La France à l’envers, ça suffit !
https://blog.lefigaro.fr/rioufol/2020/09/la-france-a-lenvers-ca-suffit.html
9 septembre 2020
Dans cette France légale qui marche sur la tête, Henri Kaloustian peut s’estimer heureux : il n’aura mis que trois semaines pour reprendre possession de sa maison squattée, à Théoule-sur-Mer (Alpes-Maritimes). En effet, la législation est telle que ces procédures d’expulsion, coûteuses pour le propriétaire, peuvent durer de six mois à un an. Entre le droit au logement et le droit de propriété, ce dernier est moins protégé. En l’espèce, la procédure a été opportunément accélérée après la mise en garde à vue par la gendarmerie d’Abdellah Z., interpellé lundi soir pour violences conjugales. Le couple et ses deux jeunes enfants avaient dû quitter leur logement en région parisienne pour, semble-t-il, des questions de voisinage (Le Figaro de ce mercredi). Les conditions de leur installation frauduleuse dans cette maison appartenant à un couple de retraités absents, les Kaloustian, ne sont pas encore claires. La piste d’un intermédiaire ou d’un réseau de relogement semble probable. Après l’expulsion, l’épouse se plaignait encore d’avoir été « mise à la porte, limite de force ». Cette histoire médiatisée a évidemment scandalisé l’opinion. Elle est révélatrice de ce monde à l’envers qui exaspère les Français et attise leur colère.
L’Etat-nounou sur-joue l’affairement, dans son rôle de protecteur face au Covid-19. Or l’énergie et la détermination que met le pouvoir dans sa guerre déclarée contre le virus relèvent de la farce. En réalité, les vrais remparts sont tombés depuis longtemps. Dans les faits, la République se montre incapable de protéger ses citoyens, singulièrement quand ils se trouvent dépossédés de leur logement, voire de leur nation. Car les difficultés d’expulsions sont les mêmes, qu’il s’agisse d’un squatteur ou d’un clandestin. A Angers, une étudiante de 20 ans a été violée chez elle le 31 août par un étranger multirécidiviste ayant déjà fait l’objet de deux mesures d’interdiction du territoire, inapplicables (Le Figaro, mardi). La petite histoire des retraités lésés est, plus gravement, celle de la France bonasse. Elle s’est volontairement désarmée au nom de l’apaisement et de l’accueil pour tous. Le sentiment d’abandon n’est pas propre aux Kaloustian. Il est ancré dans la société des Oubliés, là où l’indignation bouillonne.
Dans la déclaration des droits de l’homme de 1793, l’article 35 prévoyait « le droit des peuple à l’insurrection » face à un gouvernement incapable. Ce texte, dangereux, n’a jamais été applicable. Mais les injustices, elles, s’accumulent. Gare à l‘explosion !
Ivan Rioufol
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Ne perdons pas de vue qu’en raison du non renouvellement générationnel, de nombreuses maisons sont- et seront de plus en plus- vacantes dans notre pays…
La récente loi philipparde autorisant la réquisition par l’Etat des logements vacants n’est pas innocente et confortera le grand remplacement en cours …
Il faut changer cette loi idiote par une nouvelle qui donne tous les droits aux propriétaires et aucun à ces saloperies de squatters !!!
Dans ce fait, il est question du squatt d’une résidence secondaire, fait bien évidemment inadmissible. Mais on pourrait aussi parler des résidences principales que des propriétaires retrouvent squattées à leur retour de vacances, les obligeant à prendre une location en attendant la libération des lieux, qui peut demander des mois. Cette situation génère des frais dont l’addition peut s’avérer salée, entre les loyers, les frais d’avocat, les frais de remise en état de la propriété squattée (car rendue inhabitable par les chers squatters). On a le droit d’espérer un changement de cette loi complètement débile, révoltante, qui ne doit exister qu’en France.
Avec la gauchiasse à la mode et aux manettes par écolos interposés, c’est l’inversion des valeurs depuis des décennies avec instillation du sida mental à toute notre jeunesse !
Cela se paiera bande de trouducs !
il ne faudra pas s’etonner si les français prennent les armes pour se défendre avec cette justice pourrie et ces élus qui ne font rien…. alors
Je l’envoie de suite à la Préfecture et Sous Préfecture.
Faites savoir concrètement à la préfecture de votre département que vous partagez pleinement l’opinion exprimée
par Ivan Rioufol dans cet article :
IMPRIMER l’article et L’ENVOYER par La Poste à l’ADRESSE POSTALE PUBLIQUE de la préfecture de votre département que vous trouverez à partir de la page
https://servicecartegriseinternet.fr/prefecture/
Pour imprimer facilement l’article, c’est pas compliqué :
Cliquer sur la barre verte « Print Friendly » en bas à gauche du présent article.
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Dans la fenêtre d’impression qui s’ouvre, choisir la taille de texte 120% et la taille d’image 50%.
Ceci fait, cliquer sur l’icône PDF.
Choisir la taille de page « A4 » (« Letter » est le format américain) puis cliquer sur « Téléchargez votre PDF » et enregistrer le PDF sur votre ordinateur (ou bien cliquer sur Imprimer, et choisir Destination = Enregistrer au format PDF).
Désormais vous pouvez imprimer l’article dans sa version PDF de 2 pages, au choix : en deux feuilles imprimées recto chacune ou bien en une seule feuille imprimée recto-verso.
Signer au bas de la dernière page, dans l’espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnées complètes à des collabos patentés…) et poster.
Voilà, faire acte CONCRET de résistance ça commence en investissant un timbre.
(et si vous avez le temps, la motivation ainsi que les timbres, vous pouvez aussi envoyer de même l’article aux sous-préfectures).
Note : un bug RR (temporaire) fait que le titre de l’article ne s’affiche pas sur le pdf (remplacé par le terme erroné « l’auteur »). Vous pouvez charger le fichier pdf sur https://www.pdfescape.com/open/ (Upload PDF to pdfescape) effacer le titre erroné (Whiteout ) puis retaper le titre correct (Text : Arial, 26, gras, sur deux lignes)
Excellent !
Je viens de partager sur ma page fb.