Le Résistant puise sa force dans sa haine de l’ennemi ; le soumis ne connaît que la haine de soi

Sculpture restaurée « La Marseillaise » ou « Le génie de la patrie » du Dijonnais François Rude, Arc de Triomphe de Paris.

 

Haine contre culpabilité

Faisons ici l’éloge de la « haine » : nous devons reconquérir l’envie de détruire l’ennemi coûte que coûte. En cultivant la haine pour nos ennemis. En réservant l’amour pour les nôtres.


Le soumis refreine tout sentiment de haine envers ses ennemis objectifs et refuse la lutte.

« Vous n’aurez pas ma haine »  dit-il, se retrouvant désarmé  face à l’ennemi, tournant le dos à la menace et laissant les autres aller seuls au combat.

 

Le soumis croit dur comme fer que l’Occident doit racheter ses fautes. Dès lors,  il se sent coupable de tous les maux. Du réchauffement climatique, de la traite négrière,  des colonies, du taux de criminalité de ses protégés, de ne pas avoir fait assez pour les musulmans, de ne pas donner assez aux banlieues, aux migrants et à la Terre entière…

La conséquence de ce sentiment de culpabilité, bien entretenu par les médias et diverses officines activistes, sera naturellement l’altruisme pathologique envers ces populations pour lesquelles il s’imagine devoir tout sacrifier. Le Résistant se sacrifie. Le soumis sacrifie les siens.

La première menace pour notre survie est la culpabilisation des Européens, maladie psychique collective qui nous empêche de défendre notre identité et nos frontières y compris face à nos ennemis déclarés…

La pire menace est en réalité notre dépression collective et notre haine de nous-mêmes…(source article du Figaro)

 

Face à nous : la haine de l’identité française (les anti-France, les islamos, l’islamo-gauchisme, les mondialistes…).

 

France 2 à la « mode djihad »: Pour « La nuit du Ramadan » la chaîne a invité en 2015 le rappeur islamiste Médine qui prône le djihad…

 

Le combat commence dans nos têtes

Les Résistants n’étouffent pas la haine qu’ils éprouvent : la haine est pour eux un levier, une arme.

Haïr nous permet d’exorciser notre sentiment de culpabilité, de cesser enfin  d’être un soumis.

Ceux qui veulent nous obliger à aimer nos ennemis, à étouffer toute haine en nous, savent parfaitement que la haine est un précieux et puissant carburant. En nous interdisant la haine de nos ennemis déclarés, ils se rendent coupables de ce que l’on pourrait appeler de l’  « incitation à la soumission », ce qui est rien de moins qu’une trahison.

Ce n’est pas un hasard si les puissants veulent précisément  punir la haine, notre haine. Pas dans le domaine des goûts et des couleurs. Mais bien la seule haine qui compte : la haine que nous éprouvons légitimement  pour les  tous ennemis de la France quels qu’ils soient, la haine du fascisme islamiste et des totalitarismes,  la haine de ceux qui veulent nous remplacer et nous faire disparaître.

 

La détestation et la férocité sont les  « moteurs psychiques » du Résistant

Toutes nos émotions sont utiles : la peur nous avertit d’une menace, la tristesse nous aide à traverser nos pertes, etc.

On a du mal à envisager que la haine, élaboration post-émotionnelle, puisse servir à autre chose qu’à détruire, y compris celui qui la nourrit.

Haïr, avec son lot de pensées obsédantes et ruminations, permet de dépasser sa propre vulnérabilité.

Haïr peut parfois, dans les situations extrêmes,  juste permettre de ne pas s’effondrer, de garder du «jus» psychique, de rester vaillant.

Et quand elle vise un ennemi objectif, la haine est une énergie particulièrement mobilisatrice et bénéfique.

La haine est une aussi souffrance, douleur : le soumis s’arrange pour anesthésier cette douleur par tous les moyens.

En résumé, à quoi reconnaît-on un soumis ? 

 

Quelles sont les différences fondamentales entre Résistants et soumis ?

Le schéma ci-dessous esquisse les  grandes oppositions entre Résistants et soumis  (développement dans la suite de l’article en Pdf).

 

Suite de l’article en document Pdf (Suite de l’article ici).

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22 Commentaires

  1. @Soudibor,

    Bonjour,

    Eh bien oui ! pour vaincre l’injustice, il faut lutter en se méfiant de la haine, de sa propre haine, car elle n’est pas toujours synonyme de force, d’impartialité, de courage, ni même de résistance. Elle mène à l’aveuglement, à ne plus faire la différence entre les responsables et les innocents comme l’a signalé Martin Gray dans son livre au nom de tous les miens. Il a refusé de se comporter envers les allemands comme les nazis avaient agi envers les juifs.
    N’oublions pas que Mein Kamph où Hitler expose ses idėes de cinglé, est un livre de haine.
    Le résistant dans le chant du partisan dit la haine à nos trousses, signifiant ainsi que le bourreau hait tout et tout le monde tout en se haïssant lui-même.
    Mon père n’appréciait probablement pas le peuple allemand mais il ne les haïssait pas.
    Amitiés

  2. Effectivement on a pas besoin de la haine de soit la haine des autres suffit !
    Il faut s’en nourrir pour mieux se défendre .
    De toute façon je ne crois pas aux gentils tout plein, leur haine existe bel et bien mais ils savent mieux la dissimuler . Ce sont les pires!
    Heureusement que certains Français sous l’occupation avait une certaine haine pour l’occupant !!! C’est bien celle_ci qui a été reprise à leur compte par tous les partis de gauche devenus anti haine depuis!!

    • Haïr l’ennemi est lui faire trop d’honneur tout en se rabaissant, et un sort trop doux pour lui. Le neutraliser et obtenir réparation en épargnant un maximum d’innocents est le but à atteindre.

  3. @frejusien,

    Ne spéculez pas sur la vie des autres car vous ne connaissez pas mon orientation politique, je suis le fils d’un résistant qui a rejoint les forces françaises libres pendant la seconde guerre mondiale, et j’ai vécu dans un pays musulman.
    Je vous laisse la responsabilité quant à la notion de sainteté.
    Je n’apprends rien à personne en disant que les djihadistes réclament vengeance et non justice et qu’ils n’y vont pas de main morte comme nous l’avons tous constaté.
    Les anciens avaient raison quand ils disaient de neutraliser son ennemi et de demander justice sans haïr. Ils savaient que la haine et la vengeance peuvent être motivées par la jalousie (entre autres) et non par la volonté de réparation. Ils n’ignoraient pas que la haine et le désir de représailles détruisent le vainqueur comme le vaincu.
    Cependant je n’approuve pas le comportement moutonnier, le destin du mouton est d’être tondu et de finir à l’abattoir.

  4. il suffit de chanter la Marseillaise : tout est dedans et autorisé , enfin… pas encore fédendu…

  5. Toute la force des gauchistes est engagée dans ce combat qui consiste à désarmer complètement nos pauvres compatriotes, autant sur le plan matériel (contrôle des armes) que sur le plan moral,

    ainsi quand les manipulateurs demandent aux familles de victimes de ne pas haïr, ils usent de la grosse ruse qui consiste à élever le rang de celui qui pardonne, au niveau des saints hommes, du genre  » on ne va pas s’abaisser au niveau des agresseurs  »

    « on », càd le pouvoir de gauche, sait très bien qu’il va les réduire à l’état de choses soumises, prêtes à s’offrir en victimes , au prochain attentat,
    l’essentiel étant d’étouffer toute velléité d’autodéfense, en supprimant la haine légitime

  6. @paco,

    La haine peut être irrationnelle et mener au désir de vengeance laquelle mène à l’impartialité. Pensez à tous les avocats et jurés qui se font insulter voire menacer parce qu’ils ne cèdent pas au désir de vengeance des accusateurs.
    Le serpent ne hait pas sa proie et en principe celui qui le neutralise ne hait pas l’animal, mais l’acharnement sur les animaux par haine et vengeance est injuste.
    Refuser la haine ne signifie pas confondre miséricorde et complaisance.
    La haine nous ravale au rang du bourreau que l’on dénonce.

    • Bonjour,
      Vous avez le droit de ne pas vouloir, vous-même, céder à la haine, pourquoi pas, c’est votre droit, mais en face de vous vous avez des gens qui, eux, vous haïssent, qui veulent vous détruire, vous éliminer; pour vous ce ne sont pas vos ennemis et vous ne les haïssez pas, soit … mais eux ils vous haïssent, et vous, vous êtes leur ennemi. Comment lutter sans haine, comment combattre sans colère, contre quelqu’un qui veut vous détruire ? Les samouraïs, ou les maîtres d’arts martiaux, peuvent vous donner une piste. Dans leur code de conduite, de contrôle de soi, et surtout, d’efficacité, ils respectent l’adversaire, ils le saluent avant le combat, mais ils le combattent, avec courage et détermination, et ils l’éliminent. La haine, la colère, sont des moteurs utiles, mais quand on n’en a pas, ou qu’on en veut pas, il faut se rabattre sur la maîtrise à froid, sur la détermination. Et pour cela il faut … du courage! C’est ce courage qui manque le plus à notre époque, comme l’a bien analysé Soljenitsyne. La bonne nouvelle c’est que quand on a perdu le courage, on peut le retrouver. Il y a des exemples dans l’histoire. Bien sûr, à notre époque, tout est fait pour nous décourager, et en particulier pour décourager la jeunesse. Nos ennemis ne sont pas fous, ils savent très bien ce qu’ils font. Allez, courage, malgré tout ! Et bonne journée à vous.

    • La haine EST irrationnelle. Et la vengeance et tout ce qui s’ensuit ! Mais comme l’explicite bien Sodibor, à un moment donné, c’est la peur ou la haine. L’impartialité c’est pour un temps de paix !

      • @Paco

        C’est la peur ou la haine (?). C’est la peur qui engendre la haine !
        Demandez à ceux qui sont ou ont été victimes d’une justice expéditive (charia, polittbüro, gestapo) si l’impartialité doit être réservée au temps de paix.

  7. Sinon, l’impartialité, dans un tribunal, si ça existe, oui, bien sur !😁

  8. Je ne perçois pas comment il est possible de concilier la haine avec l’impartialité.

    « Œil pour œil rend tout le monde aveugle,
    La voix humaine ne pourra jamais couvrir la même distance que celle de la petite voix silencieuse de la distance »
    Mahatma Gandhi

    Le djihadiste qui hait tout et tout le monde y compris lui-même ne cache pas ses intentions: tout casser!
    Aimer son ennemi ne signifie pas (à mon avis): passer outre tous les abus mais traiter avec justice celui qui nous a nui, et non vouloir se venger sur la terre entière.

    • L’impartialité, c’est un truc à la noix ! Je vois un serpent sur mon chemin, je fuis ou je le tue. Point barre ! L’impartialité est un truc d’intello ! Dans la plupart des moments de « la Vraie Vie ! » Sans vouloir vous offenser !

      • @Paco,

        Demandez à ceux qui ont eu affaire à un tribunal douteux et orienté si l’impartialité est un truc d’intello?

        • On parle de résistant, de haine et d’ennemi, en l’occurrence. Dans ce genre d’histoire, ça se termine vite par tuer, être tué ! Où se trouve la place de l’impartialité ?

  9. La déclaration: « Vous n’aurez pas ma haine » déclenche chez moi une réaction de révolte. Je repense à Nice un 14 juillet 2016, à ces enfants,ces hommes, ces femmes, massacrés par la vermine islamiste; aux familles de ceux qui ont été égorgés et à ceux qui le seront par cette déjection humaine. La honte pour nous c’est cette république qui à favorisé la construction plus de 2000 mosquées… où des égorgeurs de préfecture discutent de leur récompense dans le lupanar d’Allah. Le « vous n’aurez pas ma haine » c’est l’invitation à la soumission.

  10. comme disait un manifestant britannique brandissant sa pancarte « I hate who I want ; », « Je hais qui je veux ».

  11. Merci pour ce PDF. Je cherche a connaitre la psychologie du gauchiste.
    Savoir pourquoi il y a des traîtres et des résistants.
    Un sujet a exploiter et passionnant.
    Je le ferai tourner…

  12. AMOUR ET HAINE NE SONT PAS CONTRADICTOIRES, PAR EXEMPLE:
    J’ AIME MA HAINE

    • Moi également:
      Je hais ce minable qui n’a que l’excuse et le dénigrement de son peuple à la bouche.
      Je hais ceux qui ont tué des milliers de nos jeunes camarades, dont certains ont été enterrés la nuit, à la sauvette.
      Je hais ceux qui ont effectué des razzias sur les côtes de Méditerranée pour y enlever des esclaves sexuelles.
      Bref, je hais ceux qui nous pourrissent la vie depuis près de 1500 ans, et n’en auront jamais assez de tout détruire ce qu’ils touchent sans jamais rien apporter d’utile.

  13. Très intéressant. Pédagogique ( au bon sens du terme!)

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