Mazette, quelle promo d’enfer !
Rendez-vous bientôt chez votre pharmacien préféré pour réserver la méga-affaire à venir : un vaccin anti-COVID de chez Sanofi-GSK à moins de 10€ !
Mais comment est-ce possible ?
Simple : les États européens mettent la main à la poche (à travers « l’Alliance ») et assurent financièrement les risques en cas de plaintes pour des effets secondaires « indésirables »… Pas grave, c’est le contribuable qui paie et c’est tout bénef pour Big Pharma !
Et pour ceux qui n’ont pas froid aux yeux en s’administrant un produit fabriqué dans l’urgence avec des substances venues d’on ne sait où, AstraZeneca propose son vaccin à prix cassé : 2,50€ la dose !
C’était bien la peine que Véran interdise l’hydroxychloroquine (ou Plaquénil) suite à l’étude bidon du Lancet et « par principe de précaution » !
Et pour les pays pauvres, ce sera presque cadeau (moins de 2€ !) avec l’aide de la « structure CEPI », « une fondation dotée par des dons provenant d’États, d’organisations philanthropiques et d’organisations de la société civile » (Wikipedia), comme la fondation Bill-et-Melinda-Gates ou (encore) le groupe pharmaceutique GSK.
Avec l’objectif final de vacciner la planète entière, de gré ou de force ?
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Covid-19 : le futur vaccin de Sanofi et GSK coûtera « moins de 10 euros »
Les groupes français et britannique sont associés pour produire ce vaccin contre le Covid-19.
Le coût du futur vaccin en cours d’élaboration par les laboratoires Sanofi et GSK contre le Covid-19 « n’est pas tout à fait défini encore », mais sera « à moins de dix euros » la dose, a déclaré Olivier Bogillot, président de Sanofi France, sur France-Inter ce samedi 5 septembre.
« On est en train de mesurer l’ensemble des coûts de production qui vont être les nôtres dans les mois qui viennent », a déclaré le président du laboratoire pharmaceutique.
« On sera à moins de dix euros » la dose, a-t-il estimé en saluant le « partage des risques avec les Etats » qui permet d’avoir des prix « les plus faibles possible ».
Revenant sur le prix autour de 2,50 euros la dose annoncé par le laboratoire concurrent anglo-suédois AstraZeneca, Olivier Bogillot a expliqué la différence par le fait que Sanofi utilise toutes ses ressources « en interne », ses « propres chercheurs et ses propres usines » pour développer et produire le vaccin, alors que AstraZeneca « a beaucoup sous-traité la production »…
Des « millions de doses » seront aussi fournies aux pays en développement via la structure CEPI à des conditions tarifaires « tout à fait exceptionnelles ».
Les labos veulent assurer leurs arrières en cas d’effets secondaires
Dans la course au vaccin contre le coronavirus, les laboratoires veulent se protéger et font pression sur les gouvernements européens pour un partage des risques financiers en cas de plaintes pour des effets secondaires.
Le 27 août, la Commission européenne a signé, au nom des 27 pays de l’UE, un premier contrat avec le britannique AstraZeneca pour l’achat de centaines de millions de doses dès que le vaccin sera disponible.
Des discussions se poursuivent avec le tandem franco-britannique Sanofi-GSK, l’américain Johnson & Johnson, l’allemand CureVac, et l’américain Moderna.
Or, les groupes pharmaceutiques doivent trouver un remède bien plus rapidement qu’en temps normal: entre 12 et 18 mois au lieu de dix ans ou plus.
Dans ces conditions, les effets secondaires indésirables, et notamment ceux à moyen ou long terme, ne pourront pas tous être étudiés, ce qui pourrait ouvrir la porte à des demandes de dédommagements de la part des patients.
Face à cette situation inédite, les gouvernements, confrontés à un virus qui menace leur population et a mis leur économie à terre, se sont engagés à une participation financière.
«Pour compenser les risques élevés pris par les laboratoires, les contrats d’achat anticipé prévoient que les États membres de l’UE indemnisent les fabricants pour les responsabilités encourues dans certaines conditions», a annoncé l’exécutif européen, sans donner davantage de détails.
Contactés par l’AFP pour commenter cette déclaration, ni AstraZeneca, ni Sanofi n’ont réagi.
«Secret des négociations»
Les pays européens ne semblent guère avoir le choix, les fabricants de vaccins mettant la pression sur les gouvernements pour obtenir leur aide financière, comme l’a montré en mai la polémique autour de Sanofi en France…
Yannis Natsis, représentant les patients à l’Agence européenne des médicaments (EMA), qui délivre les autorisations de mise sur le marché, s’est récemment inquiété dans les colonnes du quotidien allemand Berliner Zeitung, du «caractère secret des négociations» entre fabricants et autorités sur le vaccin…
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pour ma part tous les vaccins sont dangereux 250 produits chimiques dangereux plus l’oxyde d’aluminium dont la dose est dix fois supèrieure a la norme fixée par l’OMS ,donc vous pouvez poursuivre pour empoisonnement ,celui qui vous vaccine .Ensuite il faut le savoir aucun vaccin n’est controlé par l’OMS!Donc comme le vaccin de la grippe chaque année inéfficace celui du COVID 19 le sera aussi car le virus aura muté entre temps !CQFD
On dirait des soldes ça, se pourrait-il que commencent à avoir un peu peur que bien trop de moutons maintenant enfin sortent de leur torpeur et plus que probablement vont leur dire d’aller se faire voir avec leur poison ?
En ce qui me concerne, le seul ‘vaccin’ au monde dans lequel j’ai pleinement confiance, je l’ai déjà : mon système immunitaire. S’il lui fallait un peu d’aide régler son compte à ce virus de la peur des fois que, certaine bonne vielle molécule ayant fait plus que ses preuves depuis belle lurette fera plus que l’affaire. Je ne laisserai jamais les labos et leurs complices (politiques/soi-disant médias) porter atteinte ainsi à mon intégrité physique, et ne parlons même pas de celle morale.
Oui Betty, c’est ce qu’il faudrait faire, mais Macron va rendre le vaccin obligatoire et sans certificat de vaccination les enfants risquent d’être refusés dans les écoles, centres aérés et autres structures collectives, on risque fort de vous refuser l’entrée dans les établissements publics et dans les établissements recevant du public comme les cinémas, théâtres et autres structures de ce genre, sans compter que les putassiers que l’on a au gouvernement sont très capables de lancer leur police/milice a contrôler les gens et a foutre des PV a tous ceux qui ne seront pas vaccinés, avec ces salopards on peut s’attendre à toutes les pires bassesses imaginables.
Un conseil : ne surtout pas se faire vacciner. Big Pharma l’aura dans le baba . Laissez les bisounours croire à cette supercherie,et se faire vacciner.
Pour faire un vaccin correct, c’est a dire ayant subi toute une batterie de test afin de réduire au maximum les effets secondaires qui sont principalement le développement de maladies auto-immunes il faut un minimum de 18 mois à 2 ans et parfois plus. On assiste ici à une course au vaccin qui a une probabilité non négligeable d’aboutir à un vaccin pouvant poser pas mal de problèmes. Big Pharma s’en fout car même si la dose coute 2 ou 10 euros pour le sans dents, ce dernier paiera le complément au travers des impôts qu’on lui ponctionnera. Cette affaire est un monstrueuse arnaque dont le grand bénéficiaire sera Big Pharma. Les labos toucheront le pactole et à ce prix là personne ne pourra dire que c’est trop cher et je parie que dès que ces vaccins faits à la « va vite » seront sur le marché la France et d’autres pays les rendront obligatoires. Le clampin moyen se fera avoir sur tous les plans car il paiera 2 ou 10 euros plus ce qu’on viendra lui pomper dans ses impôts et il courra le risque de développer des complications sans avoir même le droit de demander des dédommagements aux labos pharmaceutiques. Pour être dédommagé il faudra faire un procès à l’état, autant dire peine perdue à l’avance car il faudra payer des avocats, des frais de justice bref des frais inabordables pour le sans dents moyen. Et je ne serais pas étonné qu’il y ait un vaccin bien plus élaboré et abouti qui soit réservé aux riches et aux puissants qui, eux, ne courront que très peu de risques d’effets secondaires. Tout est vraiment pourri