Eloge de l'érection du majeur lors d'une course à pied… à l'attention d'un gaucho immigrationniste

Eloge du doigt : éloge de l’érection du majeur

Allez, j’y vais :-je vais raconter ma petite histoire qui ne casse pas trois pattes à un canard mais qui montre bien l’état d’esprit du vieux con que je suis devenu.

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Il y a déjà longtemps j’étais un « jeune con » qui avait voté pour tonton Mitterrand en 1981.Alors que je m’enthousiasmais  devant la télévision en voyant les résultats de l’élection présidentielle de mai 1981 ma mère avait douché mon euphorie.

Attends de voir ! Il ne fera aucun miracle…
Du haut de sa grandeur, celui qui se prenait pour un grand homme, a, peu de temps après son arrivée au pouvoir, « régularisé 500 000 clandestins créant ainsi un immense appel d’air à une invasion qui n’a pas cessé depuis…
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Bref j’en arrive à ma petite histoire, à mon petit vécu qui s’est déroulé dimanche 11 octobre.

Il se trouve que je pratique une discipline très simple et aussi vieille que les débuts de l’humanité : la course à pied(de fond). En effet, étant français, il se trouve que je parle français (même si j’aime bien l’anglais) donc je ne fais pas du « running » mais tout simplement je cours et, en dépit de mon grand âge, je fais encore des compétitions sur route . Je fais partie de ces vieux infernaux qui ne se calment pas…

J’étais tout heureux dimanche de participer à un 10 km sur route organisé par une petite ville de la région parisienne.

La veille j’ai même téléphoné à l’organisateur pour bien m’assurer que la compétition était maintenue compte tenu de la dictature sanitaire qui sévit…

Donc, tout frémissant du plaisir, tel un « cadet », de pouvoir enfin courir en compétition  j’étais sur la ligne de départ avec mon masque que j’ai vite retiré et je suis parti, parmi environ 200 participants, joyeux mais concentré pour éviter la chute dans l’effervescence des premiers hectomètres.
Tout allait bien et, selon mon habitude, je rattrapai tout un tas de coureurs partis trop vite.
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A un moment j’étais derrière un type portant une espèce de tee-shirt fort voyant (orange) et j’ai  eu le temps de lire sur le dos de ce tee-shirt : « Régularisation de tous les sans-papiers et un logement pour toutes et tous ».

(« toutes et tous »  c’est la nouvelle phraséologie des abrutis de » bobo » avec le fameux macronien : « celles et ceux », ces expressions lourdes me donnent des envies meurtrières et plus encore l’écriture inclusive sur laquelle je chie…)

Comme je suis un vieux con, ça m’a fortement énervé qu’un énergumène profite d’une manifestation sportive pour afficher ses… opinions politiques.

Je lui reconnais le droit de penser ce qu’il veut même si je ne suis pas d’accord avec lui. Mais je ne lui reconnais pas le droit de faire du prosélytisme dans le cadre d’une compétition ou alors il aurait fallu que je coure avec un maillot au dos duquel mon immense amour pour la secte soit clairement notifié « Fuck is… » (mais… je me serais fait étriper) et aussi avec la mention « stop à l’immigration et renvoi des clandestins et des MNA ».
Donc je suis arrivé à la hauteur du type et savez-vous ce que j’ai fait ?
Je lui ai tendu devant le visage mon majeur, un bon doigt d’honneur !
Fortement énervé j’ai accéléré la cadence tout en me disant : « s’il me rattrape et me bouscule je lui fous mon poing dans la gueule ». J’entendais le type vociférer et me demander des comptes.

Je l’ai « lâché » dans une montée et  dans le jargon de la course ça veut dire qu’il s’est fait distancer par le vieux coureur que je suis.

Il est vrai que ce jeune homme, portant toute la misère du monde sur ses épaules, ne pouvait donc pas courir très vite…

Tout en courant, énervé et le corps inondé d’adrénaline, je me disais : «  si je le revois à l’arrivée je lui dirai qu’il n’a pas à prendre les autres coureurs en otage en affichant ses convictions qui m’agacent au plus haut point ! »
Je ne l’ai pas revu ; piètre coureur, il a disparu dans les profondeurs du classement.

Quant à moi j’ai livré une bonne bataille, tout au long de la course, j’ai couru la 2ème portion de 5 km plus rapidement que la première et je n’hésite pas à un peu de vantardise, dans ma catégorie celle des « masters 5», je me suis classé 2ème.

La conclusion de tout cela :
 

Ne nous laissons pas faire :

Les gauchistes illuminés (pléonasme…) n’ont pas à nous imposer leurs délires humanitaristes !

         Δρομέας     Droméas,  12 /10 /20

La statue Dromeas « le coureur » du sculpteur, Costas Varotsos, à Athènes. Il s’agit d’une sculpture faite de plaques de verre empilées, l’instantanée d’un coureur qui démontre sa force et son mouvement. Initialement, en 1988, la sculpture était installée à la place Omonia, et déplacée à son nouvel endroit en 1994. L’œuvre, pendant sa première installation, avait suscité beaucoup de réactions à cause de la matière utilisée et son esthétique singulière.

https://grecehebdo.gr/index.php/loisirs/flâneries/1888-les-statues-d’athènes-un-musée-à-ciel-ouvert

Faisons un doigt, un bon gros doigt, à leurs idées qui détruisent la France !

 

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7 Commentaires

  1. Lors de l’élection de Mai 81, j’étais en famille à côté d’Oran en Algérie sur le projet GNL 2 à Bétioua.
    Nous étions réunis chez des amis et le résultat est tombé……….. Mitterrand élu……. Mon collègue et ami a pleuré !!!
    Mitterrand, le marchand de vinaigre qui fricottait avec les nazis, élu président de la France. Sans être devins, nous avons tout de suite vu la catastrophe qui allait nous tomber dessus.
    Cette ordure a savonné la planche des 50 années suivantes et les suivants se sont amusés comme des gamins à glisser sur cette planche sans se soucier du lendemain.
    On voit aujourd’hui le résultat des trahisons successives. Mohamerde Macron n’est que la cerise sur le gâteau.
    « Mitteux », c’était un maitre en hypocrisie, en dédain, en entourloupes. Combien de ses proches et amis a t il fait  » suicider  » .Un Machiavel des temps modernes. Et une grande partie du peuple
     » de gauche » ………. l’idolâtre encore aujourd’hui, sans avoir lu ne serait ce qu’une seule ligne de la biographie de cette ordure !

  2. Ces types sont imbuvables, ces Aymeric Caron, ces donneurs de leçons, des grenouilles de bénitier nouveau genre, parce que c’est ce qu’ils sont, des grenouilles de bénitier.

  3. Bravo Dromeas, vôtre talent pour la course à été surpassé par vôtre vindicte significative qui du coup me font penser à un poème de José Maria de Hérédia qui s’intitule le coureur dont je vous site ici quelques strophes en éloge à vôtre performance avec une petite modification du texte.
    « Tel que Delphe l’a vu quand Timos le suivant il volait par le stade au clameur de la foule. Tel Dromeas coure encore sur le socle qu’il foule, le bras tendu, l’eil fixe et le majeur en avant, une sueur d’airain à son front perle et coule. On diait que l’atlète a jailli hors du moule tandis qu’il laissait derrière lui un ci-devant grimaçant »
    Aujourd’hui toutes les initiatives en opposition au politiquement correcte sont élogieuses et méritent d’être soutenues et encouragées.

  4. Toutes mes félicitations ! Quant à ce blanc-bec, c’est pour lui une défaite bien méritée !

  5. Quand on s’adresse à un con il faut être clair et concis car ce dernier a dû tous supposer sauf remettre en cause son slogan afficher dans le dos.

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