Les démocrates morts de peur à l’idée d’une victoire de Trump pensent à organiser une « révolution des couleurs »

Les coups bas pleuvent contre la réélection de Trump.

Dès l’instant où il annonçait sa candidature, je préconisais  sous un autre pseudo, sur BV,  qu’il gagnerait l’élection après une présidence Obama calamiteuse dans tous les domaines pour l’Amérique. Les livres, bestsellers à charge contre la présidence Obama ne se comptent plus. Le plus célèbre de Ben Shapiro : « The People vs Barack Obama » qui explique les abus de pouvoir durant son administration.

Ce lien démontre que les ouvrages anti-Obama sont des bestsellers. Soigneusement dissimulé par nos pressetituées qui ne jure que par lui. 

https://www.cbsnews.com/news/anti-obama-books-are-best-sellers/

On comprendra le ras-le-bol du peuple américain devenu abstentionniste en masse.

Trump est un entrepreneur du BTP qui s’adressa à des foules qui auraient pu être ses employées de chantier.  Il sait parler au peuple. Il ne parle pas peuple, comme certaines langues de vipères colportent. Il est cash tout simplement. C’est son caractère.  Rien que ce détail suffisait à me convaincre de sa victoire. 

La kleptocratie de Washington n’avait plus aucune idée en tête, comment s’adresser au peuple, aux électeurs, aux citoyens, qu’ils avaient transformé depuis l’administration Clinton en consommateurs.  Des consommateurs-abstentionnistes de masse. Je peux dire sans me tromper, que le même phénomène accable la France.

L’Amérique creusa son tombeau lorsque Clinton fit rentrer la Chine dans l’OMC en 2001. A partir de là, la globalisation était en marche folle, à laquelle les kleptocrates français et européens s’empressèrent d’emboîter le pas. Nous nous en rendons compte 19 ans après. Les Chinois ont fait vite pour devenir la puissance qu’elle est en 2020, au point de ne pas craindre de se confronter à ce qui est encore la première puissance économique du monde, les Etats Unis d’Amérique. L’Europe dans cette affaire a disparu des radars. 

Dès l’instant où Trump annonça sa candidature contre l’escroc Hillary Clinton, les coups bas pleuvaient déjà de tous côtés pour nuire à l’élection de cet électron libre peroxydé, qui promettait de passer la chasse d’eau sur la fange de Washington, de construire un mur contre l’immigration en provenance du Mexique, qu’il ferait payer, suprême audace, par le Mexique, de faire revenir les entreprises dans le pays et ainsi créer des emplois pour les Américains, de s’entendre avec la Russie et la Chine, de faire payer leur part aux membres de l’OTAN qui se font tirer l’oreille et veulent ainsi profiter des États Unis comme parapluie et j’en passe. Tous ceux qui ont suivi cette élection hors normes connaît les promesses de Donald Trump, qu’il a tenues en partie, malgré qu’il en eut été empêché par les forces du « deep state » composées par l’administration Obama-Clinton. Ce que l’on appelle aujourd’hui la « Clinton Machine ».  

Ces meetings ou des dizaines de milliers d’Américains de base, pas seulement, scandaient en chœur fièrement : « USA USA USA » ou à propos de Hillary Clinton, accusée de corruption et d’escroquerie : « Lock her up, Lock her up », – foutez la en taule …  Ce peuple oublié,  qui remplissait les stades, les halls les plus gigantesques du pays et faisait même la queue par milliers à l’extérieur pour entendre leur champion lancer: « Make America Great Again » (MAGA). 

Ce qui signifiait bien que l’Amérique ne faisait plus rêver, avait perdu de sa superbe, de son lustre, de sa séduction, de son attractivité de l’époque Sinatra, Elvis, des bagnoles chromées, pistache ou rose, de la conquête de l’espace, pour faire place à un rapp de sauvages, aux mots violents et mortifères, à une industrie du cinéma devenue militante d’extrême gauche, à un développement d’une extrême gauche islamo-collabo sur les campus qui ne tolère plus le débat, mais procède par intimidation et insulte contre tous ceux qui ne sont pas d’accords. Les partisans de Trump qui avaient la casquette MAGA visée sur la tête, ou portaient le T-shirt rouge avec MAGA inscrit en lettres blanches, se faisaient agresser par des antifas devenus légion. Une humoriste au bon goût brandissait même la tête de Trump ensanglantée. Un chroniqueur du New York Times appelait même au meurtre du Président. Moqué, conspué par les médias dominants de gauche, Trump les contournait en utilisant Twitter et les qualifiant à raison de « Fake News ». Un autre « humoriste » Bill Maher allait même jusqu’à ouvertement souhaiter l’échec économique de Donald Trump, au mépris des citoyens de base américains, dont cette caste se fout éperdument. 

Le Covid doit le réjouir. 

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Trump allait mettre de l’ordre dans tout ça et surtout réussir sur le plan économique. Il conviait les chefs d’entreprises qui avaient délocalisé et les menaçait de taxer lourdement leurs produits fabriqués à l’étranger et qu’ils importeraient aux Etats Unis. Les entreprises revinrent, pas toutes, mais un très grand nombre, ce qui créait enfin des emplois pour les Américains de toutes couleurs, noirs, latinos et blancs. Cela ne s’était pas produit sous Obama, où les Noirs étaient les laissés pour compte dans une misère noire. Comme les latinos. Et, c’est le blanc, Trump, qui relevait la crise de confiance de l’Amérique à travers son économie. Un raciste suprémaciste de la race blanche, hétéro, pro life, c’est ce qu’ils disent, ces haineux, amers et aigris. 

 

Durant sa première campagne, tous les coups contre lui pleuvaient. Les médias à 90% de gauche le moquaient, CNN en tête que j’intitule la Clinton News Network. Des mensonges furent colportés sur son compte. Il y eut même une réunion de milliardaires sur une île au large de la Georgie pour conspirer contre son éventuelle élection, à laquelle participait même le « Speaker of the House », le Républicain Paul Ryan, qui s’opposait ouvertement à Trump, sans oublier feu John McCain, le plus virulent anti Trump des Républicains. 

https://nypost.com/2016/03/08/tech-billionaires-plot-with-gop-leaders-to-stop-trump-at-exclusive-island-resort/

Tous les coups étaient bon pour nuire au Gargantua qui tint le coup, rendit coup pour coup, le peuple américain derrière lui, jusqu’à sa première élection qui fut minimisée par les pressetituées mondiales suivistes de CNN, MSNBC, Bloomberg et j’en passe. Le salaud de peuple a encore une fois mal voté.

Son élection  fut toujours estimée comme illégitime, puisque Hillary avait 2 millions de voix de plus que Trump. Mais elle était très loin derrière auprès des « grands électeurs ». L’élection présidentielle US se joue sur le suffrage indirect. C’est à Trump que revint la victoire finale. On imagine l’amertume profonde de la Clinton Machine, dont est Obama, qui oeuvrait dans l’ombre contre le milliardaire new yorkais. Trump venait déranger leurs petites affaires pas très claires, qui les enrichissent sur le dos du contribuable. Ce sont des gens qui n’ont jamais travaillé, qui n’ont vécu que de la politique, ce qui signifie des contributions fiscales des citoyens.

L’élection gagnée, il fallait l’empêcher de gouverner pour démontrer qu’il était indigne  de la fonction suprême. Des manifestations monstres furent organisées dans les plus grandes villes, sous la houlette de l’inénarrable agitateur-cinéaste gauchiste, Michael Moore. Tout cela financé par le très aimable Georges Soros, qualifié de « bienfaiteur de l’humanité ». Cela dura des semaines.  Des émeutes éclatèrent ici et là. Les pressetituées US montraient en boucles des hystériques en larmes qui pleuraient la défaite de leur pouliche. Une manipulation inédite des masses était fomentée par les démocrates aigris, dans le plus pur style soviétique ou nord coréen. D’ailleurs, c’est à la faveur de cette élection présidentielle inédite que le monde du bon sens découvrit avec stupeur, que l’Amérique n’était plus celle de Eisenhower, Kennedy ou de Reagan, mais un pays dont la capitale et les campus sont gangrénés par la gauche extrême islamo-collaborationniste depuis la présidence Clinton, malgré l’intervalle Bush Jr. Le politiquement correct règne sans partage. 

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Puis, le calme revint, Trump tint ses promesses, à la grande surprise des pressetituées du monde entier qui n’avaient jamais vu qu’un Président élu puisse tenir ses promesses. Cela était hors de leur champ de compréhension.

Je rappelle ensuite le Russiagate qui a fait pschitt, mené par ce dingue haineux d’Adam Schiff, qui voulait faire croire à la terre entière que Trump est un traître à son pays en étant le caniche de Vladimir Poutine. 2 ans de cinéma au frais du contribuable pour à la fin dédouaner le Président des États Unis. Puis, Adam Schiff, Nancy Pelosi, cette vieille raclure de 80 ans, successeur de Paul Ryan, Speaker of the House, inventèrent une nouvelle attaque contre le milliardaire new yorkais: L’IMPEACHMENT –  sa destitution. Les chefs d’accusation fantaisistes d’un « lanceur d’alerte anonyme » : abus de pouvoir et obstruction au Congrès. Le Sénat acquittait le Président en février 2020. Pschitt encore une fois.

Je me souviens de la déclaration de Stephen Bannon : « Ils ne s’arrêteront jamais ».  Et bien non, ils ne s’arrêteront jamais. Passons donc maintenant à la seconde campagne présidentielle US.

2020, l’Amérique touchée de plein fouet par le Covid 19. Tout est de la faute de Trump qui n’a pas su gérer la crise. Sauf que ce sont les gouverneurs des Etats qui sont responsables de leurs décisions concernant la pandémie. C’est ainsi, pour ne parler que de New York, que le gouverneur Andrew Cuomo, démocrate, prit mauvaise décision après mauvaise décision. 

Ici, l’aveu même de Cuomo de ses impérities. La pandémie est partie de NYC, mais c’est la faute de Trump, bien sur.

https://www.newsbreak.com/new-york/new-york/news/1584419525220/cuomo-says-that-he-takes-responsibility-for-every-bad-decision

Nous avons vu les images et les morts qui se comptaient en nombre.  Encore la faute de Trump. Ajouté qu’on lui accolait le Dr. Antony Fauci, directeur de la NIAID (National Institutes of Health) et membre de la Fondation Bill et Melinda Gates. Nous savons aujourd’hui que cette fondation aussi bénéfique qu’un Georges Soros, veut vacciner le monde entier. L’OMC est aussi membre de cette fondation. En lien.

https://www.gatesfoundation.org/Media-Center/Press-Releases/2010/12/Global-Health-Leaders-Launch-Decade-of-Vaccines-Collaboration

Donc, ce sera le Covid 19 qui devra faire tomber Trump et le Dr. Fauci sera son fossoyeur. Dès lors que Trump déclare son enthousiasme pour la Chloroquine, il est immédiatement démenti dans les médias par le Dr. Fauci transformé en Dr. Faust. Si Trump s’était déclaré anti Chloroquine, la Chloroquine aurait été acceptée … Les rapports entre les deux hommes se dégradent. Et Trump twitte qu’il veut le virer pour avoir déclaré que les morts auraient pus être évités si l’Amérique s’était confinée. En clair, Fauci dédouanait les gouverneurs incompétents pour mettre la faute sur Trump qui avait le pouvoir fédéral d’exiger le confinement plus tôt.

Les pressetituées occidentales suivistes de leurs consoeurs américaines s’en donnaient à chœur joie sur « ce gros incompétent, ignorant, imbécile qu’est ce peroxydé, vulgaire, au mauvais goût insupportable « ! La manœuvre ici, est de lui faire perdre le second terme. L’économie US est au ralenti, le chômage a repris gravement, tout ce qui fit le succès du 45ème Président des États Unis était en train de s’effondrer.  Le Gargantua Trump tient bon, il rend coup pour coup et, comme pour la première campagne, les sondages donnent le fossile, corrompu, Joe Biden gagnant des élections. Il est vrai que la pandémie n’arrange pas les affaires de Trump, puisque l’économie s’épuise dangereusement. Mais, lui le dit, l’Amérique remontera la pente et sera plus forte qu’avant. Il promet un vaccin avant l’élection. Sauf que la Russie vient quelque peu contrarier son projet en déclarant la première,  avoir trouvé un vaccin. Nous voilà revenus au bon vieux temps de la conquête de l’espace entre l’URSS et les USA, sauf qu’il s’agit aujourd’hui de vaccins.  Il entame une guerre économique avec la Chine sur l’application adorée par les jeunes : « TicToc ». Il accuse la Chine, à travers TicToc de vouloir récolter des données sur les Américains et pour arrêter net ce projet, il demande que l’application soit rachetée par une entreprise américaine.

Devant cette résistance hors du commun de Trump, les démocrates commencent à douter de leur champion Biden, qui s’égare souvent lorsqu’il s’exprime devant les caméras. Il a tendance à confondre un grand nombre de sujets, ce qui laisse supposer Alzeimer en marche.

L’ancien maire de NYC, qui a remis la ville en ordre, le célébrissime, Rudy Giuliani, dit aussi « Le Sheriff de l’Amérique »,  toujours bien informé, vient d’annoncer de source services secrets, que l’Iran et la Chine conjointement s’ingèreraient pour empêcher la réélection de Trump. Ce qui serait logique, puisque Biden est leur caniche. Je rappelle le cas de corruption avec la Chine où Biden et son fils ont reçu jusqu’à plus d’un milliard $. Toute la presse US en a parlé l’année dernière.  Mais CNBC anti Trump, anti Poutine, veut mêler la Russie dans ce complot anti Trump. Rien de nouveau sur la Russie. On ne prête qu’aux riches …

 https://www.cnbc.com/2020/08/07/us-intel-russia-trying-to-hurt-biden-but-china-iran-dont-want-trump.html

 

Le plus marrant dans cette affaire, que les pressetituées françaises dissimulent, ce sont les doutes qui envahissent les démocrates, au point qu’un think tank préconise que, si Trump devait être réélu, il faudrait organiser une « Révolution des Couleurs » dans tout le pays. Cela signifierait-il que Trump remporterait encore une fois, contre vents, marées et tsunamis son second mandat ?

 https://ussanews.com/News1/2020/08/08/democrat-think-tank-calls-for-color-revolution-if-trump-wins-election-video/

 

Pour ma part, je le souhaite car une élection Biden signifie le suicide des Etats Unis, la soumission à la Chine, une corruption endémique qui reprendrait et finalement l’enrichissement des kleptocrates du Deep State et de la Clinton Machine. Sans oublier l’affaire du pédophile « suicidé » Jeffrey Epstein, où Clinton est impliqué, puisqu’il a voyagé, c’est prouvé, 26 fois sur le « Lotita Express » vers l’île de rêve de l’affairiste pédophile.  Car, c’est bien de ces enjeux là qu’il s’agit et non du peuple américain, dont les démocrates fossilisés, dépassés par leur extrême gauche islamo-collaborationniste, n’ont rien à faire.

Aucune élection n’aura été aussi intéressante, passionnante et peut-être dangereuse pour le monde en cas d’élection Biden.

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14 Commentaires

  1. @Anne-Marie G. Tout à fait d’accord avec vous.
    D’ailleurs, je m’étais laissé dire que le bonhomme était pressenti depuis de nombreuses années pour se présenter à l’élection suprême et qu’il répondait invariablement qu’il n’était pas encore temps et qu’il lui fallait patienter jusqu’à ce que le pays s’écroule et qu’il lui demande enfin de venir à son secours…
    Là, je crois que le moment est venu et je ne vois pas qui d’autre aurait le punch et la santé pour relever le défi lancé par les anarcho-racisés-indigénistes-bobos-islamo-trotskistes et leur chienlit sanguinaire !!!…..
    Idem pour notre cher pays …Mais là je ne vois que Marion, Ph. de Villiers ou un nouveau Général Franco !
    A défaut, les français devront prendre eux-mêmes leur avenir en mains !

  2. Je souscris totalement à votre conclusion : le salut de notre civilisation occidentale est en jeu avec la prochaine élection présidentielle américaine. Trump a tout compris des enjeux poursuivis et de la manipulation vicieuse des mondialistes. Pourquoi ? Car lui contrairement aux « intellos » est un homme qui a les pieds sur terre et qui a refusé les spéculations les plus idéalistes, flairant derrière elles l’arnaque. Il a sans doute ses défauts, mais ses défauts lui donnent sa force, sa résilience époustouflante et une certaine droiture dans ses convictions. Oui, je sais que parler de droiture pour un milliardaire peut paraître naïf. Ce que je veux dire c’est qu’il croit en ses idées et pour cette raison n’entend pas les changer par opportunisme, c’est sa droiture à lui, d’autant plus évidente qu’il n’a rien à y gagner dans l’adversité quasi unanime qu’il endure depuis sa première candidature présidentielle. C’est son honneur en fait, et l’homme y tient par fierté, montrant une rare indépendance d’esprit. Tous les intellos qui font l’opinion ne sont en fait que des carriéristes moutonniers épris de servitude bien plus que de liberté. Trump est à ma connaissance le seul dirigeant capable de se battre seul contre tous pour ses idées personnelles dans la mesure où elles lui semblent les mieux fondées. Je ne compte pas Poutine dont le pays ne fait pas partie du monde occidental.

  3. J’espère que TRUMP sera réélu, le seul président efficace, compétent et honnête,
    face à la fange islamogauchiste qui ne recule devant aucune vilenie, aucune compromission, aucun mensonge bien ficelé, et qui se permet d’organiser le chaos dans les rues des métropoles quand le résultat des votes ne lui plait pas.

    ah ! oui ! j’oubliais, si Trump déclare les antifas comme groupe terroriste, ça va chauffer pour eux en France également

    VIVE TRUMP Longue vie à TRUMP !!

  4. Hé oui, même une bonne partie des républicains s’est opposée à Trump, mais pour la bonne raison qu’ils sont, soit issus des clubs de milliardaires qui souhaitent toujours plus de mondialisation pour plus de profits personnels, soit ils représentent cette masse de veaux satisfaits de leur sort grâce au télé-travail ou à des opportunités de carrière dans le digital ou autre branche du tertiaire, ou du secteur public où ils ne sont pas encore concurrencés par les envahisseurs ou menacés par les délocalisations …
    Trump a raison comme avait raison JMLP depuis 50 ans : le danger numéro 1 pour les Etats, c’est l’immigration-invasion qui résulte de l’explosion démographique de la planète !
    Le pire étant celle se conjuguant avec l’esprit de conquête comme l’islamisme.
    On le voit bien en France : 45 milliards € de fraude sociale prouvée + l’insécurité + le vandalisme+ la crétinisation du système éducatif + l’hôpital pour le monde entier + le travail au black ou « détaché »+ toutes les autres fraudes en tous genres (faux diplomes etc…voyez d’où viennent les nouveaux médecins s’installant en France etc…) Avec tous les effets induits, ce boulet doit peser pour au moins 200 milliards d’euros !!!..
    Collonia : merci pour votre article qui est extrêmement intéressant. Il ne faut pas se laisser décourager par un avis contraire. C’est le débat qui permet de se construire des convictions.
    Hasta luego !
    Un populo-francouillard, fier de l’être et qui entend le rester !

  5. @Richard. Gestion désastreuse d’Obama, cf entre beaucoup d’autres choses l’Obama care. Les indicateurs économiques américains ne pouvaient en aucun cas être à la hausse à la fin de son mandat. C’est bien Trump qui a remis sur rail l’économie américaine. Quant à la réputation à l’international … Qui la fabrique de toutes pièces ?
    Pour une réelle compréhension de l’action de Trump, lire par exemple Guy Millière sur Dreuz.

  6. Collonia-agripinensis/ Je vous ai compris e je partage totalement votre analyse sur TRUMP

  7. Mais non Christine… Lorsque Obama confie les clefs de la Maison-Blanche à Trump, tous les indicateurs économiques américains sont à la hausse et la crise de 2008 devient un mauvais souvenir. L’administration Trump n’a fait que prendre le relais, de ce point de vue son bilan paraît satisfaisant. Historiquement, jamais autant de Républicains ne se sont opposés à leur propre leader, voilà qui fait réfléchir… Et n’oublions pas une réputation à l’international à la baisse, surtout en Europe. C’est pourtant l’une des tâches essentielles d’un gendarme (du monde) à New York.

    Bah Christine, laissons les Yankees se débrouiller entre bandits ! Nous avons la France, à nulle autre pareille. Mais hélas nous ne connaissons de patriotisme qu’en temps de guerre mais pas (encore) en temps de paix.

    France OK, USA KO

  8. Je soutiens votre réponse à Richard chère Christine. Quels étaient les électeurs de Trump en 2016 ? Pas les citadins n’ayant pas besoin d’aller à l’usine pour gagner leur vie, mais ceux qui n’avaient plus d’emploi parce que leurs usines étaient parties au Mexique, en Chine ou ailleurs. On se retrouve aujourd’hui dans la crainte de la même situation à cause du coronavirus que nous devons aux apprentis-sorciers d’un labo chinois. La victoire des démocrates en novembre avec un programme d’augmentation d’impôts, d’un tas de choses gratuites (à payer par les contribuables), d’ouverture des frontières et autres programmes socialistes, estimés à plus ou moins 10 mille milliards de dollars, faisant, comme avant Trump, des milliers de chômeurs et mettant l’Amérique sur la voie suivie par l’Europe de l’Ouest et la France en particulier. Si les Français sont en bonne partie endormis, je souhaite que les Américains voient rapidement le danger, oh bien sûr, toujours pas les citadins qui ont de bons emplois, pouvant même travailler de chez eux, pas les « stars » d’Hollywood bien à l’abri dans leurs immenses propriétés, pas les milliardaires de Silicon Valley qui se permettent de censurer selon leur bon plaisir. La candidate à la vice-présidence, Kamala Harris, qui traitait Joe Biden de « rapist » (violeur) durant les débats des démocrates pour la présidence, a certainement été catapultée par des démocrates influents et non pas choisie par Biden, lesquels voulaient une noire à ce poste. Kamala Harris est partie Indienne (d’Inde) et partie jamaïcaine, curieux non? Mais cela en fait une noire car, côté Jamaïque, elle aurait un ancêtre esclave noir… Kamala Harris est très gauchiste, anti-Israël et en faveur de tout ce qui a mené la France là où elle en est aujourd’hui. Elle est tout simplement socialiste. Alors oui, j’espère que ceux qui ont voté pour Trump en 2016 vont voir le danger et non pas s’abstenir comme les Français, outre la communauté noire qui, de 8 % en 2016, voterait en novembre pour Trump à hauteur de 30 % (40 % selon certaines rumeurs). Le danger reste immense car les démocrates vont utiliser tous les coups bas (dont le vote par courrier ouvert à toutes les fraudes) pour tenter de gagner, avec l’aide financière des Soros, Bill Gates et compagnie.

  9. Je me demande pourquoi je m’emmerde à publier des chroniques qui ne sont même pas comprises par les lecteurs. Vu les commentaires, sauf le dernier.

  10. N’oubliez pas le bouquin de Mary Trump, la nièce du président américain : « Trop et jamais assez », le clou de l’été ! Psychologue de formation, Mary y présente un Donald menteur pathologique et narcissique à souhait : c’est (ce serait, pour ses fans) l’homme le plus dangereux au monde. L’ouvrage paraitra en langue française en octobre 2020.

    En 2016, Trump avait l’avantage de la fraîcheur et de l’effet surprise MAGA, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui… Biden est un vieillard et Trump ne s’y connait en rien. Ces deux candidats sont à ce point médiocres que la courte paille devrait en décider.

    • @Richard

      « menteur pathologique et narcissique à souhait… »
      : tiens, c’est la description parfaite de Macron !

      Je n’ai pas une haute idée de Trump comme je ne suis pas fan non plus des Le Pen. Mais vers qui se tourner ?

      Si les Américains votent Biden, ils seront bouffés par la gauche racialiste, antiBlancs, immigrationniste, antisioniste, néoféministe… Ce qui nous pend au nez d’ailleurs en 2022…

      Par défaut, je préfère ceux qui défendent mes intérêts.

    • Richard vous racontez des mensonges éhontés sur Trump, qui a relevé l’Amérique, fait baisser le taux de chômage et rendu une Amérique forte dont ils peuvent être fiers aux Américains. Pour quelqu’un qui n’y connaîtrait rien, il est assez doué !

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