En lisant l’article qui suit, mon estomac se tordait et se nouait. J’avais l’impression de lire le scénario d’un film d’horreur (je ne regarde jamais les films d’horreur qui représentent pour moi le summum de la perversité).
Cet article démontre qu’il y a effectivement eu crimes, assassinats et meurtres volontaires durant ces trois mois de covid 19, de confinement et de gâchis épouvantables.
Pour moi c’est simple: Si les coupables (Macron, Olivier Veran, Jerome Salomon, Agnes Buzin et tant d’autres) s’en sortent après leurs homicides volontaires ce sera la preuve définitive d’une pourriture irrémédiable, irrécupérable et irréparable de l’État francais. Ma conclusion personnelle sera la révolution ou l’exil.
Un État qui tue délibérément ses citoyens ne mérite pas de vivre!
Sarah Cattan. “Je ne pouvais les laisser mourir”, témoignage du Docteur Jean-Jacques Erbstein
Un médecin raconte. Un médecin dénonce, prévient la Fiche Editeur, à l’adresse de ceux, trop nombreux, qui en feraient… un copié-collé. Un pamphlet pour lever l’omerta médicale, c’est ainsi qu’est présenté le témoignage de Jean-Jacques Erbstein, médecin généraliste à Créhange et auteur que nos lecteurs connaissent déjà.
Là où d’aucuns, ad nauseam, cravatés et costumés, sont venus quotidiennement nous abreuver de commentaires insupportables de certitudes alors qu’ils se tenaient loin, bien loin du Front, Jean-Jacques Erbstein, lui, parle depuis son Cabinet de province, que nous avions déjà pénétré mais devenu aujourd’hui champ de bataille où ceux que notre Président a affublé du titre de guerriers ont dû se battre, oui, mais à mains nues : Je ne pouvais pas les laisser mourir, répète le Doc, fustigeant ce confinement digne du Moyen-Âge décidé pour cacher l’incurie d’un Gouvernement qui avait confisqué à ses médecins les moyens de soigner leurs patients.
Une Préface… qui flingue
La Préface du sociologue Samuel-Jehan Tarain donne le La et flingue la sémantique guerrière présidentielle du 16 mars, qualifiée d’élucubration à fantaisie douteuse, inappropriée, grossière, ridicule au vu des moyens déployés par un banquier qui ne trouva, mal conseillé qu’il était, qu’à enfermer son peuple et… le fliquer, la chose exhortant l’auteur de la Préface à s’engager et témoigner sur l’éthique faite de bon sens et humanité de ces médecins ordinaires qui voulaient simplement … soigner les gens.
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De … Dépister Isoler Traiter à… un confinement aveugle
Et d’évoquer cette seule et même stratégie, DépisterIsolerTraiter, portée au départ par un grand patron marseillais duquel il fallut vite taire le nom sous peine d’être taxé de croyant fanatique.
C’était sans compter sur la doxa politico-médiatique qui vota, sous prétexte d’un manque de moyens et d’une fausse controverse idéologique sur le choix scientifique des traitements, pour un confinement aveugle, et usa d’un rouleau compresseur pour condamner chacun à l’inaction pendant que le compteur des morts augmentait, notamment dans l’Est, soignés que nous étions par des décideurs politiques escortés de leurs obscurs conseillers scientifiques.
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La dialectique des 4 D: Dodo, Dolicétamol, Domicile, Décès
Alors que Champ de bataille sanitaire et Guerre de l’information sévissaient de concert, le Docteur Erbstein, confronté à une dizaine de pertes, devait dénoncer par la suite la dialectique des 4 D, Dodo, Dolicétamol, Domicile, Décès.
Le ton est donné : le bon sens était devenu folie, la mode écervelée était aux essais randomisés en plein pic épidémique, et étaient intimés au silence ceux qui ne pliaient pas devant les paroles recrachées des ronds de cuir courant les plateaux TV, dont chacun sait les conflits d’intérêt, et cela même lorsque lesdites paroles étaient la caricature-même de la contradiction de ce qui avait été professé la veille.
Face à un contexte cruellement binaire pour les patients démunis – soit on était soigné, soit on ne l’était pas -, quelques généralistes de cette corporation abandonnée montèrent au créneau, mus par le dessein commun de soigner en bonne intelligence. Ce qui ne fut pas rien, au vu des interdictions de prescrire et autres menaces à braver, venues … d’une sombre hiérarchie médicale.
On les appela les médecins renégats, ceux qui, pour sauver les patients en détresse, optèrent pour un protocole de peu : dépister et prescrire un vieil antibiotique macrolide associé à du zinc, et qui de surcroît communiquèrent sur leurs pratiques, ce qui… devait leur en coûter, à ces téméraires.
Les portes du cénacle médical ont volé en éclats, commence JJ Erbstein, évoquant, face à un spectacle médiatique trop souvent affligeant, celui qui s’offrait en parallèle au patient : l’effondrement de ladite omniscience des médecins.
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La mort du concept de confraternité hippocratique
Pendant ce temps, des professionnels de santé, toutes catégories confondues, partirent affronter à mains nues un ennemi implacable et inconnu, découvrant de concert la mort du concept de confraternité hippocratique, mort concrétisée par un déferlement de haine, dédain et mépris d’une violence indicible asséné par des gardiens autoproclamés de l’orthodoxie scientifique et réunis avec leur Cour en un nouvel attelage au nom de quelque vertu médicale qui allait clouer au pilori et vouer au bûcher ces impudents devenus expérimentateurs se servant de leurs patients en guise de cobayes.
Faisant fi d’une urgence inédite, les contempteurs réclamaient des preuves au nom de l’orthopraxie médicale et de l’Evidence Based Medicine, comme si les nouveaux dissidents avaient perdu toute raison, et alors que tout simplement, tout en respectant les préceptes du primum, non nocere, et s’en référant au Sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme d’un Rabelais, décidèrent, ici, de prendre en charge de manière raisonnée la souffrance du patient-humain. Histoire de rester, fidèles à Hippocrate, dignes d’estime.
Hélas, ces mots supposés être publiés au titre de Tribune tissée à plusieurs mains, ce rappel que le rôle du médecin est de soigner, ne trouva pas preneur.
Ça ne fut pas qu’une … banale formalité
Après avoir redit que la séquence Covid-19 avaient rappelé à chacun sa qualité d’Homme pétri de doutes et d’ignorance, – la chose fut assez rarement énoncée si limpidement- , Juste un rien face à une vulgaire forme protéique de quelques microns d’une redoutable intelligence autonome, un vulgaire moucheron qu’un doigt dédaigneux se faisait loi d’écraser, et refait l’historique de ce qui ne devait être qu’une banale formalité, après avoir rappelé le contexte et nos préoccupations franco-françaises, avoir redit notre suffisance face aux images qui se faisaient un brin inquiétantes mais encore notre idéologie européiste, Jean-Jacques Erbstein, Européen convaincu, fustige le dogmatisme inconscient du monstre chtonien et kafkaïen qui avait fait de l’Europe protectrice une union spoliatrice et stigmatisante, dont chaque membre y alla de sa stratégie thérapeutique, laquelle aboutit à une impéritie collective qui, non contente d’avoir prouvé combien peu nous avions appris du passé, peste noire et autre SARS-CoV-2, ne s’interrogea que peu face à une Chine qui se figeait, et moque un fief exécutif français, suivi de sa cour servile, qui affûtait sa doxa pseudo scientifique, mensongère, cynique et lénifiante, regardant de haut, de très haut, ces trop rares visionnaires qui, faisant fi du discours officiel et rassurant des médecins de plateaux, prenaient au sérieux les infos alarmantes venues d’une Chine qui commandait des milliers de sacs à cadavres ou d’Israël, état connu pour la gestion de la sécurité de son territoire.
D’un côté on vota alors qu’en face on parlait d’intubations par le ventre, de cluster et cytokine.
On vota alors que le prétendu meilleur système de santé du monde menaçait de se collapser.
On vota donc, flirtant avec un micro-organisme d’une rare contagiosité.
Lui, Jean-Jacques Erbstein, alla voter, protégé d’un FFP2 périmé, inquiet de ce vent de pestilence qui venait de lui ravir 4 morts en 6 jours.
A qui a profité ce crime
A qui a profité ce crime, interroge-t-il à propos des masques inexistants et évoquant une France qui abandonna ses médecins de ville et ses paramédicaux, équipés par du tout-venant apporté par lesdits patients qui se mobilisèrent, l’un venant avec 3 masques, cet autre avec du gel fait maison et celui-là avec des gourmandises, élevant une barrière d’amitié et d’affection pour soustraire leur doc à ce virus.
Si JJ Erbstein rapporte comment lui et ses collègues, armée de va-nu-pieds, partagèrent entre eux ce trésor de guerre, dans des cabinets et hôpitaux devenus tranchées où ils se battirent presque à mains nues, il raconte avec une sobriété implacable le tri qui dut s’opérer, respirateurs aussi faisant cruellement défaut alors que s’égrenaient à longueur de media des promesses de matériel qui n’arriva jamais et que, par la faute d’un gouvernement sourd, moururent dans l’indifférence d’un silence assourdissant médecins, patients, et anciens des EHPAD, faute de protection efficace.
Amer, le généraliste, face à ce qu’il nomme malhonnêteté, parle de scandale d’état, et, à l’encontre des travailleurs de l’ombre qui œuvrèrent sans armes, d’une dette dont nul ne pourra jamais s’acquitter, une médaille en guise de remerciement reflétant l’indécence gouvernementale : des comptes devront être rendus.
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Un confinement à la française ou à la jésuite. Ou à la Pyrrhus
Se livrant alors à un listing des diverses stratégies adaptables face à une épidémie, allant des mesures thérapeutiques visant à une immunité signifiante pour arriver au testing, le médecin de Créhange en arrive à cette dernière solution venue du Moyen-Âge, le confinement, cette mesure protectrice du pauvre et qui donna, dépourvus de masques et tests que nous étions, un confinement à la française ou à la jésuite. Ou à la Pyrrhus : nous y voilà, dans cette France pétrifiée. Comme dans un conte de Charles Perrault. Une France en guerre, où on ne regardera pas à la dépense. Montés au front, seuls les soignants, et puis Eux, indispensables à notre confort, ces transparents qui soudain deviennent respectables, ces héros que viennent désormais saluer des salves d’applaudissements.
Savez-vous qu’Ils les trouvèrent … insultants, déplacés, nos rires, nos apéritifs virtuels et autres tentatives de légèreté, alors qu’Ils en bavaient, Eux, repliés sur leur douleur, collés, voire scotchés, à leurs lieux de travail et à ces lots de souffrance où Ils luttèrent tant et tant pour ce combat essentiel à la survie de l’humanité qu’ils ne les retrouvaient plus, leurs marques, dans le quotidien des autres.
Savez-vous qu’ils en regrettent l’indécence, de ce mouvement épidermique de colère, qu’ils le trouvent injuste, tant ils incriminent la seule gabegie gouvernementale et son imprévoyance crasse qui a laissé périr notre système de santé.
Ne sont pas oubliés les statistiques morbides, les funérailles à l’arrache, les amis morts en solitaires.
Mais encore les recommandations édictées à l’envi par pontes et autres mandarins qui dictèrent, ignorants de la médecine humaine, les mêmes directives, intitulée Doctrine, et qui répétait qu’il fallait bien accepter que nous ne puissions traiter cette maladie.
J’ai laissé mourir des patients sans rien tenter et je le regrette au plus profond de mon être
Je fus un de ces bons petits soldats. J’ai appliqué cette doxa mortifère, j’ai laissé mourir des patients sans rien tenter et je le regrette au plus profond de mon être, confesse Jean-Jacques Erbstein.
Evoquant alors le vent marseillais de la révolte thérapeutique, l’antipaludéen de synthèse qui opacifia encore plus un débat médical nourri d’études antithétiques, les inepties engendrées sur les réseaux sociaux où s’affrontaient désormais et s’affrontent encore deux types de contradicteurs, comparant la chose à un derby PSG-OM, interrogeant s’il valait mieux rester dans un avion en flamme ou sauter avec un matériel de sauvetage jamais testé, JJ Erbstein, adepte d’une médecine fondée sur les preuves, alors qu’après une longue réflexion, il penche, lui, du côté de l’azithromycine, une alternative sans danger, voit se fissurer ses certitudes. S’installer le doute.
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Comme souvent, en médecine, la solution se trouve au centre, écrit-il, et c’est un soir de mars, face à une patiente en détresse respiratoire et que les Urgences ont décidé de trier, que notre médecin décide de prescrire de l’azithromycine, se faisant charlatan pour avoir choisi d’être un paria plutôt qu’un assassin : le voilà affublé de tous les noms d’oiseaux pour avoir, lui, prescrit la désormais célèbre choucroute de Moselle et comparé par un confrère à… un Mengele, le tout étant relayé par la presse locale qui fit de ces quelques médecins généralistes des vedettes médiatiques bonnes … soit pour le gibet, … soit pour la Légion d’honneur.
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Azithromycine et … convocation
L’azithromycine fait ses preuves chez des malades condamnés à finir sous un respirateur. Ils sont 3 à comptabiliser ainsi 200 patients traités sans hospitalisation. Peut-être auraient-ils guéri seuls, veut bien reconnaître notre médecin, ajoutant : au moins nous aurons dompté leurs symptômes.
L’interview qu’ils consentirent à la presse et qui leur fut et leur est tant reprochée, ô comble de l’indécence ?
Il leur avait semblé éthique, à ces 3 médecins travaillant au cul des vaches, de partager d’encourageantes conclusions observationnelles, d’inviter à des études qui les confirmassent, d’offrir en somme une éventuelle voie alternative au traitement du Professeur Raoult. Ils le revendiquent, le droit et le devoir de tenter quelque traitement novateur, puisque guerre il y avait, et que ces trois-là ont tenté … d’endiguer une épidémie et le sabotage de l’économie mondiale par… un traitement à 8 euros qui de surcroît présentait l’avantage inestimable de choisir … l’humain.
Copieusement insultés mais parallèlement encouragés par moult confrères et chercheurs, s’ils apprirent que l’Azithromycine allait être testée dans l’étude PrepCovid, et alors qu’eux-mêmes craignent encore qu’aucune étude n’arrivât jamais à trancher, ne les voilà-t-il pas, – on se croirait chez Molière-, tancés et convoqués par un Conseil de l’Ordre des Médecins lequel brilla par son absence durant cette crise où périrent … de leurs membres.
Rappelant que la liberté de prescrire est inscrite dans le marbre, Jean-Jacques Erbstein évoque des logiques comptables qui le dépasseraient. Se demandant s’il allait, avec d’autres, être sanctionné par ledit Conseil, le docteur de Créhange répond qu’il s’en moque : le médecin sera peut-être blâmé, mais l’homme restera digne, écrit-il, juste avant d’asséner un coup fatal à un Etat mauvais tacticien qui gère à la petite semaine les urgences sans y répondre.
Pour info, Jean-Jacques Erbstein, auteur, a publié L’Homme fatigué, ( Prix Littré ), Le Blues de la blouse blanche ou les tribulations d’un médecin au Pays des malades, Les Voyages de Philibert. 1915 – Les amoureux des Deux Magots.
Je ne pouvais pas les laisser mourir. Le cri d’un généraliste en guerre, est paru chez JDH Editions, Collection Uppercut
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Merci Edmond de ce post concernant un petit livre de 7,95 euros qui est numéro un des ventes. Je le conseille à tous car c’est un livre écrit avec les tripes d’un Homme qui mérite le respect et fait honneur à son serment. Chez le même éditeur et pour moins de 5 euros vous trouverez l’excellent » Coronavirus, la dictature sanitaire » de Yoann Laurent-Rouault, Alain Maufin
Imagine, le médecin qui doit se justifier de choisir de ne pas laisser mourir ses patients. Il aura contrarié Macron qui est le lèche-botte le plus zélé du monde de Bill Gates et ses vaccins. Macron zélé jusqu’à interdire tout traitement afin de rentrer dans les clous de Bill Gates pour favoriser l’imposition d’un vaccin, pourvu qu’il y ait le plus de malades graves et de morts possibles pour que le peuple à genous mendie le démoniaque vaccin. Les vaccins coronavirus font partie des vaccins renoncés car ayant démontré le défaut de provoquer un degré de maladie non naturel ultra agravé chez les vaccinés lorsqu’ils sont exposés au microbe.
Laurent Alexandre ? son regard me fait peur – ses convictions sont aussi laides que son visage ingrat.
Sacré travail. Merci Edmond !