Trump, le Gargantua des temps modernes…

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Que l’on aime ou non Donald Trump, loin de moi de faire son panégyrique, mais il faut se rendre à l’évidence, le Président américain est un personnage hors norme. Tellement hors norme que, depuis l’annonce de sa candidature jusqu’à ce jour et à l’avènement de la seconde campagne où il se présente à sa succession, les médias occidentaux progressistes majoritairement, n’ont cessé de le critiquer, le vilipender et même pour le NYT, appeler à son meurtre !

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Je dirai même gargantuesque, lorsque l’on se replonge dans le Gargantua de notre François Rabelais, qui avait le verbe cru. Comme Gargantua, Trump a le caractère excessif et parfois outrancier. Trump, lui, ne fait que tenir ses promesses électorales. Ce qui surprend les analystes progressistes du monde entier, qui ne sont assurément pas habitués à ce qu’un candidat au poste suprême tienne ses promesses électorales. Leur mauvaise foi va même jusqu’à le moquer ouvertement, particulièrement sur son physique. L’homme a du répondant. Il contourne les médias qu’il estime malhonnêtes à son égard, en ce quoi il n’a pas tort et tweete furieusement, quotidiennement. A lui seul, il attaque le politiquement correct, le nouveau totalitarisme occidental.

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Depuis que Donald Trump annonçait sa première candidature aux présidentielles US, ses contradicteurs n’ont cessé de lui nuire. Il était cerné. Des milliardaires, des politiques aussi bien Démocrates que Républicains, la presque totalité des médias mainstream lui étaient hostiles. Seul, face à la meute puissante, le peuple derrière lui, il gagnait contre toute attente des analystes et autres dits spécialistes de tous bords, sa première élection présidentielle. Il faut avoir un caractère plus que trempé pour vaincre les fureurs déchaînées de l’état profond de Washington, qui refusaient de céder ses pouvoirs à ce malotru peroxydé, considéré par la fange (the swamp), comme vulgaire, raciste, fascho, imprévisible, au mauvais goût, et tant d’amabilités non exhaustives. Pire, le camp adverse, les démocrates, insulte son électorat de « déplorable », « sans éducation », « ignorant » …  On appelait même au meurtre du candidat, puis du Président, tant la haine est sans limites.

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Après son élection, une partie de l’Amérique se trouvait en état d’émeute dans certaines grandes villes. Les manipulateurs de ces émeutes, desquels était le funeste milliardaire qui fit sauter la Banque d’Angleterre en 1992 pour gagner en quelques minutes plus d’un milliard €, Georges Soros, montraient assurément un sens aigu de la démocratie.

Nous observions une partie de l’Amérique en train de se défaire de sa liberté d’expression pour imposer une doxa digne des pires moments du bolchévisme en Russie. L’on peut même avancer sans se faire insulter, que le parti démocrate est devenu le premier parti antisémite des États Unis d’Amérique au travers quatre de ses députées démocrates, Ilhan Omar, la somalienne islamique, ouvertement antisémite et haineuse de Trump devant l’Éternel, Rashida Tlaib, qui n’a rien à envier à la première, Ayanna Pressley et Alexandria Ocasio Cortez. Cette jeune escadrille féminine anti Trump fait beaucoup parler d’elle dans les médias majoritairement progressistes anti Trump. Apparemment sans effet sur la majorité du peuple qui continue à plébisciter son Président qui leur procure des jobs, une meilleure vie donc. Les premiers bénéficiaires en sont les communautés noires et hispaniques. Bref, en trois ans, Trump a gagné son pari, redresser économiquement l’Amérique.

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Désormais il est devant la seconde échéance. Face à lui, pas grand monde et, ce monde là, les démocrates, ont passé les 3 années de sa présidence à nuire à ses actions et sont même allés ensuite jusqu’à vouloir le destituer sous de fallacieux prétextes de collusion avec la Russie. Cela ayant fait flop au frais du contribuable américain, ils inventèrent une fausse conversation téléphonique avec le nouveau Président ukrainien, où M. Trump aurait demandé une enquête sur son rival démocrate, Joe Biden, pour corruption en contrepartie de dégeler une aide financière. Les démocrates sentent qu’ils ne peuvent gagner contre le Président sortant, c’est pourquoi « l’impeachment » ne semble plus vraiment urgent !  Pourtant, leur leitmotiv était: « If you can’t beat him, impeach him ».

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Le peuple américain, lassé de ces intrigues partisanes reste indifférent. Il se pourrait bien qu’à cause de cette haine viscérale anti-Trump, le Président US endosse un second mandat haut la main. Réponse en novembre 2020.

 

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9 Comments

  1. Trump est un très grand Président qui aime son pays et son peuple ! Un grand croyant et un homme droit qui respecte la vie humaine, y compris des plus petits qu’Hillary voulait pouvoir avorter jusqu’à 9 mois dans son programme pour favoriser planet parentwood et le trafic d’organes !
    Pas comme notre président, ce petit étron qui passe son temps à nous insulter en se prenant pour jupiter, alors qu’il n’est rien et n’obtient aucun autre résultat que semer la haine !

    • @ RODRIGUE
      Tout-à-fait ça.
      Entre parenthèses, j’ai vu dernièrement la toujours excellente émission « Secrets d’Histoire » – souvent malheureusement pas assez exhaustive à mon goût – animée par le non moins très intéressant Stéphane Bern, relatant « Agrippine », la mère de Néron. J’y ai appris entre autres que Caligula, frère de la sus-nommée, ce psychopathe doublé d’un paranoïaque, se prenait pour Jupiter réincarné et qu’il avait fini de très vilaine façon.

  2. Rien de comparable avec Macron qui,lui,n’a fait aucune promesse électorale,il s’enivrait de ses propres discours tel un apprentis dictateur!

  3. Il est tristement dommage de constater que Mr Trump est quelqu’un de bien, qui fait des promesses et qui les tient, alors qu’en France, il y a un faux président, un démeuré psychopathe qui n’a rien d’un humain, qui haît son pays et qui fait tout pour le détruire. Mais chez nous, la guerre ne fait que commencer et les traîtres, comme le dictateur, seront les perdants, ne laissant qu’un petite trace insignifiante et puante dans l’histoire de France, vite effacée.

  4. Le ras-le-bol se fait sentir parmi la population et même des médias anti-Trump face aux interminables discours des « managers » (avocats poursuivants) démocrates durant les séances de destitution de Trump devant le Sénat, discours sans argument valable démolis en deux heures par deux membres de la défense, à tel titre que certains démocrates pensent que Trump a déjà gagné la partie. « It’s over » (c’est fini) titre cet article avec une formidable vidéo du journaliste de Fox News, Jesse Watters : https://www.bizpacreview.com/2020/01/26/its-over-trump-pins-watters-blunt-summary-of-trial-tweets-all-democrats-should-watch-this-879605?utm_campaign=bizpac&utm_content=Newsletter&utm_medium=Newsletter&utm_source=Get+Response&utm_term=EMAIL

  5.  » Trump, lui, ne fait que tenir ses promesses électorales. Ce qui surprend les analystes progressistes du monde entier, qui ne sont assurément pas habitués à ce qu’un candidat au poste suprême tienne ses promesses électorales.  » Très bonne analyse. Et les résultats sont là, malgré les très nombreuses critiques à son encontre, apparemment sans effet sur la majorité du peuple qui continue à plébisciter son Président qui leur procure des jobs, une meilleure vie donc., comme il est précisé ci-dessus.
    Personnellement, j’aimerai beaucoup un président comme Trump pour notre pays, en lieu et place de l’islamo-collabo, anti-français de Macron, qui a déclaré, entre autre, qu’il n’y a pas de culture française. Puis, lors d’un déplacement à Abidjan, samedi 21 décembre dernier, le même sinistre Macron a déclaré que le colonialisme avait été une « erreur profonde » et « une faute de la République ». Autre exploit de sa majesté : Macron a lâché l’industrie française. (source : Marianne – article de Nicolas Prissette, publié le 28/10/2018. Extrait :
    « Pour le gouvernement, l’industrie et plus encore le “made in France” sont un non-sujet. Pas de ministre spécialisé, pas de mesures spécifiques. Les patrons s’énervent.
    Pas de chance… A l’occasion des Journées du patrimoine, l’Elysée a lancé la vente très médiatisée de « goodies » faisant la promotion du savoir-faire tricolore. Sauf que les mugs présidentiels prétendument en porcelaine de Limoges étaient des faux ! « .
    Macron est tout le contraire de Trump : antipatriote, qui met en danger notre pays, notre civilisation face à l’invasion islamique, qui ne fait rien pour réindustrialiser la France, qui ne soutient pas la France rurale, ni l’agriculture. J’en passe et des meilleurs. J’espère que la république en marche arrière toute va prendre une mémorable déculottée aux prochaines élections municipales.

  6. [applaudissements pour cet article !]

    Très bien de rappeler qu’avec les 4 députées démocrates antisémites, le ver est dans le fruit démocrate; les donneurs de leçons ont pris un bien vilain virage avec ces 4 punaises dans leurs rangs.

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