Au mois de septembre, à Copenhague, un journaliste suédois, Gunnar Sandelin, a reçu le Prix Sappho 2020 pour la Liberté d’Expression par l’organisation Free Press Society. En 2019, ce prix fut attribué à Tommy Robinson.
Gunnar Sandelin est un ancien journaliste qui a été complètement censuré, a perdu son job, mis au banc de la société, il n’a plus d’amis, tout cela pour voir écrit un article en 2008 sur l’immigration et ses RAVAGES sur la société suédoise.
Il y a quelques jours, il a été interrogé en anglais par Aia Fog, Présidente de la Free Press Society, video en anaglais, et dessous la traduction de cet entretien.
AF : Gunnar Sandelin, je vous souhaite la bienvenue. Je me demande vraiment ce qui s’est passé en 2008, vous étiez un journaliste reconnu. Quels étaient les sujets sur lesquels vous travailliez ?
GS : Je travaillais pour la télévision nationale suédoise, la première chaîne et la seconde qui sont les plus importantes chaînes de télévision en Suède. J’étais un journaliste et je travaillais depuis 8 ans. Auparavant, j’étais un travailleur social.
AF : ce qui signifie que vous exerciez une profession
GS : oui, j’avais une profession, on peut dire cela
AF : et en 2008, vous avez décidé d’écrire cet article dans le journal Dargan, le journal le plus important en Suède, sur l’immigration. Pourquoi avez-vous écrit cet article, pourquoi avez-vous choisi comme sujet l’immigration ? Etait-ce un sujet que vous connaissiez ou bien un sujet sur lequel vous aviez une opinion ?
GS : J’y pensais depuis longtemps, parce que quand je travaillais à la télévision nationale, nous n’avions pas conscience de ce qui se passait et nous ne donnions pas une image réelle de la situation. Et j’ai pensé pendant longtemps que je devais parler de toute cette histoire car nous cachions un grand nombre des conséquences négatives de cette immigration. On peut dire que nous n’avons pas le droit de parler de cela en Suède. C’est pourquoi j’ai décidé d’écrire un article avec de nombreux exemples que j’ai trouvés sur pages des sites du gouvernement. Tout était disponible et à la portée de tous ceux qui voulaient avoir ces informations. Donc, j’ai écrit cet article et ce fut la fin de ma carrière.
AF : Mais que disiez-vous dans cet article ? Qu’y avait-il de si terrible ?
GS : Il était question des volumes et de combien de gens arrivaient en Suède qui n’étaient pas des réfugiés, qui n’avaient pas de papiers d’identité, il était question du coût inconnu de l’aide sociale, de tous ces sujets de bon sens que l’on devrait pouvoir aborder dans une société libre.
AF : oui, bien sûr, mais visiblement c’est impossible. Pouviez-vous prévoir les réactions à cet article ?
GS : non, je pensais depuis longtemps qu’il y aurait des conséquences mais quand j’y pense, je ne pensais pas que j’allais perdre mon emploi et ne plus pouvoir gagner ma vie, que ma carrière de journaliste indépendant était terminée et que tout allait se fermer devant moi.
AF : comment les réactions sont-elles apparues, quand avez-vous pris conscience que cela était beaucoup sérieux que ce à quoi vous vous attendiez ?
GS : Les réactions sont apparues dans ma vie sociale, par exemple, de nombreux amis m’ont tourné le dos, je n’avais plus de travail en free-lance, les gens avec lesquels j’avais travaillé pendant longtemps ne voulaient plus travailler avec moi, ne voulaient plus être associés à moi, et quand j’ai essayé de trouver un emploi, les gens étaient intéressés et on me promettait même un emploi comme responsable de l’information dans une instance gouvernementale. Mais quand ces gens voyaient mon article et le lisaient, c’était fini.
AF : ce qui signifie que vous êtes passé d’un avenir prospère à plus rien du tout.
GS : on peut dire ça comme ça, en quelque sorte ….
AF : je voudrais en savoir plus sur vos travaux et leurs résultats. Vous avez fait de nombreuses recherches sur les conséquences négatives de l’immigration de masse sur la Suède et c’est vraiment très inquiétant. Pouvez-vous nous dire d’où vous tenez vos informations et que montrent les résultats ? Vous travaillez le sujet depuis 2008.
GS : Je prends mes informations sur les pages des sites du gouvernement. Tout y est à la disposition de tous les journalistes, de tous les citoyens. En Suède, nous sommes 10 millions et depuis 2000, nous avons environ 2 millions de résidents légaux venant de l’immigration. C’est considérable pour la Suède. Si on compare avec les pays nordiques, nous avons huit fois plus de demandeurs d’asile que le Danemark. C’est ce dont je veux discuter publiquement. Pourquoi n’avons-nous pas le même niveau d’immigration que la Norvège, la Finlande ou le Danemark ? C’est quelque chose dont on ne doit pas parler. Et même le coût de l’immigration, il y a des économistes qui ont calculé que nous y consacrons 200 billions de couronnes suédoises et nous n’avons pas le droit d’en parler. On ne peut pas parler des volumes, du coût, parce que le mode de pensée des autorités suédoises est que tous les individus ont la même valeur, que nous ne devons pas parler d’EUX et de NOUS. Cela signifie que dès que vous êtes dans ce sujet, vous êtes en zone interdite.
AF : Je sais que vous avez une théorie, une explication concernant le fait qu’en Suède, vous avez accepté un énorme nombre d’immigrants. On a parlé de l’hubris de masse de la Suède, et du fait que la Suède est une superpuissance humanitaire, ou tout du moins, c’est ainsi qu’elle se considère elle-même. Pouvez-vous en dire plus à ce sujet ?
GS : Oui, c’est l’image que le gouvernement suédois et les journalistes suédois ont, ainsi que tous ceux qui font de l’immigration un business. Il nous faut montrer que nous sommes une superpuissance et montrer au reste du monde comment il doit se conduire. On a craché sur les Danois, sur le Danemark, pendant longtemps pour la stricte politique de restriction de l’immigration. Et maintenant, nous revenons en arrière en disant qu’il est trop tard pour avoir en Suède les mêmes restrictions qu’au Danemark. Nous commençons à réaliser que nous avons accepté trop de gens et que la situation est hors de contrôle.
AF : Pensez-vous alors que le gouvernement et les autorités commencent à comprendre que la Suède a accepté trop de migrants ?
GS : oui, mais ils ne sont pas disposés à l’admettre, c’est pourquoi cela reste toujours sous les radars.
AF : Comment se fait-il qu’il n’y a aucune réaction de la population suédoise ? Je veux dire, c’est la population qui porte ce fardeau …
GS : Les Suédois ont une grande confiance dans leur gouvernement, c’est une longue tradition, nous faisons confiance aux politiciens, au gouvernement, à la presse, nous pensons qu’ils veulent notre bien. Les Suédois ont beaucoup de mal à découvrir que cela ne se passe pas ainsi et qu’on leur triche.
AF : bon, comment voyez-vous la Suède dans 10 ans ?
GS : C’est une bien sombre image pour moi, parce que nous n’avons pas arrêté l’immigration. Le volume, c’est encore 10.000 par mois qui arrivent en Suède, même pendant la crise du covid, cela a à peine diminué, et je pense que tant que cela continue et que personne ne veut discuter des volumes de l’immigration, je pense qu’ils ne peuvent contrôler la situation, ils ne savent pas quoi faire, parce qu’il y a tellement de demandeurs d’asiles qui arrivent en Suède et ensuite, ce sont leurs familles, c’est un flot continu, c’est un afflux qu’ils ne savent pas arrêter. Ils pourraient dire : »nous avons fait une erreur, excusez-nous, Peuple suédois, nous avons fait quelque chose que nous n’aurions pas dû faire », mais c’est impossible pour nos politiciens, pour nos journalistes de l’admettre.
AF : c’est un nombre considérable, c’est 120.000 personnes par an et avec une population en Suède de 10 millions, c’est un nombre énorme, vous pensez que cela ne va pas s’arrêter et pas non plus à un moment prévu ?
GS : non, je ne vois pas comment cela pourrait, par ce que cela demande un changement d’attitude et admettre qu’ils se sont trompés. Et je ne pense qu’ils sont prêts à le faire. Bien sûr, je peux me tromper, mais je ne vois pas …. Je pensais qu’en 2015, quand nous avons eu 163.000 demandeurs d’asile dans l’année, nous aurions pu entrevoir une possibilité de parler librement et ouvertement, ce fut seulement pour une courte période et tout s’est refermé. Le climat général est devenu identique au climat de l’Europe de l’Est pendant la période communiste.
AF : je pense que cela doit avoir un grand impact sur l’aide sociale, sur la sécurité sociale, tout ce qui définit la Suède comme étant un Etat social. Les gens ne réagissent-ils pas au fait qu’ils doivent, je veux dire, est-ce qu’ils ne se rendent pas compte que cela va dans la mauvaise direction ? Et qu’ils n’ont plus l’Etat-Providence dont ils avaient l’habitude ?
GS : Non, ils ne réagissent pas, il y a de la frustration dans leur vie privée, ils en parlent à leurs amis, ils disent que le quartier change, et que cela ressemble de plus en plus au Moyen-Orient, ce genre de choses, mais ils continuent à voter pour les mêmes partis politiques, ils font cela depuis 30 ans. Je ne sais pas pourquoi, c’est un mystère …
AF : cela m’interpelle, parce que dans de nombreux aspects, le Danemark et la Suède ont la même histoire, la même culture, presque la même langue, nous sommes très proches, mais en même temps, nous sommes très différents, alors, qu’est-ce qui nous sépare le plus, quelles sont les différences majeures entre nos deux pays ?
GS : la mentalité, les Suédois sont des « suiveurs », ils ont très peur de perdre la face devant les autres, et le mode de pensée est dirigé dans la même direction, nous avons construit notre société ensemble, et maintenant, nous la détruisons ensemble. Je pense que les Danois sont plus ouverts d’esprit, plus courageux, vraiment, plus …, se souciant moins de ce que les autres vont dirent, les Suédois, ils surveillent vraiment leur langue.
AF : Bon, d’accord. Merci ! Souhaitez-vous maintenant n’avoir jamais écrit cet article en 2008 ? Si vous pouviez choisir, si vous pouviez remonter le temps ?
GS : Et bien je n’ai aucun regret, parce que c’était la seule chose à faire, je me sentirais très mal si je ne l’avais pas fait, vraiment, parce que quelques fois, on doit choisir un chemin et en accepter les conséquences, je ne regarde pas en arrière et je ne me fais pas de souci, mais de temps en temps, je me mets en colère et je dis que j’ai perdu beaucoup d’argent et j’ai perdu mon âme …
AF : Avez-vous calculé combien d’argent vous avez perdu ?
GS : oui … plus ou moins 1,5 million de couronnes suédoises, (NDLR soit environ 150 000 euros)
AF : Et vous avez perdu des amis,
GS : j’ai perdu des amis, mais je me suis fait de nouveaux amis,
AF : oui, c’est vrai !
GS : non, la situation n’est pas si terrible, je pense que l’on doit faire ce que l’on doit faire …
AF : je suis d’accord, mais pourtant, vous avez payé cher pour avoir dit la vérité et je pense que c’est intéressant et inquiétant que dans un Etat-Providence où nous avons un niveau élevé de libertés, vous ayez à payer tellement cher pour avoir dit la vérité ..
GS : oui, mais je ne suis pas seul, il y a de nombreuses personnes venant après moi qui ont fait cela aussi. Nous parlons de la Suède qui est un pays où nous avons maintenant des dissidents. C’est vrai que nous n’utilisions pas ce mot il y a 5 ou 6ans, nous sommes une démocratie …
AF : alors comment se fait-il ? je suis d’accord, vous êtes un dissident aussi, mais il ne devrait pas y avoir de dissidents en démocratie ?
GS : non, non …
AF : alors, que se passe-t-il en Suède ?
GS : en Suède, il se passe que nous allons devenir un état en faillite, et je pense qu’un grand nombre de gens vont vouloir quitter le pays, oui, la grande majorité des gens qui quittent la Suède sont des gens qui sont nés en Suède, il y a environ 100.000 Suédois qui ont quitté le pays ces dernières années, j’entends de nombreux amis, des collègues, dire qu’ils vont quitter la Suède pour d’autres pays, l’Espagne, les USA, l’Islande, ou une petite île qui appartient à la Finlande à l’extérieur de l’archipel suédois, Copenhague aussi,
AF : Bienvenue !
GS : Merci beaucoup !
AF : Oui, parce que vous parlez de changement de population, l’immigration de masse et des Suédois qui quittent la Suède, pas encore en grand nombre, mais c’est perceptible. Sur vos diapositives (montrées pendant la conférence lorsque le prix lui a été décerné), on peut voir que vraiment de nombreux Suédois quittent le pays,
GS : Et l’afflux surtout, actuellement les Suédois sont 70% de la population, la population d’origine étrangère 30%. Cela change très rapidement, et concernant l’immigration, à partir des années 1970, elle venait des pays nordiques, puis ce fut en provenance du sud de l’Europe, et maintenant elle vient du Moyen-Orient et d’Afrique. C’est pourquoi nous nous remplaçons les uns par les autres …
AF : A partir de quand pensez-vous que les Suédois seront une minorité dans leur propre pays ?
GS : C’est difficile à dire, il y a eu des recherches sur le sujet, ce sera vers les années 2050, 2060,
AF : c’est seulement dans 30 ans … peut-on arrêter cela, changer cela, inverser cela, que pensez-vous ?
GS : je ne vois pas comment, je sais que cette réponse est très pessimiste, mais je ne vois vraiment pas comment. Et les gens ne se sentent pas concernés, ils disent : »qu’y-a-il de spécial à être suédois ? Qu’est-ce que cela peut faire que nous soyons une minorité ? » Ils croient au multiculturalisme, on nous a lavé le cerveau pendant ces 20 ou 30 dernières années, les gens dans ces termes, ils ne pensent qu’il nous faut être fiers de notre Histoire. Il est presque interdit de penser que c’est notre pays,
AF : Vous dites : »il est interdit aux gens de penser que les Suédois sont particuliers, qu’ils ont une culture particulière et des origines particulières et une Histoire commune? de considérer les Suédois comme un peuple ? »
GS : Vous savez, la télévision suédoise a changé les hymnes nationaux, comme « Je crois que je vais vivre et vais mourir dans le Nord » en « je crois que je vais vivre et vais mourir sur la Terre ». Cela, c’est le mondialisme, et ils chantaient cela à la télévision nationale suédoise …. ils essayaient de changer l’hymne national ! C’est assez drôle ….
AF : Ce qui signifie que vous avez une vision très dystopique de l’avenir de la Suède ?
GS : Oui, cela me désole de le dire ….
AF : Même si la Suède arrêtait toute immigration dès aujourd’hui ?
GS : oui, parce que vous avez les conséquences, combien d’enfants nés de parents suédois en Suède ? je n’ai pas les statistiques, cela fait une grande différence avec les gens qui viennent du Moyen-Orient ou d’Afrique, ils ont beaucoup plus d’enfants, ça, c’est une chose, et les tensions sociales dans la société sont de plus en plus fortes, cela serait un changement si nous fermions les frontières, mais je ne vois pas comment cela serait possible, parce que personne ne parle de ça plus que les Démocrates suédois en politique, mais je ne vois pas comment cette discussion peut avoir lieu dans les media suédois, et ce sont eux qui ont le rôle central sur le sujet, les journalistes, 80% sont de gauche et ils veulent cette société multiculturelle, ils veulent pouvoir dire que les gens sont des racistes et des extrémistes de droite. Je ne vois pas comment ils pourraient changer le discours qu’ils ont depuis 20 ou 30 ans, alors, je dois dire que je ne suis pas du type dystopique sur ce sujet ….
AF : oui, je crois que vous avez raison, il est difficile de voir comment les choses pourraient changer de façon radicale parce que vous devez faire des changements radicaux en Suède pour garder la Suède suédoise ..
GS : Et puis, vous avez aussi un « Etat profond » en Suède, tous les gens employés, tous les patrons dans les instances gouvernementales, tous ces gens doivent être remplacés, il faut les remplacer, les mettre dehors, il faut mettre à leur place des personnes nouvelles avec des valeurs différentes, comment cela va-t-il se passer ? cela va ressembler à la chute de l’empire soviétique ou quelque chose de similaire, peut-être comme le Mur de Berlin …
AF : il est difficile d’envisager cela à l’heure actuelle …
GS : oui, si l’on devait fermer les frontières maintenant, il y aurait de nombreuses émeutes en Suède, cela ressemblerait presque à une guerre civile dans certains quartiers, les voitures brûlées, les églises brûlées, cela va être une situation terrible,
AF : si les frontières sont fermées, comment voyez-vous la situation, vous avez déjà des voitures qui brûlent, des attaques des commissariats de police, alors, comment la situation pourrait-elle empirer si vous fermez les frontières ?
GS : Il va y en avoir davantage, ces quartiers seront de plus en plus nombreux et la Police va perdre le contrôle, nous sommes déjà actuellement dans une situation difficile, tout cela va empirer si les frontières sont fermées, j’ai très peur de tout cela,
AF : parce que la Police s’est déjà plainte qu’elle ne pouvait pas contrôler certains quartiers, je crois que le chef de la police à Malmö a dit que la situation est devenue incontrôlable …
GS : Oui, la situation est hors de contrôle, pendant longtemps, on a choisi l’attitude complaisante, ils ont parlé aux criminels comme s’ils parlaient à des enfants, ils leur ont donné une instruction, leur ont dit : »s’il vous plaît, ne tirez pas, nous allons vous acheter …., s’il vous plaît, ne violez pas, nous allons vous acheter des pizzas, pourquoi n’en discuterions-nous pas ensemble, nous sommes une police gentille ». Et maintenant, les criminels ne les respectent pas, ces clans du Moyen-Orient et d’Afrique … La Police suédoise est vraiment trop gentille dans tous les aspects, ils ne savent pas comment s’y prendre ….
AF : C’est inquiétant …
GS : c’est vraiment inquiétant …
AF : Et bien, je suis navrée de devoir clore cette conversation sur une note aussi désespérante … Merci d’être venu à Copenhague
Traduction par Rochefortaise pour Résistance républicaine
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« Je sais que vous avez une théorie, une explication concernant le fait qu’en France, nous avons accepté un énorme nombre d’immigrants. On a parlé de l’hubris de masse de la France, et du fait que la France est une superpuissance humanitaire, ou tout du moins, c’est ainsi qu’elle se considère elle-même. Pouvez-vous en dire plus à ce sujet ?
GS : Oui, c’est l’image que le gouvernement français et les journalistes français ont voulu donner, ainsi que tous ceux qui font de l’immigration un business. Il nous faut montrer que nous sommes une superpuissance, la Championne du Monde des Drouââts de l’Homme, et montrer au reste du monde comment il doit se conduire.
On a fait les kékés pour montrer qu’on était meilleurs que les autres, plus généreux que les autres, plus accueillants que les autres, que nous nous ne sommes pas des sales gros racistes comme les autres.
Maintenant nos gentils « hôtes », ces délicieux
Mogwaismigrants à qui on a donné de l’eau et de la nourriture après minuit, nous crachent à la gueule et exigent que nous leur donnions toujours plus de notre pognon, que c’est leur droit, que nous devons tout leur donner parce que cela leur appartient et partir pour leur laisser la place car nous sommes de sales blancs racistes et islamophobes. »__
[pour ceux qui l’ont oublié, les Mogwaïs sont les gentilles créatures en forme de peluches qui se transforment en affreux Gremlins dans le film éponyme. Prémonitoire… Ce film est une parabole]
Il y a quelques années, nous sommes allés en vacances à Malmoe, pour y revoir des têtes blondes, en voie de disparition en France. Mais aussi pour se laver l’esprit, écoeurés de l’immigration massive et de l’insécurité en France.
Quel choc. Quelle déception. Beaucoup de femmes voilées, des bande d’individus visiblement non suédois qui se comportaient avec provocation, des quartiers où à part l’architecture superbe, on se demandait où on était.
Sachant que ces gens qui envahissent nos pays font 4 enfants en moyenne quand nous en faisons 1 ou 2, la situatin est irréversible. Faire des enfants aujourd’hui est malheureusement inconscient, pour l’avenir de nos têtes blondes. L’insécurité liée à l’immigration se propage plus vite que le Covid ou la pollution de notre planète. Dans 30 ans, nous, français ou suédois de souche, sommes finis.
Si je comprend bien, cette Suède est un copier coller de la France , là bas comme ici ces immigrés se comportent comme des envahisseurs, la quantité faisant la qualité, ceux ci vont bientôt imposer leur hommes à eux .Remarquez un truc, pour que cela passe mieux pour la société , ils mettent des femmes pour représenter les associations médiatiques , que ce soit les indigènes de la république , comité traoré , émissions qui parlent de la colonisation comme récemment sur France 2 , l’unef et sa voilée etc .Ce n’est exclusivement que des femmes . Par contre les listes électorales communautaristes ce sont majoritairement des hommes . Là, c’est du sérieux!!!
« …Ils sont, eux, bienvenus en France… » Quitter la Suède pour venir en France c’est un peu comme quitter la Mauritanie pour se réfugier au Soudan, non ?
» Tout va très bien Madame la Marquise »…Vous connaissez bien cette chanson prémonitoire de 1935, 5 ans avant l’effondrement de 1940…A vue de nez il nous reste à peu près le même temps avant que la chaudière n’explose…
A part ça c’est quand qu’on va en vacances ?…
Comme ici les électeurs continuent a voter pour ceux qui les entubent !
La police suédoise est dans le même état que la police française. Les racailles se comportent sans retenue. C’est dû à la politique de pédale douce des divers gouvernements. Le champion en matière de tente c’est LaREM. On y est en position de déculotté. La Macronne, pour retarder l’enculade, offre des cours d’arabe aux petites racailles qui crachent sur la France. La reculade (sa sonne bien) face aux banlieues se généralise. L’Élysée va servir d’abri a quelque guide suprême, Matignon de mosquée et le gouvernement ira vivre sa psychose à Vichy et continuer sa collaboration. La vie en rose.
Voila ce qui nous attend ,INCROYABLE CE TYPE DIT LA VERITE ET IL SE FAIT VIRER ET BEAUCOUP LUI TOURNE LE DOS,on croit rêver, ON DIT QUE C’EST UN SIGNE D’INTELLIGENCE DE RECONNAITRE SES ERREURS APPAREMENT LE GOUVERNEMENT SUEDOIS NE SAIT PAS FAIRE SON.MEA CULPA ,et c’est exactement ce qui se passe ici ,si ca continue comme ça ce pays sera foutu comme la Suède.
La Suède ??? pas compliqué , une poubelle ou un grand dépotoir mortifère binôme de la poubelle france-poubelle ….que vont devenir nos chères petites têtes blondes ???
Je vous conseille un film ( de gauche ) pour ceux évidemment qui ne l’ont pas encore visionné, avec Clive Owen, Michael Caine et Julianne Moore sortie en 2006 : le fils de l’homme.
C’est le cauchemar que le monde progressiste antiraciste nous réserve !
Rochefortaise, combien de langues parlez-vous ? Moi ? Le Français fort bien, et un « broken English » !
Il n’y a que les armes pour régler le problème
J’espère que les Suédois scientifiques, qui viennent de décerner le Prix Nobel de chimie à une Française, pourront rapidement se protéger de leurs parasites mortifères. Ils sont, eux, bienvenus en France, toujours, (je ne parle pas bien sûr des binationaux immigrés à part quelques personnes d’exception qui font l’honneur de la Suède » d’avant »); merci pour la traduction, je transmets.
merci Rochefortaise , dramatique en effet, d’autant que l’on se dit, « ça se passe ailleurs » , juste que la Suède était un pays magnifique , paisible, qui ne s’appellera plus la Suède, et puis NON , ça ne se passe pas ‘ailleurs, mais bien dans d’autres pays dont la France ! je n’ai pas de mot devant cette terrible lamentation de ce journaliste ..
la Suede a seulement 10 ans d avance sur le reste de l Europe , ces barbares islamique vont détruire notre continent et on devra fuir en Amérique , l UE deviendra inhabitable
A LIRE CECI EST GRAVE
PAS SEULEMENT POUR LA SUEDE MAIS TOUTE L EUROPE ET L HUMANITE