Sciences po fait lire ce qu’il faut à vos gosses pour les transformer en « djeunes »

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La France est mal barrée …


Comment à réussir à transformer tous les jeunes Français ( les Français = garçons et filles . Non mais ! ) en  » jeunes  » ?

C’est le rôle que  » l’Education Nationale  » s’est fixé, depuis très longtemps. 

Benoît Rayski parle aujourd’hui de sciences po – une  » grande école  » – qui vient de faire très fort. ( voir ci-dessous )

Mais il faut bien se rendre compte que ça commence dès la maternelle, pour se poursuivre et s’amplifier au collège puis au lycée…

 » L’ Éducation Nationale  » est devenue un immense camp de rééducation.

Jean Paul Brighelli, lui, l’appelle plus modestement : la fabrique de crétins.
Mais c’est pareil !

________

Voilà comment à Sciences Po on apprend à détester le Blanc !

J’ai passé un peu de temps à Sciences Po. J’y ai eu des professeurs intelligents et cultivés. Et des condisciples qui l’étaient également. 
On nous donnait à lire des livres à la con : ceux de l’historien Marc Bloch, Camus, Sartre, Benoist-Méchin, Marguerite Duras pour l’Indochine…
Des vieilleries (pas toutes réactionnaires) qui, les temps modernes étant advenus, ont disparu des rayons de la bibliothèque de la rue Saint-Guillaume. 

D’autres livres ont pris leur place pour laver impitoyablement les cerveaux des étudiants qui feront, pour les plus assidus d’entre eux, l’ENA et formeront l’élite administrative de notre pays.

Pour eux, Sciences Po vient de publier une liste de livres recommandés.
Ils sont en anglais. 

Et pour vous, misérables ignares, je vais traduire les titres : « Pourquoi je ne parle plus aux personnes blanches à propos de la race », « Fragilité blanche« , « Comment devenir un antiraciste », « Moi et la suprématie blanche« .

Sciences Po précise qu’il faut les lire sans plus attendre : « des lectures pour l’été ». 

A emporter donc sur la plage.

Et si vous voyez à côté de vous un suprémaciste blanc, balancez lui un de ces ouvrages dans la tronche : ça lui apprendra à être blanc.

L’idéal serait, bien sûr, qu’il y ait une partie de la plage réservée aux Noirs. 

C’est là que les étudiants de Sciences Po devraient s’allonger pour éviter toute promiscuité avec les leucodermes haïssables. 

Mais la France, toujours en retard bien que progressiste, n’a encore rien prévu à cet effet.

Vous avez bien lu :
Il s’agit de Sciences Po et non pas d’une école où Assa Traoré et Rokhaya Diallo seraient enseignantes ! 

Ainsi s’enfoncent toujours un peu plus nos universités. 

Un jour viendra – il est peut-être déjà là – où l’on pourra dire : bienheureux ceux qui n’ont pas fait d’études.

Et puisqu’il est question des temps modernes, revoyez le film éponyme de Charlot. Le malheureux travaille sur une chaîne avec des gestes automatisés dont il n’a plus le contrôle. 



C’est ce que sont devenus les étudiants de Sciences Po grâce à une école qui ressemble de plus en plus aux camps de redressement de la Chine
maoïste.

Benoît Rayski

https://www.atlantico.fr/decryptage/3591759/voila-comment-a-sciences-po-on-apprend-a-detester-le-blanc–benoit-rayski  

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8 Commentaires

  1. Nous en sommes à la période Lin Piao ….

    Lin Piao était un grand copain de Mao … jusqu’à ce que Mao le fasse disparaître ( c’était un rival dangereux ).

    A l’époque où Lin Piao était le copain de Mao, en introduction du petit livre rouge, il y avait une page avec la phrase suivante :

     » si vous ne comprenez pas tout, le mieux est d’apprendre le petit livre rouge par coeur « .
    ( authentique ! )

    La France en est là, de la maternelle à Sciences Po

    Ça va mal !

  2. Lavage de cerveau. Comment une école censée prodiguer un enseignement sérieux peut-elle recommander des tracts indigents qui ne sont qu’un ramassis de sophismes et de raisonnements fallacieux, des torchons pour débiles mentaux?

    Un oubli gravissime et scandaleux ; où est le Petit Livre Rouge, indispensable pour inculquer les principes de la-pensée-Mao-Tsé-Toung?

    Que font les Gardes Rouges-Verts-Noirs?

  3. Mes enfants ont eu droit à la liste pour cons, à lire cet été. Je n’ai pas acheté ces daubes…

  4. Donner à lire des bouquins pareil à des gens dont on s’est escrimé à enlever tout sens critique et libre arbitre depuis la prime enfance!!!
    Que l’on soit à science po ou ouvrier, il est un fait que l’on ne lit plus aujourd’hui .
    Moi j’avoue que je ne lisais pas de romans , j’ai toujours lu les journaux mais peu de littérature.
    Mais aujourd’hui c’est général que l’on soit prolo ou bobo avec le phénomène des jeux et des réseaux sociaux cela laisse peu de temps à la réflexion et à l’évasion à travers un bon livre. Et là dessus les idéologues mondialistes ont tout loisir pour dérouler et imposer leurs ouvrages de propagande .
    Donc l’élève de la grande école lorsqu’il sort la tête de ses travaux scolaires , de ses jeux video , des réseaux sociaux et accessoirement de ses activités sportives ou artistiques , que trouve -t-il pour forger sa conscience dans sa propre école : des ouvrages racialistes ou doctrinaires !
    Et ils sont appelés à diriger le pays . Cela fait peur!!

  5. auteure du livre

    Layla Saad

    rappelons qu en arabe Saad désigne la chance

    cette Saad est une vraie CPO (chance pour l’ occident)
    dépassés les CPF………….on en est au stade supérieur

  6. cette ecole qui fut prestigieuse il y a 50 ans…….n ‘ est
    ce pas elle qui fut dirigée par un péd…heu, un homo qui est mort dans des conditions abracadabresques, il était « amoureux actif » d’ un autre tordu qui dirigeait aussi une grande entreprise nationale…mais l’ étouffe-merdes a vite fonctionné ……..la bonne presse nous a vite abreuvés de démentis et comble de l’ ironie involontaire de rumeurs sans « fondement »

    d’ ou le sciences popo-caca

  7. Sciences-pipeau, ou sciences-po de chambre. Il y a bien longtemps, de grands intellectuels comme René Rémond y enseignaient. Bientôt, ce que craint M. Rayski se réalisera : on attribuera une chaire à Rokhaya Diallo pour qu’elle puisse y débiter ses âneries intersectionnelles et décoloniales.

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