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Ils ont du courage, et la journaliste qui a fait cette enquête approfondie et les policiers qui, malgré le risques de perdre leur emploi et de se retrouver avec des ennuis ont parlé…
-6 tireurs d’élite de la Brigade d’intervention étaient à 5 minutes du Bataclan, ils ont été obligée de rester bras ballants en attendant un ordre qui ne vient pas, malgré leur impatience. Pendant ce temps ça fusille au Bataclan et sur les terrasses. Pourtant la Brigade d’Intervention c’est la crème de la crème, l’élite de l’élite. et à quoi sert-elle ? Essentiellement à protéger les politiques…. et notamment Macron et ses hôtes !
-Des accusations terribles sont lancées contre les directeurs… davantage préoccupés par leur carrière que par la sécurité des gens.
-Hollande était allé voir Theo, Macron a reçu le grimpeur fou à l’Elysée… mais personne, personne, n’est venu voir et féliciter les tireurs d’élite qui, au péril de leur vie, ont mis fin à la prise d’otage de l’Hypercasher. Et les gens qui nous gouvernent osent nous faire la leçon et prétendre lutter contre la haine. Mieux, traités comme du bétail, ils ont osé intimer l’ordre à certains de ces policiers qui n’avaient pas dormi pendant 72 h d’aller protéger Hollande et ses invités le week-end…
-Macron si généreux de notre argent pour les migrants, les djihadistes à déradicaliser, les pays africains… a refusé de faire blinder les 3 nouvelles voitures de la brigade…Ils en ont gros sur la patate… « Vous savez comment on appelle une voiture non blindée sur laquelle on tire ? Un cercueil… ». Et les policiers de doubler les portières avec de vieux boucliers, de vieux gilets balistiques..
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Ça fait peur. Ça révolte. En lisant ça on est partagés entre les larmes et la révolte. Quel mépris pour la vie des policiers… Quel mépris de classe… Le gros Hollande et le dégénéré Macron confisquant les forces vives de la nation pour leurs petites personnes, trouvant normal que ces policiers d’élite perdent la vie, eux…. et vont même jusqu’à les mettre à contribution d’évènements privés… alors qu’ils ont hésité longuement à les faire intervenir au Bataclan.
La vie du Français moyen n’intéresse pas ces salopards… Ils ne vivent que pour eux-mêmes, leurs alliés, leurs familles, leurs amis, leur pouvoir. Et ils osent parler de la haine et prétendre la poursuive, eux qui en sont pétris jusqu’au bout des ongles.
L’article ci-dessous est une bombe, je vous invite à lire le livre qui promet… à en faire des compte-rendus, à l’offrir, à le donner, à le faire circuler.
Une bombe… mais quels journalistes, à part ceux de Valeurs actuelles, inviteront Laurence Beneux afin que tous les Français comprennent qu’on est revenus sous Louis XV ?
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Retard au Bataclan, manque de moyens et de reconnaissance, opérations “off” pour le privé… En dévoilant les dessous de cette unité aussi discrète que spectaculaire, la journaliste Laurence Beneux dresse aussi le constat édifiant de la police d’aujourd’hui.
« C’est à cause de l’interdiction, inexpliquée, d’intervenir rapidement au Bataclan, imposée à la BI que vous devez de lire ce livre. Les autres problèmes auxquels ces policiers sont confrontés n’auraient pas suffi à les faire sortir de leur réserve s’il n’y avait eu ces délais imposés durant les attentats. C’est la goutte d’eau qui a décidé certains policiers à sortir de ce silence très ancré dans la culture policière. Malgré les risques de rétorsion auxquels ils s’exposent de la part de leur hiérarchie. »
Dans son nouvel ouvrage « BI : Brigade d’intervention » (éditions Le Cherche Midi), sorti le 23 janvier dernier, la journaliste d’investigation Laurence Beneux dévoile pour la première fois les coulisses de cette brigade d’élite ultraconfidentielle et révèle témoignages à l’appui les dessous de leurs exploits comme de leurs ressentiments. Un tableau édifiant de la police d’aujourd’hui qui promet de faire du bruit.
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Le 13 novembre 2015, au soir, alors que des explosions retentissent au Stade de France, les six policiers de la Brigade d’intervention présents dans la capitale mettent dix minutes pour rallier leur base et s’équiper. Prêts à décoller, ils sont contraints d’attendre et d’obéir aux ordres de leur hiérarchie. Pendant ce temps, les fusillades s’enchaînent, sur les terrasses et au Bataclan. Nouvel appel à l’état-major, nouveau refus. Les opérateurs perdent patience. Il leur faudrait pourtant cinq minutes pour rejoindre la salle de concert ! Mais rien n’y fait. En attendant le feu vert officiel, la capitaine décide toutefois d’envoyer ses hommes au QG de la Brigade de recherche et d’intervention de la préfecture de police de Paris (BRI-PP), au 36, quai des Orfèvres, qui forme avec la BI le cœur de la Brigade anticommando. Malgré trois quarts d’heure de retard forcé, les voilà partis pour mener l’opération d’une vie. Celle de tous les dangers.
La blessure du Bataclan
Dans son livre, Laurence Beneux décrit avec détails la progression de la colonne d’assaut, qui investit le Bataclan, où les terroristes poursuivent leur massacre, quand un policier lance « je vous aime tous » à ses collègues prêts au sacrifice ultime. Un opérateur raconte : « Il y a des morts partout et on n’y voit rien. On marche sur des gens qui sont à moitié morts. Il y a des hurlements. Je commence à monter les escaliers, j’y vois rien, c’est l’enfer. » Des images d’horreur qui marquent à jamais. « Et demeure cette question lancinante : y aurait-il eu moins de morts si on avait laissé venir tout de suite les six tireurs d’élite équipés de la Brigade d’intervention, qui se trouvaient à cinq minutes de là ? Y aurait-il eu moins de blessés ? Moins de vies brisées… ? » demande l’auteur. Une chose est sûre, lui confie un agent : « Le temps perdu pour partir au Bataclan, on ne le pardonnera jamais. » Une blessure toujours ouverte.
Encore aujourd’hui, les raisons de ce retard coupable restent inconnues. « Il y a par contre un consensus chez tous les opérateurs d’intervention que j’ai entendus, écrit Laurence Beneux. Tous pensent que les commissaires des grosses sections, les directeurs, sont souvent des politiciens carriéristes, qui ont “le bras long” et qui se préoccupent d’image bien avant de se préoccuper de la sécurité des gens. » La journaliste d’investigation précise aussi que « c’est leur état-major, encore, qui a renvoyé à leurs rédacteurs des rapports qu’on avait amputés des lignes mentionnant cette attente contrainte, parce qu’il n’était pas “utile” de préciser ces détails ». D’ailleurs, « des membres de l’enquête parlementaire ont rendu visite à la Brigade d’intervention, mais elle n’est pas citée spécifiquement dans le rapport d’enquête ». Plus tard, les autorités feront même miroiter aux héros une éventuelle Légion d’honneur avant de la leur refuser.
Missions « appui-feu » au service du Président
Dévoués et passionnés, la quarantaine de policiers de la BI souffrent d’un manque cruel de reconnaissance depuis la création, en 1998, de leur service qui dépend de la Direction de l’ordre public et de la circulation de la Préfecture de police de Paris. Inconnus de leurs compatriotes, ils forment pourtant une unité aussi discrète que spectaculaire, composée d’agents surentraînés, triés sur le volet et dotés de compétences physiques et techniques de haut niveau (tir, escalade, combat). Parmi leurs spécialités : la protection des personnalités depuis les « points hauts » par des tireurs d’élite le long de cortèges officiels ou lors de grands événements sportifs par exemple ; la « corde » ou varappe, pratiquée par tous et indispensable pour aller décrocher des banderoles inaccessibles ou récupérer des militants extrémistes, comme sur la Tour Eiffel ; mais aussi la sécurisation des anciennes carrières souterraines, souvent périlleuses, de la capitale.
En plus de ces missions opérationnelles « historiques », la Brigade d’intervention assiste aussi régulièrement des unités de police judiciaire, notamment au cours d’interpellations risquées ou de grande envergure. « Les flics de la BI savent faire ces deux choses : former des colonnes d’assaut et faire de l’effraction. Autrement dit, lors des missions d’assistance, il s’agit d’entrer, de “péter les portes”, de sécuriser les lieux, et surtout d’interpeller les mecs », résume un ancien cadre. Depuis septembre 2018, la BI est même chargée de missions « appui-feu » au service du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), consistant à renforcer la protection des déplacements du chef de l’État en Ile-de-France. « Ils sont chargés de s’interposer en cas d’attaque contre le président ses hôtes, et de permettre leur exfiltration », explique Laurence Beneux. Cinq agents d’astreinte sont alors mobilisables 24h/24.
« C’est le tollé à la brigade »
Avant le Bataclan, la Brigade d’intervention était déjà sollicitée face à la menace terroriste, en janvier 2015, au moment de l’attaque sanglante contre la rédaction du journal satirique Charlie Hebdo. Elle participe alors, au sein de la Force d’intervention de la Police nationale, à la traque des suspects islamistes, aux côtés de la BRI-PP et du RAID, fouillant des villages du nord-est parisien, puis prenant d’assaut par la porte latérale le magasin Hyper Cacher, porte de Vincennes, où se retranche le preneur d’otages, Amedy Coulibaly. Ses opérateurs, qui font exploser la porte, retranchés derrière leur gros bouclier Ramsès, évitent alors, à une minute près, les tirs croisés, trop occupés à dégager l’ouverture obstruée par des cartons et des palettes, raconte Laurence Beneux. Après l’opération, les policiers apprendront tout de même avoir échappé miraculeusement à des balles au milieu du chaos.
Puis, c’est la déception, encore une fois. « Le soir, on est rentrés, et personne n’est venu nous voir ; notre hiérarchie était ailleurs », déplore un agent. Seul un de ses camarades, blessé au genou, a ainsi droit à la visite des hauts gradés. Plus incroyable, des opérateurs d’astreinte, qui n’ont pourtant pas dormi depuis 72 heures, sont même rappelés le week-end suivant pour contrôler des invités du chef de l’État ! « C’est le tollé à la brigade », raconte Laurence Beneux. « La direction insiste. Il faut quatre policiers d’astreinte, en civil, pour sécuriser le déplacement présidentiel. Les membres de la Brigade d’intervention n’iront finalement pas sur la mission, mais “le simple fait qu’on ait pu nous donner cet ordre montre bien le peu de considération qu’on nous porte”, commente Tristan », un membre de la BI. Au moins la brigade et ses troupes sont-elles félicitées et décorées de la médaille de la sécurité intérieure or.
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Trois ans plus tard, lors du lancement des missions « appui-feu GSPR », énième mesquinerie. La direction accepte d’acheter trois véhicules à la Brigade mais refuse d’investir dans leur blindage, contraintes budgétaires oblige ! « Vous savez comment on appelle une voiture non blindée sur laquelle on tire ? Un cercueil… », lâche un agent. La sécurité et l’efficacité ne sont pas des priorités pour la hiérarchie, malgré la dangerosité des opérations menées par la BI. Aussi la résignation le dispute à l’amertume. « Nous ne sommes pas respectés, nous sommes des numéros, nous ne comptons pas », ajoute un policier. « Alors, les membres de la BI ont commencé à réfléchir à la façon dont ils pourraient déshabiller les portières pour y insérer de vieux gilets balistiques et de vieux boucliers d’assaut afin de tenter de doter les trois Multivan de la mission d’un minimum de blindage », écrit Laurence Beneux. Surréaliste.
Des opérations « off » et « en dessous des radars »
« Être policier à la Brigade d’intervention, c’est accepter une vie de famille perturbée par des horaires imprévisibles, des prises de risque que l’on minore à la maison pour n’affoler personne, et une considération de sa direction loin d’être à la mesure des efforts consentis », résume la journaliste. Face aux épreuves, la solidarité au sein de cette petite famille permet donc de resserrer les liens. A la BI, 100 % masculine, on préfère d’ailleurs la bise à la poignée de mains virile. Et de la solidarité, il en faut pour résister à la gestion autoritaire de l’administration, au manque de moyens et de reconnaissance, aux frictions avec la BRI-PP. « De nombreux policiers de terrain accusent leurs hautes hiérarchies d’être trop souvent des politiciens préoccupés par leur carrière et leur image, avant d’être des membres des forces de l’ordre », écrit Laurence Beneux. Un ancien cadre regrette même une brigade « sous-utilisée et martyrisée par sa direction ».
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Ce livre est un pavé dans la mare. Il dévoile non seulement la face cachée de ces héros du quotidien en manque de notoriété, mais illustre aussi et surtout le constat inquiétant d’une unité de police aux abois et qui a peur pour son avenir, à l’image du malaise général des forces de l’ordre. Rien d’étonnant donc à ce que les agents de la BI soutiennent les Gilets jaunes, dont ils ont durant des mois encadré les manifestations dans le plus grand secret. « Comme 60 % des Français, je suis derrière eux… », avoue l’un d’eux. Enfin, l’ouvrage recèle son lot de révélations, comme l’existence d’opérations « off » et « en dessous des radars », où des opérateurs sont mobilisés pour sécuriser des événements privés. Des agents de la Brigade d’intervention, en tenue d’assaut noire et lourdement armés, ont même assisté une société de sécurité israélienne dans le transport de bijoux jusqu’à un hôtel de la place Vendôme et escorté la cargaison précieuse d’un homme d’affaires russe !
« BI : Brigade d’intervention », de Laurence Beneux (éditions Le Cherche Midi, 2020)
https://www.valeursactuelles.com/societe/retard-de-lassaut-au-bataclan-le-livre-explosif-sur-les-policiers-de-la-brigade-dintervention-qui-accuse-115578
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Depuis très longtemps, dans la Police comme dans la Gendarmerie, le spécialiste de terrain très au fait de sa spécialité est obligé d’obéir à son supérieur qui ne connaît rien de l’aspect opérationnel des opérations menées par les gens qu’il commande. Mais c’est lui le chef ! Il commence par ouvrir le parapluie pour sécuriser la suite de sa carrière avant d’attendre les ordres supérieurs. Pendant ce temps là, les victimes se démerdent jusqu’à y laisser la vie. Mais pas d’enquête, pas de suite, pas de poursuites et la prochaine fois, on recommence. Et quand on en trouve un très compétent dans ce domaine précis qui commence à être connu par ses résultats et les succès de ses bonhommes, on le passe au grade supérieur et on le mute comme garde-mites dans un service obscure tandis qu’un incapable prend sa place pour profiter de l’aura de son prédécesseur…. Souvenez-vous de Jean-François ABGRALL.
Je me pose en faux contre ceux qui prétendent qu’une majorité hait la police. Nous ne confondons pas les hommes de terrain qui souvent doivent obéir à des hiérarchies collabos, traîtres, corrompus, ne pensant que la recherche de notoriété et des breloques qu’elles ne méritent pas d’arborer. Il faudra cependant messieurs des forces de l’ordre et les militaires que vous rejoigniez le peuple qui seul est votre véritable souverain afin d’écarter les malfaisants qui s’acharnent à détruire notre patrie. Notre liberté, notre grandeur nous sommes sont indissociables ;vous et nous !
La France est devenue la honte de l’Europe, mais à qui la faute ?
A l’électeur et surtout, au non-électeur, celui qui ne vote pas et qui donc, laisse faire et cautionne ce lamentable état de faits par sa passivité…
Français, quand donc comprendrez-vous pour QUI voter ? L’évidence vous crève cependant les yeux. Alors, OSEZ !
Vous avez plus que raison Pierre Malak; ils attendent quoi les Français ?
Ce ne sont t pas hanouna ou ruquier qui vont empêcher la France de sombrer .Ne pensent ils qu’à eux et pas à leurs enfants?. Le climat et la nourriture vegan leurs paraitront lointains quand ils se verront confrontés à la charia , aux émeutes et la délinquance permanente
Si cet article pouvait faire réfléchir le PEUPLE FRANCAIS LA POLICE ET L ARMEE nous serions prêts pour la bataille finale pour dégommer TOUT LE GOUVERNEMENT qui bouffe à tous les rateliers et surtout le nôtre (IMPOTS
CHARGES FISCALISATION GALOPANTE…)
Bonjour merci pour votre article nous aussi nous avons des larmes non seulement pour le mépris que nos lâches et traîtres dirigeants adressent a notre police Élite mais aussi pour nos proches et amis sauvagement assassinés au Bataclan, et nous avons surtout la haine envers les traîtres qui n’ont pas réagis a cette attaque terroriste, ou les forces élites auraient pu stopper se carnage a ces débuts pour nous il n’y aura jamais de pardon au contraire le moment venu il y aura le jugement des coupable de lâcheté et trahison on ne peut le préciser plus ,
sinon vous ne oublierez. Pas …même si on a déjà fiché S….
Messieurs les Policiers de la brigade d’intervention , vous êtes un groupe d’élite, vous êtes courageux, volontaires et disciplinés. Mais êtes-vous obligés de protéger ces pantins, qui se prennent au sérieux, au détriment de la population française qui paie des impôts pour sa sécurité, contrairement aux guignols que vous protégez ?
Vous avez sauvé le clown hol lande, qui ne vaut pas un radis, et laisser mourir des dizaines de jeunes qui ne demandaient qu’à vivre dans la joie d’une belle soirée.
La prochaine fois où vous devrez intervenir pour protéger une de ces vermines qui détruisent notre pays, posez vos armes et laissez là se dépatouiller seule, comme les martyres du Bataclan. Justice leur sera ainsi rendue.
Devons nous, pouvons nous envoyer l’article aux associations de défense des victimes et parents de victimes , voir si des personnes connaissent des victimes ,?? vous savez , ces personne qui ont perdu le procès contre l’Etat.. Si Mr Jardin peut nous éclairer !
Tout ceci est dû à un système qui s’appelle la fuite des responsabilités parce que j’ai la trouille de prendre une décision qui pourrait nuire à ma carrière. Ainsi le déroulement égoiste de sa carrière passe avant le sauvetage de centaines d’individus.
Et donc le chef, au lieu de prendre une décision de lui même qui pourra lui être reprochée par la suite dans un procès d’intention, demande l’accord de son chef et rejette comme ça sa responsabilité sur lui, et celui-ci fait la même chose avec le sien et ainsi de suite jusqu’au ministre de l’intérieur qui demande l’accord du premier ministre qui demande celui du Président qui demande celui de la commission européenne qui demande celle de l’Emir du Qatar etc…
Au bout d’un moment il y en a un dans la chaîne qui donne son accord et ça redescend jusqu’au groupe d’intervention mais il a fallu plusieurs minutes voire plusieurs heures et il est souvent trop tard.
Et ceci sans compter les guéguerres internes et les conflits d’intérêts personnels qui passent avant la vie des français.
désolée , je n’avais pas vu l’article, et j’ai mis un commentaire, en parlant de ce livre , sur un autre sujet et le peu de confiance qu’il y aurait dans la police ..
J’ espère que Castaner et Macron seront jugés pour le mal qu’ils ont fait subir aux Français.
Dans n’importe quel pays de droit et sensé un pavé dans la grosse mare ferait sauter tout le gouvernement et conduirez à des arrestations parmi les anciens sinistres et ancien président ,ainsi que dans la hiérarchie policière , je dis bien dans un pays sensé ,mais nous n’assisteront à rien dans notre France ou tout est pourrie et corrompue jusqu’à la moelle .Comme je le dis il y a eu des révolutions pour moins que cela !
Il y a des » rois » parce que des citoyens se conduisent en » SUJETS » !
Il y a des corrompus certes mais parce qu’on les laisse faire ! Il y a des réactions pour certaines choses , comme Mila , ( je ne sais même pas comment elles se déclenchent ) importantes oui, mais pas, RIEN pour nos morts !!! ..tout de même ! quand on pense à Nice et cette policière qui n’avait pas voulu effacer une bande vidéo ,d’ ‘INSECURITE , qui avait été interrogée et dont on n’a plus de nouvelles !
Alors je ne comprends pas , il y a suffisamment de sites patriotiques, d’associations qui pourraient décider d’informer , ensemble ..
« trouvant normal que ces policiers d’élite perdent la vie, eux…. »
Ça c’est la mentalité gauchiste pur jus : « Bah, après tout, ils sont payés pour ça. »
« Vous savez comment on appelle une voiture non blindée sur laquelle on tire ? Un cercueil… »
Bon, je ne veux pas généraliser mais on peut aussi leur renvoyer la balle :
Vous savez comment on appelle une personne protégée par un gilet jaune sur laquelle on tire ? Un handicapé à vie…
Joël
Ce sont pas eux, il ne sont ni CRS ni de la BAC, ils n’ont jamais tiré sur les gilets jaunes donc pas d’amalgame. la BI c’est comme le RAID, GIGN,GIPN ou BRI !
Une chose est sûre en revanche, tôt ou tard, pour le Bataclan, la hiérarchie devra rendre des comptes !