A l’époque, je voyais la main des Cosaques, ma famille n’étant pas précisément de gauche!
Nous voyons bien que nous avions raison!
Et maintenant, ce sont les mahométans!
Quelle tristesse!
Quelle déchéance de la classe politique!
Est-ce qu’on tirera notre dernière cartouche?
Bon courage,
Gérard
Terrible !
Dans 20 ans, peut-être vivrons-nous les mêmes choses. Mais en France…
Toutes les gendarmeries sont fermées la nuit , & même de bonne heure ( le samedi , dimanche aussi )
à la clôture extérieure , il y a 1 bouton d ‘appel qui atterrit dans 1 centre départemental … et là vous vous expliquez ….
Si vous êtes poursuivit par ….. vous aurez le temps d ‘être trucider
Bonjour,
Oui, la formulation de Villiers m’avait aussi choqué.
Merci pour ce rappel.
faut vraiment fermer nos frontières et les virer. qu’est ce qu’on attend. qu il y ait un norme bain de sang…
Nous pouvons ajouter ceci , combien de gendarmerie sont fermées la nuit ,je dirai verrouiller ? Combien ? Si mes souvenirs sont exact , dans notre enfance(génération 60) ils étaient 3 ou 4 gendarmes de permanence la nuit avec un planton qui était présent pendant que ses collègues patrouillaient ,ou été sur un accident ou autre ! donc l’histoire se répète mais cette fois ci c’est sur notre territoire , allez frapper à une gendarmerie ou appelez pour demander de l’aide , vous avez le temps de crever mille fois !
Il a perdu la vie pour sauver des gendarmes qui l ont tout bonnement abandonner ils n’ont pas changé