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Merci à Denise d’avoir regardé ce documentaire et de nous alerter sur ce scandale d’Etat. Les enfants français en difficulté – et il y a des cas graves et désespérés parmi eux mais aussi des enfants placés pour échapper à des violences familiales – se retrouvent livrés aux plus grands, à des éducateurs sans diplômes… et aux « jeunes migrants » qu’on met là avec eux, avec leur culture, leur violence… Pas de personnel qualifié, par d’argent… mais des milliards pour les « quartiers », pour les « mosquées », pour les associations algériennes, turques… qui font du macramé ou des voyages à la Mecque. Plus rien pour nos vieux, pour nos gosses, tout pour les autres. La préférence étrangère c’est aussi cela.
Un scandale d’Etat.
Il y a un an un secrétaire d’Etat a été nommé, des députés travaillent sur le sujet pour qu’il y ait une proposition de loi.
Une proposition de loi ???? Pour quoi faire, bordel ??? Il y a des gens, des lieux, des responsables, et il faudrait une loi de plus pour changer les choses existantes, illégales et contraires à tous les règlements ? Macron se fout de nos enfants, il se fout de notre gueule.
Christine Tasin
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Je viens de regarder sur la 6, une émission sur L’ASE, c’est édifiant ; j’avais l’impression d’être en Roumanie ! L’ASE , c’est le placement d’enfants sur décision judiciaire, afin de les protéger !!!
Des enfants , des ados qui ne vont pas à l’école, des filles de 13 ans qui se prostituent, 22 enfants violés par un plus grand, 13 ans, dans la Somme, et à Dijon, des éducateurs qui n’en peuvent plus, qui démissionnent et qui sont remplacés par n’importe qui se présente, surtout sans diplôme ! Car il y a des enfants « psychiatrisés » avec des enfants, certes en difficulté mais non malades !! L’auriez vous cru ? C’est l’omerta car tout le monde savait !!
L’ASE, c’est aussi dans cet endroit qu’arrivent de jeunes migrants !! Il n’y a pas d’argent pour prendre en charge correctement les enfants, les nôtres mais il y en a pour tous ceux qui arrivent , et les départements ne s’en sortent pas !
C’est aussi en Angleterre que des jeunes filles placées étaient laissées à l’abandon, ce qui a permis au gang pakistanais de s’en emparer ! J’étais horrifiée et je m’aperçois qu’en France, même si on ne parle pas encore de gang, le sujet est sensible …
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Des gosses livrés à eux-mêmes, sans encadrement, shootés, sans encadrement, qui ne vont pas à l’école, des gamines de 13 ans qui se prostituent, des enfants violés pour des plus grands, un député qui ne parvient pas à entrer dans ces structures….
Oui, la France c’est la Roumanie.
La presse confirme
«Zone interdite» diffuse ce dimanche soir sur M6 un documentaire accablant sur les manquements de l’Aide sociale à l’enfance. Il y a tout juste un an, France 3 avait déjà pointé les dérives de l’ASE, qui reste à réformer.
Le documentaire fait grand bruit avant même sa diffusion. Ce dimanche, à 21 heures sur M6, le magazine Zone interdite propose une enquête, réalisée par le journaliste Jean-Charles Doria, sur le système plus que chancelant de la protection de l’enfance. «Bouleversant» selon les confrères de radio et télé, «ardu» et «déchirant» aux yeux des spectateurs présents lors de l’avant-première, mercredi, à l’Assemblée nationale : depuis quelques jours déjà, ce numéro intitulé «Mineurs en danger : enquête sur les scandaleuses défaillances de l’Aide sociale à l’enfance» fait l’effet d’une bombe.
Durant près de huit mois, l’équipe s’est infiltrée dans les foyers de l’Aide sociale à l’enfance (ASE). Caméra cachée (la quinzaine de départements contactés leur ayant refusé l’accès), les journalistes ont mené leurs investigations dans la peau de primo-éducateurs, engagés par des structures d’accueil en manque criant de personnel. Objectif de la mission : «Tenter de décortiquer les rouages d’un système à bout de souffle» et mettre à nu ses «multiples dysfonctionnements». En prenant le parti de laisser de côté la problématique des familles d’accueil, mode de placement qui prend pourtant en charge près de la moitié (47%) des enfants de l’ASE.
Dans un hôtel pour se prostituer
Seine-Saint-Denis, Côte-d’Or, Vaucluse. Dans trois foyers différents, les images tournées par M6 dévoilent les mêmes séquences saisissantes de peine, de détresse et de violence. On y voit tous les maux ou presque. Des enfants placés désœuvrés et livrés à eux-mêmes, des ados tantôt en fugue, tantôt dans un hôtel pour se prostituer, des jeunes déscolarisés, imbriqués dans des rapports conflictuels, voire brutaux avec les éducateurs des établissements, généralement non qualifiés pour le poste… Le constat est implacable : ces établissements, sous-dotés financièrement et humainement, maltraitent à leur manière par l’absence de professionnalisme. Tout le contraire du foyer bienveillant d’Oberlin, dans le Bas-Rhin, seul endroit où les journalistes ont été autorisés à poser leur caméra.
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Dans son docu, Zone interdite revient aussi de longues minutes sur deux «affaires» qui ont récemment secoué le milieu. La première concerne le foyer du Sapin de Jarsy, en Savoie. En 2018, l’ancien président et la directrice de l’établissement ont été condamnés à un an de prison ferme pour des violences commises sur des jeunes pensionnaires (insultes, humiliations, maltraitances physiques et prises de médicaments forcés). La seconde raconte l’enfer de 22 mineurs placés au foyer de Valloires (Somme). Un enfant est accusé de les avoir violés et/ou agressés, sur une période de cinq années, en toute connaissance de cause par les éducateurs de la structure, mais aussi les responsables de l’ASE. Une enquête judiciaire était toujours en cours au moment du tournage.
Taquet : «Des mesures sont déjà mises en œuvre»
Il y a tout juste un an, France 3 et son magazine d’investigation Pièces à conviction avaient diffusé une enquête quasi similaire, révélant au grand jour certaines dérives choquantes et intolérables au sein de l’ASE. Le documentaire avait provoqué un tollé, précipitant dix jours plus tard la nomination au sein du gouvernement d’un secrétaire d’Etat chargé de la Protection de l’enfance, en la personne d’Adrien Taquet. Que pense-t-il de ce nouveau documentaire de Zone interdite, véritable désaveu envers les actions mises en œuvre depuis sa prise de fonction ? Interrogé vendredi par 20 Minutes, le secrétaire d’Etat a tenté de se défendre : «Je me lève tous les matins pour que ce genre de situation change. […] Je suis d’un naturel impatient moi aussi, je ne me satisfais pas que ça n’aille pas plus vite. Mais on avance, des mesures sont déjà mises en œuvre.» Avant de concéder : «Ça n’enlève rien au fait que les cas de violence montrés dans ce documentaire sont intolérables, inadmissibles.»
Aide sociale à l’enfance: Un nouveau documentaire ravive le débat sur la vulnérabilité des enfants placés
ENFANCE Un an après un premier documentaire accablant, « Zone Interdite » consacre ce dimanche une nouvelle enquête édifiante sur les défaillances de l’ASE (Aide sociale à l’enfance)
Après la diffusion il y a un an d’un documentaire montrant les violences dans des foyers de l’ASE, Adrien Taquet était nommé secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance. — POL EMILE / SIPA/SIPA
- En janvier 2019, la chaîne France 3 avait diffusé un sujet consacré aux enfants placés dans les foyers de l’ASE (Aide sociale à l’enfance).
- Les images violentes et les témoignages de ces mineurs maltraités avaient suscité un tollé, poussant le gouvernement à nommer, quelques semaines plus tard, un secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance.
- Un an plus tard, la diffusion ce dimanche d’une nouvelle enquête sur M6, pointant des défaillances majeures dans la protection de ces mineurs, suscite la colère d’anciens enfants placés.
- Face à ces violences, ils appellent désormais à un sursaut de l’Etat.
Adeline a 18 ans. Avec son frère jumeau, elle a été prise en charge à l’âge 18 mois par l’Aide sociale à l’enfance (ASE). Aux côtés d’une poignée de députés, elle vient tout juste de voir un condensé des violences qu’elle a subies lors de ses années en foyer ou en famille d’accueil. « Je suis là devant vous, je rigole mais, en réalité, je ne suis pas bien », lance la jeune femme, la voix brisée par les sanglots. Projetée à l’Assemblée nationale le 8 janvier dernier, cette enquête consacrée aux défaillances de l’ASE sera diffusée ce dimanche dans l’émission « Zone Interdite », sur M6.
Ce documentaire, qui a nécessité plusieurs mois d’investigation, pointe les violences physiques, sexuelles et les carences éprouvées par des milliers d’enfants placés, comme Adeline et son frère. Il y a un an, une enquête similaire réalisée pour France 3 avait – déjà – suscité l’indignation de l’opinion publique et la colère des associations de protection de l’enfance. En réaction, quelques semaines plus tard, le député LREM Adrien Taquet était nommé secrétaire d’Etat chargé de ce dossier. Que s’est-il passé depuis ? Quel bilan peut-on tirer de cette politique, confiée aux conseils départementaux et qui concerne plus de 340.000 enfants ?
« Tout ça continue »
Dans les travées de la salle Colbert, où est organisée la diffusion, Lyes Louffok trépigne. L’auteur du livre Dans l’enfer des foyers, membre du Conseil national de la protection de l’enfance, s’insurge : « Quand je vois ces images, le premier sentiment que j’ai, c’est que j’ai envie de tout casser. Il y a un an, un reportage très similaire montrait déjà des dysfonctionnements, des viols dans des foyers que bon nombre d’entre nous avons subis. Force est de constater que tout ça continue aujourd’hui ».
Sortie du système sans formation, Adeline, pour sa part, se retrouve à la rue depuis que son 18e anniversaire a sonné la fin de sa prise en charge par l’ASE. Une situation qui touche un quart des enfants issus de l’aide sociale à l’enfance.
« Quand je vois ces images, le premier sentiment que j’ai, c’est que j’ai envie de tout casser ».
À l’origine de cette « avant-première », Perrine Goulet, députée LREM de la Nièvre, elle-même prise en charge par l’ASE pendant son enfance. Avec la diffusion de ce énième documentaire au sein du Palais-Bourbon, elle espère « faire avancer » et « pousser » le travail législatif engagé depuis mars 2019. Nommée rapporteure d’une mission d’information sur le sujet en avril dernier, l’élue se veut optimiste, malgré les larmes d’Adeline et l’exaspération de Lyes Louffok. « En un an, on a mené, avec des députés de toutes tendances, de nombreux travaux, et constitué un noyau soudé d’élus mobilisés sur ce sujet. Aujourd’hui, on travaille avec le gouvernement pour qu’une proposition de loi soit votée pour améliorer le sort des enfants placés. On ne désespère pas ! »
« On l’a vécu comme une trahison »
Si Lyes Louffok « salue » la nomination tant attendue d’un secrétaire d’Etat à la Protection de l’Enfance, il estime que l’année écoulée a été « une succession de déceptions ». La première, selon lui, porte le nom d’une autre députée de la majorité : Brigitte Bourguignon. Ce texte, toujours en cours d’examen au Parlement, prévoit d’étendre la prise en charge des jeunes majeurs par l’ASE jusqu’à leurs 21 ans, et non 25 ans comme le demandent les associations. De plus, un amendement déposé par le gouvernement « le jour de l’examen du texte » soumet cette extension à des conditions, souligne Lyes Louffok. « Ca a été pour nous un fiasco total. »
Après des mois d’échanges entre le Conseil national de la protection de l’enfance et la députée, la séquence a été « vécue comme une trahison », lâche-t-il. Présente lors de la projection, Jeanine Dubié, députée PRG des Hautes Pyrénées et membre de la commission des Affaires sociales, abonde : « La PPL de Brigitte, qui avait pourtant du sens, a été complètement détricotée par l’administration ! Tant que cela sera le cas, nous, députés, on ne pourra rien faire », estime-t-elle.
Au-delà de ce texte, c’est toute une série de mesures très attendues par le milieu associatif qui peinent à voir le jour. Lyes Louffok énumère : « On a demandé la création d’un fichier national pour contrôler les agréments des familles d’accueil, dont certaines continuent de recevoir des enfants alors qu’elles ont été maltraitantes (…), la création d’une administration indépendante pour contrôler les établissements ou le renforcement du rôle de la Défenseure des enfants (…), l’arrêt des prises en charge hôtelières, l’amélioration du contrat jeune majeur (…) et on attend toujours ».
Une enveloppe de 80 millions d’euros
Un sentiment d’impatience que tente de ménager Perrine Goulet. Selon elle, le calendrier devrait s’accélérer en cette année 2020. Et espère voir aboutir une proposition de loi ambitieuse sur le sujet. Un moyen aussi de rassurer les départements, qui sont chargés de mettre en œuvre cette politique de protection de l’enfance. Le 7 novembre dernier, l’Assemblée nationale a voté une hausse de 30 millions d’euros de crédits pour la protection de l’enfance dans le cadre de l’examen du projet de budget 2020. Au total, une enveloppe de 80 millions d’euros est prévue.
Cette somme « doit servir à investir massivement dans les départements qui en ont le plus besoin », avant de bénéficier à d’autres départements en 2021 et en 2022, précise le secrétaire d’Etat, Adrien Taquet dans une interview accordée à 20 Minutes. Mais là encore, la mesure fait grincer. Présent lui aussi lors de la projection organisée à l’Assemblée, Frédéric Bierry, président (LR) du conseil départemental du Bas-Rhin, juge le montant trop faible par rapport aux besoins réels des collectivités. « Pour vous donner une idée, dans mon département, la protection de l’enfance représente 170 millions d’euros de budget cette année. En 2015, c’était 140 millions. 80 millions à l’échelle nationale, c’est une goutte d’eau par rapport aux enjeux », tacle l’élu, à la tête de la commission « solidarité et affaires sociales » de l’Assemblée des départements de France.
Une prise de conscience nécessaire
Mais l’argument financier est balayé par la députée de la Nièvre. Selon elle, l’amélioration du sort de ces milliers d’enfants dépend avant tout de la bonne volonté politique des départements et d’un réengagement de l’Etat. Si les images captées par « Zone Interdite » sont brutales, elles peuvent aussi participer, espère-t-elle, à une prise de conscience collective.
« Le grand public peut avoir l’impression que ça ne le touche pas, qu’il n’est pas concerné. Beaucoup de gens se disent encore que les mineurs qui se retrouvent placés dans ces foyers sont des enfants de « cas sociaux ». Ce n’est pas vrai. Ce sujet nous concerne tous. C’est une politique publique nationale et on doit la regarder en face », développe-t-elle.
Sept ans après la publication de son témoignage, « Dans l’enfer des foyers », Lyes Louffok, lui, assume son impatience et appelle à un sursaut : « Moi, j’en ai marre des documentaires, en fait. Parce qu’à chaque nouvelle enquête, on se dit la même chose : « Quand est ce que les choses vont évoluer ? Quand est-ce que les parlementaires vont se saisir du dossier ? » La responsabilité aujourd’hui est de leur côté. »
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Voir aussi :
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Les victimes sont des enfants et ados les plus vulnérable: c’est à dire ceux d’en bas…comme hélas dans beaucoup de pays…même riches
Pas forcément ceux d’en bas justement car n’importe quel enfant peut se retrouver malheureusement sans soutien familial possible (maladie des parents, absences ponctuelles pour diverses raisons ou pire) et nécessiter une prise en charge du collectif.
Imaginez ce qu’ils peuvent vivre quand ils se retrouvent dans un tel milieu où de toute façon le fond, comme celui de la gauchitude, est la mixité sociale, donc pas de problème de leur côté.
Il faut arrêter de penser avec atermoiements en terme manichéen « d’en haut » et « d’en bas », la société est faite d’humains avec tout ce que cela comporte, point.
Quand on a vu un couple d’homosexuels avoir la charge d’une adolescente.
Quand on a vu les attitudes «curieuses» de la dite ado envers ses «mentors»,
Quand on a vu tout ceci, …..
Que dit-on ????
Michèle et Gérard
Vu leur «couleur» politique, il serait étonnant que les protagonistes se reconnaissent !!!
Ils ne regardent, certainement pas RR !!!!
Merci, @ Jean-Paul, mais je n’ai rien inventé, cela me vient d’un dessin quelque peu caricatural paru dans Le Figaro magazine, je crois, à la fin des années 80, représentant un sombre blaireau dénommé Jack Lang, représenté sur un trône, avec toute la panoplie Royale, soutane à fleur de lys, sceptre, couronne, etc… La locution m’est restée chère, car tellement vraie, et déjà à l’époque !…
Notre pays dépense plus pour des situations inextricable, telles les banlieues rouges et islamisées, et autres clandestins (ni migrants, ni réfugiés, ni naufragés, mais bien clandestins, et donc parfaitement illégaux…) que dans ces structures sous- développées, et conformes à aucune norme due aux droits de l’homme et de l’enfant. Cultura Socialis, propaganda Est…
A garder la formulation latine !
Malheureusement, c’est bien ce qu’est devenu le socialisme…
:-))
vous me faites penser que l’on pourrait en parler à l’association des droits de l’enfant , je l’avais fait au sujet des enfants/ados de cet autre pays dit ,civilisé : l’Angleterre et ses gangs pakistanais !
Effrayant…
Merci Denise
Depuis le temps que cela fonctionne comme cela à l’ASE et bien avant l’arrivée des migrants.
Et là, pas de problèmes d’argent, je peux vous dire qu’au contraire il y en a énormément… et de gaspillé, oh combien.
C’est Giscard qui en avait donné le plus et cela a été revu un peu à la baisse (avec des fonds conséquents quand même) de façon fort justifiée mais il est sidérant de voir l’esprit matérialiste de ces structures et bien évidemment, les mélanges des genres sociaux qui n’arrangent pas certains enfants qui malheureusement vivent des drames parfois heureusement ponctuellement, dans leur famille.
Ainsi, l’essentiel des pris en charge sont surtout des enfants dont les familles, assistées jusqu’au bout des doigts de pieds, parfois depuis toujours, sont incapables d’élever des enfants mais sont maintenus dans leur liens parentaux à coup de multiples intervenants sociaux ou autres). Enfants que la plupart font quand même à la pelle en majeure partie, outre leurs inconséquences à ce niveau, parce qu’ils perçoivent des allocations familiales et diverses aides, même quand les enfants sont placés et pris en charge par la collectivité (dû au délires réflexifs de certains travailleurs sociaux).
Alors le problème n’est pas là, il est dans les mentalités et l’assistanat (témoignage).
Il y a vraiment de l’ordre à mettre à ce niveau et je ne suis pas étonnée des dérives qu’il peut y avoir au niveau des nouveaux arrivants dans un tel contexte qui, comme je l’ai souvent dit (et le dirai toujours car je sais ce que je dis) sont un « résultat » et non une cause première.
Entièrement d’accord avec vous. Hallucinant le fait d’attribuer des AF aux parents irresponsables qui fabriquent un enfant tous les deux ans et savent pertinemment qu’il sera placé en famille d’accueil ou en foyer. Car ces parents sont soit alcooliques, soit toxicomanes, ou les deux, donc incapables d’assumer leur progéniture. Il faudrait peut-être commencer par les soigner de leur addiction, plutôt que de les laisser mettre au monde des enfants avec des problèmes de santé dus à ces addictions. L’Etat est une fois de plus responsable de toutes ces naissances et du devenir de ces pauvres gosses. Quel gâchis !
Vous avez raison pour les AF, juste que la décision de leur retirer avait été prise par N.Sarkozy , notamment pour les parents qui ne mettaient pas leur enfant à l’école , et « redonné » par Hollande dès le début de son mandat , par idéologie!
Quand à la question de les laisser faire des enfants, vous savez bien que nous n’avons aucun droit de les empêcher, c’est une question à laquelle j’avais été confronté ! Il ne reste que le dialogue et le temps et l’argent , pour « essayer » de faire entendre raison !
Oui c’est vrai, il y a une grande partie de ce genre de population (je dirais même « très »), c’est différent d’après la guerre où malheureusement il y avait des enfants qui se retrouvaient sans parents mais qui ont pour beaucoup été très malheureux dans des familles d’accueil. On a voulu améliorer les choses mais il y a des limites, et si encore on avait amélioré ce serait bien mais….
La plupart de ces gens sont pris en charge dans tous les domaines (parfois jusqu’à dix intervenants autour d’eux) et je n’imagine même pas les sommes investies pour une seule famille voire personne…
Mais la plupart des Français restent sur cette image qui n’a plus rien à voir, l’ensemble ayant largement dérivé vers autre chose et les prises en charge tournent souvent exclusivement » autour d’un matériel « démesuré » (alors ceux qui disent qu’il n’y a pas d’argent c’est n’importe quoi) qui répondrait à tous les problèmes.
Maintenant nous avons les nouveaux « grands mineurs », et j’imagine les largesses autour, il ne faut surtout pas compter.
C’est la gauchitude dans toute sa splendeur où l’environnement et le manque d’argent seraient responsable de « tout » y compris des comportements individuels aussi odieux soient-ils, le sujet humain avec ses particularités n’existant pas.
Le tout bien sûr soutenu par certains qui restent encore sur l’idée des « Dames Patronnesse » chères à l’Eglise (cf les largesses de Giscard d’Estaing comme je le disais dans mon précédent commentaire).
On est dans un monde de fou dans ce social démesuré qui duplique les problèmes à l’infini au lieu de les résoudre. Ce qui n’est pas toujours possible au niveau de certains humains mais ce n’est pas au Collectif d’assumer ad vitam aeternam, il y a des limites à instituer et cela c’est le Collectif qui doit décider, après on gère au niveau des situations individuelles en montrant à certains que « tout n’est pas permis » et que « tout ne leur est pas dû » (comment peut-on humainement penser que ce genre de pensée peut aider un être humain à s’en sortir ?)..
Ah mais il ne faut pas « interroger » dans ce pays des « Droits de l’Homme » (sans devoir sauf pour certains où c’est à l’infini)… sous peine d’être accusé de facho insensible. On le voit bien avec les migrants qui peuvent tout faire et tout demander même en étant dans une parfaite illégalité. Mais jouer sur la corde sensible, ça marche !
Toute la situation se dévoile :
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-phenomene-de-la-prostitution-des-ados-en-ile-de-france-depasse-la-justice-20-01-2020-8239677.php
« Les mineurs qui se trouvent placés dans ces foyers sont des enfants de cas sociaux , alors le grand public n’est pas touché » !!! je rêve ! il faut savoir que ces enfants et ados ( placement à partir de 3 ans ) , seront pris en charge à l’âge adulte, si leur enfance, déjà malmenée, devient chaotique dans ces structures démentes où ils sont censés y trouver une protection !!
Cher grand public , CE SONT LES VOTRES ! quand dans ces structures, on reçoit des jeunes majeurs migrants dont les familles africaines se désengagent de leur responsabilité ,car ils en font trop !!! les départements sont débordés, cela a un coùt , bordel !!!
Merci Denise pour révéler tout cela…
J’avais lu, il y a peu de temps, les mêmes cas pour ces enfants ados, mais en Angleterre…
J’ai très sincèrement du mal à comprendre comment peut-on en arriver à ce point sans savoir, en donnant à ces assos des fonds importants, et les résultats sont exactement les mêmes que si il n’y avait aucun budget prévu pour tous ces ados, dont le départ dans la vie, certains c’est à 3 ans…Je me dis Mon Dieu, quels souvenirs vont s’incruster dans leur cerveau???
Mes premiers souvenirs remontent personnellement entre 18 mois et 2 ans… Et à partir de 2 ans, plein de souvenirs, qui aujourd’hui sont restés dans ma mémoire… en grand majorité de très bons souvenirs…
Un enfant se construit tout petit, et il sera plus grand, en fonction de l’Amour qu’il aura reçu étant petit…
Et après on s’étonnera que ces ados, qui n’ont reçu, ni Amour, ni soins, ils n’ont au final intéressé que ceux qui ont touché de l’argent, mais pour l’argent et certainement pas pour ces ados…!!!!
Je suis outrée… Lorsque j’ai lu l’article sur ce qui s’était passé en Angleterre pour ces ados… je m’étais dis : « Heureusement en France, même si ce n’est pas formidable, ce doit être bien mieux… » et bien non, c’est même pire, car tous ces crédits débloqués… ça va dans quelles poches véritablement??? on peut se poser vraiment la question…
Désolée, mais avant d’aller faire le ménage en Afrique, la France, l’Angleterre et toute la « FUMEUSE U.E. » ferait mieux de faire un grand nettoyage sur son propre sol afin d’essayer de donner un peu de bonheur à ses propres enfants, au lieu de fournir aux migrants des êtres jeunes qui ne savent même pas qu’on les exploite, dans un but malsain… et tout ça… pour de l’argent…!!!!
Le Peuple paie toujours plus d’impôts pour voir ses enfants traités comme du bétail…
Il est grand temps, au moins dans notre pays, de faire un sérieux nettoyage avant de le voir disparaître dans cette boue visqueuse qu’est cette U.E…. Il est plus que temps que le Peuple demande des comptes à tous les Hommes Politiques, dont beaucoup n’en ont rien à faire du Peuple et encore moins des enfants malheureux, tout ce qui compte pour ces gens-là c’est… » Le tiroir-caisse »…!!!!
Dans quel monde vivons-nous ?
Tout ça, pour aboutir dans un monde semblable, dans lequel, les plus riches se moquent de tout ce qui peut se passer, du moment qu’eux ne sont pas touchés, et là-dessus aucun danger pour eux…!!!
Comment sortir d’une poisse semblable?
Comment défendre ces enfants qui n’ont rien demandé qu’un peu d’Amour, au départ???!!! Ensuite, pris dans un engrenage infernal, ces pauvres gosses deviennent ce qu’ils peuvent devenir…, au final, sans l’aide de personne…!!!!
Dans les années 70, des films d’anticipation sont sortis…
Je pense qu’aujourd’hui, nous vivons dans la réalité, ce qu’était l’anticipation de ces films…!
50 000€ par an et par » mineur » isolé. Après on pleure parce qu’il n’y a pas suffisamment de moyens pour NOS enfants. Dès qu’on aura décidé de soigner la FRANCE d’abord puis, ensuite, après, l’Afrique s’il nous reste des moyens, cela va s’améliorer.
Vous êtes en retard, ça commence déjà à l’école maternelle dans l’éducation nationale.
Vienne (86) : harcèlements très brutaux et violences sexuelles entre élèves d’une école maternelle pendant près d’un an.
http://www.fdesouche.com/1325401-vienne-38-harcelements-tres-brutaux-et-violences-sexuelles-entre-eleves-dune-ecole-maternelle-pendant-pres-dun-an
1 an pour que ça commence à bouger ! La honte.
Au départ, je ne désirais pas voir cette émission, puis je me suis ravisé. Je n’avais qu’un mot à la bouche à un certain moment de ce reportage : »Terrifiant ! »