Aurillac miné par drogue et violence ? Pour le maire socialo Mathonier, les délinquants sont en souffrance

La cour des Miracles ? Retour au Moyen âge ou à tout le moins au XIXème siècle ? Ne dirait-on pas une illustration des Mystères de Paris d’Eugène Sue ?

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L’insécurité qui progresse dans les grandes agglomérations, Paris, Lyon, Marseille, Rouen, Lille, Nantes, Rennes… aurait tendance à faire oublier que la France profonde n’est pas, n’est plus à l’abri.

La France Mad Max se généralise… 

Mais que font nos édiles, que fait notre police, que fait notre justice ? 

Rien, abandonnant les commerces au squat, aux insultes, à la violence… et donc à la faillite. 

Le cocktail explosif ? Migrants + zonards + alcool et drogue

Et ils ont réussi à mettre la cerise sur le gâteau en assignant à résidence le terroriste Daoudi à Aurillac…

Mais le maire socialiste Mathonier ne voit pas le problème… la violence ? Bah ! elle est essentiellement familiale ; le reste c’est normal mais les gens ne voient que ça dans une ville de 25000 habitants… Certes la consommation de drogue explose mais c’est parce que les adultes sont en souffrance… Avant, la drogue c’était juste « une consommation festive »… Encore un adepte des salles de shoot et de la légalisation du cannabis… Encore un adepte du laisser-faire…  D’ailleurs il a trouvé les solutions « former les policiers et les chauffeurs de bus à la gestion des conflits, aux addictions… Bref, utiliser l’argent public à comprendre  et aider les fauteurs de trouble au lieu de leur foutre des coups de pied au cul en les interdisant tout bonnement dans sa ville.

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Fiat lux ! Vous comprenez en écoutant ce dhimmi, ce peigne-cul pourquoi tout va si mal. Il nie les faits, il nie les causes et il excuse les fauteurs de trouble.

Il faut souhaiter qu’Aurillac se resaississe et ne vote pas, à nouveau, pour ce sinistre et malfaisant personnage.

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Pour en savoir plus sur ce sale type aux manettes depuis 2014, qui se bat pour « la mixité sociale » (quand c’est un socialo qui parle on sait tous ce que ça signifie), la démographie (merci les migrants)… Et est fier comme Artaban de ses « 2 « caméras de surveillance qui n’ont pas empêché la fermeture des commerces en centre ville….

https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/aurillac_15014/election-2020-pierre-mathonier-se-lance-dans-arene-municipales_28920902.html

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Aurillac minée par la violence, la drogue et la délinquance

REPORTAGE – Bagarres de rues, taxis caillassés, vigiles dans les magasins: en quelques années, l’ambiance de la préfecture du Cantal, jadis tranquille, s’est profondément détériorée.

Par Stéphane Kovacs

Publié hier à 17:36,  mis à jour il y a 7 heures

Des individus marginaux occupent la Place du Square à Aurillac le 7 février 2020.

Des individus marginaux occupent la Place du Square à Aurillac le 7 février 2020. Jean-Michel Peyral pour Le Figaro

Envoyée spéciale à Aurillac (Cantal)

Pendant plus de quatre ans, elle a dû subir les deals devant sa boutique, les jeunes alcoolisés outrageant ses clientes, les bagarres et les hurlements. «Comment voulez-vous, dans ces conditions, que des femmes viennent prendre “un temps pour soi” (du nom de son institut de beauté, NDLR)?» interroge la jeune esthéticienne en faisant défiler sur son portable des photos de jeunes encagoulés adossés à sa vitrine, packs de bière aux pieds.«La police municipale, dont les bureaux sont juste en face, je l’appelais trois à quatre fois par jour, en vain.»

Le réseau de trafiquants a été démantelé en avril dernier, et Virginie n’est plus sous anxiolytiques. «Mais j’ai perdu une grande partie de ma clientèle, se lamente-t-elle. J’envisage désormais une autre voie…» Quant aux jeunes marginaux et leurs gros chiens, on peut toujours les croiser au Square, la place principale d’Aurillac. Si «c’est quand même pas Chicago», nombre d’habitants de cette petite préfecture, nichée au pied des monts du Cantal, dénoncent «l’insécurité croissante qui abîme son image».

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C’est près du Square, le 23 novembre, que, devant des passagers tétanisés, un conducteur de bus a été victime d’une agression au poing américain.«Ce niveau de violence, c’est du jamais vu!» s’est-il ému auprès de La Montagne . Le 1er décembre, un quadragénaire était tué lors d’une rixe en sortant de la boîte de nuit. Le 12 janvier, appelés pour un feu dans une benne près de l’aéroport, ce sont les pompiers qui ont été caillassés.

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Victimes, eux aussi, de «jets de cailloux», certains chauffeurs de taxi refusent désormais les courses vers l’aéroport. Stationné au Square, devant le palais de justice, Julien montre un petit éclat sur sa carrosserie: «C’était il y a quinze jours, en quittant l’aéroport, raconte-t-il. Des gens du voyage, des gamins, mais aussi des adultes, nous ont lancé des cailloux. Mes clients, des touristes, ont eu très peur. Alors, maintenant, avant d’y aller, j’appelle le commissariat. Si la police n’est pas là-bas, je refuse: je ne vais tout de même pas risquer de me faire casser mon pare-brise, un coût de 700 euros, pour une course à 14 euros!»

Derrière lui, Kevin désigne un impact sur le toit panoramique de sa Peugeot 308 neuve: «Un collègue a dû remplacer deux pare-brises en trois mois! s’emporte-t-il. On fait souvent les sorties de boîtes, et, ces deux dernières années, on voit de plus en plus de bagarres… Si maintenant on doit demander la protection de la police pour aller travailler…»

Ça fait quinze ans que j’habite en centre-ville. Je vois bien que ça se dégrade. Une fois, y en a un qui m’a couru après…

Une ménagère

En face, Christophe, le patron du bar Le Milk, a lui aussi changé ses habitudes: «Avec les marginaux qui traînent, de plus en plus nombreux, même s’ils ne sont pas vraiment méchants, le soir, on a de moins en moins de monde, soupire-t-il. Avant, on faisait des nuits complètes ; maintenant, on ne fait plus que le vendredi et le samedi soir…» Même si, juste à côté, celui du Mary, un grand costaud aux épaules carrées, dit n’avoir «peur de rien» : «J’en ai vu, des poings américains, des couteaux, des fusils de chasse! s’exclame-t-il. Bien sûr qu’il y a des altercations, mais on tient un bar, pas un magasin de chaussettes…»

Devant le magasin U Express, quatre jeunes marginaux alpaguent les passants, cannettes de bière en main. Une ménagère presse le pas, accrochée à son cabas: «Ça fait quinze ans que j’habite en centre-ville, lâche cette quinquagénaire. Je vois bien que ça se dégrade. Une fois, y en a un qui m’a couru après… Vous vous rendez compte que, maintenant, ils emploient un vigile au U Express? Comme à Paris avec les attentats!» Depuis près de deux ans, le magasin, «qui pâtit d’un taux de vols très fort, comme en milieu urbain», indique un responsable, emploie effectivement «un vigile tous les soirs».

Augmentation de la délinquance

«L’alcool, la drogue… D’une manière générale, les gens sont de plus en plus agressifs et irrespectueux, acquiesce Anne, vendeuse dans un magasin de décoration. Il y a de moins en moins de clients. Dans le square, cet été, y a quelqu’un qui s’est fait planter un couteau dans le ventre. Du coup, certains ne veulent plus passer par là…» Responsable de la boutique Aigle, Rachel «a vu des types se taper dessus à coups de marteau».

Avec «les familles entières de migrants qui se sont installées ici il y a un an, qui ne respectent rien, ni le calme, ni les poubelles, ni la vitesse dans les rues», Marie-Christine, qui tient une fromagerie, «évite certains coins après 19 heures» : «Combien de fois on s’est fait casser le rétroviseur ou rayer la voiture, pointe-t-elle, alors que la préfecture est juste en face, surveillée par une caméra?»

Il y a quatre mois, Élodie s’est fait caillasser sa fenêtre.«J’ai compris plus tard qu’ils en voulaient à mon voisin du dessus, rapporte la jeune femme. Mais quand j’ai appelé la police, ils m’ont dit qu’ils étaient surchargés ce soir-là, qu’ils ne pouvaient pas venir… Du coup, je me suis demandé, le jour où j’aurai vraiment un gros problème, qu’est-ce que je ferai?»

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Débarqué à Aurillac il y a vingt-deux ans, cet ancien Parisien se souvient comment il regardait «avec des yeux ronds les gens laisser leurs clefs sur leur voiture quand ils allaient chercher le pain». «C’était un havre de paix ! décrit-il. Aujourd’hui, la violence gratuite prend des proportions effrayantes. Il y a aussi une paranoïa qui est arrivée en février 2019, avec Kamel Daoudi, condamné pour des faits de terrorisme, assigné à résidence à Aurillac. Et puis, dans une petite ville où tout le monde se connaît, le moindre fait divers devient un truc énorme, exacerbé par les réseaux sociaux.»

En 2016, déjà, une pétition intitulée «Marre de l’insécurité d’Aurillac» avait recueilli 3500 signatures. Candidat LR aux prochaines municipales, Jean-Antoine Moins pointe «une augmentation de la délinquance de 28,5% entre 2012 et 2019». «Pour les seuls homicides et violences volontaires, la progression est de 105%! dénonce cet avocat. Et encore, tous ne déposent pas plainte, par peur des représailles. Ils ne portent pas plainte, mais ils en parlent, et cela alimente le sentiment d’insécurité…»

Le phénomène qui m’inquiète le plus, ce sont les stupéfiants : on n’est plus sur une consommation festive, mais sur une consommation d’adultes en souffrance

Pierre Mathonier, maire PS d’Aurillac

Le maire (PS), Pierre Mathonier, tempère: «Dans une ville de 25.000 habitants, où l’on part de statistiques très basses, dès qu’il y a un événement, il a une forte visibilité!» «Le chiffre le plus significatif est pour moi celui des atteintes aux personnes physiques, qui a doublé depuis 2010, avec 164 actes en 2019, assure-t-il. Mais ce ne sont pas les sorties de boîtes de nuit, ce sont essentiellement des violences intrafamiliales. Le phénomène qui m’inquiète le plus, ce sont les stupéfiants: on n’est plus sur une consommation festive, mais sur une consommation d’adultes en souffrance.»

Une formation des agents de la municipalité «sur les addictions», une autre, pour les conducteurs de bus, sur la gestion des conflits, un sixième policier municipal, un réseau de caméras étoffé, un numéro spécifique pour signaler les troubles de voisinage,«un travail pour désengorger» l’aire des gens du voyage… toutes ces mesures suffiront-elles à rassurer la population? En attendant, du haut de son bureau, c’est une triste place de l’Hôtel-de-Ville que le maire peut contempler: vitrines poussiéreuses, volets fermés, affichettes «à louer», une bonne partie des commerces sont à céder.

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/aurillac-minee-par-la-violence-la-drogue-et-la-delinquance-20200305

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9 Comments

  1. Ce sont les électeurs qui en votant pour les pourris pourrissent par la même occasion leur ville,!!!

  2. Les gens de cette ville en ont marre ? Bien fait pour eux. Il fallait aller voir le maire et lui expliquer le bon sens de la réalité. Et s’il ne donne pas suite, on sort les outils. Je dis ça parce que c’est exactement ce qu’on a fait par chez nous. 15 jours après, plus de problèmes. Il y a eu des réglements de comptes envers ceux qui foutaient la merde mais dans le silence. Depuis, les racailles qui se croyaient à l’abri de tout, et qui ont réussi à s’échapper, n’osent plus se frotter.au danger et quittent la région. La peur de devoir payer au comptant, c’est convainquant.

  3. Oops cela n’inclut pas bien sûr les français comme jean messiha, Éric Zemmour tout ceux qui aiment notre culture ,le mode de vie ,la pensée occidentale et les vrais réfugiés politiques. Tous les autres retour Bamako Alger etc etc point barre dégagez les sauvages les destructeurs de culture notre humanisme à ces limites.

  4. Un Maire socialiste pour faire du social pour les français de souche en voilà une excellente idée . Tout ce qui c’est installé en France depuis plus de 40 ans et provenant d’Afrique doit retourner dans ces pénates. Bien entendue cela inclue tout ce qui n’est français que de papier. Voilà c’est clair pas de demi mesure tous au bled

  5. Beaucoup de villes de moins de 30000 habitants sont touchées par cette délinquance exemple dans le sud Tarn des agglomérations de moins 20000 hbts connaissent depuis une trentaine d’années une explosion de la criminalité.
    Ces villes étaient un havre de paix, de bien être, de douce vie, et de joie de vivre! Mais ça s’était il y a une cinquantaine d’années.

  6. Si ces gens sont en souffrance qu’ils retournent chez eux. Je suis certaine u’ils ont dû être déçus pensant certainement qu’ils auraient le gîte et le couvert, le soins etc.. le tout gratis.Je connais très bien Aurillac pour avoir séjourné à 20 km de cette jolie ville dans la vallée de la Jordanne et quand je lis ce qu’est devenue Aurillac, ça me fait mal. De plus l’hiver ….. il fait très très froid, alors messieurs les migrants retournez d’où vous venez, au soleil la misère est moins grande.

  7. Vous pariez que ce crétin sera réélu ou un autre comme lui. Tout sauf le RN qu’ils disent les bobos, les cons, les lâches, ceux qui gobent tout et ceux qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et aussi les collabos très nombreux.
    Vous plaignez pas, vous avez ce que vous avez voté.

  8. Il y a bien une majorité d’abrutis qui ont voté pour ce gauchiste, il n’est pas là par hasard ou suite à un coup d’état. Qu’is assument au lieu de chialer. Il u a des élections dans 10 jours…

  9. Les électeurs sont responsables et méritent leurs élus en démocratie.
    Il faut réfléchir avant de voter et assumer ex post.
    La gauche et l extrême gauche doivent assumer au plan National. Idem pour la droite des intérêts personnels et autres

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