Sidney Touati : de la Biocratie, réflexions sur une épidémie de grippe… ou "du déclin du courage"

 Le dernier livre de Sidney Touati «  De la biocratie, Réflexions sur une épidémie de grippe » est une analyse fulgurante de la situation que nous traversons en ce moment. Écrit dans l’urgence, ce livre de 62 pages se dévore en une heure et est un véritable cri d’alarme qui cherche à réveiller nos consciences assoupies et troublées par les heures dramatiques que nous traversons tous en ce moment.

Si j’étais dictateur (hélas, ce n’est pas ma vocation), j’imposerais la lecture de ce livre à tous mes sujets. Ce livre comporte deux parties distinctes. La première rappelle les événements de l’histoire qui ont préparé le terrain à la situation actuelle et est indispensable à leur compréhension. La deuxième se concentre sur la situation actuelle. Une dictature s’installe chez nous sous le modèle chinois jusque dans le détail des mesures liberticides qui nous plombent chaque jour un peu plus. L’auteur souligne également l’ambiance délétère et dictatoriale qui nous est imposée au travers de la nouvelle religion climatique. Et gare aux climato sceptiques !

La nouvelle dictature qui remplace nos démocraties s’appelle biocratie.

Pour vous donner l’eau à la bouche, voici, pour finir, un extrait de cette analyse indispensable qui pointe avec justesse le déclin du courage :

«Alexandre Soljenitsyne a été chassé d’URSS, sa nationalité lui a été retirée. Il est en exil aux Etats-Unis dans le Vermont, lorsqu’il reçoit une invitation à venir s’exprimer devant la prestigieuse université de Harvard. Le 8 juin 1978, face à un auditoire impressionnant, le célèbre exilé, à la stupeur générale, consacre son exposé à la situation inquiétante de l’Occident démocratique.

Il impute la faiblesse générale des démocraties à une principale cause : le déclin du courage.

Il note l’extension continue du domaine de la lâcheté dans les sphères dirigeantes : « Ce déclin du courage est particulièrement sensible dans la couche dirigeante et dans la couche intellectuelle dominante. » (Le déclin du courage, p.23)

Vision prémonitoire. Nous avons pu constater à quel point le grand dissident posait un diagnostic exact lorsque nous avons été confrontés au phénomène de la conquête islamiste et des actes terroristes. Nous avons assisté au triste spectacle d’une classe dirigeante soumise aux diktats des fanatiques religieux musulmans. Nous l’avons vu se soumettre à l’islam mais également à la Chine et à l’Allemagne. Les classes dirigeantes ont participé au transfert ver la Chine et autres pays, de l’essentiel de notre potentiel industriel et principalement tout ce qui a trait à la santé, tout ce qui est vital pour nous.

Avec la grippe 2020, cette faiblesse des dirigeants s’est transformée en couardise. La peur est le moteur de la politique européenne et française. Cette peur devenue panique, conduit des populations entières à s’enfermer, à renoncer à tous ses droits, à oublier les règles morales les plus fondamentales. Sous l’emprise d’une propagande écrasante, les populations concernées en arrivent à la plus extrême des attitudes : les gens renoncent tout simplement à leur humanité. Ils abandonnent parents, amis, enfants dans le but dérisoire de sauver leur peau. Un tel niveau de lâcheté avait rarement été atteint par l’humanité. »

 

Réflexion de Gigobleu : Et si on revenait à la normale ?

 Si l’on revenait à la normale, que se passerait-il ? Rien. Des gens continueraient à vivre et d’autres à mourir. Il en est ainsi depuis que le monde est monde. Qui d’entre nous peut dire quelle sera sa fin ? Ou, comme dit Jésus dans l’Évangile : « Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? » Matthieu 6 : 27.

Que l’on soit croyant ou pas, il s’agit d’une réalité indiscutable, incontournable qu’il serait déraisonnable de vouloir remettre en question et pourtant, si notre monde tourne fou depuis l’épisode covid, lorsque l’on y réfléchi calmement, ceci est dû uniquement à l’inquiétude alimentée par la peur qui s’est saisie des esprits. Et cette peur n’épargne personne, ni les riches, ni les pauvres, ni les bien portants, ni les malades, ni les jeunes, ni les vieux, ni même ceux qui l’ont générée, nos responsables politiques.

Et ces derniers se retrouvent coincés. En effet, s’ils préconisent un retour à la normale, ils seront immédiatement taxés d’irresponsables criminels par la masse des gens que leurs mesures ont terrorisés et paupérisés. Et on les accablera des morts passés et des morts futurs. Ils risquent donc d’être jugés, condamnés, voire exécutés par la vindicte populaire. Avouons que leur situation n’est vraiment pas enviable ni facile à assumer. Et donc, jusqu’ici, ils choisissent la fuite en avant et promulguent, dans l’urgence, des lois plus coercitives les unes que les autres pour assurer leur sécurité. Et ces lois remplacent peu à peu la démocratie qui garantissait jusqu’ici l’équilibre des pouvoirs par une dictature infernale.

« Malheur à l’homme qui ne sent pas le fouet quand c’est le dos d’un autre qui est frappé ». Abraham Lincoln.

Pour se procurer l’ouvrage de Sidney Touati : https://www.amazon.fr/BIOCRATIE-R%C3%A9flexions-%C3%A9pid%C3%A9mie-grippe-ESSAIS-ebook/dp/B08C55QBPV

 573 total views,  2 views today

image_pdf

2 Commentaires

  1. INTOX a la télé ,
    la ville de Canes est saturée avec sept lits occupés ,population de Canes 73000 habitants soit un lit pour 10000habitants !
    Voila donc la deuxième vague, a se tordre de rire une personne sur 10000 contaminée!
    si ça ce n’est pas nous prendre pour des CONS!

  2. je reconnais a Maitre Sydney Touati, avocat discret et de talent ce sixième sens trés fin qui le caractérise
    un soir, nous dinâmes ensemble chez une dame, amie commune
    il « savait » il y a une quinzaine d’ années, il « savait » déjà…dans quels malheurs allait nous plonger les couardises accumulées des Chirac et les complicités ostentatoires de l’ autre canaille qui a si vite abandonné la Francisque pour la faucille et les marteaux qui l’ entouraient, nombreux…
    J aimerais tant que l’ ordure frippée dite Giscard ( sans le d’Estaing acheté fort cher) vive encore quelques année et comparaisse devant une haute cour de Justice militaire pour trahison mortelle avec son regroupement familial
    condamné a des travaux d’ utilité publique, du genre livraison de lait aux café de la capitale, tous les matins a « l’ heure du laitier »

Les commentaires sont fermés.