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Je voudrais revenir sur une distinction fondamentale, à mon avis, entre les sociétés judéo-chrétiennes et les sociétés musulmanes (Oumma)
C’est la hiérarchie différente qu’elles font entre le Bien et la Justice.
Je ne considère ici l’islam que sous son aspect « religion » . Ce n’est qu’une partie de ce qu’il est d’abord : un système politique, comme nous l’a expliqué René Marchand.
Il est courant d’entendre assimiler toutes les religions.
Que cela soit pour les louer : « elles sont toutes chemin de vérité et l’islam tout autant que les autres ».
Que cela soit pour les blâmer : « elles sont toutes sources de violences et l’islam pas plus que les autres ».
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C’est une erreur, à mon avis : personne n’aurait l’idée de tracer un signe d’égalité entre giscardisme et stalinisme, sous prétexte que ce sont toutes les deux des idéologies politiques.
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En « régime » judéo-chrétien la situation est claire.
Le Bien est premier : il est dicté, en gros, par le Décalogue.
La Justice est seconde : elle sanctionne ce qui est contraire au Décalogue.
C’est peut-être choquant aux oreilles laïques, mais dans les sociétés occidentales, c’est ce qui se produit dans les faits.
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En régime musulman, la situation est totalement autre.
D’abord, il n’y a pas de Décalogue : c’est un point important.
Et il y a surtout une inversion dans la hiérarchie Bien/ Justice.
En islam, le Bien découle de la Justice et non l’inverse.
Le musulman accorde une très grande importance à la Justice.
Et la « Justice » est très particulière chez les musulmans.
La « Justice » chez les musulmans, implique, par exemple, qu’il est juste que les biens des non-musulmans soient possédés par les musulmans.
En clair, les biens des non-musulmans doivent revenir aux musulmans y compris par la violence.
La « Justice musulmane » accorde au musulman, dès sa naissance, des droits sur les non-musulmans puisqu’ il est membre de la « meilleure des communautés », « celle qui ordonne le convenable et condamne le blâmable ».
Aucun devoir envers le non-musulman en revanche n’est prescrit.
Il n’y a aucune référence « morale », chez le musulman, qui, comme le Décalogue, surplombe et distingue ce qui est bien de ce qui est mal.
Et il n’y aucun sentiment de honte du musulman dans ses relations fautives aux non-musulmans : la « Justice » qui est due au musulman par le non-musulman est première.
D’où d’ailleurs cet incroyable sentiment de supériorité qui frappe quand on lit les musulmans sur les forums, sur les comptes « Twitter ».
« Musulman et fier de l’être ».
« Musulmane, hamidoullah ».
D’autant plus étonnant et grotesque quand la Terre entière a sous les yeux l’échec monstrueux du projet musulman dans TOUS les pays où il domine : les 57 pays de l’OCI.
(Echec moral (corruption), échec économique (misère), échec culturel (aucune vie intellectuelle en pays musulman) etc, etc. : 90% des jeunes des pays d’Afrique du Nord veulent les fuir pour l’Occident).
Ne reste que le pur et simple désir de domination, de domination totale
De violence pure et simple, très souvent.
Nos policiers sont les premiers à le savoir.
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Non, toutes les religions ne se « valent pas » : elles ont, comme les partis politiques, leurs singularités.
Et ce n’est pas peu dire que celles de l’islam sont plus qu’inquiétantes : totalitaires…
Note de Christine Tasin
Merci Antiislam pour cette analyse passionnante qui éclaire bien des choses.
Je me demande si il n’y aurais pas là, au-delà de l’attrait électoral, une explication de l’attrait des gauchistes pour l’islam. Ce sont tous des gens qui ne connaissent pas l’intérêt général, qui le nient, même, puisque leur intérêt va vers l’individu (la femme, le Noir, le musulman… ), avec une obsession, la pseudo -égalité (des droits mais pas des devoirs). Ce qui les amène à préférer ce qu’ils estiment être la Justice pour ces individus, pour ces minorités aux dépens du Bien pour la nation, pour la communauté. Eux aussi mettent la Justice (la leur, comme les musulmans) avant le Bien de tous…
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Pikachu. « Antisémitisme » n’existe pas ! Et vous le dites vous-même ! C’est un terme mis en usage de manière factice et erronné par Willhelm Marr, un précurseur du nazisme ! Libre à vous de l’adopter et être piégé, mais très peu pour moi !
D’autre part, il n’y a pas qu’UN seul judaïsme, il y a d’autres courants hormis le judaïsme pharisien-rabbinique-talmudique. Comme par exemple le judaïsme saduccéen, qaraïte, essénien, et autres.
Et enfin, je suis un Hébreu et non un « juif ». Et je me fiche et me contrefiche de la manière par laquelle les nazis me perçoivent !
Je crois, David et Pikachu qu’il serait temps de mettre fin à cette querelle… qui, au fond est plus sémantique que doctrinale. On a mieux à faire que de se disputer entre gens du même camp sur les origines de l’antisémitisme, la distinction Hébreu et Juif sujets qui tout intéressants et passionnants qu’ils sont ont plus leur place en université que sur un site anti-islam s’adressant au Français moyen qui, pour être compris de ses pairs utilise les mots et concepts habituels, utilisés dans les medias etc.
A Pikachu. Elie Munk est un rabbin pharisien, et en tant que tel, il « surfe » sur l’apologétique talmudico-pharisienne et sur le fait que 99 pour cent des « judaïques » (et a fortiori des « non-judaïques ») sont ignares sur le « judaïsme » pour leur vendre sa marchandise frelaté.
D’autant plus; que les rabbins pharisiens sont les moins habilités à discourir objectivement de l’islam et du christianisme.
A propos, « antisémitisme » n’existe pas. Par contre, je suis en effet anti-judaïque-pharisien-talmudique-rabbinique. Vous avez un problème avec cela ?
@David Belhassen
vous vous dites anti-judaique-pharisien-talmudique-rabbinique, aucun problème, je trouve seulement étrange que vous ne disiez pas « antijudaïque » tout court.
« Antisémitisme » existe bel et bien. C’est un mot du 19ème pour parler de races.
Pour bien comprendre la différence entre antijudaisme et antisémitisme:
l’Eglise (avant) était antijudaique, elle n’aimait pas les Juifs en tant que membres du judaisme et les aimait beaucoup dès lors qu’ils se convertissaient au christianisme. Elle n’était pas antisémite.
Les allemands nazis étaient antisémite: même converti au christianisme, vous continuiez à être une cible si vous aviez un ancêtre juif jusqu’à trois générations. Même si vous n’étiez pas juif.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, si vous étiez un bon aryen converti au judaisme, vous n’étiez pas menacé d’extermination (vous faisiez partie de la bonne race). En revanche, vous étiez menacé d’aller en camps pour « déviants » (communistes, asociaux, pédérastes).
Vous comprenez la différence entre antijudaisme et antisémite ?
C’est la raison pour laquelle j’ai dit que vous étiez antijudaique. Ce qui est le cas, pas besoin d’enrober ça dans cet emballage étrange « pharisien-talmudique-rabbinique ». Vous n’aimez pas les Juifs non pas racialement, mais religieusement et culturellement, j’ai vu vos vidéos sur les Juifs « galoutiques », votre mouvement « hébraique » etc…
Cela ne me dérange pas du tout, le fils de Jabotinsky avait un mouvement du même acabit, les « Canaanites » de mémoire. Vraiment aucun problème, je connais un peu ces courants idéologiques marginaux et libre à chacun de penser comme il veut, mais assumez votre antijudaisme au lieu de le diluer comme vous le faites en « anti-judaique-pharisien-blablabla ». C’est contre le judaisme et lui seul que vous en avez et Munk est un rabbin comme tous les rabbins.
Si je peux mêler mon grain de sel, Antiislam a tout à fait raison.
Ce n’est pas moi qui le dit, c’est le philosophe et rabbin Elie Munk, dans son livre « Vers l’harmonie ». J’ai lu ce livre dans mon adolescence et je m’en souviens très bien. Ce livre essaie de vulgariser la mystique juive. Quoique David Belhassen en pense et je sais que s’il n’est pas antisémite, il est néanmoins contre le judaisme et peut-être même contre toute religion.
Cependant, Elie Munk, dans un des thèmes qu’il évoque, compare les religions, avec ce point de vue de la mystique.
La mystique juive a un système élaboré appelé les sphères, je ne rentre pas dans ce sujet, parce que R.R. n’est pas le lieu d’un tel échange. Bref, deux sphères majeures sont l’amour et la justice. Elie Munk présente l’Islam comme une religion dans laquelle la justice l’emporte sur l’amour. Exactement le propos tenu ici par Antiislam, ce que Antiislam appelle bien, est du point de vue de la mystique et tel que je le comprends, ce que l’on appelle en mystique l’amour, la clémence, la miséricorde, faire le bien.
Donc, si Antiislam veut appuyer son point de vue par des sources juives, il a la référence « Vers l’harmonie » de Elie Munk, pour asseoir son point de vue.
A Antiislam. Désolé de vous dire que j’ai rarement lu un article aussi nocif ! Dire que « En islam la Justice prime sur Bien », c’est faire l’apologie de l’islam !!! La notion de « Justice » n’existe pas dans l’islam car cette notion est entièrement inhérente à l’obéissance à Allah ! Or Allah est fondamentalement injuste !
Voilà le grand problème que vous avez en Europe : vous ne savez pas faire la distinction entre « Justice » et « juridiction ». D’ailleurs vous faites usage de cet amalgame absurde dans les expressions du genre « Palais de Justice », en parlant en réalité de « Tribunal ».
L’islam étant parfaitement au courant de cet amalgame, vous a piégé irrémédiablement !!!
Mon cher David, quel emportement ! Vous ne parlez pas de la même chose Antiislam et toi. Antiislam parle de la notion abstraite de Justice qui détermine ce qui est juste ou injuste, au sens de tribunal, désolée mais cela fait partie des sens du mot en français, ce n’est pas un amalgame… Tu parles de la Justice au sens étymologique, qui est toujours juste. Et ce n’est pas l’islam qui nous a piégés sur ce sujet mais les salopards qui ont voté la loi Plenel et ceux qui, au nom de la loi Plenel nous condamnent, et ils ne sont pas musulmans
C’est bien dans ce sens que je l’avais entendu, justice au sens de jugement rendu, ne veut pas dire que ce soit juste,
il y a tant d’erreurs en justice et tant d’injustices politiciennes
Bonsoir Christine. C’est bien ce que je disais ! Les musulmans savent très bien que sur ce point, votre langue française est ambigüe. Et ils enfoncent le clou pour vous piéger dans cette grave lacune de la langue française. Et je vais vous en donner la preuve.
1. Le mot « Justice » n’existe pas en « arabe ». Le sabir coranique l’a emprunté de l’hébreu.Donc parler de « Justice en islam qui prime sur le Bien », est une ineptie !
2. Lorsque deux arabophones ont une polémique entre eux, celui qui est parvenu à persuader l’autre dit : ‘andi el haq = « la Loi est chez moi ».
L’anglophone dira : « I am right » (« je suis dans le droit »).
Le francophone fera appel à la raison : « j’ai raison ».
Alors que l’hébréophone parlera de Justice : « ani çodeq » = « Je suis juste ».
Par conséquent, lorsqu’un « arabophone » vous entend parler de « Justice », il traduit instantanément par « Loi ». Or pour tout musulman, la « Loi » n’appartient qu’à Allah !
Très fine analyse, merci !
Plus on analysera ce dogme de l’envahisseur, mieux on pourra se défendre
Magnifique article clairvoyant et tellement juste quant à la mentalité mahométane.
« Les Juifs disent: « ‘Uzayr est fils d’Allah »
Pikachu, si tu savais les années pour savoir qui était cet Ozeïr !!
je dois a notre regrétté Professeur et Ami, président d’ honneur de mon précedent Kahal , Gérard Nahon de m’ avoir appris qu il s’ agissait de Ezra !!
Et on se prend à rêver d’un monde sans monothéismes. Imaginez un christianisme primitif finissant en pétard mouillé par manque de motivation des apôtres et un judaïsme s’éteignant peu à peu. L’islam ne naît pas faute de manque de causalité théologique. Et ainsi, les traditions druidiques celtiques se maintiennent de même que le polythéisme gréco-romain, bien plus fascinant en soi que les monothéismes. Cette Europe-là eut été autre, peut-être moins meurtrière, sans doute plus libératrice d’énergies sensorielles. La conversion de la Pologne païenne en chrétienne fut extrêmement sanglante, ne revivons plus cela des mains de l’islam.
Richard, impossible de vous suivre là-dessus, pas parce que cela me dérange fondamentalement en tant que croyant, mais parce que vous refaites l’argument du « tout se vaut ». Et non, justement non, tout ne se vaut pas. C’est d’ailleurs bien pour cela que nous sommes unis contre l’Islam. Ce trou noir qui avale toutes les énergies, toutes les ressources sans jamais qu’il n’en ressorte rien pour l’humanité.
Les autres religions ou civilisations ont contribué au progrès du monde. L’Islam non, rien. Vraiment rien. Le trou noir qui piège la matière et l’energie. Le destructeur absolu.
Alors non, non et non, impossible de nous resservir le discours : tous les monothéismes se valent. Je vous renvoie à la réponse que je fais plus haut à Myrtille.
Je n’ai jamais prétendu que tous les monothéismes se valent, du moins plus en 2020. J’ai pas mal d’amis chrétiens, parfois meilleurs que moi au « levage de coude » et vous ne trouverez pas de plus grand pourfendeur de l’islam que moi. Pas de malentendu entre nous svp, on est déjà bien trop peu nombreux face à l’Ennemi Visible.
Quand je vous lis, ça me rappelle un passage de je ne sais plus quel San Antonio qui disait en gros:
« Quand on voit la m… que c’est dans les pays communistes, on se demande comment il y est possible qu’il y ait des gens qui font tout pour que ça soit comme ça chez nous. »
On peut appliquer ça aux pays musulmans.
Excellent, merci pour cette référence.
[re-suite]
et de même, on pourrait évoquer l’épisode biblique de Jonas.
En résumé, D.ieu veut donner une deuxième chance à la ville de Ninive, pour laquelle, la coupe est pleine. Pour ce faire, il missionne Jonas qui pourrait inciter les gens au repentir s’ils allaient prophétiser sur place. Ce que Jonas refuse de faire ! Après moultes pérégrinations, Jonas ouvre les yeux sur son insensibilité au sort des autres : il se lamente de ce que D.ieu ait détruit l’arbre qui lui procurait de l’ombre en plein désert, D.ieu lui montre l’indécence de ces lamentations : http://sefarim.fr/Proph%E8tes_Jonas_4_10.aspx
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« L’Eternel répliqua: « Quoi! tu as souci de ce ricin qui ne t’a coûté aucune peine, que tu n’as point fait pousser, qu’une nuit a vu naître, qu’une nuit a vu périr: et moi je n’épargnerais pas Ninive, cette grande ville, qui renferme plus de douze myriades d’êtres humains, incapables de distinguer leur main droite de leur main gauche, et un bétail considérable! » »
—
Encore une fois, on peut bien sûr le mettre en vis-à-vis de la prière que Mohamed adresse à Allah au sujet des Juifs et des Chrétiens : « Qu’Allah les anéantisse ! » mais plus troublant encore et qui démontre que le Coran refuse le message positif et humaniste de la Bible : il existe une sourate du Coran qui s’appelle Younous (Jonas), et très étonnamment, elle parle de tout, sauf de Jonas. Un parfait révisionnisme, toute l’histoire a été escamotée et il ne reste qu’un seul verset évoquant Jonas :
» Si seulement il y avait, à part le peuple de Yunus (Jonas), une cité qui ait cru et à qui sa croyance eut ensuite profité ! Lorsqu’ils eurent cru, Nous leur enlevâmes le châtiment d’ignominie dans la vie présente et leur donnâmes jouissance pour un certain temps. »
(https://www.coran-francais.com/coran-francais-sourate-10-0.html?id_verset=1375 )
Tout a été escamoté, effacé, et le message en a été transformé. Au lieu d’enseigner la compassion et l’idée d’un Dieu clément qui aime en réalité ses créatures et veut leur vie, on a le même négativisme qui diffuse dans la sourate en continu, au goutte à goutte : le chatiment, de punition, le Feu comme rétribution, les hommes ingrats envers D.ieu qui leur a prodigué des bienfaits de D.ieu, etc…
Comment transformer une histoire positive, éclairante, dont le point d’orgue est de nous amener à considérer que la vie humaine est importante, en une sourate insipide, désagréable et déconnectée du récit qu’elle est censée relater.
Conclusion : Mohamed est très clairement un faux prophète.
L’islam n’a que très peu de croyants et il s’agit de quelques individus sous l’emprise des imams ou de la lecture de textes hallucinogènes (coran) pour les faibles d’esprit. Sont confondus les millions d’arabes qui transforment le culte de leurs ancêtres, par ce rattachement viscéral à leur pays à leur race, en ordre militaire, ou en groupes banlieusards nuisibles.
La foi à ses raisons, raisons pas toujours bien propres. Et la foi musulmane, est surtout le prétexte de rassemblement pour imposer leur soumission, fut-elle liberticide, totalitaire et immoral.
Les soumis à l’islam, ne peuvent vivre que sous un la dictature sévère des califes. C’est à dire chez-eux.
Merci Antiislam, Vous exposez un point FONDAMENTAL à mes yeux, Dans le cadre de mon travail, j’ai eu mille fois l’occasion de me rendre compte de cette différence essentielle entre les deux religions mais peu de français partagent ce point de vue (hélas). J’entends trop des phrases à l’emporte-pièces comme ; » toutes les religions se valent, elles sont toutes sources de violence. »
Je garderai votre article pour que celui-ci m’aide dans ma prochaine discussion entre copains (après confinement !!!).
» toutes les religions se valent, elles sont toutes sources de violence. »
Oui, toujours le même argument de mauvaise foi qui a pour but de taire tout débat et tout échange : à quoi bon débattre si tout se vaut ? Pourquoi parler de l’avantage de l’ordinateur sur le livre ou du livre sur l’ordinateur si tout se vaut et qu’ils ne sont que des supports pour suppléer à notre mémoire.
Pourquoi aussi parler de haute gastronomie française supérieure à de la restauration rapide puisqu’en définitive, dans le ventre, tout se mélange, qu’il n’y a que protides, lipides et glucides dans les deux cas, et une fin de digestion au même lieu d’aisance ?
Pourquoi comparer Beethoven à NTM ? Ce n’est en définitive que des sons, des notes, du bruit et à ce titre ils se valent bien ?
Pourquoi comparer l’amour charnel d’un couple qui s’aime à un viol quand il ne s’agit que des mêmes organes reproduisant les mêmes procédés susceptibles d’amener à la reproduction, ce n’est toujours en définitive, que la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovocyte, alors pourquoi dire que le viol c’est moins bien que l’amour consenti ?
La réduction à néant de toute ébauche de pensée, de tout travail de compréhension, par un « égalitarisme » totalitaire et dictatorial qui utilise ce baillon pour faire taire toute pensée dissidente.
Que dire à des gens si malhonnêtes et si pervers ?
Cela me rappelle la réponse que fit le Professeur Rollin à Aymeric Caron et Vanessa Burgraff et visible dans cette excellente vidéo du Lapin Taquin.
https://www.youtube.com/watch?v=6pPcti6Mjb0
Pour moi, ma réponse à ces personnes serait de leur faire toucher du doigt qu’elles sont en train de tenter de me baillonner et que je n’en suis pas dupe.
Sous des dehors d’argumentation : toutes les religions sont violentes, on utilise un joker, une baguette magique qui met fin à toute discussion. Que c’est une fin de non-recevoir pour un échange intellectuel que l’on ne veut pas avoir. Que c’est au mieux une lâcheté, au pire de la collaboration avec l’ennemi en le dédouanant à priori de tous ses crimes au motif que les autres ne sont pas non plus tous blancs.
Une façon « civilisée » d’intimer à l’autre l’ordre de se taire en faisant semblant d’avoir un échange ouvert.
[suite]
Je voudrais aussi signaler un autre épisode biblique dans lequel le prophète se situe à l’exact opposé de Mahomet et qui encore une fois, nous démontre que Mahomet est un faux prophète.
Souvenez-vous de l’épisode de Sodome et Gomorrhe. Ce sont des villes qui existèrent au temps d’Abraham, le premier patriarche (il aura pour héritier son fils naturel Isaac qui aura pour héritier son fils Jacob/Israël). Parce qu’elles étaient profondément corrompues par le matérialisme et l’égoisme, D.ieu décide de les détruire. Quelle est alors la réaction d’Abraham ? Tout comme Moïse le fit plus tard pour sauver le peuple d’Israël, Abraham se mit à plaider la cause de ces deux villes. Il rentre alors dans un marchandage pour sauver même de justesse les habitants de ces villes.
Lire le récit ici :
http://sefarim.fr/Pentateuque_Gen%E8se_18_20.aspx
Il faut bien s’en imprégner pour comprendre la supercherie de Mahomet.
—
20 L’Éternel dit: « Comme le décri de Sodome et de Gommorrhe est grand; comme leur perversité est excessive, 21 je veux y descendre; je veux voir si, comme la plainte en est venue jusqu’à moi, ils se sont livrés aux derniers excès; si cela n’est pas, j’aviserai. » 22 Les hommes quittèrent ce lieu et s’acheminèrent vers Sodome; Abraham était encore en présence du Seigneur. 23 Abraham s’avança et dit: « Anéantirais-tu, d’un même coup, l’innocent avec le coupable? 24 Peut-être y a-t-il cinquante justes dans cette ville: les feras-tu périr aussi et ne pardonneras-tu pas à la contrée en faveur des cinquante justes qui s’y trouvent? 25 Loin de toi d’agir ainsi, de frapper l’innocent avec le coupable, les traitant tous deux de même façon! Loin de toi! Celui qui juge toute la terre serait-il un juge inique? » 26 Le Seigneur répondit: « Si je trouve à Sodome au sein de la ville, cinquante justes, je pardonnerai à toute la contrée à cause d’eux » 27 Abraham reprit en disant: « De grâce! j’ai entrepris de parler à mon souverain, moi poussière et cendre! 28 Peut-être à ces cinquante justes, en manquera-t-il cinq: détruirais-tu, pour cinq, une ville entière? » Il répondit: « Je ne sévirai point, si j’en trouve quarante-cinq » 29 Il insista encore, en lui disant: « Peut-être s’y en trouvera-t-il quarante? » II répondit: « Je m’abstiendrai à cause de ces quarante. » 30 Il dit: « De grâce, que mon Souverain ne s’irrite point de mes paroles! Peut-être s’en trouvera-t-il trente? » II répondit: « Je m’abstiendrai, si j’en trouve trente » 31 II reprit: « De grâce, puisque j’ai osé parler à mon Souverain, peut-être s’en trouvera-t-il vingt? » II répondit: « Je renoncerai à détruire, en faveur de ces vingt. » 32 Il dit: « De grâce, que mon Souverain ne s’irrite pas, je ne parlerai plus que cette fois. Peut-être s’en trouvera-t-il dix? » II répondit: « Je renoncerai à détruire, en faveur de ces dix. » 33 Le Seigneur disparut, lorsqu’il eut achevé de parler à Abraham; et Abraham retourna à sa demeure.
—
On voit bien à quel point Abraham va se démener pour sauver des gens vraiment mauvais (cf : http://sefarim.fr/Pentateuque_Gen%E8se_13_13.aspx « 13 Or, les habitants de Sodome étaient pervers et pécheurs devant l’Éternel, à un haut degré. »).
A remettre à nouveau en parallèle avec la supplication de Mohamed dans la sourate 9 verset 30 :
Les Juifs disent: « ‘Uzayr est fils d’Allah » et les Chrétiens disent: « Le Christ est fils d’Allah. » Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ?
(https://www.coran-francais.com/coran-francais-sourate-9-0.html?id_verset=1178)
Clairement, de nouveau le contraste est saisissant entre un vrai prophète, Avraham, qui se bat pour sauver des vies humaines, même de personnes ne le méritant pas et Mohamed, dont la parole haineuse demande à D.ieu la mort des Juifs et Chrétiens. Mohamed n’est donc que cela, une personne haineuse.
Et cela d’ailleurs transpire dans la lecture du Coran, un verset sur cinq peut-être est négatif, appelle au chatiment, menace de l’enfer ou de la punition. La lecture du Coran fait penser à un auteur atteint du syndrome de la Tourette, qui est à intervalles réguliers repris par une éructation violente de propos agressifs.
C’est plus fort que lui, il faut qu’il appelle au chatiment.
« »la Terre entière a sous les yeux l’échec monstrueux du projet musulman dans TOUS les pays où il domine : les 57 pays de l’OCI.
(Echec moral (corruption), échec économique (misère), échec culturel (aucune vie intellectuelle en pays musulman) etc, etc. : 90% des jeunes des pays d’Afrique du Nord veulent les fuir pour l’Occident).
comme dirait Paul Valéry
« »Quelle sonorité ces éléments limpides Tirent de la clarté ! « »
A rapprocher de cet article :
https://www.dreuz.info/2020/02/22/pourquoi-jesus-ne-serait-pas-le-fils-de-dieu/
qui va même encore plus loin.
L’idée, en résumé, en est que l’homme judéo-chrétien voit D.ieu comme son Seigneur, mais aussi comme son père. Ce dernier point est très important : un père aime son fils.
C’est (pour les Juifs) une des prières majeures de la période menant à Yom Kippour, durant laquelle nous implorons D.ieu de pardonner nos fautes, comme un père qui [ aime / a pitié ] (le mot hébraique a ce double sens) de ses fils.
Je sais qu’il y a, de même la prière du « Notre Père » chez les Chrétiens mais je ne suis pas compétent en la matière. Wikipédia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Notre_P%C3%A8re#Les_sources_juives ) et d’autres sources (https://www.franceculture.fr/religion-et-spiritualite/le-notre-pere-n-est-pas-tombe-du-ciel p.ex.) pointent l’origine juive de cette prière.
L’article précité explique que l’Islam ne connait pas cette notion si évidente pour les autres de D.ieu père. Elle est tout simplement absente, il ne reste qu’un dieu maître absolu, et donc l’idée d’amour pour ses créatures n’affleure pas, à aucun moment. Ce qui explique ainsi la rigueur desséchante de cette religion. Tout le principe du Pardon vient de cette dualité justement : si on a fauté ou péché, c’est bien parce qu’il y a un commandement imposé par un maître qui est D.ieu, mais s’Il peut ne pas condamner, s’affranchir de cette Justice et pardonner, c’est bien parce qu’Il aime ses créatures. C’est d’ailleurs le sens de l’histoire de Noé et du déluge. Si D.ieu juge l’humanité selon la stricte règle, alors le monde mérite parfois d’être détruit. Après le déluge, D.ieu s’interdit de reproduire une telle destruction. Il devra alors adoucir sa justice.
Un autre point intéressant à noter est la comparaison Moïse/Mohamed : il y a un autre épisode dans lequel D.ieu adoucit sa justice, l’épisode du veau d’or : suite à cette faute terrible que l’on peut comparer à un adultère commis le jour même d’un mariage (alliance entre D.ieu et Israël au Sinai), le peuple d’Israël mérite de disparaître mais Moïse qui n’est pourtant pas un tendre demande à D.ieu de pardonner à son peuple et il obtient ce pardon !
Que lit on dans le Coran, en revanche ? Que demande Mohamed ?
réponse dans la sourate 9 verset 30 ( https://www.coran-francais.com/coran-francais-sourate-9-0.html?id_verset=1178 ) :
Les Juifs disent: « ‘Uzayr est fils d’Allah » et les Chrétiens disent: « Le Christ est fils d’Allah. » Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ?
Ce simple exemple suffit à démontrer que Mahomet est un faux prophète. Il manque d’empathie envers les créatures, il ne veut pas la mort du péché, mais la mort du pécheur, contredisant en ce sens les religions qui l’ont précédé.
La traduction exacte de Psaume 104:35 n’est d’ailleurs pas « que disparaissent les pécheurs de la terre » mais « que disparaissent les péchés de la terre ». Etonnament, les quelques traductions (cf. https://saintebible.com/psalms/104-35.htm) protestantes se trompent toutes, le substantif est « hataim », les péchés et non « hotims » les pécheurs. On peut se poser la question de cette erreur si évidente commise par des hébraïsants avertis (Louis Segond), mais c’est un autre débat (j’ai mon idée sur la question).
Petite question, @ pikachu, pourquoi écrivez vous systématiquement « D.ieu » dans votre passionnant sujet ?
Merci Aardvark.
C’est une habitude qui vient de l’écrit. Un Juif orthodoxe évite d’écrire le nom de D.ieu en entier, afin de ne pas le profaner. En hébreu, vous le savez sûrement, on ne prononce pas non plus le nom de D.ieu, le tétragramme. On utilise un autre mot à la place, le plus souvent on dit : « le Nom ».
Cela vient (puisque l’on parle du Décalogue) du commandement : « tu ne prononceras pas le nom de D.ieu en vain. ».
J’avais remarqué aussi cette façon d’écrire et je m’étais dit que vous étiez plus « pratiquant ».
C’est ce que je « ressentais », mais le « comprendre », c’est encore mieux. Merci antiiSSlam.