Une copine de Méluche, Maboula Soumahoro, se prétend chercheur… avec un simple capes !

Mélenchon, qui a le culot de  chouiner sur la République,  n’est plus du tout républicain.

Sa dernière université d’été était truffée de décoloniaux, d’obsédés de la race, d’indigénistes.

Parmi eux, une, Maboula Soumahoro, se distingue par son arrogance haineuse contre la France et les Français.

C’est une véritable escroquerie universitaire sur pattes.

L’été dernier, un demi-dingue de « France Inter » lui a consacré un  épisode  de son émission « les savantes ».

On a vu  Maboula, peu après, se gargariser devant Finkielkraut, à la télévision de nombreux:

 « je suis une universitaire, je suis une chercheuse ».

Savante, universitaire, chercheuse, Maboula ?

De qui se moque-t-on ?

Elle est titulaire d’un CAPES d’anglais et d’un doctorat bidon.

Vu la dégradation totale actuelle du CAPES, la réussite à ce  concours ne donne, actuelllement, la possibilité que d’enseigner au collège.

Par quel miracle, par quel copinage se retrouve-t-elle universitaire ?

On ne sait pas trop : c’est sans doute ce que l’on appelle le « privilège blanc » …

Notre ami Niko nous communique cet article de « Valeurs Actuelles » qui fait le point :

« C’est que Mme Soumahoro en a à revendre de la subtilité conceptuelle. Élevée aux portes de Paris dans une cité du Kremlin-Bicêtre, elle poursuit ses études supérieures à Créteil et Jussieu avant d’intégrer à la faveur d’une bourse, la prestigieuse Université de Columbia à New-York.

Là-bas, elle s’imprègne des théories de la conceptualisation raciale et de l’intersectionnalité dont elle est aujourd’hui l’une des porte-voix dans l’hexagone.

À son retour en France, elle s’inscrit à l’Université François-Rabelais de Tours et y soutient une thèse consacrée aux premières années de la nation d’islam et au mouvement Rastafari, qui demeure non publiée à ce jour.

Ce qui ne l’empêchera pas, son CAPES d’anglais en poche, d’accéder un an plus tard au poste si convoité de Maître de conférences.

Un tour de force devant lequel on ne peut que s’incliner tant on sait balisé le parcours académique français ».

 

Commentaire de Niko

Effectivement, si ce n’est pas de la complaisance due à sa couleur de peau (et certainement aussi à ses pleurnicheries victimaires), cela y ressemble beaucoup !

Ancien étudiant en anglais, titulaire d’un DEA et un temps intéressé par l’enseignement, mes professeurs m’ont toujours dit que pour être maître de conférences, il fallait être titulaire non seulement d’une thèse de doctorat brillante (ce qui ne semble pas être le cas de celle soutenue par notre amie) et aussi, même si aucun texte réglementaire ne le prévoit expressément, de l’agrégation.

En effet, il y a tant de candidats à ce poste si convoité qu’il faut bien les départager.


Or, Dame Soumahoro n’est titulaire que du CAPES et d’une thèse de médiocre facture, qui ressemble plus à de la propagande militante qu’à un travail de recherche rigoureux et scientifique.

Elle a donc très mauvaise grâce à soutenir qu’elle a été maltraitée par la France !

Mais sans doute a-t-elle conscience en son for intérieur de ne pas être à la hauteur et que le costume d’universitaire est trop grand pour elle.

D’où sa rhétorique fumeuse qui sert d’écran pour dissimuler son incompétence et surtout le fait qu’elle ne doit rien au mérite, mais tout à la discrimination positive.

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11 Commentaires

  1. On l’a favorisé pour cela, justement. On l’a dicriminé positivement pour déverser sa bonne parole propagandiste à des étudiants crédules .
    Decidément , en ce moment les africaines qui sont sous les projecteurs de l’actualité ne se font pas remarquer sous leur meilleur angle . Sybeth, Avia , Obono , Diallo et désormais Soumahoro qui ne déroge pas à la règle . Que des femmes qui sont haineuses ou sont des parvenues cyniques .
    Et toute cette haine racialiste permise par une société maso qui donne le bâton pour se faire taper dessus en participant à financer cette haine !!!

  2. « Chercheuse » mais pas ‘Trouveuse ».
    Il y en a qui cherchent toute une vie…. quant à trouver????????????????????

  3. Que ne va-t-elle faire profiter de tant d’intelligence et de tant de connaissances son pays d’origine, à savoir la Côte d’Ivoire ? Quel dommage pour les Ivoiriens ! Quelle perte !

  4. Cher Antiislam,
    Il faudrait peut-être faire une différence entre « thèse de troisième cycle » et « Thèse d’Etat » celle-ci devant être publiée et permettant effectivement d’être nommé maître de conférences. Le Capes permet d’enseigner jusqu’à la terminale mais en général pour les professeurs de langues de lettres ou de maths on privilégie les agrégés dans les lycées d’Etat, notamment en classes de première et de terminale,ceux-ci étant les mieux à même de présenter des élèves brillants au « concours général ».

  5. je m’en doutais, figurez vous, quand je l’ai vu insultant Finkelkraut, car c’est souvent ce qu’elle met en avant : un diplôme et s’enorgueillissent ! voyez vous les autres le faire dans une émission ! son attitude face au philosophe était plus que lamentable, aucun respect de l’âge, des diplômes, les vrais , de cet homme et son expérience , son travail de plusieurs années , en France, ( pas en Afrique ! ) ! elle et ses comparses se sont permis, je n’ai jamais vu personne se conduire de cette façon, sauf ce que l’on peut appeler des arrivistes ( à tous points de vue ) ; Aussi je ne sais ce qu’il est possible de faire !!! elle n’est pas la seule car des députés de gauche ont trouvé la même combine, mais au moins ils ne tapaient pas sur leur propre pays qui les avait instruit !

  6. @ durandurand,
    Elle a soutenu sa thèse. Cependant, si elle doit être archivée à l’université de soutenance, elle n’est pas publiée, ce qui est différent.
    Ceci dit, le titre de cette thèse dit tout : « La couleur de Dieu ? Regards croisés sur Nation of Islam et le Rastafarisme, 1930-1950 ». Sans même parler de la dédicace en exergue : « A mon Père. A mon Oncle. A Bouna et Zyed. Pour ma Mère et mon sang ». Tout un programme !
    Bref, ce n’est pas une thèse mais un monument de propagande.

  7. J’ai écrit ça au second degré, Claude ! Pour ma part, je préférerais être seul sur une île déserte jusqu’à la fin de mes jours plutôt que d’avoir une « amie » comme ça !

  8. New-York le rêve pour une africaine qui ce rêve afro-américaine .. la France juste une terre à colonisée rien de plus hein avec son mentor méluche le maghrébin c’est en Afrique qu’on vous expulsera ne vous inquiétez pas c’est juste une question de temps 😉

    📯⚔️🇫🇷

  9. (ce qui ne semble pas être le cas de celle soutenue par notre amie)
    Drôle d’amie🤨

  10. Bonjour Antiislam,

    Merci pour ton article qui reprend mes commentaires ainsi que pour l’honneur qui m’est fait d’être publié sur le site de RR. Je voudrais juste corriger une chose que tu as écrite : le CAPES permet d’enseigner non seulement au collège, mais aussi au lycée. En effet, ce sigle veut dire « certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement secondaire ». Or, l’enseignement secondaire s’étend de la 6ème à la terminale.
    De plus, quelques professeurs certifiés, (mais aussi agrégés) sont recrutés pour enseigner à l’université, mais comme chargés de cours et certainement pas comme maîtres de conférences. Par ailleurs, ils sont souvent cantonnés au 1er cycle universitaire.
    Bien évidemment, ces remarques ne changent rien à l’avis que je porte sur cette « brillante » universitaire qu’est Maboula Soumahoro !
    Je conclurai en ajoutant que le copinage et les magouilles universitaires ne sont pas un scoop. Récemment, au mois de juillet dernier, un avocat médiatique, M. Arash Derambarsh, a vu sa thèse annulée pour plagiat. Comment se fait-il que son université ne s’en soit pas aperçue avant ? Mystère et boule de gomme !

    • Bonjour,

      En théorie, tu as raison.

      En pratique, le niveau du CAPES est, désormais, tellement bas que je ne pense pas qu’un Capésien moyen, fraîchement émoulu, actuel se voit confier des deuxièmes cycles …

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