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A lire les témoignages ci-dessous on comprend que les Italiens soient désespérés et qu’ils tombent comme des mouches, soit parce qu’ils sont atteints du coronavirus et trop nombreux pour être soignés, soit parce qu’ils souffrent d’une autre pathologie et que tous les lits sont utilisés pour le coronoavirus.
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On découvre un pays qui, pendant des lustres, avec notamment le Parti Démocrate de Renzi le mondialiste, le Macron italien, au pouvoir a déhabillé les services publics, les hôpitaux… pour habiller les migrants, satisfaire Bruxelles et Merkel… le roi est nu.
Et ne regardons pas de haut ce qui se passe chez nos voisins. Nul doute que si la France subissait la même intensité d’épidémie nous serions tout aussi nus. La crise des urgences a montré que, en temps ordinaire, les médecins ne suivent pas… alors, s’il y avait épidémie déclarée de force 10…
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I On y arrive. Un anesthésiste de Bergame nous confie que les hôpitaux sont dépassés par l’ampleur du problème : restez chez vous !
« Nous sommes en situation comparable à l’état de guerre ».
Les médecins doivent donc choisir qui on va aider à vivre et qui l’on va laisser mourir. Pour dire les choses autrement, si vous avez plus de 80 ans ou une appendicite sur un coronavirus, le traitement qui vous est réservé est le four crématoire…
Du personnel médical avec parfois 30 ans de service est anéanti par les décisions difficiles auxquelles ils sont confrontés à devoir choisir la vie pour certains et la mort pour d’autres et les nerfs craquent. Certains tombent en larmes. Ils nous supplient de rester chez nous un maximum pour tenter d’enrayer l’épidémie et soulager le travail infernal des médecins.
Même en cas de crise cardiaque (donc urgence absolue), des patients doivent parfois attendre une heure avant une hypothétique prise en charge. Une éternité…
« Vivement demain que tout soit comme hier » Coluche
Gigobleu
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II »Nous devons privilégier les jeunes »: face au coronavirus, des hôpitaux italiens saturés et sous-équipés
Des régions entières en quarantaine, déjà 366 morts sur les plus de 7300 contaminés, l’Italie paie un tribut très lourd au coronavirus. Au milieu du marasme, le système hospitalier fait de son mieux pour écoper. Mais il est à bout de souffle.
Les chiffres de l’épidémie de coronavirus en Italie, en eux-mêmes, suffisent à évoquer un drame: plus de 7300 contaminations confirmées, 366 morts depuis le début de la crise sanitaire, et 16 millions de personnes, résidents des zones rouges comprises entre l’Emilie-Romagne, la Lombardie et la Vénétie, en quarantaine.
Mais les statistiques sont insuffisantes pour peindre la saturation des hôpitaux italiens, l’épuisement des soignants, leurs dilemmes à répétition devant le nombre de patients et le manque de moyens. Car l’Italie est le pays européen le plus touché par le coronavirus et son système de santé paraît au bord de la rupture.
« Nous devons privilégier les jeunes »
La Société italienne d’anesthésie, d’analgésie, de réanimation et de soins intensifs a publié durant le week-end un texte sur « l’éthique clinique » à adopter face aux choix tragiques auxquels sont confrontés les soignants. La présidente de cette société, Flavia Petrini, citée et traduite ici par La Croix, y explique sans ambages:
« Compte tenu du flux de malades qui augmente d’heure en heure, du nombre restreint de lits de thérapie intensive (moins de 6000 dans les structures publiques) et du fait que de nombreux médecins et infirmiers sont eux-mêmes atteints par le virus et en quarantaine, nous devons privilégier les jeunes et ceux qui ont plus de chance de s’en sortir. »
Il semble cependant que cette horizon pénible est déjà entré dans les mœurs médicales. Ainsi, un médecin de Crémone s’est exprimé, sous couvert d’anonymat, auprès du journal catholique: « Depuis ces derniers jours, nous devons choisir qui intuber, entre un patient de 40 ans et un de 60 ans qui risquent tous les deux de mourir. C’est atroce et nous en pleurons, mais nous ne disposons pas d’appareils de ventilation artificielle en nombre suffisant. »
« Nous n’envoyons que les plus jeunes »
Un autre médecin, officiant cette fois à Brescia, a dressé un tableau similaire auprès de Libération. « Dans un premier temps, nous gardons les personnes sous oxygène, sans devoir les intuber. On leur administre des soins, un remède antimalaria et des médicaments utilisés généralement contre le sida. Au bout de quatre ou cinq jours, la fièvre doit baisser et alors ils vont peu à peu vers la guérison. Ce sont le plus souvent des jeunes et des femmes. Quand la situation empire, nous les envoyons dans d’autres structures intensives« , a-t-il d’abord décrit avant d’ajouter:
« Mais désormais, nous n’envoyons que les plus jeunes. Les anesthésistes nous demandent en effet de ne plus leur adresser les patients âgés qu’ils vont devoir brancher inutilement à un ventilateur pendant quinze ou vingt jours. Au début, c’était les plus de 80 ans. Maintenant, vu la détérioration et la gravité de la situation, ce sont les plus de 70 ans et les personnes qui ont d’autres pathologies. Au bout du compte, nous gardons ceux pour qui il n’y a plus rien à faire et qui vont mourir. »
La chose ne va pas sans heurt, bien sûr. « Les anesthésistes plaident pour une approche pragmatique, sauver ceux qui ont le plus de chances de l’être. Ce à quoi s’oppose l’ordre des médecins », a confié le médecin de Brescia tout en objectant: « Mais en pratique, les directeurs des hôpitaux qui disposent de structures de thérapie intensive refusent de prendre nos malades les plus âgés.«
Il compte « un à deux décès par jour » , ce qui l’amène à imaginer un nombre de morts encore sous-estimé dans la péninsule. « L’Italie est un pays âgé, nous risquons d’avoir beaucoup de victimes. Le système sanitaire ne pourra s’en sortir que si l’on fait des choix en soignant uniquement les personnes qui ont une chance de s’en sortir« , a-t-il encore posé.
Plus de lits… mais où les mettre?
Dans l’hôpital de ce praticien, les personnes atteintes par le coronavirus occupent « presque la totalité » des lits. Et c’est bien la question des équipements qui concentre une grande partie des problèmes des personnels hospitaliers transalpins. Le gouvernement a répliqué en listant un certain nombre de promesses dans un décret, entré en vigueur dimanche. Outre la production rapide de plusieurs centaines d’appareils destinés aux services de réanimation, le rappel ou le recrutement de 20.000 soignants supplémentaires (on puisera pour ce faire parmi les retraités et le secteur privé), l’exécutif a affirmé que les soins intensifs recevraient sous peu 50% de lits en plus.
Mais, dans un premier temps en tout cas, l’initiative ne fait que déplacer la gageure: où mettre ces lits? « On ne peut pas mettre des lits de thérapie intensive n’importe où. L’utilisation des salles d’opération chirurgicales est envisageable comme solution tampon, mais cela retardera les interventions programmées pour d’autres patients », a ainsi exposé Flavia Petrini, la présidente de la Société italienne d’anesthésie, d’analgésie, de réanimation et de soins intensifs.
En Italie, la lutte contre la propagation du coronavirus n’est donc pas seulement une course contre la montre. C’est aussi une course d’obstacles.
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Donc en gros entre un jeune migrant et un vieux italien le choix est fait d’où l’importance des votes en France ceux qui font barrage au RN y réfléchiront peut-être juste avant leur mort si on en arrive là c’est quand même bizarre que l’Amérique israél la hongrie la plogne la russie soit peu touchée c’est un virus intelligent qui a touché la chine l’italie l’iran la France quand on ne ferme pas ses frontières en Italie et en France voilà ce qui se passe c’est le début de la fin je ne vais pas jouer les prophétiques mais tout est écrit et nous a été annoncé en ce qui me concerne je ne céde pas à la psychose mais je vais faire des réserves pas à cause de ce virus mais ce qui va suivre la peur diminue vos défenses immunitaires pensez y
Cela fait déjà plus d’un an que j’ai fait des réserves. Épidémie, attentat contre les sites producteurs d’énergie, crash économique qui nous guette (voir le lundi noir d’hier), embrasement civil du pays grâce à qui l’on sait, demain tout peut arriver, le pire étant la guerre civile. C’est pas que des réserves alimentaires, c’est un kit de survie et un plan d’action qu’il faut.
Il en faut des réserves pour tenir en famille quelques mois , c’est pourquoi a mon avis il est complémentaire d’avoir un jardin pour économiser les réserves .
C’est le résultat d’une destruction faite par une gauche qui préfère les migrants à son propre peuple.En Italie comme en France, et dans d’autre pays de l’Europe même combat,.la gauche à sacrifier les hôpitaux au profit des migrants. Ah oui il en fallait du pognon pour les migrants, on le voit le résultat.
L’Italie vit dans notre futur. Heureusement, chez nous, certains qui trouvaient scandaleux qu’on dépense de l’argent pour soigner leur vieux père,qui préconisaient d’euthanasier les vieux sont arrivés en âge de l’être. N’est-ce pas Minc ? N’est-ce pas Attali ? Ça va libérer des places pour les vieux que nous, nous aimons…
Ce qui démontre la totale inutilité de l’UE en cas de crise , incapable de prendre les bonnes décisions, pas décidée à protéger nos populations,
c’est même l’UE qui a fait partir nos stocks de masques vers la Chine, c’est l’UE qui nous ruine par sa générosité perverse envers la Turquie,
c’est l’UE qui décide de nous faire envahir, les socialistes étant aux manettes,
l’UE est bien le gros machin nuisible et ruineux dont il faut se débarrasser
Voila pour l’ Italie, le résultat de 40 années d’ abandon de la santé publique !! En France ce sera la même chose !!!! En fait, c’ est un tri sélectif organisé par les dirigeants mondialistes qui préfèrent dépenser des fortunes pour les envahisseurs muz que soigner leurs ressortissants !!!! Souhaitons que ces salopards de dirigeants soient eux aussi frappés par ce virus et très rapidement !!!!
Quelle horreur. Je suis dévastée car l’Italie est le pays d’origine d’une grosse partie de ma famille.
Ce qui me révolte, c’est le peu de mesures prises par l’U.E qui devrait protéger ses nations au lieu de les laisser crever. Pourquoi n’y a-t-il pas un renfort de médecins de la part de pays qui n’ont pas été encore touchés ?
Et en plus, vu que ce sont les plus âgés qui meurent, ça va être encore un argument pour les pro-migrants. Pourvu que cette épidémie se termine vite.
Mais c’est pas tout! Avec des numerus clausus on empêche nos jeunes de devenir médecin, donc on en manque, donc on en importe depuis le Tiers Monde et on envoie des ONG pour soigner les malades du Tiers Monde – On traite les agriculteurs qui pourtant nous nourrissent de façon à ce qu’ils se suicident – et l’avenir ? L’avenir c’est l’éducation des futures générations, eh bien on détruit aussi l’éducation… Il faut épargner (pour quoi donc ?) et on rogne sur quoi ? ben sur l’éducation et l’hôpital.
Et si on avait introduit ce virus en Italie pour faire de la place pour les migrants ?
Comment se fait-il que ce pays qui a été submergé par les arrivées de migrants à Lampédusa, soit le pays d’Europe le plus touché ??? avec une mortalité aussi élevée ?
La gauche a privilégié l’accueil des migrants au maintien d’un service public hospitalier de qualité,
mais en France c’est pareil, qui n’a pas connu dans son entourage une ou deux personnes âgées que les internes ont laissé mourir sur un brancard dans un couloir d’hôpital ??
moi, j’en ai deux comme exemple et dans deux régions totalement différentes et éloignées l’une de l’autre
Plus de lit, plus de soignants, et cela avant l’arrivée de l’épidémie,
je n’ose imaginer ce que ce doit être actuellement dans certains hôpitaux, n’ayant pas de proche hospitalisé pour l’instant
En tout cas j’y ai pensé sous l’angle que s’il y a une hécatombe de morts en Europe, l’Union Européenne pourrait y trouver l’occasion pour faire s’y engouffrer des marées de musulmans innombrables comme déjà elle tente de le faire. Une population de basse qualité en termes de société et de niveau scolaire qui interdit l’innovation et la culture sophistiquée. Détruire le berceau de la civilisation occidentale, moteur de tous les progrès significatifs de l’humanité. L’islam est un crime contre l’humanité dans tous les domaines.
Sachez que cela est de même en France.
Avec la mise en œuvre du plan blanc comme réalité ou prétexte parfois, il est permis de refuser et faire sortir des malades non stabilisés après interventions et surtout quand ils sont d un age certain…De même le personnel hospitalier se permet en ces périodes de Corona virus et de grève concomitantes de passerxses nerfs sur des patients vulnérables.
En outre l organisation du service public hospitalier est plus que déplorable.
Aucun sens de la prise en charge globale du patient et du parcours de soins avec un patient censé être au centre du dispositif.
A contrario tout est erratique, désordonné.
Les responsabilités sont diluées.
Les chirurgiens, des machines à opérer qui be prennent pas en compte le pist op.
Des internes qui relèvent du principe de Peter eb excédant les compétences et capacités qui sont les leur et qui ne sont ni guides ni contrôlés par ceux qui devraient le faire.
Dégoûtée et outrée je suis.
Sabs etre accompagnée et épaulée vous mourez assurément
Cela est parfaitement vrai.Constaté par moi-même et selon les dires de proches.
Esseulée, la personne âgée ou affaiblie a des chances de sortir »les pieds devant » d’un séjour hospitalier parfois relativement anodin… au début.
un scénario à la Obertone? (seulement un petit test pour l’instant ou déjà en grandeur nature?)
Le coronavirus est un avertissement contre le mondialisme, qui est contre-nature. Chaque peuple doit rester sur son continent, avec ses différences, qui doivent être respectées.
Les pauvres, ça me fait de la peine
Une chose est certaine, le coronavirus va forcer toutes les nations du monde et surtout les mondialistes à réformer leur logiciel !
Le village mondial est une utopie ! La recherche du profit à outrance ( ils ne cherchent plus à s’enrichir, ils veulent se gaver !) qui oblige à fabriquer peu cher en Chine et revendre un maximum ici pour faire du fric, nous rend tellement vulnérable qu’il va falloir relocaliser ! Les économies faites sous la pression de Bruxelles pour fermer des lits dans les hôpitaux, les petits hôpitaux périphériques, laissant de réels déserts médicaux, vont montrer leurs limites criminelles !
Par cette crise, tous nos politiques actuels et passés portent une responsabilité dans la crise sanitaire qui s’ouvre à nous !
Ils sont tous, sans exception, pour ceux qui ont exercé le pouvoir, discrédités et ne devraient plus jalmais avoir voix au chapitre !
Si gouverner c’est prévoir, eux n’ont été capables que d’appliquer le programme des mondialistes de Bruxelles sans rien anticiper, ce ne sont pas des chefs !
Et les prisons flambent aussi après la suspension des visites :
Covid-19 en Italie : des mutineries éclatent dans plusieurs prisons, 50 détenus évadés, au moins 6 morts (MàJ)
http://www.fdesouche.com/1346735-covid-19-en-italie-une-mutinerie-dans-une-prison-conduit-a-une-evasion-de-masse
https://francais.rt.com/international/72140-italie-mutineries-en-serie-contre-restrictions-liees-coronavirus-plusieurs-morts
« Italie : on ne soigne plus les vieux, la gauche a laissé l’hôpital dans un état désespéré »
il serait bon de savoir pour qui les « vieux » ont voté et votent en Italie
si c’est comme en France, ils sont les artisans de leur propre malheur