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Ne nous faisons pas d’illusions ! BFM TV est à l’audiovisuel ce que Le Monde est à la presse écrite : la voix de son maître !
La mise en bouche commence jeudi 30 avril à 20 h 30 par un reportage intitulé : « L’intrigant professeur Raoult » réalisé par Caroline Mier de BFM TV, Quentin Baulier, Étienne Grelet et Sophie Herbé. Le titre donne le ton ! Un intrigant, c’est quelqu’un qui recourt à l’intrigue pour arriver à ses fins, ce qui n’est pas très élogieux. En effet, l’adjectif intrigant, au sens de « curieux, étonnant, bizarre, mystérieux, déroutant », n’est enregistré ni dans le Dictionnaire de l’Académie, ni dans mon Petit Larousse illustré 2005, ni dans le Robert illustré 2013. Seule figure l’acception désignant une personne « qui se mêle d’intrigues, qui a recours à l’intrigue pour parvenir à ses fins » (sens du verbe intriguer dans sa construction intransitive).
Sous un air débonnaire, on réalise bien vite qu’il s’agit d’un reportage à charge. On commence par nous montrer un public de « sans-dents » rendant un véritable culte au professeur Raoult, afin de le faire passer pour un gourou, même sur le ton de la plaisanterie.
On évoque son « fan-club », ses vidéos insolites, ses soutiens politiques (Renaud Muselier, Philippe Douste-Blazy). On va même jusqu’à dire qu’il incarne la fracture Paris-Province. Bref, un médecin parfois rebelle, parfois rangé, mais surtout qui joue la star !
Certes, le reportage ne tarit pas d’éloges : la perspicacité du docteur Raoult et son efficacité dans l’affaire de l’épidémie de fièvre Q qui a sévi à Briançon en 1996. On insiste sur le grand prix de l’Inserm qui lui a été décerné en 2010, sur la confiance que lui a accordée le Président Sarkozy et surtout sur le pactole qui lui a permis de monter son institut.
Le documentaire aurait pu ajouter le prix scientifique Louis D. -Institut de France, obtenu en 2015 pour les travaux de Raoult sur le répertoire des microbes dans le tube digestif.
Mais rapidement, l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée est présenté sous un jour plus sombre : d’abord, un projet « pharaonique », suggérant un caractère « mégalomane » de son fondateur. Mais la critique ne s’arrête pas là : Raoult est présenté comme un homme autoritaire, un véritable dictateur qui n’admet pas la contradiction : il s’approprie les publications de ses équipes sur lesquelles il exercerait un véritable harcèlement moral. On se croirait dans une séquence de « Faites entrer l’accusé » ! De bonnes âmes prêtent leur concours à la journaliste pour témoigner, en voix off, d’une « atmosphère toxique » créée par le professeur Raoult, adepte d’un management sans partage. Le but ? Démontrer que son autorité est contestée au sein même de son établissement. Et si l’Inserm et le CNRS ne renouvellent pas ses crédits, c’est à cause de son entêtement !
Enfin, on lui reproche, péché suprême, de n’avoir pas mesuré, en janvier 2020, l’ampleur de la crise sanitaire. Et le reportage se termine sur les malheurs de Karine Lacombe, victime indirecte de Raoult, puisqu’elle a osé revendiquer, au nom de l’éthique médicale, le suivi d’un protocole pour la chloroquine, ce qui eut pour conséquence un « déchaînement de haine » sur les réseaux sociaux. Quant à la popularité du docteur Raoult, elle s’accompagne d’un procès d’intention : la volonté grandiloquente de propulser son institut au-devant de la scène internationale…
Après avoir semé le doute dans l’esprit des téléspectateurs, BFM TV diffuse l’interview tant attendue, menée par Apolline de Malherbe.
Raoult est en tenue de médecin, en blouse blanche, et la scène se passa dans son fameux bureau qui laisse transparaître une sensibilité artistique originale, où se côtoient le portrait et la bande dessinée.
Le tête-à-tête est un exercice qui n’autorise pas aussi facilement l’insinuation que le reportage. Les pièges les plus grossiers sont vite déjoués et le virologue n’est pas du genre à se laisser désarçonner. Reconnaissons que la journaliste de BFM TV a eu le mérite de permettre au professeur Raout d’aller au fond des choses, même si en fin d’entretien elle déçoit par des questions déplacées et hors-sujet du genre : « et votre barbe ?… et votre bague avec une tête de mort ? ». Des questions sans intérêt si ce n’est d’alimenter les colonnes d’une certaine presse à sensation, comme Gala, qui en a fait ses gorges chaudes.
Le débat s’engage sur le traitement par la chloroquine associé à l’azithromycine, suite aux doutes émis par Édouard Philippe qui a lancé aux députés : « prouver un traitement est une hypothèse incertaine ! ». Le professeur Raoult ne manque pas d’arguments pour prouver le contraire : études à l’appui ! Il montre une courbe signifiant la fin de la partie pour la Chine et rappelle que les pays d’Asie et du Moyen-Orient ont recouru massivement et avec succès à ce même traitement.
Mais surtout, il met en cause la fâcheuse habitude des pays riches à vouloir sans cesse trouver de nouvelles molécules et à se lancer dans des essais thérapeutiques alors que les vertus de molécules plus anciennes n’ont pas été suffisamment explorées. Il critique ce qu’il appelle une approche « tunnelaire » de la recherche médicale. Il prend l’exemple des antibiotiques, exclusivement prescrits contre les bactéries, alors qu’on découvre aujourd’hui qu’ils peuvent aussi combattre des infections virales. Il s’en prend indirectement aux labos en expliquant qu’il est plus intéressant pour eux de mettre sur le marché de nouvelles molécules que d’exploiter un remède connu, tombé dans le domaine public après vingt ans de mise sur le marché, et donc devenu peu lucratif.
Mme de Malherbe revient à la charge en demandant au professeur s’il est sûr que l’hydroxychloroquine ne présente pas de risques. Raoult rappelle inlassablement que des millions de personnes ont pris ce traitement depuis cinquante ans, et regrette que l’on fasse croire que les nouveaux médicaments sont moins toxiques que les anciens. Puis il souligne la mortalité record dans les pays d’Europe de l’Ouest, qui ont rejeté les tests et les traitements.
BFM TV revient à la charge : « avez-vous le sentiment d’avoir vendu du rêve ? ». Quel culot ! Autant dire franchement : « avez-vous le sentiment d’être un charlatan ? » Raoult repart sur l’épidémie : pas de raisons selon lui, que celle-ci suive une évolution différente des autres : une courbe en cloche avec une montée, une accélération de la contamination et de la virulence, puis une décroissance. Un déroulement classique qui n’aurait rien à voir avec l’immunité de la population. Sur l’influence des stratégies humaines de réponse, Raoult se contente de dire prudemment que leurs effets sont difficiles à évaluer. On est bien loin des affirmations péremptoires de Jérome Salomon qui nous raconte tous les jours que le confinement a permis de sauver des milliers de vies !
Sans critiquer ouvertement la fonction anxiogène de la propagande officielle, Raoult constate que dans nos sociétés, le seuil de la peur est beaucoup plus bas qu’il n’était dans les périodes de guerre qu’ont connues nos ancêtres.
Toujours sur l’épidémie, il nous dit que le Coronavirus n’est pas d’une contagiosité extrême, en comparaison avec la rougeole ou la variole. Son personnel soignant, testé et soigné, n’a pas été plus contaminé que le reste de la population, soit environ 3 %. Et pour en revenir aux soi-disant dangers de l’hydrochloroquine : « c’est le truc le plus fantasque que j’ai jamais entendu » lance-t-il avec un certain agacement . « Comment a-t-on pu véhiculer une histoire pareille ? »
Idem pour le spectre d’une deuxième vague de Coronavirus brandi par les médias : « c’est de la science-fiction… On prend à tort l’exemple de la grippe espagnole qui n’a rien à voir ! »
Il ne nie pas pour autant les problèmes posés par le Coronavirus : les séquelles observées chez certains patients guéris, notamment les fibroses pulmonaires pour lesquelles des recherches de traitement doivent être entreprises. Mais trop c’est trop : quand Apolline de Malherbe revient à la charge avec des myocardites aiguës observées chez certains enfants, il lance : « les alertes, c’est votre truc, pas le mien ! »
Pour autant, il se garde de mettre en cause les hommes politiques, à commencer par Emmanuel Macron auquel il reconnaît un intérêt louable pour vouloir examiner toutes les perspectives de solution… Et sur l’affaire de sa démission du Conseil scientifique de l’Élysée, il se contente de répondre que ce n’était pas son « écosystème ».
« Les polémiques je m’en fiche… Les décisions politiques sont aussi difficiles à comprendre qu’une épidémie » avait-il déclaré en début d’émission.
Il n’aura pas été aussi tendre avec les journalistes : « je ne suis pas comme vous, je rapporte des données. Je ne rentre pas dans la folie terrifiante » lance-t-il à son interlocutrice en fin d’émission.
Reste à espérer que les Français auront été nombreux à profiter de ce moment privilégié avec ce grand savant. Après les litanies quotidiennes de Salomon et les prestations larmoyantes d’Édouard Philippe ou d’Olivier Véran, ça met un peu de baume au cœur !
Hector Poupon
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Tous ces journalistes qui se prêtent à ces mises en scène hypocrites et ces magouilles propagandistes ne sont pas de vrais journalistes,
cette petite grue cherche juste à se faire remarquer et se faire mousser aux yeux du public,
ce culte de la personnalité chez tous ces présentateurs télé frôle le ridicule, car ils se prennent vite pour des stars ayant inventé le fil à couper le beurre,
ça les empêche de faire leur boulot correctement
Bref rien de neuf sous les tropiques !
mais la journaliste est sortie tristounette de ce débat!
Mr le professeur Raoult a montré sa supèriorité sur sa connaissance des virus !
Evidement 9000 personnes traitées et aucune mort cardiaque cela met a mal certaines personnes ayant délibérément bloqué ce traitement!
Je pense que ce qu’il faut retenir de cette interview et vous le faite très bien ce sont surtout les questions de la dame Apolline. Visiblement une macroniste de choc chargée de casser l’image du professeur auprès de la population pour les raisons que tout un chacun aura bien compris .
Vous avez bien notée ces deux questions qui sont un modèle de perfidie dans le genre foutage de gueule.
Moi je n’apprend rien de cet interview sur Raoult et son traitement , sinon des informations que je connais depuis des mois.
Mise à part de faire le point pour ceux qui n’auraient pas eu accès aux réseaux sociaux, je ne comprend pas l’utilité de l’interview même.
Sinon de créer l’ambiguïté sur les solutions proposées par ce Professeur et sur le personnage lui-même.
Si je reviens régulièrement voir mon médecin généraliste concernant le traitement prescrit pour lui faire répéter inlassablement les mêmes infos sur celui ci , je pense qu’un moment il va me demander si je me fiche pas de sa gueule!
Hors, là ,c’est d’un chercheur mondialement reconnu dont il est question, pas d’un médecin de ville, il ne joue pas dans la même cour de tous ces experts médicaux, plus adeptes du mondialisme que médecins ,comme on en voit partout les représentants, sur toutes les chaines .Ils sont plus
tendus a sauver un système plutôt que gérer efficacement la situation inattendue qui se présente
Je pense que la visite de macron à Raoult et cette interview vont dans le même sens : Sauver les apparences! A mon avis il a du essayé de le convaincre de se dédire de ce qu’il a dit depuis le début ! Et un chercheur digne de ce nom ne le fera jamais. Il ne peut revenir sur tout un travail accompli et les résultats obtenus.
Toute la macronie pense d’abord à l’après confinement et les scandales qui vont se révéler ainsi que les actions judiciaires qui vont pleuvoir. Par rapport à cela ,j’ai une question simple qui me vient à l’esprit : « Quelle a été l’état moral d’une famille qui a perdu un proche à qui on n’a rien administré du tout pour le guérir sinon traiter les symptômes pour qu’ils soient le moins douloureux possible?? »
Alors même que cette famille avait connaissance qu’une sommité spécialisée dans les maladie virale ne détiendrait non pas une solution miracle, mais un traitement qui avait fait ses preuves auprès nombre de ses patients et répondait donc à la situation d’urgence que ce virus exigeait?
Traitement mis sur la sellette le 20 janvier par la ministre de la santé présente au gouvernement à cette période ci. Cette molécule devenant subitement impropre à être administrée puisque provoquant des effets secondaires notoires alors que jusque là elle était en vente libre sans ordonnance!!!
Quand se fout on de notre gueule avant ou après ??? Parce que soit cette chloroquine était vendu de façon délibérément dangereuse jusque là et c’est criminel de l’avoir laissé en vente libre jusque là ou soit elle l’est devenu opportunément parce que cela allait dans l’intérêt de ce qu’il restera a déterminer par la justice si elle est saisi de ce scandale !!
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BFMWC… Tout est là !
belle photo d’ ouverture tirée du prochain film
INDIANA RAOULT
» a la recherche du coffre a virus «
excellent !
😆
bel article et trés instructif
« BFM TV est à l’audiovisuel ce que Le Monde est à la presse écrite : la voix de son maître ! »
la comparaison est limpide !
et quand tu lis « Mme de Malherbe revient à la charge.. » (parfaite inconnue pourmoi, tu as des souvenirs scolaires du genre « Enfin Malherbe vint »
et, plus de quatre siècles aprés sa disparition, on le suit toujours
cette intriguante, dans cinq ans aura disparu de toutes les mémoires, comme ces milliers de personnes de la famille Matuvu
ces petites bonnes femmes tentent le role de la Concini, voire de la Voisins….en espoirs vains
Cette pseudo journaliste lors d’une interview de Ruffin LFI sur cette chaine de mensonges qu’est BFM dit » Aucun français n’est mort sans soins «
cet article est très bien fait , il est surtout là pour les naïfs ! ce professeur reconnu mondialement , j’ai dit mondialement ! inutile de revenir sur ces compétences !! BFMtv est une télé manipulatrice ! et cela fait bien longtemps , mais ce cas Raoult , aura peut-être la chance d’ouvrir les yeux à certains sur le monde médiatique , et dites vous bien , les châines tf1 fr2 etc … agissent avec la même vergogne , quand il s’agit de démolir les adversaires politiques au moment des élections , une personne censée et bien informée , n’aurait jamais voté pour macron , seul une manipulation permet ce genre de retournement de situation ! A méditer !!
BFMTV j’espère qu’un jour tous ces journalistes vendus se retrouveront au chômage.
Didier RAOULT a eu du courage de recevoir cette journaliste qui quelques temps auparavant pouvait le discréditer avec ses petits camarades .
Il a du prendre sur lui mais il valait mieux qu’il se prête à cet entretien eu égard à la force médiatique de ces journalistes .
Chacun en a tiré des bénéfices, aussi bien BFMTV qui appartient à Patrick DRAHI le Franco-Israelien que Didier RAOULT le médecin créatif et directeur de l’IHU c’est à dire avec des fonctions I d’Institut de recherche, H hospitalière et U Universitaire qui me semble le bon trépied sur lequel instaurer un authentique dispositif de santé.
En ce qui concerne cette discussion cela nous apprend surtout combien cette Apolline est médiocre puisque au cours de son entretien sans queue ni tête elle a surtout cherché à embarquer Didier RAOULT sur des terrains ou elle voulait répandre son imaginaire pour faire du « buzz » cad de la rumeur, grace à quoi ces pauvres chaines font de l’audimat, et qui est celui qui semble nourrir le plus souvent tous ces journalistes qui sont aussi ignorants que présomptueux
Bravo à Didier RAOULT
Personnellement j’ai coupé la télé après quelques minutes d’interview tellement j’ai été écœuré et exaspéré de l’attitude de la journalope Apolline de Malherbe qui semblait instruire un procès à charge (pouvait on s’attendre à autre chose de la part de la chaine télé-Macron?). On sentait bien que les instructions avaient été clairement données, à savoir, faire passer à tout prix Raoult pour un charlatan et un zouave. Manque de pot le bonhomme est un véritable chercheur qui sait ce qu’il fait et ne dit que ce que ses données lui permettent de dire, n’en déplaise à Macron et à la bande de scientifiques de salon experts en ronds de jambes dont le freluquet s’est entouré.
Merci pour ce compte-rendu qui me paraît très honnête. J’ai regardé le documentaire visiblement à charge. Il est naturel que dans un établissement aussi grand que cet IHU, il y ait quelques insatisfaits. Faire témoigner uniquement ces gugusses malades du ciboulot, c’est la honte des auteurs de ce reportage.
Quant à Karine Lacombe, elle voudrait (en apparence seulement) que l’on fasse des expériences avec des humains comme s’il s’agissait de souris de laboratoire … alors qu’il y a à sa disposition des dizaines de milliers de dossiers médicaux des personnes traitées diversement dans de nombreux hôpitaux. C’est uniquement un prétexte. Si quelqu’un osait soigner une maladie quelquefois mortelle avec un placebo, qu’est-ce qu’on entendrait comme critiques !! Elle se comporte comme si elle était corrompue.
J’ai vu les 2 volets de l’émission et j’ai eu le même ressenti.
Heureusement, Raoult s’en est très bien sorti.
BFM est bien une chaine pourrie.
Ils seraient bien inspirés de faire une émission sur « l’intriguant M. Macron ».
rayer de votre vie cette BFMerdeTVc’est la chaine des vendus au gouvernement nonmoins vendu à son ami soros le diable……qui veut anéantir notre PAYS,
et sa SOUVERAINETE courage il y a d’autres chaines…ou carrément éteindre quand vous verrez se pointer leurs nez (de PINOCCHIO)
Cette cavale anti Raoult nous montre bien d’autres choses , car à bien réfléchir le système en place tue tous les jours et dans pratiquement tous les domaines les Raoult . Même dans les entreprises ! car leur compétence et leur franc parler dérange les ambitions des incompétents grands producteurs de rapports que personne ne lit. Ils ont même détruit l’ascenseur social pour ne pas se faire déstabiliser par les gens de la pratique, d’ailleurs l’éducation nationale les a grandement aidés en dégoûtant les gens d’étudier grâce aux diplômes donnés. Dans peu de temps et même déjà maintenant les gens feront tous de l’informatique pour résoudre des problèmes simples comme une règle de trois mais plus personne ne saura changer un robinet ou une tuile sur le toit, je constate déjà qu’actuellement pas une entreprise ne repasse au moins deux à trois fois chez les clients après la fin d’un chantier, il y a trente ou quarante ans cela n’arrivait pas, à cette époque il y avait un contremaître impitoyable dans la tête des ouvriers c’était la conscience professionnelle ! ce mot a disparu du monde du travail le patronat en est responsable.
quel est donc l’interrest d’une TV israelienne (cette chaine est la propriete d’un citoyen israelien) d’attaquer Raoult ?