L’histoire de notre planète révèle que celle-ci a connu de grands chambardements bien avant que l’Homo sapiens ne pointe le bout de son nez.
En aucun cas l’origine anthropique ne peut donc être invoquée, n’en déplaise au GIEC malgré ses élucubrations pseudo-scientifiques.
Sans donner dans la pédanterie, il est utile de rappeler que cinq extinctions de masse ont eu lieu dans l’histoire géologique.
Les extinctions massives sont déterminées par les scientifiques selon des critères très précis : disparition d’au moins 75% des espèces animales et végétales sur une brève période.
On recense donc cinq extinctions massives, la première ayant eu lieu à l’ère primaire (voici 445 millions d’années à la fin de l’Ordovicien) et la plus récente à la fin de l’ère secondaire (voici 66 millions d’années). Quant à la plus violente, il y a 225 millions d’années, elle a éradiqué 96% des espèces connues. Un vrai pogrom !
Outre ces extinctions massives, les géologues ont identifié plus d’une vingtaine d’extinctions de moindre ampleur.
On serait à l’aube d’un nouvel épisode cataclysmique. Et alors ?
La belle affaire ! Il serait temps que notre vieille Gaïa sorte de sa torpeur, non ?
Si l’on s’intéresse aux causes, on s’aperçoit que trois d’entre elles expliquent ces cataclysmes :
– Pressions de prédation
– Terrestres (épisodes de volcanisme intense)
– Extra-terrestres : (rayonnement cosmique, cycles de Milanković, impact météoritique).
Quant aux conséquences, elles sont extrêmement intéressantes. La paléontologie nous apprend qu’après une période d’extinction massive, la libération des niches écologiques entraîne systématiquement une véritable explosion de nouvelles espèces.
Si l’extinction à le fin du Crétacé n’avait eu lieu, les Dinosaures n’auraient pas disparu et les Mammifères ne se seraient pas développés. Homo sapiens ne serait pas là, et les écologistes non plus…
Le bilan de l’extinction de masse est donc « globalement positif », même s’il a eu pour fâcheuse conséquence de voir naître l’Homo ecologicus.
Alors à tous les prophètes de malheur j’ai envie de dire :
– Prouvez-moi que le réchauffement climatique est réellement dû au taux de CO2.(1)
Toute l’évidence va dans un sens inverse. On notera que les articles scientifiques traitant du Carbonifère (mot qui devrait être honni car il contient du carbone…) nous informent qu’ :
« Après le refroidissement amorcé durant le Dévonien, la température reste tiède, malgré un taux de CO2 estimé à 0,9 % (Soit PLUS DE 22 FOIS le taux actuel pourtant brandi comme la menace absolue) et stable durant la première partie du Carbonifère, pendant la seconde partie du Carbonifère le climat se refroidit à nouveau (Sans même qu’il n’y ait eu personne pour pondre une taxe carbone!). »
Alors si de toute évidence le taux de CO2 n’y est pour rien, la « décarbonation » n’est-elle pas tout simplement une fable destinée à un gouvernement par la peur ? Chers écologistes, vous êtes les idiots utiles de forces cyniques qui vous manipulent en vous expédiant sur une fausse piste. Vous pouvez au choix continuer à courir vers ce chiffon rouge ou commencer à réfléchir. Je crains de connaître hélas quel élément de l’alternative vous choisirez.
Pour autant, je ne donne pas blanc-seing à l’insensé pillage des ressources de notre planète ni à la démographie galopante qui la ravage. Mais les solutions sont bien ailleurs que dans l’aberrante taxation des émissions de carbone.
– Quand bien même ce réchauffement serait avéré, où est le problème ?…
… puisque l’explosion de la vie suite à un épisode d’extinction est une formidable renaissance.
Votre but est-il de figer l’évolution de la Planète, de vous y opposer dans un combat sans objet car perdu d’avance ?
J’ai bien conscience que je vais être crucifié pour « négationnisme d’écocide », (si j’utilise la novlangue en vigueur).
Mais je m’en fiche totalement, car les faits sont là.
(1) Pour battre en brèche cette théorie fumeuse, les arguments ne manquent pas. Allez-donc visiter le site https://www.climato-realistes.fr/ qui, vous le verrez, n’est pas alimenté par des ignares conspirationnistes.
Voir aussi les articles des Climato-réalistes de Résistance républicaine, comme ceux de Coriolis, scientifique.
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Il n’y a pas besoin d’être savant, pour comprendre que le monde qu’on n’a connus va disparaitre , la fin de nombreuses espèces animales est déjà en cours depuis de nombreuses années , quant aux humains ils suivront inévitablement , juste sanction , pour ceux ci plus préoccupés de leurs loisirs ,richesses que de avenir de ce monde , ce qui me réjoui le plus, au jugement dernier nous seront tous égos riches , pauvres, noirs ,blancs, jaunes , le trépas ne m’inquiète pas , j’ai vécu sur terre enfer où à régné , la famine, la maladie , les guerres , dont certaines au nom d’un faux dieu , en 50 ans je n’ai eu du mépris pour les humains , mon bien aimé Père Lucifer me le rendra a mon trépas.
Il est certain que la terre, elle ne risque rien !
Pour ce qui est des espèces, c’est autre chose !
Autant il est vrai que chaque extinction a permis une explosion de nouvelles espèces, autant il est vrai que nous devrions protéger notre espèce…
J’ai l’habitude de de dire que « homo » a 10 millions d’années (depuis Rudapithèque), que les dinosaures en ont eu 150 millions, et au rythme où l’on va, la lignée « homo » aura disparu avant !
Quant aux histoires de carbonifère, quel était le contexte en particulier solaire ?
Depuis les années 70, bien avant les scientifiques qu’ils fussent du GIEC ou non, faisant de la montagne, chaque année j’observais la diminution des glaciers et des névés… Le réchauffement climatique est un fait ! Il a bien commencé avant les années 70… J’ai eu accès à deux photos de la mer de glace, prises du même endroit, une de 1947 et l’autre de 1960, c’était déjà patent !
Le problème sociétal que nous avons, c’est l’idéologie écolo-dingo… Les solutions les plus absurdes comme la fermeture des centrales nucléaires, la mise en place d’éoliennes gigantesques nécessitant pour les ancrer 1500 tonnes de béton qui resteront après la fin des machines (socles peut-être à réutiliser, mais de façon plus modeste, non destructrice d’oiseaux ni produisant des sons désagréables pour l’habitat, et encore avec quelques autres conditions…).
Ben oui nous sommes tellement dans le réchauffement climatique que les piques de chaleurs que nous subissons depuis plusieurs étés que ces gougnafiers d’oiseaux de malheurs ne savent même pas qu’en 1932 Du 17 au 20 août : il fait au contraire extrêmement chaud – on enregistre jusqu’à 41°5 à St Raphaël, 38° au Mans, Chartres, Rennes et Angers, et 37° au Havre.
en 1933 26 et 27 juillet : c’est la canicule dans l’ouest – les 40° sont dépassés à Poitiers.
Du 5 au 14 août : c’est de nouveau la canicule, au nord comme au sud (38° à La Rochelle et 39° à Montpellier).Dans toutes les grandes villes, tous les moyens sont bons pour se rafraîchir.
Alors arrêtez de croire tout ce que disent ces soi-disant climatologue et autres escrolos de mes deux !
https://www.meteo-paris.com/chronique/annee/1933
Quand on regarde qu’il y a des chutes de neiges sur les massifs montagneux à moyennes et hautes altitudes depuis 3semaines , j’aurai tendance à penser à un refroidissement de l’hémisphère nord , d’ailleurs les usa et le Canada ne subissent ils pas des hivers de plus en plus rigoureux et neigeux , et après tous ces escrolos du climat nous parle de réchauffement climatique , arrêtez de gober toutes les bouffonneries de ces charlatans soi-disant climatologue !
Cher staycat!
Je vous sens un peu fâché et j’en suis navré.
L’omission de la pollution dans ma phrase est regrettable, certes, mais elle est implicite car ce n’est que le corollaire de l’insensé gaspillage de ressources.
Je vous rejoins totalement sur votre phrase de conclusion.
Bien cordialement,
Raoul
Cher ami antiislam! (dont le nom m’est fort agréable).
Comme vous je suis attristé par la disparition des insectes.
C’est avec nostalgie que je me souviens de mes promenades nocturnes d’enfant émerveillé par les Lampyris noctiluca. (Vous, vous comprendrez, les autres iront chercher sur le net pour leur peine).
L’objet de mon article n’était pas d’absoudre les pollueurs responsables de cet état de fait, mais juste de démolir le mythe du rôle du rôle du C02 dans le réchauffement.
« je ne donne pas blanc-seing à l’insensé pillage des ressources de notre planète ni à la démographie galopante qui la ravage » la seule phrase qui aurait un sens s’il ne manquait le mot pollution. J’ai vu les insectes disparaitre en 50 ans (je pourrais développer), quel rapport avec la disparition des dinosaures ! Entre la gauche incapable de prendre à bras le corps le problème de l’immigration (qui est un non-sens d’un point de vue écolo ancienne-école) et de l’échec de l’assimilation et la droite néo-libérale aveugle (par essence) à l’évidente question écologique, on en est là, et mal, très mal. La gauche a abandonnée le peuple et l’idée de nation à l’extrême droite et l’extrême droite a laissé le terrain de l’écologie à la gauche, bravo, que des visionnaires !
Bonjour,
Je suis entomologiste amateur et cette disparition des insectes m’attriste beaucoup …
Bravo pour cet article M.Girodet qui rappelle la vie propre de notre terre. Elle a ses rythmes, ses périodes de réchauffement, de glaciation, et il y a longtemps, comme vous le souligné bien avant l’apparition de l’homme. Les multiples épisodes d’extinctions ont toujours conduit à une renaissance de la vie. Cette vie propre à la terre qui souffle le chaud et le froid ne pourra pas être régulé par l’homme actuel, dépassé par cette nature qui évolue constamment. Nous disparaîtrons un jour ou l’autre. Il faut en être conscient quoique l’on fasse.