Mais il se garde bien de dire qu’il était déjà, lui aussi, aux manettes dans les Ministères quand c’est arrivé… et que ça avait commencé sous Sarkozy…
.
Evidemment, ça devait sortir… Déjà, hier, sur l’Internaute, c’était la fête à Hollande.
Mais le gouvernement actuel n’est pas le seul à être remis en question. Olivier Véran a reconnu en effet le 3 mars dernier qu’il n’existait aucun stock de masques FFP2, pourtant demandés par la population et en premier lieu par les soignants pour se protéger de la contamination. Une situation qui a obligé le gouvernement à réquisitionner tous les stocks de masques privés, de recourir à des achats et une fabrication dignes d’un effort de guerre, sans compter l’envoi par la Chine d’1 million de masques récemment. Le Figaro indique pourtant que 600 millions de ces masques, ainsi qu’un milliard de masques chirurgicaux étaient auparavant stockés par l’Etat. Ce stock aurait disparu selon le journal à cause d’un changement de politique ou de « doctrine » entre 2011 et 2015.
.
Et évidemment, Véran est pris à partie à l’Assemblée… Sa réponse, fort lapidaire, qui ne nous satisfait pas, est claire… et on sent qu’il n’est pas très à l’aise dans ses baskets le pauvre type.
En 2014 sous le gouvernement socialiste soutenu par E.Macron et auquel O.Véran avait accordé sa confiance a voté ses lois en bon député socialiste à l’époque.
Pénurie de masques : « En 2013, il a été décidé que le milliard de stock d’Etat n’était plus indispensable », souligne @olivierveran avant de détailler la répartition des masques entre les différents secteurs professionnels de santé. #DirectAN #QAG pic.twitter.com/Uv5KaHGtNn
— LCP (@LCP) March 19, 2020
En video si le tweet venait à disparaître
Député de 2012 à 2015 dans les rangs du Parti socialiste, il siège à la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, où il suit particulièrement les dossiers relatifs à la santé12. Il intervient également sur des textes de lois économiques, comme les contrats de génération13 ou la réforme du droit du travail14. Il prend position en faveur de l’ouverture expérimentale à Paris d’un site d’injection supervisée (« salle de shoot »)15, ainsi que l’ouverture du droit de vote des étrangers aux élections locales16. À l’instar de plusieurs députés, il publie l’utilisation de sa réserve parlementaire17 et s’engage pour le non-cumul des mandats.
En mars 2013, il est chargé par le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, d’une mission sur la filière sang en France18,19, au cours de laquelle il s’engage pour le don du sang, anonyme, gratuit et volontaire. Dans la foulée, il fait voter un avantage fiscal pour les laboratoires respectant le don, et la création d’un label éthique pour les produits sanguins prélevés dans des conditions de gratuité et de bénévolat20. Il milite pour la fin de la discrimination des homosexuels du don du sang21, ce qui a abouti en avril 2015 à l’adoption à l’unanimité par le Parlement d’un amendement UDI à la loi de santé allant dans ce sens22.
En décembre 2013, il publie un rapport sur l’emploi médical temporaire à l’hôpital, dans lequel il tire la sonnette d’alarme sur l’impact sanitaire et financier du recours croissant aux médecins intérimaires, en lien avec une attractivité hospitalière de très bas niveau23.
En 2014, il est rapporteur du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015, volet assurance maladie24. Il défend notamment la création d’hôtels hospitaliers25, ainsi que la suppression des franchises médicales pour les bénéficiaires de l’aide à la complémentaire santé26.
En 2015, il est rapporteur du volet prévention et promotion de la loi de modernisation de la santé, comprenant le plan anti-tabac, la lutte contre le binge drinking, les salles de consommation à moindres risques27. Il se mobilise particulièrement contre les troubles nutritionnels, avec des moyens nouveaux pour prévenir et soigner les malades d’anorexie, et fait voter un amendement visant à interdire de recourir à des mannequins en état de dénutrition manifeste28.
En 2016, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, le charge du pilotage du comité de réforme du mode de financement des établissements de sang
Alors qu’infirmiers, médecins et autre personnel hospitalier le réclament, le ministre ne cesse de répéter : le FFP2 arrive, le FFP2 va arriver ! La France est-elle donc en «pénurie» de ce masque, avec les conséquences que cela implique sur la lutte contre la diffusion de la pandémie ? Si oui, d’où vient cette pénurie : l’État a-t-il délibérément choisi de liquider son stock ?
VÉRIFIONS.
Alors que le stock de masques chirurgicaux (que doivent théoriquement porter les malades) fait l’objet de multiples quantifications (de «80 millions», selon Edouard Philippe le 10 mars à «110 millions» selon Olivier Véran hier mardi), les réponses sont beaucoup plus discrètes concernant les masques FFP2. Et pour cause : dans la seule réponse publique sur le sujet, adressée par le ministre au député Jean-Pierre Door (LR) le 3 mars dernier, aucune fanfaronnade possible : l’État ne possède «pas de stock de masques FFP2»!
Si depuis, tous les stocks privés ont été officiellement réquisitionnés, l’État, conscient du manque, essaie par ailleurs de s’en procurer par tous les moyens possibles : «Je fais le maximum au quotidien pour acheter des masques partout où cela est possible», assurait ainsi Olivier Véran le 10 mars. Interrogé sur les quantités disponibles depuis ces dernières commandes, le ministère de la Santé n’a pas encore répondu aux questions du Figaro. Mais si le chiffre actuel n’est pas connu précisément, en tout état de cause, un stock stratégique de masques FFP2 a bel et bien existé, et a entièrement disparu ces dernières années, en raison d’un «changement de doctrine».
Les stocks de l’État revus à la baisse en raison d’un changement de «doctrine »
Revenons quelques années en arrière. En 2009, le nombre total de masques FFP2 atteignait, selon un rapport du Sénat, quelque 579.691.625 unités. Parmi ceux-ci, 463 millions relevaient du stock stratégique et 116 millions du stock des établissements de santé. Le décompte émanait de l’EPRUS, l’Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires, dissous en 2016. Le rapporteur Jean-Jacques Jégou (Union centriste) notait «une difficile évaluation du stock», le ministère de la Santé avançant même le chiffre d’«environ 700 millions» de masques FFP2. Pour les masques chirurgicaux, on comptait un milliard d’unités en stock, «réservé aux personnes malades afin qu’elles évitent de contaminer d’autres personnes/leur entourage».
.
Pourquoi ce stock considérable a-t-il été revu à la baisse, et par qui ?
En 2011, un avis (téléchargeable ici) est rendu à la Direction générale de la santé par le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP), composé de personnalités qualifiées et de directeurs généraux du ministère chargé de la santé. Ce dernier préconise de réserver le masque FFP2, alors en stock, aux «personnels directement exposés à un risque élevé» dont le personnel de santé en cas de crise grave.
.
Il est suivi en 2013, d’un rapport du Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale(SGDSN) intitulé «doctrine de protection des travailleurs face aux maladies hautement pathogènes à transmission respiratoire». Celui-ci reprend l’avis du HCSP et ajoute que «le recours systématique aux masques de protection respiratoire de type FFP2 a montré ses limites en termes d’efficacité» et doit être réservé à une situation de crise de type «3», qu’il ne décrit pas.
.
Et sur cette base administrative qu’un second rapport du Sénat du 15 juillet 2015 évoque le changement de «doctrine» en cours dans la gestion des équipements de crise sanitaire, depuis la crise de la grippe H1N1 de 2009. Le document note ainsi une «inflexion de la politique de constitution et de renouvellement des stocks mise en œuvre par le ministre chargé de la santé». En cause, «la plus grande disponibilité de certains produits et de leur commercialisation en officine de ville». Le même rapport fait état de la baisse continue de la valeur du stock sanitaire de l’État (comprenant masques mais aussi vaccins, etc.).
943 total views, 1 views today
L’Europe a toujours été une usine a gaz ou l’on se demande si sa fonction n’est pas de détruire au lieu de construire car elle ne défend pas l’Europe et ses valeurs mais s’évertue a la faire envahir afin finalement de la détruire !
c’est une bureaucratie onéreuse qui complique au lieu de s’implifier ou chaque Pays tire la couverture a lui !C’est une cacophonie de plus qui va s’écrouler d’elle mème ,comme la « Tour de Babel » dans la bible !D’ailleurs la plus-part des peuples européens n’en veulent plus et commencent a se révolter !Europe ne défend plus son peuple les Européens au profit d’une mondialisation sauvage !
Elle aussi subie et non choisie !!!!!!!!!!!!!!!!!!
C’est une quiche ce mec là ! Socialo puis LREM, en plus c’est une girouette, il tourne avec le vent pour que sa poche soit toujours bien orientée. Quelle que soit l’étiquette posée sur un mauvais, il reste un mauvais. Il ne pouvait être nommé que par un incapable…
Une quiche?
Et les lardons ne seraient pas in con patibles avec la pensée du chef?
Eccellent article de Gabrielle Cluzel, tout est dit : https://www.bvoltaire.fr/les-frontieres-les-masques-les-tests-ca-ne-sert-a-rien-et-nos-gouvernants-a-quoi-servent-ils/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=b84d4ee714-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-b84d4ee714-30546777&mc_cid=b84d4ee714&mc_eid=d7aa639c6f
Comme d’habitude le peuple ne fera rien contre ces sinistres assassins que sont nos politichiens de tous bord ,,nous l’avons vu avec le premier tour des municipales puisque une majorité de veaux tant ont donnés leurs voix au ps lr larem écolo udi etc.etc. franchement le français tout au moins une bonne partie des français sont des cons qui ont des œillères et qui aiment vivre dans le merdier , puisqu’ à chaque élections il continue de revoter pour les même qui assassinent femmes , enfants et grands-parents ou parents , nous en avons un grand exemple avec le covid 19 . Une bonne partie du peuple de souche sont devenus des sans couilles ,des lâches , des suces boules et des suces babouches , tous ceux la méritent de disparaître , la nature a horreur des faibles et des lâches !
+1
macron n’est pas à la hauteur ! Il doit démissionner ainsi que son gouvernement qui nous amenés à cette dramatique situation.
Ils ont laissé rentrer le virus d’Italie (pas de fermetures des frontières par idéologie de bobo européen, match de foot avec supporters italiens,..). Et maintenant, ils disent faire la guerre à cet ennemi qu’ils ont favorisé !!
Ce sont des assassins !!
Politique bien connue du flux tendu et du stock 0. Des cartons qui dorment dans une cave ne sont pas rentables et en plus il faut du personnel pour le gérer, donc ça coûte aussi.
Un autre extrait, effarant, du rapport du sénat :
En mai 2009, lors de l’épidémie de grippe A (H1N1), les stocks de masques FFP2 relevant du ministère de la Santé étaient évalués à 580 millions d’unités (dont 229 millions étaient périmés) : 463 millions pour le stock stratégique et 117 millions pour le stock des établissements de santé.
Le Sénat, il est vrai, faisait alors mention de « difficultés » dans le suivi du « stock national santé », éparpillé dans 72 sites en France.
Incroyable ! Pas foutu de gérer 72 sites, encore un énarque dans la boucle, à coup sûr.
http://www.fdesouche.com/1350765-coronavirus-pourquoi-la-france-manque-t-elle-de-masques-de-protection-respiratoire
pour les masques et les tenues NBC allez voir chez les petits dealers de quartier.
Comme quoi, on ne nous avait encore jamais fait le coup du « C’est pas moi qui ai mis les doigts dans le pot de confiture ».
Et ça veut revenir, goûter les ors de la raie publique.
Face au danger, il existe la solution: veauter macrotte ou Dieu « la sainte trinité ».
Après la crise, il y aura de sanglants règlement de compte politique.
Sibeth Ndiaye explique ce matin au micro de J-J Bourdin que les règles de confinement ne sont pas moins appliquées dans les quartiers à fortes populations étrangères que partout ailleurs.
Elle explique tranquillement que si elle disait le contraire ce serait donner du grain à moudre aux « populistes ».
Ce sont des propos de type colonialistes qui consistent à nier la légitimité des populations indigènes Gauloises.
Des biologistes dénoncent la gestion catastrophique des stocks de masques par les gouvernants :
https://www.ladepeche.fr/2020/03/19/coronavirus-le-cri-dalarme-des-biologistes-toulousains,8809747.php
« Nous sommes catastrophés et dégoûtés. Sans masques on va devoir arrêter de travailler. Ce qui nous scandalise le plus c’est l’incohérence des technocrates. On a fourni des gels hydroalcooliques et des masques dans tous les bureaux de vote alors que nos soignants n’en avaient pas, et deux jours plus tard, le deuxième tour était annulé! » Pour Fabrice Laboudie, l’absence de dépistages systématiques est par ailleurs une grave erreur. « Nous le crions qu’il faut dépister systématiquement comme en Asie, si les symptômes des malades s’aggravent nous perdons deux jours pour alerter les gens qui ont été en contact avec eux ! » Sollicitée, l’Agence de régionale de santé n’a pas encore répondu ».
en parlant de masques :
http://www.fdesouche.com/1350793-erdogan-bloque-la-livraison-de-200-000-masques-de-protection-a-destination-de-litalie
Hé oui, le chantage du pourri au croissant continue et personne ne moufte.
Vive la délocalisation.
Il y a 2 conclusions à tirer:
1 – l’UE ne sert à rien voire nous dessert (on le savait mais on en a maintenant la preuve car aucune politique de prévention européenne de ce type de pandémie n’a été prévue)
2 – Il devient urgent d’exclure définitivement la turquie de toute tentative de rapprochement avec les pays d’europe et urgence absolue de flinguer le sultan qui n’est autre qu’un criminel soutenu par une population criminelle et génocidaire, on l’a vu avec les Arméniens !