Pâques sans mouna, en Algérie, ce n’était pas Pâques…

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Joyeuses Pâques à tous !

 

Il y a deux choses qu’on n’a pas pu nous enlever : notre accent et nos coutumes ; l’une d’entre elles qui nous réunissait à Paradis Plage, dans la forêt de M’sila, sur les dunes d’Aïn-Séfra, partout en forêt ou en bord de mer était cette réunion familiale, amicale de Pâques autour d’une table de fortune, voire des serviettes ou drap : l’anisette, la longanisse et les plats:  Paella bien sûr, mais ZOSSI roz con conejo (ne pas confondre avec corona…virus), Gaspatcho (les vrais), caldero; tous ces gros plats étaient tout à faits adaptés par le nombre de convives . 

Mais Pâques sans la Mouna: ce n’est pas Pâques et c’est elle qui n’avait rien de comparable avec celles que l’on nous fait aujourd’hui à qui il manque l’essentiel: notre soleil ; le parfum qu’elle dégageait pouvait se sentir à 10 lieues à la ronde !!! Et quand il en restait, qu’elle devenait dure à se casser les dents on la tromper (pardon tremper) dans un bon café à réveiller un Maure.

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Sur la photo en illustration  de l’article, qui mérite explication, vous avez le rêve d’hier. Je vais vous lasser avec l’histoire de cette photo mais pour moi elle a marqué ma vie et reste encore ancrée dans ma mémoire.

Janvier 1960, les Algérois se rebellent et ce sera le temps des barricades ; Mostaganem est une petite ville mais il n’empêche qu’elle sera solidaire d’Alger; la manifestation dérape un peu et quelques jeunes considérés comme perturbateurs sont expulsés et interdits de séjour. Je suis de ces perturbateurs et vais écoper de 3 mois d’interdiction de séjour: très bien mais où aller. C’est alors que le boulanger de ce petit village où je suis né d’ailleurs accepte de m’héberger. Pendant 3 mois j’aurai le gîte et le couvert, en compensation je l’aide à sa boulangerie et je découvre ce métier. Voilà ce n’est pas grand chose mais c’est énorme. Aussi je ne pouvais ne pas vous associer à ces souvenirs. Merci à toi Pépico repose en paix.

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26 Comments

  1. Pour compléter sur la cuisine PN que j’ai souvent pu apprécier mais qui reste très familiale et peu représentée par des restaurants , il serait faux de la limiter à un espèce de mélanges de plats issus de divers pays méditerranéen. Cette cuisine avait son identité propre . Il ne faut pas schématiser On ne la retrouve pas dans la cuisine ou la charcuterie purement Espagnole ou Arabe , juive ou Italienne. C’est tout à la fois cela mais pas que,et surtout avec la pate PN mais aussi le côté gastronomie Française qui faisait que le moindre de ces plats était très travaillé . ; Mais malheureusement tout ceci est resté très cloisonné dans le cadre familial et c’est bien dommage ! Pourtant rien à voir avec la ragougniasse que l’on nous sert dans certains restaurants « typiques »

  2. Je ne suis pas d’accord avec vous Moktar et Baribal quand vous dites qu’il ne faut pas en faire de trop sur le côté folklorique PN. Moi je crois le contraire il faut entretenir celui-ci. Sinon c’est toute un univers qui va disparaitre avec les derniers .Par contre vous avez entièrement raison de souligner que cela ne pourrait se limiter à être représenter uniquement par ceux de la Goulettes .
    Par contre je suis d’accord pour dire que certains ont joué sur la fibre PN pour n’en retransmettre que la superficialité . L’accent et les expressions mais peu de témoignages de « là-bas » . Je peux dire que je suis un des rares » pathos » à connaitre un peu la richesse de la présence des Français en Algérie.
    Quand vous évoquez la Mouna des pâques, cela me parle . J’ai vécu l’Algérie par procuration. Les témoignages que j’ai eu de cette époque sont autant autour de certaines habitudes et plats que de personnages typiques qui étaient les vrais vedettes du petit peuple de certains quartiers comme Bab el oued. C’était aussi bien le Glacier du coin que celui qui vendait des brochettes , le vendeur ambulant de la glace créponé, ou encore celui qui vendait des cônes ou bliblis . La kemia , la longanisse , la soubressade , le hasban les moules à l’escabèche etc, etc . Cela n’évoque pas grand chose aux Français dans leurs ensemble mais c’est tout ce qui a fait une part de l’identité des Français d’Algérie . Il ne reste à Paris à ma connaissance qu’une enseigne pour vendre les mets de là bas . C’est « Chez Antoine » . bld St Antoine . Dans le 12ème.
    Bizarrement j’ai vécu dans la ville de la banlieue de Paris où se trouvait la fabrique de l’anisette Gras très populaire en Algérie Française qui avait déménagé en métropole après l’indépendance.
    Ce qu’il me manque ce sont les odeurs des Orangers , des amandiers des figuiers en fleur qui elles ne sont pas descriptibles.
    Quand aux comiques et acteurs vraiment représentatifs des PN d’Algérie pour moi ils ont été Robert Castel, Yvette sahuquet ; Marthe Villalonga .
    Un « comique » ou acteur qui m’a profondément déçu c’est Guy Bedos.
    Je l’ai vu dans un documentaire retournant dans l’ Algérie des années 90 , il n’en menait pas large ! Je le comprenais, mais pourquoi n’a t il pas pointé les dangers que cette réalité islamique Algérienne pouvait faire courir à la France à travers l’immigration de masse???

  3. @ Mon cher François (si je puis me permettre cette familiarité); certes je ne connais pas tout mais tout de même suffisamment tant sur l’Algérie bien sûr que sur le Maroc et Tunisie et je vous vous assurer que tout ce qui est dit, écrit ne correspond même pas à la partie visible de l’iceberg.
    Tous ces salopards que vous citez et que j’ai citer, et il y en a encore, se sont emparés de la détresse de ces pauvres gens pour assoir leur carrière. Mais pire que tout ils se sont autoproclamés représentants des Français d’Algérie et, ainsi, on a stéréotypé la communauté Pieds-Noirs en Hableurs, avec l’accent po.po.po.
    Le 13 mars 2002 je suis intervenu, comme à mon habitude un peu agacé, auprès de Yves Calvi dans l’émission c’dans l’air au cours de laquelle étaient invités Benyamin Stora et l’ex-préfet Bonnet; Mme Revel Mourroz, Algéroise et Boussad Azni qui tous deux n’ont pas eu la parole ni droit de réponse.; je suis intervenu par lettre ouverte de 6 pages relatant tous les points important; je n’ai eu pour réponse que deux lignes m’indiquant que Monsieur Calvi prenait acte de mon courrier et y répondrait….18 ans se sont écoulés!
    Pourtant la vérité devrait voir le jour car, dans le contexte actuel, elle permettrais d’ouvrir les yeux des Français.
    Voyez d’ailleurs dans ce petit article que Christine a eu la gentillesse de faire paraitre, les réactions. Pourtant où est le mal si ce n’est rappeler des souvenirs.
    C’est bien ce qui prouve que les gens globalement n’ont aucune conscience de la souffrance de toute cette communauté.
    C’est ainsi. Joyeuses Pâques

    • Veux-tu que l’on fasse paraître ta lettre de 6 pages en rappelant comme tu viens de le faire le contexte et l’absence de réponse de Calvi ?

      • @Christine; je te l’envoie ; tu en fais ce que tu veux. Il n’y a aucun problème à la diffuser si l’occasion se présente et quand tu le jugeras utile ou intéressant.

    • Yves Calvi, de son vrai nom Yves Krettly, est un franco-suisse, fils à papa compositeur et maman comédienne. Donc, aucune compassion à attendre de ce copain de Macron qui, il y a qqes jours évoquait  » la pleurniche hospitalière ».

      • Calvi fait partie de la bande à marcon, donc il n’y a rien à attendre de bon pour ce qui concerne NOTRE Algérie.
        Quant à la mouna, après des années de « disette » j’ai retrouvé depuis cinq ans chez un boulanger son goût inimitable. Comme quoi il ne faut JAMAIS désespérer.
        Bonne et Sainte fête de Pâques

  4. @Agnès; je poursuis afin de parfaire vos connaissances tout en restant extrêmement succinct.
    La Tunisie donc ne fut pas un département Français mais un protectorat avec tout ce que cela comporte et qui le fut sur une période approximative de 70 ans; donc sur ce plan particulier il est évident que l’attachement n’est pas du tout identique.
    Mais laissons cela.Vous écrivez vous vous êtes adaptés et un peu plus loin vous êtes Français?! je ne comprends pas très bien puisque vous étiez Français, vous n’aviez pas à vous adapter!!!
    Je vais conclure avec un dernier détail (aïe c’est encore un mot???).
    Les Tunisiens qui étaient déjà en France depuis plusieurs années, se revendiquèrent « Pieds-Noirs » en 1962. Pourquoi? Et bien chère Agnès tout simplement pour récupérer çi et là quelques menues monnaies qui étaient destinées à ces Français qui avaient tout perdu sans avoir le TEMPS de rapatrier quoi que ce soit.
    Et dans ceux qui se revendiquèrent Pieds-Noirs il y avait vos deux guignols Elie Kakou et Michel Boujenah avec lequel d’ailleurs j’ai eu quelques échanges au cours desquels il s’est non seulement « écrasé » mais à fait des excuses publiques; j’explique: ces deux comiques (paix à l’âme de Elie) s’étaient autoproclamés Pieds-Noirs et de surcroit représentants de cette communauté (tout comme du reste Enrico la chiasse). Puis le portefeuille étant bien rempli les deux comparses (Boujenah et Enrico) lors d’une interview renièrent ce fait pour, tenez-vous bien, SE DIRE NOUS SOMMES ET AVONS TOUJOUS ETE DES JUIFS. Si Enrico arrêta là son commentaire l’ordure de Boujenah poursuivit en critiquant le fait que les PN étaient tous d’immondes colons et bien d’autres choses.
    Ceci n’étant qu’un petit détail pour répondre à votre message et sous-entendus. Il est évident que je possède les preuves de ce que j’avance car je n’ai jamais eu pour habitude d’affirmer ce que je ne maitrise pas et je possède à votre disposition cet échange de courrier avec le guignol tunisien.
    Pardon aux autres lecteurs mais sans doute que cela vous aura aussi éclairer sur les dessous de l’histoire.

    • @Moktar

      Vous oubliez également Patrick Bruel qui chantait « au café des délices, les plages d’Hammamet, yalil, yalil… »

      Je ne comprends pas tous ces gens virés d’Algérie (bon, Bruel en est parti à 2 ans) qui ont continué à cracher sur les colons, l’armée et la France puis le FN.

      Je n’ai jamais compris non plus les « porteurs de valises » et tout ceux qui ont voulu faire venir des milliers de types du FLN pour remplacer l’ouvrier gaulois.

      Enfin, je compatis au sort des anciens PN et des harkis abandonnés par l’État.

    • Enrico-le-collabo qui, aujourd’hui, revendique ses origines arabo-andalouses et juives, le chanteur de la paix autoproclamé…mais qui n’a jamais pu chanter en Algérie ! Un opportuniste de plus qui s’est fait du pognon en surfant sur la nostalgie PN pour ensuite la rejeter et nous faire le coup du « j’aime tout le monde ».

      Quant à Boujenah, je ne lui ai jamais trouvé aucun talent. Ses spectacles n’ont aucun texte, il rit de ses blagues, et il a sa claque. Rien à voir entre les Séfarades de la Goulette ou du Constantinois, de culture judéo-arabe, et les PN. Quant à ses commentaires sur les PN, je les ai lus, et ils ont confirmé que ce n’est qu’une ordure. Quelle patience d’avoir échangé avec ce connard !

  5. @Baribal;Nous sommes en phase amigo; j’essaie de me modérer. Mais tu as raison sur tous les points.
    Je suis « certain » qu’Agnès n’a pas voulu être désagréable. C’est son naturel qui s’est manifesté.
    Les Tunisiens ont oublié qu’ils se sont déclarés Pieds-Noirs en 1962 dans le seul souci d’être classés dans les rapatriés et encaisser quelques menues monnaies ci- et là. Bon n’engageons pas cette discussion.

    • @Moktar

      Je te suis. Ne l’accablons pas…

      Par contre, je trouve que certains films tels « La vérité si je mens » et autres films « folkloriques » ont abusé notre identité et su tirer profit de ce flou en s’accaparant une identité PN que leurs protagonistes n’avaient pas du tout. Quand j’entends Hanouna dire qu’il est PN, j’ai envie de sortir mon flingue. Chacun a son identité culturelle et cultuelle, et loin de moi toute critique à ce sujet, mais j’aime rendre à César ce qui est à César. On nous a volé l’Algérie, que l’on ne nous vole pas ce qu’il nous reste, notre histoire.

      Bonne mouna et meilleurs oeufs !

  6. @Agnès; votre commentaire est fort intéressant mais m’amène tout de même à quelques observations que, j’espère, vous ne prendrez pas mal.
    Toy d’abord j’observe que vous appréciez de souligner certains « maux » par des guillemets..sûrement pour les mettre en valeur.
    Dans votre message fort sympathique vous semblez ne pas adhérer à ces gens d’Algérie qui ont une certaine nostalgie.
    Aussi comme vous étiez petite à votre départ d’Algérie je vais tenter de vous éclairer très succinctement sur les différences fondamentales de ces deux pays et de leur population.
    La Tunisie fut un protectorat datant de 1880 et non un Département comme le fut l’Algérie dès 1830.
    La Tunisie fut peuplée notamment par les Français bien sûr, mais aussi par les Italiens en très grand nombre et les Maltais; des juifs séfarades se joignirent à cette population.
    L’Algérie quant à elle eut pour premiers colons les Français, suivis d’autres peuples européens: allemands, italiens, maltais, espagnols et quelques juifs séfarades venus d’Espagne.
    Ainsi la cuisine – puisque c’est le sujet de l’article – adopta toutes les couleurs de ces populations et c’est ce qui en fit une richesse subtile.
    Comme vous évoquez le couscous: ce n’était pas le plat principal des Européens; mais il faisait tout de même partie des autres plats typiques: Paella, Caldéro, gras double, gazpatcho, frita entre autres puis évidemment certains plats juifs et arabes: tafina, chouchouka, couscous. Forcément comme les Européens d’Algérie étaient avant tout Français ils cuisinaient les tripes, les gratins, les vols au vent, cassoulet, blanquette, etc.…
    Vous constatez donc cette richesse culinaire qui ne s’arrêtait pas à une seule nationalité. D’ailleurs ces Français d’Algérie, arrivés en Métropole, non seulement ont apporté un considérable essor économique puisqu’ils s’étaient totalement intégrés malgré les diverses oppositions (que les Tunisiens n’ont pas connu) et de surcroit leurs spécialités alimentaires.
    Pour ne pas être trop long sur un seul message, je poursuis si vous le permettez sur un second.

  7. Oui ,  » là-bas  » c’etait si bien !
    Je suis née en Tunisie ,on est venus en France j’etaispetite j’ai grandi à Marseille où je suis chez moi .
    Mes parents n’ont jamais eu les accents nostalgiques et tous les regrets de « leur pays  » , comme l’on fait et le font encore les gens d’Algérie .
    Notre pays c’est la France . On s’est adaptés . Le couscous n’est pas notre plat principal ,ni le reste . Notre cuisine est française empreinte de la cuisine de nos grand mères ,c’est tout !
    Joyeuses Pâques à tous

    • Bien que ce soit un pays du Maghreb;La Tunisie n’a rien eu de commun avec l’Algérie; c’est une des raisons pour lesquelles les mémoires sont différentes pour ne pas dire diamétrallement opposées. la Tunisie devint un protectorat un demi siècle après que l’Algérie fut déclarée Département Français.
      Sa population fut majoritairement Italienne, maltaise. Bien sûr il y avait des Français mais aucune autre nationalité telle que ce le fut pour l’Algérie.
      Les tunisiens européens pour leur grande majorité quittèrent la Tunisie en 1956; c’est à dire 6 ans avant que les Français d’Algérie soient contraints de partir.
      Pour les Pieds-Noirs (j’évoque bien sûr les Français d’Algérie) la France était notre Mère Patrie.
      Nos plats avaient cette immense particularité qu’ils étaient un mélange de tous ces immigrés venus des (presque) 4 coins du monde; c’est ce qui a fait leur richesse.
      Voyez que l’histoire de ces deux pays n’a rien de commun hormis le fait d’être situés en Afrique du Nord.
      Aussi cette nostalgie est tout à fait légitime car les Tunisiens n’ont absolument pas vécu les mêmes évènements dans leur globalité.
      Je conclue : ce n’est pas le plat qui détermine la Nationalité. Et sachez que l’arrivée des Français d’Algérie a été favorable à l’essor de la France; tous les éminents économistes vous le diront. Ce qui signifie pour faire simple: que les Français ont su non seulement « s’adapter » mais apporter leur savoir-faire, leur courage. C’est tout!!!
      Bonne fêtes de Pâques.

      • Effectivement, rien à voir entre la Tunisie et l’Algérie. Idem pour le Maroc. C’est pourquoi j’ai toujours du mal quand on parle de Pieds noirs de Tunisie ou du Maroc, sans les mépriser, bien sûr. Juste une question de justesse historique. Sans oublier que l’Algérie était composée de 3 DEPARTEMENTS français, donc terre française à 100 %.

        D’ailleurs, combien de Français ( métro ou PN ) vont passer leurs vacances en Algérie, comparativement à la Tunisie et au Maroc ? C’est bien le signe qu’il y a une impossibilité liée à une histoire douloureuse qui n’existe pas dans le reste du Maghreb.

      • lu .
        Merci pour votre réponse .
        Je suis en effet en grande partie d’origine maltaise .
        Inconsciemment ,je crois que c’est ce que je ressens .

        • Vieux proverbe PN :  » Il faut toujours tourner sept fois la mouna dans sa bouche avant de parler « 

    • « Notre pays,c’est la France »…Vous oubliez que l’Algérie était la France (3 départements).

      « Le couscous n’est pas notre plat principal »…On dirait un commentaire extrait d’un guide touristique néo-colonialiste ! Je vous rassure, les Pieds noirs ne mangent pas du couscous et de la mouna tous les jours. Nous connaissons aussi le boeuf bourguignon, le steak-frites, le gigot d’agneau, le filet mignon, la sole meunière, le poulet à la crème et le camembert.

      « On s’est adaptés »…Nous, « on nous a méprisés », et ce n’était pas faute de vouloir s’adapter à une métropole où il fallait repartir de rien, et ou rien n’a été fait pour nous accueillir.

  8. En vous lisant je voyais la scène assis a l’ombre d’un bel arbre en train de savourer une bonne longanisse le verre d’anisette a la main …………

  9. Souvenirs, souvenirs : pour moi, c’est Bone, le cours Bertagna, la Basilique Saint Augustin sur la colline Bugeaud, la plage Tôche, ….

  10. qu’il devait être bon ce gâteau de pâques. insidieusement la saveur ,la vie ,le gout , ces êtres sans âmes aseptisent tous et tout.

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