Le vocabulaire du vin serait sexiste, raciste, élitiste… et par trop franchouillard !

Ça nous vient bien évidemment des Etats-Unis… La viticulture et l’oenologie étant, selon la journaleuse Esther Mobley, des spécialités bien trop franchouillardes, viticulteurs et oenologues sont formés à utiliser un vocabulaire dépassé et incompréhensible pour le commun des mortels et notamment pour les étrangers, surtout pour les Noirs. Bref, le vocabulaire  du vin serait typique de la culture blanche occidentale…

Ben oui, pour les étrangers, parler de parfum de garrigue, de sous-bois, de fleur de sel…. pour qualifier un vin exclut d’emblée ceux qui, n’étant pas Occidentaux et surtout français n’ont jamais pu sentir pour de vrai l’odeur de la garrigue et du sous-bois. Il est vrai que l’odeur de la savane et de la jungle sont très différentes… L’idiote qui nous fait son caca nerveux va devoir nous expliquer pourquoi et comment des millions de bouteilles de vin français partent depuis des décennies dans le monde entier, Etats-Unis, Japon, Australie, Amérique du Sud… et sont si appréciées que des viticulteurs étrangers de ces pays se sont mis eux aussi à vinifier. Quant aux vilains qui parlent de vin charpenté, tannique, boisé, charnu, gouleyant, mordoré… qu’ils se mettent tout de suite à genoux pour demander pardon d’utiliser de si beaux mots qui font rêver avant même de goûter ! 

Mais peu importe le flacon, peu importe l’ivresse, pourvu qu’on ait fait disparaître toute trace de l’histoire du vin, vin si prisé en Occident par les Romains notamment sans oublier les Grecs qui rendaient un culte appuyé à Bacchus ! Mais c’était des Occidentaux, pouah ! Parce qu’il s’agit bien de cela, une fois de plus . Le Grand Remplacement exige non seulement la disparition des Gaulois sur notre sol mais aussi toute trace de notre histoire, de notre identité, de nos valeurs, de notre langue, de notre civilisation héritée d’Athènes, de Rome… et de Judée ! Jésus n’a-t-il pas transformé l’eau en vin ? 

Tout se passe comme si chaque peuple devait se voir arracher toute spécialisation, toute excellence, toute expertise, que ce soit dans le domaine médical, dans le domaine scientifique, dans le domaine vinicole… Bientôt un procès parce que vous parlez de ce sale Blanc occidental, Einstein, quand vous parlez de la relativité ? Bientôt un procès parce que vous parlez d’un Occidental en parlant de la pomme de Newton et que vous excluez des milliards d’individus qui n’ont jamais vu pousser une pomme ! 

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Nous vivons en direct un retour aux âges obscurs, quand le coureur de savane Cro-Magnon avec son petit cerveau de 1350cm3 a envahi la France (déjà !) et a peu à peu fait disparaître l’homme de Néanderthal au cerveau pourtant largement plus développé de 1500 cm3 (on n’a pas encore atteint son niveau d’ailleurs avec nos 1350 cm3).

Il y a eu un métissage entre les deux groupes humains, puisque Européens et Asiatiques possèdent 1 à 4% d’ADN néandertalien. Source

C’est sans doute d’ailleurs et je vais être très politiquement incorrecte pourquoi Asiatiques et Européens ont des QI un peu plus élevés que les Africains, il ne reste des gènes de Néanderthal que chez eux…

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Le monde du vin possède un vocabulaire bien à lui, parfois difficile à appréhender. Mais pour certains, ce lexique s’avère raciste et sexiste.

C’est en tout cas l’avis d’Esther Mobley, une journaliste et critique de vins américaine. Selon, elle, les mots utilisés dans le monde entier pour décrire les différents millésimes excluent de fait une grande partie de la population.

Trouvant dans leur grande majorité leur origine en France, ces mots se réfèrent à tout un monde familier de «la culture blanche occidentale», explique-t-elle dans le San Francisco Chronicle.

«Brioche», «garrigue», «fleur de sel» ou encore «sous-bois», autant de termes, en français dans le texte même à l’étranger, qui ne parlent qu’à une frange de la population ayant une connaissance importante de la France ou de sa gastronomie et à certaines «classes» de la société.

«J’ai passé des années à entendre «pâte de fruit» dans un contexte de vin avant de pouvoir en déguster une réellement», explique ainsi la journaliste. Pas étonnant alors selon elle que, aux Etats-Unis, moins de 1% des vignerons soient noirs.

Alors que le monde du vin cherche à diversifier ses acteurs, producteurs comme consommateurs, la critique plaide pour une plus grande accessibilité. Et cela passe par le vocabulaire utilisé.

D’autant que ce vocabulaire peut également s’avérer sexiste, comme le rappelle Esther Mobley. Traditionnellement, on qualifie en effet de «masculin» un vin puissant, voire agressif, et de «féminin» un vin plus fin, élégant, floral.

Des définitions stéréotypées qui ne sont plus en accord avec les standards de la société actuelle. Et l’auteur de citer l’écrivain et critique Jay McInerney, qui aime à comparer un vin riche et voluptueux à Pamela Anderson, ou au contraire un vin maigre, tendu, à Kate Moss.

Une façon très masculine et hétéronormée de décrire les alcools, qui heureusement tend à disparaître au fil des ans.

https://www.cnews.fr/food/2020-09-09/le-vocabulaire-du-vin-est-il-raciste-et-sexiste-cette-journaliste-americaine-pense?fbclid=IwAR2Ehxq0ppVsgnyg-VwKDJoZKT7XGPjTygxkj9K7oYACGfjrrAXfw_zXHsc

Complément de François des Groux

« Le futur est féminin : la prochaine génération de vins américains »
Il n’y a que des Blanches ! (la Mobley est à gauche)

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13 Comments

  1. C’est le langage de l’œnologie. Si on parle de Esther Mobley, on dira gourde, connasse, idiote, crétine, sous douée, imbécile, tarée, inculte, gauchiasse, merde, abrutie, buse, inintelligente, andouille, cruche… C’est moins poétique que le langage du vin mais c’est la faute à Mobley.

  2. Bonsoir , j’ai remarqué en relisant les commentaires qu’aucun de mes textes n’était passé . Est-ce de mon côté qu’ils n’ont pas été envoyé?

    • Non pas de souci, BM77 c’est que je les ai mis de côté pour une éventuelle transformation en article

  3. J’aime le vin blanc de surcroît, un bon coteau du Layon, gouleyant et doux. On peut associer à ce vin, les viandes blanches et les poissons des pays de Loire. Les coteaux du Layon sont excellents avec le foie gras et les huîtres.

  4. Bonjour@jolly rodgers

    certes, mais je parlais de civilisation occidentale MEDITERRANEENNE. Nuance, quand tu nous tiens…

  5. Bonjour @ Charle Martel 02 ,
    je suis tout a fait d’accords avec vous . rien a ajouter .
    Bonjour @ Baribal ,
    les Anglo-Saxons , sont des Occidentaux comme nous .

  6. Cette tordue hystérique ne représente qu’elle. Laissons la braire dans son désert intellectuel et affectif. Encore une maniaco-dépressive qui pense exister en lançant une croisade perdue d’avance.

    Le vin est un pilier de la civilisation occidentale méditerranéenne qui a su conquérir les mondes anglo-saxon, sud-américain et asiatique qui raffolent de cette culture si « chic vieille Europe ». Je ne m’inquiète pas pour l’avenir de ce vocabulaire riche et fruité dont se délectent les amateurs de vin du monde entier.

    Pline l’Ancien a dit: In vino veritas. Alors, vive le vin, vive le vin, vive le vin divers ! Et mort aux cons !

  7. Tient, un bon Morgon 2016 avec un filet mignon…
    appréciable également avec le fromage !
    N’est t’il pas ?!!!
    Faut laisser braire les cons ils seront jamais
    Français DS,
    bon appétit à tous.

  8. J’y pense , peut-être que faire du vin blanc sera bientôt interdit car trop raciste. Faudra inventer le vin noir!!!

  9. Si on écoute ce genre de dégénérés du bulbe, à terme tout ce qui émane de la science et de la culture occidentale est a raser, à foutre au panier et à effacer définitivement de l’histoire de l’humanité.. Pauvre bande de connards de bobos, je voudrais les voir dans une tribu du fin fond de l’Afrique ou du Maghreb ces bonnes femmes en train de piler du manioc ou de préparer le couscous et de prendre quelques bonnes baffes de leur « maître » s’il estime qu’elles ne sont pas assez serviles. Je voudrais les voir ces pouffiasses le soir dormir dans la case de leur maître Mamadou ou sous la tente de Mouloud le bédouin qu’elles admirent tant et se retrouver violées par une bande de sauvages en rut à qui le coran donne le droit de se marier pour 1 ou 2 heures le temps de trousser la donzelle. Pauvres imbéciles va! Elle ont le comportement typique du bon bobo-gaucho qui profite bien de tout le confort de la vie chez les blancs mais qui crachent dans la soupe et mordent la main même qui les nourrit et assure leur sécurité à tous les niveaux.

  10. Qu’est ce qu’ils ont à nous faire chier les parasites, puisqu’ils ne boivent pas de vins, vu que le coran leur interdit de boire de l’alcool. Merde à tous ces cons qui les aident et qui écoutent toutes leur conneries. Qu’ils retournent dans leur pays se faire en….. et qu’ils arrêtent de nous pomper l’air et qu’ils emmènent avec eux tout ceux qui leur lèchent le cul. Merde à la fin il y en a marre.

    • @Christian Jour

      L’article a été écrit par une bobo américaine, « critique de vin »… une sorte de Robert Parker hystéro-féministe intersectionnelle…

      Moi, j’ajouterais aussi que le fromage est raciste ! Car s’il y a de la diversité dans le fromage, il n’y a pas assez de racisés à faire du fromage. Pas assez de Gabonais ou d’érythréens à produire du Bleu des Causses ou du camembert.

      Et puis, le fromage, c’est généralement blanc (sauf certains chèvres frottés à la cendre…)

      Mobilisons-nous pour cette grande cause nationale : raciser et inclusiver (?) le vin et le fromage !

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