On n'apprend plus aux enfants à se protéger mais à être conciliant avec l'autre

Illustration : Tout est dit avec cette photo. Pour beaucoup de mahométans, rien à foutre de la France, en revanche la CAF, ah oui ça ! C’est leur deuxième mecque.

Tout se bouscule dans ma tête, tout ! Sans vouloir être défaitiste, ni nostalgique du passé, je me dis aujourd’hui beaucoup de choses évidentes ne tournent plus rond, sans vouloir être ni réactionnaire ni autre, le bon sens a été vendu aux quatre vents. Et pourtant, je n’ai jamais aimé les sempiternelles « c’était mieux avant », je n’y avais jamais cédé auparavant. Sauf qu’à présent, il y a des mais permanents qui m’amènent à réviser cette position, ce principe que je m’étais imposé jusqu’à il n’y a pas si longtemps.

Pourquoi suis-je prise dans un tel tourbillon de cogitation, dans une telle ambivalence ? Pourquoi ? Parce que je suis confrontée à des contradictions inexplicables, tous les jours, au point d’en être arrivée à y perdre mon latin et à me dire, le monde actuel défiguré, régressant de jour en jour n’est pas celui que j’attendais ni n’appelais de mes vœux, me faisant regretter amèrement les années passées. La France d’aujourd’hui est tellement à des années-lumière de celle que j’aime, que mon cœur d’esprit libre aimait par-dessus tout.

Auparavant, l’un des faits établis, un peu partout sur la planète, c’était on ne s’occupe, se préoccupe que de personnes le méritant, faisant des efforts pour avancer, ayant un minima de respect pour ceux qui les aideraient. On ne peut aider celui qui ne veut pas s’en sortir, ou tout du moins, ayant décidé que sa situation lui convenait telle qu’elle était, pour diverses raisons, soit par fainéantise, soit par l’adhésion à une idéologie lui imposant une résistance vindicative. Dès lors, n’importe quel quidam, un peu sensé, pourra comprendre que c’est illusoire, voire pire, suicidaire de vouloir aider, absolument aider, de telles personnes. Dans le meilleur des cas, c’est une perte d’énergie inestimable, et dans le cas délétère, c’est courir à sa perte que de vouloir ainsi aider celui qui n’a que haine et mépris pour vos valeurs et l’essence même de ce que vous êtes. Dis comme cela, ça a l’air vraiment fou comme situation. Et pourtant…

Le bon sens voudrait que les seules solutions à envisager avec de telles personnes, c’est de s’en désintéresser quand c’est le manque de volonté qui les fait agir ainsi, quant à ceux nourrissant détestation pour l’aidant, privation de la moindre aide, de la moindre empathie. Pas de pitié à accorder pour celui qui vous hait, vous veut même du mal. C’est une logique que même la psychologie consacre. Cette dernière appelle, d’ailleurs, cela des relations déséquilibrées malsaines à éviter à tout prix.

https://www.terrafemina.com/article/comment-creer-un-equilibre-dans-nos-relations_a345524/1

C’est dire que cela n’est pas qu’une vue de l’esprit, mais bien une réaction appropriée face à celui qui ne s’investit pas en réciprocité à ce que vous lui donnez. Ce n’est pas de la méchanceté, de l’inhumanité que de vouloir se protéger de cet autre toxique pour soi. Non, non, c’est une réaction saine, logique, absolument même nécessaire pour se préserver. D’ailleurs, les preuves de cette nécessité incontournable de se protéger face à de tels individus, ce sont toutes ces personnes qui n’ont pas été capables d’être dans le discernement en s’étant investies outre mesure et qui ont fini quasiment toujours par être dans un épuisement sans nom. Ça c’est le meilleur des scénarios car combien de personnes ont fini détruites par des relations déséquilibrées ayant pour seul moteur la haine, le mépris, la volonté sournoise de nuire. Combien ? Les cabinets psy pullulent de telles situations, sans parler de la consommation grandissante, parmi la population, d’antidépresseurs. Pourquoi ? Parce que l’on n’apprend plus aux enfants à se protéger soi avant tout, mais toujours à être toujours plus conciliant avec l’autre, toujours à être dans une forme d’empathie forcée, même si celle-ci est clairement délétère pour soi. C’est la dictature des bons sentiments, des sentiments béni oui oui. C’est la culture de tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Gare à celui qui s’en éloigne, gare à celui qui souhaitera pratiquer ce simple bon sens élémentaire. Gare ! Du pain béni pour les disciples de la religion de puanteur et d’horreur. Un boulevard offert pour profiter, terroriser le kouffar…

Est-ce que cette aberration ne se pratique qu’au niveau individuel dans notre monde hautement « bisournousé » ? Eh bien non, bêtise des bêtises, elle se pratique également à l’échelle nationale !!! NATIONALE. La France est championne, es-experte en dispositif en tout genre pour venir en aide à une faune d’individus nourrissant pour elle des sentiments pas des plus bienveillants. Mais peu importe, n’est-ce pas ? L’honneur est sauf, la reconnaissance de sa bonté d’âme vaut tous les sacrifices engagés.

La boucle est bouclée. Car qui fait vivre toutes ces politiques d’aide ? Eh bien, nos chers fonctionnaires, adeptes pour une bonne part d’entre eux, de la philosophie de tout le monde zil est beau, tout le monde il est zentil. J’en vois tellement autour de moi, dans le service public, de ces personnes qui se plient en quatre pour des saligauds qui n’ont aucun respect, aucune estime pour la France et sa population. Ils se mettent, dans tous leurs états, pour venir en aide à ces soi-disant pauvres hères, quand c’est tout le contraire qui devrait être fait. Mais bon ce n’est pas moi qui décide, malheureusement !

Je me dis tout le temps, sans méchanceté aucune, et pourquoi c’est toujours aux uns d’être soucieux des autres et nada, de l’autre côté. Pourquoi ?

Je vois et j’entends toujours, on a mis en place ce dispositif pour aider, pour permettre aux étrangers de s’insérer, de trouver leur place dans la société française. C’est comme s’ils essayaient et qu’ils n’y arrivaient pas, car rien n’était fait pour eux. C’est comme si la France, vilaine, raciste empêchait ces individus de s’intégrer dans la société. Alors, il faut inventer, mettre en place toujours plus d’actions pour pallier nos manquements à leur égard !!! Folie, douce folie !!!

Pourtant, j’ai envie de dire, j’ai rarement vu, de nos jours, les efforts de ces personnes pour s’en sortir. Ils attendent que tout leur tombe rôti dans le bec. Je ne les vois pas se démener pour apprendre le français par exemple, au contraire, ils s’arc-boutent pour beaucoup à leur langue, car ils ne veulent pas la perdre ou même la pensent supérieure. La seule chose que certains savent faire, c’est faire des mômes à tire larigot, ça rapporte bien dans notre France d’assistanat. Ils le disent eux-mêmes, pourquoi s’en priver, la France nourrit nos gosses. Pas la peine d’aller bosser, tout est pris en charge. Si j’avais le malheur de dire ces vérités à bien de mes collègues, je serais considérée comme la pire des pires.

J’ai souvent envie de leur dire, aux gens avec qui je travaille : « On ne transformera pas le crapaud en prince ». Le statuquo est là, bien là !

J’ai souvent envie aussi de leur demander, comment ils voient le concept de la réciprocité. Je ne sais pas ce qu’ils en pensent, vraiment, je me pose la question quand je les vois agir ainsi, même souvent en dépit du bon sens. Des gens qui les malmènent, leur parlent mal, se foutent ouvertement de leur gueule, et eux que font-ils en guise de réponse, encore plus d’empathie, d’abnégation. Soumission aux enfants de momo, allez hop, encore et toujours !!!

Pour ma part, l’un des principes que j’affectionne particulièrement, auquel j’adhère sans réserve, c’est celui de la réciprocité, celui des relations équilibrées, c’est à dire respect et considération mutuels malgré les divergences, sinon pas question d’accorder la moindre empathie, la moindre pitié. RIEN, QUE DAL, NADA !!!

Cette conviction me vient de ma grand-mère qui m’avait toujours appris qu’il fallait considérer l’autre autant qu’il vous considérait. Ni plus ni moins ! Elle me disait toujours : « si tu n’agis pas de la sorte, tu seras condamnée à être le bourricot sur lequel tout le monde ira monter. Il ne faudra t’en prendre qu’à toi même et pas la peine de maudire l’autre, c’est toi qu’il te faudra maudire !!! ». Du bon sens à l’état pur, rien de bien compliqué, n’est-ce pas ?

Cette volonté absolue d’apporter son aide à des zigs, clairement réfractaire à la France, a des coûts terribles multiples, d’abord humain, financier, le fameux pognon de dingue du sieur macron (pas de majuscule pour un homme aussi petit), puis civilisationnel, ce qui n’est pas rien !!! Et avec tout ça, on continue comme si de rien n’était. Bravo !

Et voilà, au moment de conclure cet article, je ne me doutais pas de ce qui se passait en terre de Gaule. Encore un de ceux que la France nourrit jusqu’à plus soif, sévissait contre elle-même, contre ses fondements. Un barbare attiré par le pain français commettait des actes meurtriers, infâmes, lâches. Ce salaud, voulant se délecter, toute honte bue, des bienfaits de notre chère France, assassinait des pauvres gens dont les seuls torts étaient d’être Français, chrétiens.

Ma colère dépasse le supportable. Jusqu’à quand, allons-nous tenir ainsi face à la folie, la bêtise, la connerie instituées par les gouvernants, ah ah ah, de notre République de France, avec bien sûr l’aval de nos chers concitoyens dhimmisés jusqu’au trognon. Quand bon sang ?!?! Quand est-ce que l’on va enfin comprendre ce qui est en train de se jouer, de se tramer ?! Quand est-ce que l’on va nommer les choses sans détour et agir en conséquence ?! QUAND ?!?!

Pas de quartier pour l’islam et son terrorisme institutionnel. PAS DE QUARTIER !!!

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12 Commentaires

  1. Mais c’est dans tous les domaines : on ne peut pas tuer les loups qui massacrent nos moutons, on ne doit même plus tuer les moustiques ! les insecticides sont remplacés par des répulsifs : des huiles essentielles et des ultra sons non pas pour tuer les moustiques mais pour les éloigner… alors que dans les lois de la nature, chaque être vivant se bat pour défendre son habitat, même l’herbe, si on ne la coupe pas envahit tout, tout de site…

  2. Bien le bonjour, d’Alfred. dit :
    30 octobre 2020 à 9 h 30 min
    Votre commentaire m’honore, me comparer à une grande femme comme Jeanne d’Arc.
    Je suis entièrement d’accord avec vos propos, j’y adhère complètement.
    Merci de votre amitié, elle me va droit au cœur.
    En retour, je vous adresse, avec plaisir, la mienne.

  3. Tous ceux qui ont l’expérience de l’Afrique et du Maghreb le savent, il est inutile, voir impossible d’éduquer ces gens même s’ils sont nés en France car leurs parents les formatent de la même manière que dans leurs pays d’origine. Quand ils ont l’âge de se rendre à l’école, ils sont déjà irrécupérables et en contradiction avec notre société. Tout le travail des éducateurs et des enseignants sera systématiquement détruit par les parents et le milieu indigène dans lequel ils évoluent.

  4. Dans une interview de 1984, Robert Conrad raconte comment il a commencé à boxer. Sa mère avait seize ans lorsqu’elle a donné naissance à Robert. Donc, dans l’histoire qu’il raconte, sa mère devait avoir environ vingt-trois ans. Dans plusieurs interviews il a exprimé son amour, son admiration et sa gratitude envers sa mère.
    https://www.youtube.com/watch?v=nNLXEaj-j_c
    [2:35 ]
    Frank Gifford – Parmi les nombreuses choses que Robert Conrad a faites dans sa vie, il a été boxeur pendant de nombreuses années. Il a perdu deux deux combats dans le ring. Je ne sais pas pour les combats que vous avez perdu hors du ring.
    Robefrt Conrad – (Rire) J’en ai perdu deux et j’ai fait un match nul. La première fois que j’ai vraiment boxé, j’avais neuf ans. L’adversaire était jeune comme moi et c’était un match nul. Et après ça je n’ai pas perdu pendant quatre ans. Mais je suis allé dans une école où la boxe était obligatoire, alors je l’ai fait que ça me plaise ou non.
    J’avais une mère qui était … J’ai été élevée par ma mère et ma grand-mère … grands-parents. Ma mère pensait que je serais efféminé ou lâche parce que il n’y avait pas d’homme à la maison.
    La première fois que je suis rentré à la maison en pleurant parce qu’un garçon m’avait poussé, ma mère a dit: « Peux-tu pousser? » et j’ai dit « Ouais » et elle a dit « Alors pousse-le aussi. »
    Alors je l’ai repoussé et il m’a frappé. Je suis rentré chez moi et j’ai dit « Maman il m’a frappé ». Alors elle a appelé mon oncle. (Rire) Et c’est comme ça que tout a commencé.
    [3:37]

  5. Samia. Quel paradoxe ! Bonifiée par sa rage ! Sans en perdre un rai de lucidité. Bon. Pour Jeanne d’Arc, c’est rappé, vu que tu es athée ! Mais dans les rangs, pas encore assez serrés j’en conviens de Résistance Républicaine, nous avons besoin d’icônes. Même la laïcité est une forme de religion.
    Si Samia n’existait pas il faudrait la concevoir !😊

  6. Bravo Samia; toujours aussi logique et talentueuse ! Arrivé à la fin de votre brillante thèse où vous vous appuyez sur la psychologie d’une part et le bon sens commun que vous a insufflé votre grand-mère; je vous ai comparé en mon fort intérieur à Jeanne d’Arc. Jeanne d’Arc qui dut  » batailler, bousculer » la royauté de France pour que celle-ci reprenne la lutte contre l’envahisseur anglais.
    J’ai retrouvé dans votre brillantissime démonstration, vos pertinentes critiques, votre réalisme et votre indignation méprisante envers ces dhimmis qui servent la soupe à ceux qui nous haïssent et nous présurent par l’intermédiaire des Caisses Sociales pour subvenir à l’inflation de leur future armée islamique endogène qui asservira tous les Français de cœur…, l’image d’une Jeanne d’Arc contemporaine !
    Je ne crains de vous déclarer ici; Samia que je vous affectionne comme Gilles de Rey affectionnait Jeanne . Merci d’être Samia.
    Pour ma part, je suis convaincu que vous acquiescerez les paroles de Pascal qui professait en luttant contre un terrible cancer que celui qui veut faire l’ange n’arrive qu’à faire la bête ; tandis que le sage au bord de l’Indus expliquait qu’il faut tendre une perche à l’homme qui se noie mais ne pas manquer de la lâcher si le secouru qui s’en saisit la tire vers lui pour vous faire chuter dans le fleuve.
    Bien cordialement vôtre ; très chère Samia !

  7. Déjà qu’il suffisait de lire n’importe quel journal pour se rendre compte de l’utilité de les envoyer à l’école.

  8. A qui faut-il s’adresser pour se faire rembourser les frais de fleurs, nounours et bougies?
    Notre trouduc préférant les vacances à la piscine.

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