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Le Ministère de la Ré-éducation nationale a édité une plaquette de 3 pages fort édifiante…Fiche-Ecouter-favoriser-parole-des-eleves_1280693
La liberté d’expression disparaît chaque jour un peu plus de notre beau pays… Et la délation devient obligatoire. Maréchal nous voilà…
« Des enfants peuvent tenir des propos manifestement inacceptables. La référence à l’autorité de l’Etat pour permettre la protection de chaque citoyen doit alors être évoquée, sans entrer en discussion polémique. Les parents seront alertés et reçus par ‘enseignant, le cas échéant accompagné d’un collègue, et la situation rapportée aux autorités de l’école. »
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Le Ministère de l’Education macronienne a mis les petits plats dans les grands pour accueillir VOS enfants comme il se doit et pour é-éduquer, dé-traumatiser, transformer vos chers bambins.
Vous croyiez, naïfs que vous êtes, que les petits allaient enfin pouvoir vivre leur vie d’enfant, courir avec leurs copains, faire des sottises, jouer, apprendre aussi, bref retourner à la vie normale, retrouver le plaisir de sortir, courir…
Bernique !
Vous aviez sans doute oublié que chaque Ministère macronien n’a que 2 buts : ré-éduquer et préparer-organiser la future ré-élection de Macron.
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Je ne vous balancerai pas tout de go le placard envoyé à toute la « communauté éducative », je ne voudrais pas vous couper la parole à l’heure du petit-déjeuner, mais je vous recopie in extenso le seul premier paragraphe. Si vous pensiez que les technocrates de l’EN en avaient terminé avec les « référents bondissants » et autres « apprenants » vous allez tomber de haut. J’ai l’impression que toute l’EN est une gigantesque secte…
Ecouter la parole des élèves en retour de confinement COVID 19
En cette période de reprise progressive d’un enseignement présentiel, la mission de l’école est de dépasser la situation de confinement de la pandémie, d’accompagner au mieux les élèves et les personnels afin de donner du sens à cette réalité et permettre de reprendre le fonctionnement de la communauté apprenante. En s’appuyant sur les liens tissés au sein de la communauté éducative, le retour des élèves en milieu scolaire doit être pensé de manière à favoriser la résilience et une reprise de la vie scolaire et des apprentissages dans les meilleures conditions.
Première priorité : « accueillir la parole de l’élève » à propos de la propagation du COVID-19 qui a été à l’origine d’émotions fortes et de réactions parfois irrationnelles.
Qu’est-ce que je suis vieux jeu… Il me semblait, à moi, que l’un des intérêts de l’école était justement d’être sacrée, à côté du monde de larmes, de cruautés, de vie intime, heureuse ou malheureuse.. ben non, la priorité c’est de faire parler les gosses. Il est où le psy ?
Mais la notion de « réactions irrationnelles » fait tilt… qu’est-ce qu’un Macron et un Blanquer ont en tête ? Nos gosses auraient des réactions irrationnelles ? Qui les leur aurait soufflées ? La famille, au hasard ?
Dans ce cadre, l’enfant doit être dûment chapitré : non le retour à l’école n’est pas le retour à la vie normale : « Après une crise sanitaire, le retour à la vie antérieure « comme avant » n’est pas possible ». Pauvres gosses, ils ont passé près de 2 mois confinés, certains ont perdu des grands-parents, des voisins… et dès le premier jour, on leur demande de ne surtout pas se réjouir, de perdre tout espoir.
Deuxième priorité : faire des groupes de paroles avec les gosses à propos du Covid !
Oui, vous avez bien lu, il ne s’agit pas pour le personnel de faire son travail, de le faire bien, de faire ce pour quoi il est payé. Non, il est là pour faire de la psychologie de bazar en surveillant, en épiant… les gosses.
Bref, il s’agit d’organiser non pas des séquences de travail, mais… des moments de parole… On se croirait dans les séquences de paroles de Vol au-dessus d’un nid de coucou. Désolée là je suis obligée de vous recopier le passage, qui donne envie d’arracher ses gosses à cet asile
Quelques repères sur la préparation de l’échange avec les élèves
-Identifier, au préalable les élèves de la classe ayant vécu des situations fragilisantes ou traumatisantes1. L’IEN ou le chef d’établissement conduira un diagnostic avec une équipe ressource (infirmier, psychologue, médecin, CPE, certains professeurs, etc.) afin de faire le point sur les situations des élèves vulnérables connues antérieurement à la crise et sur celles qui se seront révélées en période de confinement, déjà accompagnées par les professionnels ou non.
-Respecter l’émotion de la communauté éducative ; lorsqu’un enseignant ou un personnel de vie scolaire traverse une période de fragilité personnelle transitoire, il lui est déconseillé d’animer une séance « accueillir la parole de l’élève ».
-Préparer la séance, « accueillir la parole des élèves » ne s’improvise pas. Elle ne peut être élaborée et réalisée que par des personnes qualifiées et formées pour le faire.
-Constituer des binômes d’intervenants en vue d’échanges croisés et d’une co- intervention. Intervenir à deux acteurs permet à l’un d’entre eux, si nécessaire, de sortir de la classe avec un élève.
-Informer les responsables légaux qu’un accueil particulier des élèves et des actions pédagogiques entreprises seront assurés par les enseignants le jour de la reprise des classes.
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Les gosses ont bouffé du Covid à la maison, à la télé, en entendant les parents en parler au téléphone… Vous croyez que ça suffit ? Re-bernique ! Le travail avec les élèves sur les conséquences du COVID-19 doit être adapté à l’école maternelle, du début à la fin de l’école élémentaire, au collège et au lycée, afin de pouvoir effectuer un travail pédagogique sur la situation.
Et il va falloir RE-EDUQUER les pauvres gosses à qui des parents complotistes auraient donné de fausse informations : Etre attentif au « niveau de connaissance » que les élèves ont des conséquences du Covid19 : certains élèves peuvent n’en avoir aucune connaissance ; d’autres ne disposer que d’éléments partiels, voire erronés, provenant de sources variées. Il faut aider à clarifier les termes entendus et répétés, pour que les enfants ne restent pas enfermés dans un présent dominé par la peur.
Et du COVID, ils vont en bouffer dans toutes les matières, sciences, littérature, art, histoire… et enseignement moral ! Même si des gosses un peu fous pour oublier « les conditions tragiques de la reprise des cours » !!!!!! il faut accepter que des gosses jouent comme avant. OUF !
Pour d’autres élèves, après avoir abordé ce sujet difficile, l’envie de rire, de jouer ou la joie de retrouver ses amis peuvent prendre le dessus, malgré les conditions tragiques et perturbées de reprise des cours. Aussi, si des élèves semblent passer rapidement à autre chose, ne pas s’en étonner.
Et en plus ils prennent vraiment les profs pour des crétins de chez Crétin.
Troisième priorité… La priorité des priorités : ré-éduquer, redresser, imposer LA vérité
Ré-éduquer les gosses, à travers eux ré-éduquer les parents… Apprendre aux enfants que leurs parents disent n’importe quoi. Enseigner aux gosses qu’il y a des vérités intangibles… et que seul l’Etat la détient… Allo Staline ?
Des enfants peuvent tenir des propos manifestement inacceptables. La référence à l’autorité de l’Etat pour permettre la protection de chaque citoyen doit alors être évoquée, sans entrer en discussion polémique. Les parents seront alertés et reçus par l’enseignant, le cas échéant accompagné d’un collègue, et la situation rapportée aux autorités de l’école.
Quatrième priorité… Utiliser la pandémie pour ouvrir l’enfant à l’autre, pour lui faire prendre conscience que ses frères humains à l’autre bout de la terre ont souffert...
Ben oui il ne faut pas perdre une occasion de faire la propagande de l’immigration, des différences, de la société multiculturelle.
Dans un second temps, il conviendra de veiller à orienter les discussions sur le fait qu’une même peine atteint les familles et leurs proches, au-delà de tous les pays, dans une même humanité.
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vous oubliez que la vérité sort de la bouche des enfants :
prof : quel est le virus le plus dangereux ?
gamin : Macron
prof : qui a dit cela ?
gamin : papa
prof : tu diras à ton père qu’il est convoqué par le directeur
Portant c’est facile, pas la peine de faire trois pages. Le virus c’est propager à cause de l’incompétence du gouvernement et l’avidité des labos pour le fric, comme les poux buzyn/levy les salauds comme l’ordre des médecins vendus aux labos qui préfèrent voir mourir les vieux que de suivre le traitement du professeur Raoul (qui lui sauve des vies) et la complicité d’un gouvernement de pourris complètement largué. Mais je doute que les profs leur disent ça.
Avant de vouloir astiquer l’auréole des autres, on devrait s’occuper de la sienne. Le malaise des professeurs, le harcèlement à l’école, le racket, le trafic de drogue me semblent être des problèmes aussi importants et prioritaires que le covid 19. Certains enfants vont à l’école en ayant peur pour leur vie!
Comme les prisons sont vides, on pourrait en faire des centres de rééducation pour gaulois récalcitrants
Centres fermés naturellement pour éviter la contagion
🤮
Le re-formatage va reprendre de plus belle, ben oui l’inéducation anti-national va dédouané l’état de sa responsabilité dans la gestion de la crise du covid , en même temps les profs et autres des écoles vont fichés les noms des parents des élèves qui oseront dire que leurs parents ont critiqués le chef des tas et le premier sinistre, que si il y a eu énormément de décès c’est de leurs fautes etc.etc., non je ne divagues pas , je n’ai pas fumé la moquette ou autres substances illicites .
Qui a cru qu’il n’y aurait plus de hitlerjungers, pardon microjungers?
Qui a cru qu’il n’y aurait plus de hitlerjungers, pardon microjungers?
Je me souviens, une fois au lycée (bon d’accord, on commence à être grand), il y avait eu un événement, je ne me rappelle plus trop quoi mais ce devait être pendant les vacances car, le jour où nous sommes revenus à l’école, le premier professeur de la journée a évoqué le sujet et nous avons commencé à râler en disant qu’on en avait assez et qu’on voulait plutôt faire cours normalement. Le prof a dit « ah bon ! D’accord alors ouvrez vos livres… »
Mais comme je l’ai dit, nous étions au lycée, donc assez grands.