Nous avons réussi à nous procurer un rapport totalement confidentiel et explosif du Haut Comité scientifique.
Malgré le risque pénal, nous avons choisi de le publier, car les Français ont le droit de savoir.
Et Résistance Républicaine n’en n’est plus à un procès près
La lecture est un peu ardue, mais les conclusions terrifiantes pour notre avenir en méritent l’effort.
DERNIÈRES DÉCOUVERTES SUR LE SRAS COVID-19
Introduction :
Nous pensons avoir désormais une meilleure connaissance de la biologie du virus, notamment du substrat qui lui permet de lui proliférer et de son mode de dissémination.
En effet, la tâche a été rendue assez ardue, car la littérature nous enseigne que la culture in vitro du coronavirus est des plus délicates, voire quasiment impossible. De nombreuses études depuis des décennies montrent sans ambiguïté que les substrats traditionnels donnent des résultats très décevants (Milieux peptone-caséine-polysorbate, Bouillon cœur-cervelle), à l’exception du milieu œuf embryonné dont les résultats ne sont toutefois pas suffisamment exploitables.
Dès le début des années 80, les chercheurs se sont donc tournés des substrats innovants . ( R. l’Haridon, R. Scherrer, J.F. Vautherot, C. La Bonnardière, J. Laporte, et al.. ADAPTATION D’UN ISOLEMENT DE CORONAVIRUS ENTÉRIQUE BOVIN A LA CULTURE CELLULAIRE ET CARACTÉRISATION DE LA SOUCHE OBTENUE. Annales de Recherches Vétérinaires, INRA Editions, 1981)
Notre équipe de recherche vient de faire une percée majeure en trouvant un milieu de culture idéal.
Il nous a semblé en effet logique de tester les divers mucus émis par le corps humain, puisque le milieu de prédilection du Covid est la sphère ORL particulièrement riche en ces mucoprotéines.
Nous verrons en conclusion quelles sont les conclusions très inattendues auxquelles nous sommes parvenus par sérendipité, bouleversant totalement notre conception de l’épidémiologie de cette pandémie.
1- Mucus nasal
On estime que la production normale de mucus nasal est d’un à deux litres par jour chez l’homme. ( L. Coffinet, C. Bodino, L.Brugel-Ribere, B.Mari, Y.Grignon, A.Coste, R.Jankowski, « Explorations physiques et fonctionnelles des fosses nasales », EMC – Oto-rhinolaryngologie, vol. 1, no 1, 2004, p. 14 )
Le rôle du mucus nasal est essentiel dans la protection contre les agressions bactériennes et virales. Il n’est pas inutile de rappeler d’abord que :
– les propriétés rhéologiques de ces mucopolysaccharides leur permettent de « piéger » les agresseurs présents dans l’air inspiré,
– la présence de nombreuses substances antibiotiques (IgA, lysozyme, défensines) détruit une grande partie des agresseurs in situ.(Travis SM, Conway BA, Zabner J, Smith JJ, Anderson NN, Singh PK, Greenberg EP, Welsh MJ. « Activity of abundant antimicrobials of the human airway » Am J Respir Cell Mol Biol. 1999 May;20 )
– qu’ensuite ce mucus entraîne avec lui poussière et microbes vers la gorge grâce aux cils vibratiles. Avalé, ce mucus et les micro-organismes éventuellement survivants sont détruits par les sucs gastriques dans l’estomac. (Florey HW, « The secretion and function of intestinal mucus » Gastroenterology. 1962 Sep;43:326–329)
À l’issue de recherches dont les détails du protocole sont annexés en 1, nous pouvons affirmer de façon synthétique que :
– Le mucus nasal est une milieu de propagation idéal pour le virus sur lequel les substances antibiotiques précités n’ont que peu d’effet. À ce stade nous soupçonnons une séquence du génome du Covid-19 joue un rôle majeur en produisant une enzyme très efficace dans la neutralisation de ces substances antibiotiques. Cette piste est une percée majeure permettant d’envisager un traitement assez simple à mettre en œuvre. Un inhibiteur de cette enzyme en cours d’identification, permettrait d’en neutraliser l’effet par simple inhalation. La destruction du virus serait alors de nouveau possible, puisqu’il ne serait plus protégé contre les défensines celles-ci étant de nouveau actives. Selon nos meilleures estimations, un traitement devrait pouvoir être testé sous cinq semaines.
– Le virus est présent dans l’air expiré, non seulement piégé dans des microgouttelettes, phénomène classique et bien décrit, mais majoritairement sous forme d’aérosol. Le virus passe ainsi à travers le masque, ce que nous savions certes depuis longtemps, mais le mécanisme est désormais élucidé.
Quant à la raison de ce comportement très atypique en virologie, nous soupçonnons que la capside (la coque virale) est anormalement hydrophobe. Ainsi, le virus ne serait pas piégé dans les gouttelettes.
Les résultats préliminaires privilégieraient la piste d’une présence inhabituellement élevée en phospholipides.
2- Mucus intestinal:
Moins connu, celui-ci est produit par des cellules caliciformes logées dans l’épithélium de la paroi intestinale.
Son rôle est multiple :(Turner, « Intestinal mucosal barrier function in health and disease. », Nat Rev Immunol, vol. 9, novembre 2009, p. 799–809 (PMID 19855405,DOI)
– Il agit comme barrière entre les substances toxiques du tractus intestinal et les cellules sous-jacentes,
– Il est un inhibiteur d’adhésion,
– Il participe activement à la lubrification permettant à la matière fécale de circuler aisément.
Nous pensons avoir réalisé des découvertes primordiales de nature très inquiétantes lors de nos études.
Pour résumer :
– Ce mucus n’a aucune propriété antiseptique, à la différence du mucus nasal. C’est bien compréhensible dans la mesure où toute propriété antiseptique pourrait entraver le développement de l’indispensable flore intestinale
– Certainement pour cette raison, la concentration en Covid-19 est trois cent-mille fois supérieure à celle du mucus nasal.
Si nous en venons à la dissémination potentielle, les conclusions sont encore plus alarmantes :
– Le volume de flatulences quotidiennement émises par un être humain est compris ordinairement entre 0,5 et 2,0 litres, en 12 à 25 occasions .(« Gas in the Digestive Tract » [archive], National Digestive Diseases Information Clearinghouse, US National Institute of Health)
– Pour une raison encore totalement inexpliquée, la concentration en virus sous forme d’aérosol y est PLUS DE 10.000 FOIS supérieure à celle de l’air expiré.
– Par conséquent, si l’on rapporte la dissémination entre les flatulences et l’air expiré aux débits respectifs de chacun d’entre eux, la contamination liée aux flatulences est cent fois supérieure à celle de l’air expiré, en l’absence de toute protection.
Si l’on considère que l’usage du masque réduit quand même un peu la dissémination du virus, la situation serait alors encore pire, car les études préliminaires démontrent sans l’ombre d’un doute qu’un slip, même très serré, n’oppose aucune barrière au passage du Covid-19 (sauf en cas de pet foireux ; ceci n’étant pas sans importance et nous y reviendrons).
Cette découverte totalement inattendue nous permet de comprendre pourquoi tous les résultats des études épidémiologiques menées jusqu’à présent étaient incompréhensibles. En nous focalisant sur la dissémination par l’air expiré, nous prenions littéralement le problème par le mauvais bout.
Il est prématuré de faire des recommandations précises à ce stade. Nous ne pouvons que suggérer quelques pistes :
– Rendre obligatoire le port des couches-culottes.
Nous menons en priorité des tests pour en mesurer l’efficacité, et les premiers résultats sont des plus encourageants. Il est à noter toutefois que la pénurie de couches-culottes si cette mesure devait être retenue serait infiniment pire que celle que nous avons vécue pour les masques. Nous ne saurions trop conseiller que l’État rachète à l’étranger le plus possible d’usines de couches dans le plus grand secret, avant toute fuite.
– Obliger les Français à prendre des laxatifs à haute dose.
Nous préconisons deux sachets de Transipeg à jeun le matin.
Ceci les inciterait à contenir leurs flatulences. S’ils étaient dans l’incapacité de le faire, le virus serait toutefois piégé dans la phase liquide du pet foireux, et immanquablement bloqué par la couche de superabsorbant.
– À titre préventif, prohiber toute production, importation et consommation de flageolets avec destruction immédiate des stocks existants et des produits dérivés (type Cassoulet).
Bien évidemment, nous sommes pleinement conscients du caractère très impopulaire qu’auraient ces mesures, mais la décision politique ne nous appartient pas.
Nous sommes tout aussi conscients des difficultés de mise en œuvre.
Même si nous pouvons sembler outrepasser nos prérogatives, nous suggérons qu’un soutien pourrait être recherché du côté des écologistes. En effet, la réduction des émissions de gaz à effet de serre liée à celles des flatulences (majoritairement composées de dioxyde de carbone et de méthane) est un argument de poids à exploiter dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique au nom duquel on peut faire gober tout et n’importe quoi.
Le rôle du Haut Comité n’est que d’émettre un avis scientifique et, toute modestie mise à part, nous pensons l’avoir pleinement rempli avec ces découvertes capitales qui placent indiscutablement notre pays à l’avant-garde de la lutte conte le Covid 19.
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c’est une parodie tout à fait réaliste. On voit bien les « études » que peuvent faire ce « conseil scientifique » – pardon Haut Comité – et ses conclusions.
Je comprends qu’on prohibe les flageolets, les gaz émis sont éminemment délétères, en particulier pour les porteuses de burka.
D’ailleurs, elles ne mangent pas de cassoulet pour les mêmes raisons, le haricot tarbais présente les mêmes dangers que le flageolet.
J’ajoute que le méthane produit est un gaz à effet de serre mis à l’index par l’église réchauffiste mondiale. C’est dire si c’est scientifique !
Merci pour cet article ! Sans oublier les commentaires !
Avec mon mari avons bien ri, cela nous a fait beaucoup de bien !
Bonjour @Laurent P ;
-« Cet article est clairement un poisson d’avril égaré dans son calendrier… »-
C’est exactement çà ; c’est ce que j’ai pensé en le lisant et il est tellement bien écrit qu’il m’a rappelé le super esturgeon que @Madame Tasin avait si finement et richement préparé pour nous ce dernier 1er avril 2020. Même 7 étoiles l’un comme l’autre ! ☺
Bien sûr c’est de l’humour, mais je gage que si ce rapport était réel Macron s’empresserait de nous mettre en place un « couvre chiot » avec interdiction de chier plus de deux fois par semaine sous peine d’une amende de 135 euros ainsi que le port obligatoire de la couche barrière, ce qui ravirait certains écolo-pastèques qui veulent empêcher les gens de péter et de chier pour limiter les émissions de CO2
Je vais être obligé de m ‘équiper d ‘1 pot catalytique ……
de plus depuis mi Aout , c’est la saison des cocos de Paimpol et voilà aussi que les choux de Bruxelles sont arrivés heureusement la saison des figues est finit
Cela restera dans les anales !
Ahhh…. merde 😊
Effectivement c’est du niveau de ce gouvernement.
Il faut impérativement vérifier si les gens ont le cul propre et verbaliser les personnes qui pètent.
Une brigade doit être vite créée en ce sens avec des chiens renifleurs.
Interdiction de péter à plus de 6 surtout après 21 h !
Conclusion de l’article: le COVID 19 on en a rien à péter!
Que de lucidité, disons que se virus nous fait presque chier 🤣
Encore un truc bidon et anxiogène. L’immunité reside un grande partie dans le microbiome intestinal. On sait tous que les virus utilisent le fèces (caca) pendant les contagions. Priorité à l’hygiène des mains.
Contagiosité par les pets : mdr, le virus est partout.
vous n’avez pas compris que c’est de l’humour ?
Cet article est clairement un poisson d’avril égaré dans son calendrier…
Bien vu, Laurent…