Les scientifiques sont formels, c’est dans les lieux confinés que le coronavirus se propage…

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Vu tout ce que l’on a entendu et vu depuis des mois, on se méfie des affirmations, doctes ou pas des prétendus experts et scientifiques, mais il n’est pas inintéressant d’en prendre connaissance.

Où l »on découvre ce que Raoult et quelques vilains petits canards de la presse de ré-information se sont tués à dire… le confinement, c’est pire que tout. Et les pays qui n’ont pas confiné s’en sortiraient mieux que les autres.

Il est vrai qu’on n’a pas eu le choix et que c’est faute de masques, de tests, associés à l’interdiction du seul médicament soignant, la chloroquine, que les dégénérés ont décidé de restreindre nos libertés, montrant un grand show chaque soir avec le croque-mort Salomon chargé de faire naître la terreur dans chaque foyer.

Démonstration dans cet article des Echos qui confirme que le fait d’avoir enfermé les personnes âgées dans les Ehpad, forcées de rester entre elles, avec uniquement les soignants a été plus que propice à l’épidémie/hécatombe  qui a frappé les maisons de retraite… Quand on pense que les tarés de von der Layen et Macron voulaient, fut un temps, confiner les plus de 65 ans jusqu’en décembre… On a peut-être eu la chance que Brigitte en ait 67…

Où l’on découvre que l’on ne risque pas grand-chose en croisant des gens dans la rue ou chez le boucher – ou à la plage-, même sans masque, mais que dans les écoles, collèges, abattoirs et hôpitaux c’est pas gagné… Mais ils ont fait rentrer nos gosses avant tout le monde…

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Coronavirus : les situations dans lesquelles le risque d’infection est le plus élevé

Au fur et à mesure de la progression de la pandémie de coronavirus dans le monde, les scientifiques ont pu analyser les principaux modes de transmissions du virus. Les premiers résultats tendent à montrer que le virus se propage principalement dans des lieux clos, où les personnes contaminées ont eu des contacts prolongés avec d’autres.

Quelles situations de la vie courante présentent un risque important de transmission du coronavirus ? Au fur et à mesure que l’épidémie progresse, les connaissances scientifiques sur les modes de transmission du virus se font plus précises.

Des études récentes ont par exemple montré que la parole émettait de minuscules gouttelettes qui peuvent rester suspendues dans l’air entre huit et quatorze minutes dans un milieu clos. Avant même de développer des symptômes, les patients atteints du Covid-19 peuvent également contaminer les objets autour d’eux, comme les draps ou les poignées de portes, selon une étude chinoise publiée ce lundi par les autorités sanitaires américaines.

D’autres études mettent en avant des niveaux de risque variés en fonction du temps passé en compagnie d’une personne malade ou des circonstances de la rencontre. Un chercheur de l’université de Saint-Andrews, Muge Cevik, a ainsi passé en revue sur Twitter un grand nombre d’entre elles. La plupart tendent à montrer que la majorité des contaminations observées ont lieu au sein d’un même foyer, dans les transports, dans des maisons de retraite ou de soins, et dans d’autres lieux clos.

Une étude chinoise portant sur 157 cas de coronavirus et 2.147 personnes qui ont été en contact avec ces derniers note ainsi que seuls 6 % de ces cas contacts ont été infectés par le virus. Pour les amis des personnes infectées au coronavirus, cette proportion s’élève à 22 % et à 17 % pour les personnes logeant dans le même foyer.

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D’autres études en France, à Taïwan, aux Etats-Unis ou en Islande aboutissent à des résultats similaires. Une étude menée à Chicago , montre ainsi que la plupart des personnes contaminées par seize patients malades du Covid-19 les avaient rencontrés lors de repas de famille ou lors d’un enterrement. D’autres observent la propagation rapide du virus dans des maisons de soins, ou encore dans un refuge pour sans-abri à Boston. Les églises, que ce soit en Corée ou à Mulhouse , semblent également propices à la propagation.

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Ces observations semblent pour l’instant se vérifier dans les nouveaux « clusters » observés en France depuis le début du déconfinement. Hôpitaux, abattoirs, collèges, résidences pour jeunes professionnels… La plupart de ces foyers d’infection sont des lieux clos où les malades du Covid-19 ont été potentiellement longtemps en contact avec d’autres.

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Une meilleure connaissance des modes de transmission du virus est indispensable pour mettre en place des mesures barrières susceptibles de freiner la propagation du virus après la fin du confinement. Dans un guide publié le 7 mai en prévision du déconfinement, Santé publique France définit ainsi quels « cas contacts » devront être testés.

Les personnes considérées comme les plus à risque sont définies comme celles qui ont « partagé le même lieu de vie que le cas confirmé ou probable », « eu un contact direct avec un cas, en face-à-face, à moins d’un mètre, quelle que soit la durée (ex. conversation, repas, flirt, accolades, embrassades) », « partagé un espace confiné (bureau ou salle de réunion, véhicule personnel…) pendant au moins 15 minutes avec un cas ou resté en face-à-face avec un cas durant plusieurs épisodes de toux ou d’éternuement ».

Les personnels enseignants ou soignants, ainsi que les élèves d’une même classe, en font aussi partie. En revanche, « des personnes croisées dans l’espace public de manière fugace ne sont pas considérées comme des personnes contacts à risque », précise l’agence nationale de santé publique.

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Santé Publique France adopte « une approche statistique concernant le risque », explique aux « Echos » le virologue Etienne Decroly. Cette dernière est « adaptée en fonction du niveau de testing qui est disponible ». On teste donc les personnes les plus exposées d’abord, une approche « classique pour juguler une épidémie », note le spécialiste.

https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/coronavirus-les-situations-dans-lesquelles-le-risque-dinfection-est-le-plus-eleve-1204731

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12 Comments

  1. TOUS les virus de type « grippe », ceux qui s’attaquent aux poumons, se propagent de la même façon, avec simplement plus ou moins de virulence selon le virus.
    Le confinement FAVORISE LA PROPAGATION DES VIRUS DE TYPE GRIPPE.
    Et il n’y a pas que les scientifiques qui sont formels, le ministre de la santé LUI-MÊME l’a confirmé :
    http://tinyurl.com/videoveranconfinement

  2. Lieu confiné = aérosol …. qui contamine tout le monde si une personne est atteinte.

    Expérience simple :

    Tu mets une toute petite pichenette de déodorant ou de parfum dans ton coude (  » éternuez ou toussez dans votre coude  » ), 5 mn après, toute la pièce est envahie par l’odeur.
    Pour les pets, c’est pareil, malgré le pantalon qui fait office de  » masque grand public  » 😉

    Une seule solution pour s’en tirer : appeler la Greta, celle qui voit le CO 2. C’est bien rare si elle ne voit pas le corona .

  3. Il y a quand même quelques recommandations qui me laissent perplexe par la rapidité de leur diffusion, bien avant le confinement… si, pour nos zélites autoproclamées, ce n’était qu’une simple gripette ?
    J’ai ma réponse et j’affirme que ces nuisibles sont des criminels, soit par (in)action, omission, sottise ou déni. Ou tout cela en même temps. Les suites nous le démontrent bien.

  4. C’est le propre de tout virus que de se propager d’un organisme hôte à l’autre, donc plus il y a de promiscuité plus on favorise la propagation d’un virus, surtout quand il se transmet par les micro gouttes d’eau émises par les organismes infectés et la preuve en est que l’on n’arrête pas de nous seriner avec la distanciation sociale. Quitte à passer pour un complotiste, je dis et répète que Macron et sa bande de bouffons n’auraient pas fait mieux s’ils avaient voulu éliminer un bon nombre de français qu’ils jugent ‘non rentables et coûteux » pour notre économie. Ambition horrible pour toute personne normale avec un esprit humain, mais pour Macron qui a un lingot d’or à la place du cœur et une liasse de billets de 500 euros à la place du cerveau quelle aubaine que de pouvoir supprimer quelques milliers de ces salopards de vieux, de retraités et de personnes fragiles qui ne rapportent plus assez!!

  5. Tout ça est voulu, on préfère qu’il y ait le plus de personnes âgées de décédées, ainsi moins de retraites à payer. Simple comme bonjour.

  6. Les « scientifiques » se déchaînent contre le Pr Raout et sont en train de le démolir, avec la complicité expertale de la presse mainstream. Une seule question que j’aurais aimé leur poser : Comment expliquer le succès avéré rencontré par le traiment de notre druide quand c’est lui et son équipe qui l’administrent et l’hécatombe rencontrée par les essais des médecins assermentés des lobbies de laboratoires sur des cobayes humains ?

    • Simple comme bonjour même moi qui ne suis pas médecin suis capable de faire comme eux, au lieu de traiter dès les 2 premiers jours des symptômes, ils traitent quand c’est trop tard et que le virus a été remplacé par une infection majeure

      • @ Christine Tasin
        En réalité c’est une question que j’aurais bien aimé leur poser car la réponse je l’avais comme vous, histoire de leur mettre le nez dans leurs mensonges et connaître les arguments qu’ils nous auraient servis, s’ils en avaient à soumettre…

        • Un élément de réponse simple :

          Quand un virus infecte un organisme il se réplique plus ou moins vite suivant son mode de réplication. Le coronavirus se réplique très vite dans certains cas et de ce fait envahit rapidement l’organisme hôte, en fait il prend de vitesse le système immunitaire et va causer des dégâts sérieux au niveau du système respiratoire qui est son tissu de prédilection. Il provoque une réaction inflammatoire et immunitaire violentes et il va être éliminé par la suite mais subsistent les dégâts qu’il a faits au niveau des poumons et qui conduisent certains patients en réanimation et, pour certains malheureux, dans l’autre monde.
          Ce que tout virologue, scientifique ou médecin sensé et non corrompu par Big Pharma admettra, c’est que plus tôt on limite la charge virale plus on donne du temps au système immunitaire pour réagir et plus on limite les dégâts causés par le virus et ça tombe sous le sens.
          J’ai pas mal travaillé avec la quinine et ses dérivés et le mécanisme qu’on peut envisager c’est que la quinine ne va probablement pas tuer le virus mais il est très probable que cette molécule interagisse au niveau de l’adhésion du virus à la membrane de la cellule hôte limitant ainsi son taux d’invasion cellulaire et par là même son taux de réplication. L’azithromycine est un antibiotique très utilisé dans les infections respiratoires, normalement un antibiotique ne tue pas un virus mais son administration crée une couverture antibiotique qui va empêcher la surinfection bactérienne des tissus déjà lésés par l’attaque virale. Le traitement de Raoult, outre un effet viricide qui n’est pas prouvé, a de très fortes chances de limiter l’interaction mécanique du virus avec les cellules qu’il essaie d’infecter, de ce fait on peut très raisonnablement penser que plus tôt il est administré, plus tôt on va donner des chances au patient en limitant sa charge virale. Le système immunitaire prenant ensuite le relai, le virus est éliminé et les dégâts qu’il a causés sont plus limités du fait de la limitation de la charge virale. Voilà pourquoi plus le traitement est administré tôt, plus il a de chance d ‘être efficace. Et voilà pourquoi il est absurde de ne l’administrer que dans les cas les plus avancés où ce sera plus la réaction inflammatoire et immunitaire que le virus lui-même qui cause des soucis. En fait tout se passe comme si nos « grands experts testeurs » avaient tout fait pour masquer les effets bénéfiques du traitement de Raoult et l’invalider malhonnêtement.
          Pour travailler dans ce milieu je peux vous affirmer qu’il est très facile d’orienter un test dans le sens que l’on veut. Je peux vous démontrer que l’huile d’olive est cancérigène suivant comment je monte le test, bien sûr les résultats ne résisteraient pas à une analyse sérieuse des conditions expérimentales, mais le grand public et les journalopes aux ordres passent facilement à côté de ces analyses. Normalement, si les conditions expérimentales sont correctement décrites on peut facilement voir où sont les biais de l’expérimentation, mais ce n’est pas toujours évident, seule l’honnêteté scientifique est une garantie et de nos jours l’honnêteté, dans quelque domaine que ce soit, est une vertu qui est passée très souvent à la trappe car oblitérée par l’appât du fric.
          Un exemple : quand les lobbies du tabac ont voulu démonter la vapoteuse une étude a été publiée montrant que la vapoteuse émettait des substances cancérigènes, l’étude est honnête car elle montre l’apparition de ces substance, certes, mais à des températures qui ne sont normalement jamais atteintes en utilisation normale, mais tout ce qu’en ont retenu les média dont certains probablement corrompus, c’est que la vapote est cancérigène…Alors certes la vapoteuse n’est peut être pas sans danger mais il est patent qu’elle est infiniment moins toxique que la fumée de cigarette.
          Il apparait assez évident que la grande batterie de tests mise en branle par les « grands testeurs » de big Pharma ait été orientée pour invalider le traitement de Raoult. On peut raisonnablement penser qu’il y a une sale affaire de gros sous là dessous car dans ces test le traitement de Raoult n’est pas administré complètement (absence d’azithromycine) ce qui est un premier biais, et il n’est administré qu’aux patient les plus atteints c’est à dire à un moment où ce traitement a le moins de chance d’être efficace. Si j’avais voulu démonter Raoult je n’aurais pas fait mieux..
          Tout ça pour dire que l’on vit une triste époque où la santé des gens et la vie humaine ne vaut plus rien, chaque être humain n’est qu’un chiffre reflétant sa capacité a rapporter de l’argent, sa capacité a consommer et a nourrir Big Money et dans le cas de la santé Big Pharma. Et le plus triste là dedans c’est que nos politicards sensés être élus pour gouverner dans l’intérêt du peuple qui les a élus oublient très vite le peuple et deviennent une bande de pourritures qui ne sont là que pour s’en foutre plein les poches en vendant leurs culs à Big Money et Big Pharma. Et Macron est une parfaite illustration de cette bande de pourritures et de salopards qui n’ont rien à foutre des gens et qui ne vivent que pour nourrir le monde financier.

          • @ Charles Martel 02
            Merci pour toites ces informations et précisions.

    • Ecouté Europe 1 vers 8 h ce matin. En boucle.. la chloroquine nuit gravement et ne soigne pas,d’après les « essais ».Même The Lancet en apporterait
      la démonstration!!!

      •  » The Lancet  » est un truc extrêmement sérieux et honnête.
        Le Graal des scientifiques.
        Ils analysent honnêtement les données dont ils disposent.

        Si on lit attentivement l’article de  » the lancet « , on voit qu’ils ne parlent que des données dont ils disposent : Les résultats après hospitalisation, et ces résultats ne sont pas bons du tout..

        Mais,  » the lancet  » précise bien :

         » These data do not apply to the use of any treatment regimen used in the ambulatory, out-of-hospital setting.  »

         » ces chiffres ne s’appliquent pas à l’usage d’un traitement utilisé dans la médecine ambulatoire, hors de l’hôpital  »

        Article intégral de  » the lancet  » :

        https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext

        Sur l’usage préventif, ils disent simplement : j’en sais rien ( moi non plus ! )

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