Témoignage : quand Debbouze a fêté son mariage au Maroc, quel mépris pour les populations locales !

Ayant vécu plusieurs années au Maroc, de par mon métier, j’ai eu l’occasion plus d’une fois de fréquenter les people qui venaient à Marrakech pour se « lâcher » dans tous les sens du terme, et profiter de tout ce qui est possible, ce dont ils se défendraient bien une fois revenus en France !
J’avais rédigé le texte ci-dessous suite à la fête de mariage de Jamel Debbouze, qui avait duré plusieurs jours : c’est édifiant et amusant à la fois, de voir comment ce monsieur qui prend des grands airs pour parler du traitement soi-disant réservé aux immigrés (ou descendants), a pu traiter (ou laisser faire) les populations locales et surtout, tout ce que son statut lui a permis !!!

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Mariage, à Marrakech (mai 2008) de Jamel Debbouze (acteur) avec Mélissa Theuriau (à l’époque journaliste à M6)

Un mariage mixte de plus en France, me direz-vous… Rien d’étonnant à cela, sans doute est-ce à cause de la bonne conscience culpabilisante et l’obligation de repentance professée ardemment par toute la classe médiatique “bobo″ de gauche…

Ils se sont rencontrés sur le plateau de tournage d’“Astérix aux jeux olympiques″, un coup de foudre paraît-il.

Ayant vécu une douzaine d’années au Maroc, à Marrakech précisément, à l’époque de leur mariage, j’habitais alors dans le nouveau quartier de Targa, auquel on accède par le prolongement de l’avenue Mohamed V, qui arrive directement de la place Jemâ el Fna.

La poussée métastasique des hôtels, golfs, villas, piscines, ensembles immobiliers en tous genres, le tout climatisé, a créé des zones privilégiées où sont distribuées eau et électricité de façon à peu près stable (à peu près, on est au Maroc !) et des quartiers défavorisés où vivent les habitants pauvres ou modestes, auxquels on coupe, sans vergogne, tous les fluides essentiels, dès que la demande s’accroît sans pouvoir être servie, faute de moyens cohérents de production.

Début mai 2008, une agitation inhabituelle vient s’ajouter à celle des innombrables chantiers de construction, cette zone étant en perpétuelle expansion. Ce sont d’anciennes terres agricoles très arides, où seuls vivaient les moutons et leurs bergers ainsi que leurs familles, dans des maisons en terre battue, dans des conditions d’hygiène apocalyptiques !

J’habitais, avec ma famille, une “résidence″, sorte d’espace clos de murs assez hauts et gardé (la confiance règne !), dans lequel on a construit le même pavillon amélioré, en parpaings, répliqué de façon à rentabiliser chaque cm² (les maisons sont à touche touche).

A environ 200m de notre résidence, on a assisté à un ballet incessant de camions de toute sortes et de manutentionnaires s’agitant dans tous les sens, qui installaient, dans une résidence voisine pourtant inachevée, des chapiteaux, des pistes de danse, des éclairages etc. bref, tout le nécessaire pour une fête de mariage traditionnel marocain…

Bof, se dit-on, encore un ? Dans ce quartier, c’est monnaie courante, car habité par les membres de la classe moyenne (commerçants essentiellement) enrichie, ayant un besoin maladif, comme à travers tout le pays, d’étaler leur argent, bien qu’ils soient, pour la plupart, sortis récemment de la pauvreté…

Les deux inconvénients sont la durée – 4 jours et nuits – et le bruit qui va croissant pour atteindre un paroxysme vers la fin des festivités.

Par la suite, on apprend de la bouche des voisins marocains, que ce sera la fête de mariage de Jamel Debbouze, qui nous le disent avec cet air gourmand et supérieur, comme s’ils étaient de sa famille ou ses amis intimes. Lorsqu’arrive le jour fatidique, un décor de camouflage provisoire a été construit de toute pièce, afin d’occulter la partie du lotissement encore en chantier.

Les mariés (leur mariage a déjà eu lieu en France) arrivent en jet privé avec les 150 invités…

Recommence à nouveau un ballet incessant de voitures, limousines et berlines de luxe, sous les yeux des badauds marocains qui resteront massés ainsi durant 4 jours (à part quelques épisodes musclés de dispersion par la police), le tout encadré par des pelotons de policiers, excités comme des mouches sur un tas de fumier, usant de leurs sifflets jusqu’à la folie, pour eux comme pour nous qui devions le supporter. Cela vous donne déjà une idée du niveau de décibels de l’opération, avant même que ne débutent réellement les festivités.

Lorsque la fête commence vraiment, le même cirque continue dans la rue, à cela s’ajoutent les décibels de la “musique″ (soupe de variété orientale), lesquels, le soir venu, envahissent les alentours, au point qu’il est vain d’essayer d’écouter quoi que ce soit chez soi, à moins de rivaliser en niveau sonore et de dépasser le niveau humainement supportable !

Par moment, la route unique menant vers la résidence est coupée par la police, en fonction de l’importance du passage des invités, dans uns sens ou dans l’autre : on reste alors coincé chez soi, ou bloqué dans l’avenue qui conduit à la route… Il faut imaginer qu’il règne déjà une chaleur qui atteint les 35/40° à cette époque de l’année (c’est encore pire de juillet à septembre), on doit vivre les fenêtres ouvertes la nuit ou vivre sous climatisation en permanence.

A partir du 2ème jour, tout le quartier a subi des coupures d’électricité, récurrentes et de plusieurs heures à chaque fois : cependant, chez les Debbouze, la fête continuait sans arrêt. Techniquement je n’y connais rien, je peux juste confirmer que cette résidence était la seule du secteur alimentée en électricité.

Cela a duré 4 jours pleins, de jour comme de nuit selon la coutume, nous rendant la vie impossible, aussi bien pour aller travailler que pour la vie quotidienne ! Inutile et impossible d’essayer de se plaindre, l’opération étant entièrement supervisée par le Wali (préfet de région), tout était donc couvert, pire, se plaindre dans ce contexte peut vous attirer des ennuis si vous êtes étranger. Pour le Marocain de base, les choses se règlent à coup de matraque, et croyez-moi, ils filent doux ensuite et n’iront pas se plaindre auprès de la Licra et autres assocs qui combattraient l’islamophobie !!…

Voilà comment la “Jet set″ et les “Bobos″ font la fête “au bled″, au détriment du citoyen, de pays sous-développé certes, tout en tenant publiquement leurs discours larmoyants d’islamo-collabos, bien à l’abri dans leurs réserves protégées de privilégiés.

Quand on pense que c’est Jamel Debbouze, lequel n’a pas dû coûter cher à l’Education nationale (on peut lui accorder ça !), qui a déclaré : “si Molière naissait aujourd’hui, il serait africain″ ! Pauvre France, pauvres de nous !…

Baudoin de Flandre

17/8/20

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16 Commentaires

  1. bien fait pour sa gueule,baillonnèe a la maison elle porte le voile une mouloude elle voudra bien rentrèe en france ,mais interdit

  2. Moi aussi je me le demande ce qu’elle lui trouve. Elle aurait pu avoir kkun de mignon

  3. Peu de merdias rappellent les faits, il ne faut pas jeter la suspicion sur l’amuseur qui vient d’un bled !

  4. Bof pourquoi parler debouze allogène ,nous savons tous que remuer de la merde sa schlingue .

  5. Zoé bon comme acteur ? Vous rigolez ,il n’a joué que dans des daubes .et moi aussi je me demande ce quelle lui trouve ,beau non,intelligent non ,compte en banque bien garni garni sûrement ,est ce quelle l’aurait seulement regardé si il n’avait pas été connu et blindé de thunes,mais il y en plein de nanas comme ça et encore un qui est né ici et qui a vécu ici et qui ne jure que par le pays d’origine de ses parents ,mais qu’il retourne y vivre si ca lui manque tant que ca .

  6. Le gars il joue les kékés , il fait le zozo qui revient au pays après avoir fait ses frasques . C’est un peu ce qu’il met en scène . Regardez , j’ai été un petit malin et j’ai réussi .Venez en France, vous pourrez faire les imbéciles et devenir un Debouzze presque institutionnaliséen tout cas au Maroc !!
    Ce n’est pas un hasard qu’il ait été grand amateur du film Scarface!! Il veut faire style mafieux qui côtoie les puissants ! En fin de compte il est le digne représentant de ce que sont les immigrés marocains quand ils reviennent au pays ;faire baver les plus pauvres de leur pays d’origine ! Lamentable !

  7. Je n’ai jamais compris comment cette très belle jeune femme a pu épouser un tel crétin. Bon comme acteur mais en one man show, il fait pitié..

  8. Une merde portée au pinacle dans un pays malade, élevé dans son bled au rang de quasi dieu.
    A vomir
    Pour ce qui est de mélissa la scatophile…demandez aux mouches, les vertes, elles vous en parleront mieux que moi 😉

  9. Ce n’est justement pas à vous que je vais apprendre à quel point ces populaces se méprisent entre elles.
    Pourquoi croyez vous qu’ils vont tous AU BLED quel qu’il soit en été sinon pour y jouer les nababs qui ont « reussit » alors qu’ils ne sont que des crevards, des délinquants et des minables.
    J’ai plus de respect pour ceux qui se démènent dans LEUR pays sans venir mendier ici. Mais ils sont rares, très rares, parce qu’ils profitent pour beaucoup des sommes détournées de la France, légalement ou non.

  10. Putain, Faut pas s’aimer pour épouser un abruti pareil. Elle doit avoir un petit pois dans la tête la mélissa theuriau pour se faire un deux bouses , moche et con.

  11. la mariée elle tient un poulpe dans sa main gauche ??ou un hamster porte-bonheur ?

    faudrait poser la question a la famille Admette sur ce qui s’ est passé il y a 32 ans en gare de Trappes, la future « célébrité » avait alors 14 ans et pas encore les moyens de se payer un blouson de cuir….

    jamais merde n’ a si bien porté son nom

  12. Cette dernière phrase me rappelle une réponse de Florian Philipot à Francis Huster, le lâche défenseur pro-migrant qui disait que parmi les « migrants », il y avait peut-être un futur Molière.
    Réponse de Philipot : «Vous avez surtout beaucoup plus de chance (façon de parler) de trouver des nouveaux Coulibaly.

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