Illustration : à partir de combien de joints peut-on se transformer en assassin ? (Photo : Reuters)
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En 2017, dans le quartier multiculturel de Belleville (Paris), un musulman d’origine africaine massacre et défenestre une retraitée juive aux cris d’«Allah Akbar !», sous les regards de policiers pas vraiment pressés d’intervenir.
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Deux ans et demi plus tard, après moult hésitations et tergiversations sur le caractère antisémite ou non du meurtre, la très très lente « justice » (plus réactive lorsqu’il s’agit de Fillon ou de Marine Le Pen…) a, enfin, jugé… qu’il n’y aurait pas de jugement à l’encontre de Kobili Traoré.
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Plus précisément : il n’y aura pas de procès puisque le meurtrier (toujours « présumé » pour le Figaro) est déclaré pénalement irresponsable.
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Pourquoi ? Parce qu’il avait fumé une dizaine de joints et que sa « conscience » ne pouvait qu’être altérée, lorsque, sous l’emprise d’une « bouffée délirante », l’assassin confondit la retraitée juive avec le « sheitan » (le diable).
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A cette conclusion délirante (elle-aussi) de la Cour d’appel, plusieurs questions se posent :
– Tuer sous l’emprise de stupéfiants sera-t-il désormais déclaré « circonstance atténuante » (comme l’alcool il y a 60 ans) ?
– Vu le nombre de consommateurs réguliers de cannabis, en France et dans le monde, les populations juives risquent-elles un danger mortel imminent ?
– Vu les effets monstrueux du THC (herbe, résine, huile), est-il bien raisonnable d’envisager encore la « dépénalisation du cannabis », comme le prône la gauche à chaque occasion ?
– Y-a-t-il un lien entre le cannabis, les trafics de drogue, l’islam, les déséquilibrés musulmans et le « nouvel antisémitisme » ? Ou bien entre le Coran et les « bouffées délirantes » de nombre de déséquilibrés ?
– La secte des « hashashyn » est-elle de retour ?
– Enfin, les juges de la Cour d’appel avaient-ils fumé, eux-aussi, en rendant leur non-jugement ?
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Cette affaire laisse donc un goût d’herbes amères (le meurtre s’est déroulé quelques jours avant Pessah) aux proches de la victime qui se pourvoient en cassation.
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La détention provisoire du déséquilibré prend fin et celui-ci ne passera pas par la case prison mais par un établissement psychiatrique où il rejoindra d’autres déséquilibrés musulmans enfermés pour cause de « bouffite délirante tétrahydrocannabino-corano-antisémite ».
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Plus inquiétant : Kobili Traoré se voit interdit « d’entrer en contact avec les proches de la victime et de retourner sur les lieux du crime » ce qui laisse déjà entrevoir… une éventuelle et prochaine libération.
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Déclaré pénalement irresponsable, le meurtrier présumé de Sarah Halimi ne sera pas jugé
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Le meurtrier présumé de Sarah Halimi ne sera donc pas jugé. Kobili Traoré, 29 ans, accusé du meurtre de cette sexagénaire juive défenestrée à Paris en 2017, a été déclaré, jeudi, pénalement irresponsable par la cour d’appel de Paris.
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Avocats de différents membres de la famille de la victime, qui réclamaient un procès aux assises, Mes Gilles-William Goldnadel et Francis Szpiner dénoncent une «décision scandaleuse» et forment tous deux un pourvoi en cassation.
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« J’ai tué le sheitan ! » (le démon, en arabe), avait hurlé Kobili Traoré en voyant le corps de sa victime écrasé au sol, trois étages plus bas. Dans la nuit du 3 au 4 avril 2017, à Paris, il s’était introduit chez sa voisine de 65 ans, dans un immeuble HLM du quartier populaire de Belleville.
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Aux cris d’«Allah Akbar !», entrecoupés d’insultes et de versets du Coran, ce jeune musulman, consommateur régulier de drogue depuis son adolescence, l’avait rouée de coups sur son balcon avant de la précipiter dans la cour.
Traoré racontera avoir ressenti «des bouffées d’angoisse» depuis la veille, se sentant «comme possédé par une force démoniaque».
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L’homme n’avait cependant aucun antécédent psychiatrique. Est-ce la dizaine de joints qu’il dit avoir fumés ce jour-là ?
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Trois expertises psychiatriques concordaient pour affirmer que le suspect avait agi lors d’une «bouffée délirante» liée à une forte consommation de cannabis. Elles divergeaient cependant sur la question de l’abolition ou de l’altération de son discernement.
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La chambre de l’instruction a tranché et conclu à l’abolition du discernement du prévenu au moment des faits.
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«Une décision scandaleuse»
«Une jurisprudence vient de naître !, s’est exclamé Me Szpiner, avocat des enfants de Sarah Halimi.
Toute personne qui sera atteinte d’une bouffée délirante parce qu’elle aura pris une substance illicite et dangereuse pour la santé se verra exonérée de responsabilité pénale ! C’est pour la famille un sentiment de colère et de dégoût.»
[…]
La cour d’appel, dont la décision met fin à la détention provisoire du suspect, a ordonné son hospitalisation en psychiatrie. Ainsi que des mesures de sûreté pour une durée de vingt ans, comprenant l’interdiction d’entrer en contact avec les proches de la victime et de retourner sur les lieux du crime.
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Et quand je disais que les juges avaient vraisemblablement interprété les expertises :
LE POINT :
Avocat à la Cour : »Patrick Klugman – Combien de fois aura-t-on tué Sarah Halimi ? »
« ….Et l’article 122-1 du Code pénal distingue selon que le discernement a été aboli ou altéré, seule l’abolition entraînant l’irresponsabilité. »
« …Là où, d’usage, une expertise suffit, il en aura ici fallu sept, qui se sont partiellement contredites. Pourtant, le premier expert nommé, le respecté Daniel Zagury, avait conclu, lui, à une altération du discernement au moment des faits qui rendait l’auteur punissable. »
« …..En cas d’altération du discernement, la loi prévoit que le juge reste libre d’écarter la réduction de peine prévue. Certains ont pu en déduire, a contrario, que, dans tout cas où l’abolition du discernement est objectivée par un expert psychiatre, alors le juge doit automatiquement constater l’irresponsabilité pénale… »
https://www.lepoint.fr/debats/patrick-klugman-combien-de-fois-aura-t-on-tue-sarah-halimi-24-12-2019-2354638_2.php
En tous les cas, on peut noter que c’est « curieusement » significatif que les juges n’aient pas retenu l’avis de l’expert apparemment le plus reconnu….
Le député Meyer Habib, sur sa page Facebook, pointe plusieurs éléments troublants, dont celui-ci : l’enquête n’a pas voulu examiner le téléphone portable de Traoré, pour vérifier s’il y avait eu préméditation de cet acte.
Oui c’est très troublant en effet, cela crève les yeux que tout est bizarre dans cette affaire…
Précisions très intéressantes sur le processus judiciaire et notamment les « expertises » (menées exclusivement par des psychiatres qui analysent, eux, dans le « concret » en regard de la classification médicale des maladies mentales ) dans Le Point :
« Me Szpiner : « On a volé la justice aux enfants de Sarah Halimi »
ENTRETIEN. L’avocat de la partie civile ne décolère pas depuis que la justice a déclaré le meurtrier de Sarah Halimi, « pénalement irresponsable ». »
PROPOS DE LA DEFENSE :
« ….. la chambre de l’instruction auraient pu renvoyer M. Traoré devant la cour d’assises et laisser celle-ci se prononcer sur sa responsabilité pénale, à l’issue d’un débat public fouillé, dans lequel auraient pu être entendus les policiers, les voisins, les personnes séquestrées avant le meurtre de Mme Halimi, d’autres experts, M. Traoré lui-même…
Au lieu de quoi, nous avons dû nous contenter d’un débat escamoté, mené sur la base de trois expertises sujettes à caution, présentant des divergences manifestes et, pour l’une d’elles au moins, des erreurs grossières
« Dans l’affaire qui nous préoccupe, M. Traoré a été examiné par trois collèges de psychiatres différents.
Le Dr Daniel Zagury, qui est sans doute l’un de nos meilleurs experts, dit la chose suivante : « Au moment de l’acte, M. Traoré était saisi d’une bouffée délirante aiguë de nature à lui faire perdre conscience de ce qu’il faisait ». À la lecture de ce diagnostic, on aurait pu penser qu’il allait conclure à l’irresponsabilité pénale du sujet.
Mais le Dr Zagury précise que cette bouffée délirante s’inscrit dans « une origine exotoxique ». En clair : une absorption volontaire et massive de drogue. Ainsi, le Dr Zagury conclut qu’« en dépit de la réalité indiscutable du trouble aliénant, l’abolition ne peut être retenue du fait de la prise consciente, volontaire et régulière de cannabis en très forte quantité ». »
https://www.lepoint.fr/societe/me-szpiner-on-a-vole-la-justice-aux-enfants-de-sarah-halimi-23-12-2019-2354580_23.php
Bonjour,
En effet, j’ai été juré d’assises au tribunal de Nanterre en 1996.
Tiré à tous les procès !
Et premier juré au premier procès où, justement, Daniel Zagury était expert psychiatre.
C’est de loin, de toute la session, parmi tous les psychiatres, l’expert qui m’a laissé la plus forte impression.
Un homme extraordinaire par son intelligence et son humanité.
Bonjour Antiislam,
Oui, apparemment, je ne le connais pas mais il est très apprécié.
Sinon, j’ai mis un autre commentaire du même tonneau et qui semble confirmer ce que je disais plus haut quand plutôt une interprétation des juges (article du Point aussi), très intéressant pour la compréhension.
Je ne sais pas s’il a disparu, mais je ne le vois pas…
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une pétition est mise en ligne ici :
https://www.change.org/p/sarah-halimi-ou-l-injustice-flagrante
ce crime ne doit pas rester impuni
la justice doit être rendue au nom du peuple et le rester !
Un point qu’il convient de souligner instamment :
cela signifie qu’il est malade. Malade n’est pas une « essence » mais un accident ». Aujourd’hui malade, demain guéri, donc demain hors de l’hôpital, libre de reprendre sa vie.
Là où le bât blesse, c’est que sa bouffée délirante était « une bouffée » donc passagère. Il n’est donc plus malade et depuis belle lurette, il n’y a donc pas non plus la moindre raison de l’envoyer en hôpital psychiatrique. Ce que la justice sait parfaitement. Elle agit en parfait incohérence avec elle-même :
si vous jugez que l’auteur du crime a été temporairement « malade » suite à une « intoxication » au cannabis. Alors pourquoi le soigner quand il n’est plus intoxiqué ? Pourquoi deux ans plus tard l’interner pour une bouffée délirante qui n’a pas duré ?
Je suis né en 1945. Dans les années cinquante. A cette époque, si un trou du cul provoquait un accident, le fait qu’il était pété ou seulement bien arrosé, était considéré comme une excuse; une circonstance atténuante…
Voila où en est la « J »ustice française en 2020.
Tas d’arriérés, bande d’enculés, complices d’assassinas. La France est devenue le pays le plus bananier du monde.
@bm77
J’aimerais de votre commentaire replacer certaines choses :
– Les psy sont loin d’être tous de gauche (ce ne sont pas des assistante sociale, qui peut-être ne le sont pas toutes non plus, et là je les plains car cela ne doit pas être facile de suivre et appliquer leur politique d’assistanat)
– Michel Onfray est loin d’être parole d’Evangile, plutôt même décrié par son milieu :
https://www.lacanquotidien.fr/blog/2011/09/gemmes-speciale-onfray-suite-%c2%ab-je-ne-parle-pas-%c2%bb-par-bruno-miani-lq-22/
EXTRAIT : « Michel Onfray parle donc au nom de l’Autre: une parole qui se dévide au fil des conférences et qui dit sans cesse: « Je ne parle pas ». Cette parole sans énonciation a un nom: c’est la rumeur, celle qui diffame et dont on dit qu’il en restera toujours quelque chose, malgré l’évidence de sa fausseté. »
– Freud n’est pas considéré comme un Dieu surtout maintenant avec la tendance au tout tout de suite y compris dans les psychothérapies qui nous vient des Etats-Unis… Rumeur aussi.
– Psy ne veut rien dire car il y a les « vrais » (psychiatres et psychologues, les seuls qui exercent en tant que tel au niveau de la Justice avec le titre qu’il faut et les études obligatoires derrière) et ceux qui se disent psy mais qui ne le sont pas car cette profession est normée juridiquement depuis 1985 pour pouvoir prétendre au Titre de psychologue. Les autres sont médecins-psychiatres.
– Dans ce cas précis (celui de l’article), les juges ont vraisemblablement interprété et utilisé à leur sauce les conclusions des psy concernés.
Il est certain par exemple, que si vous vous interrogez face à quelqu’un de complètement alcoolisé, de savoir s’il a toute sa conscience…. il n’y a même pas besoin d’être psy pour répondre que « non ». Et certains vont vite sauter sur cette conclusion pour dire qu’il n’est pas responsable de son acte (écoutez les gens….).
Ainsi, c’est ce qui a dû se passer, les psy ne pouvant dire, sous cannabis, qu’il avait toute sa conscience. Ce sont donc les juges (et non les psy) qui ont « jugé » après, selon ce qu’ils voulaient retenir de l’histoire (parce que dans un jugement, il n’y a pas qu’une histoire de « conscience » qui est retenue et surtout pas seulement l’expertise).
Tout cela sur fond politique bien sûr, et on le sait.
– il y a des gens qui sont vraiment contents de trouver un psy (qui ne fait pas seulement qu’écouter, selon ce que l’on entend habituellement) soyez en sûr.
@Amélie Poulain
Vous dites : » Dans ce cas précis (celui de l’article), les juges ont vraisemblablement interprété et utilisé à leur sauce les conclusions des psy concernés. « .
Non, si les juges s’étaient vraiment appuyé sur l’expertise psychiatrique, alors ils ne l’auraient pas fait hospitalisé. Cette bouffée délirante a eu lieu il y a deux ans, suite à une consommation de cannabis. Il a depuis, repris ses esprits : on n’envoit pas une personne qui a pu être ivre se faire hospitaliser en hôpital psychiatrique », pour une cuite passagère !
Si la personne est atteinte de délirium tremens, c’est-à-dire d’un véritable trouble psychiatrique, qui s’inscrit dans la durée, alors oui, l’hôpital psychiatrique s’impose, mais pour une surconsommation épisodique, on ne peut pas hospitaliser quelqu’un : j’ai eu un épisode de constipation de longue durée, il y a deux ans, qui m’a mis de méchante humeur, mon médecin de famille ne va pas me faire hospitaliser aujourd’hui jusqu’à ma guérison !!!!!
Donc, les juges se moquent du monde et se fichent de ce qu’ont dit les psychiatres, sinon, Traoré aurait d’ores et déjà été remis en liberté.
@pikachu
Je comprends votre point de vue mais je connais très bien le milieu.
L’article ne nous dit « rien » de cet assassin (et le mot est faible), de son histoire, de son parcours, de sa situation sociale voire médico-sociale, etc…. Ce peut être donc un sujet pris de longue date dans le système médico-social (il y a des chances) en tant que drogué patenté et donc connu.
Je suis désolée de vous contredire, mais il y en a qui sont hospitalisés pour des raisons d’alcoolisation massive, idem des drogués qui seraient en crise de violence (type « Hospitalisation d’Office »), des SDF addict alcool violents ou même pour une période leur permettant de se « reposer »…. etc…
Bref, je prends des exemples ici et là mais juste pour vous montrer que tout peut se faire surtout lorsqu’il y a derrière associations, assistantes sociales et tout le toutim (quand on est chronique drogue ou alcool, c’est très souvent le cas) ainsi qu’avocats (c’est important de considérer ce point).
Il faut savoir aussi, j’en ai déjà parlé mais il y a difficulté à faire passer l’énormité du problème : que ceux qui sont pris dans des addictions sont souvent « étiquetés » psychotiques (donc malade mentaux avec Allocation Adulte Handicapé et aides qui vont avec….) car sous cannabis il peut y avoir des « bouffées délirantes » justement de type paranoïaque sans qu’il y ait maladie mentale véritable, c’est un des effets de la drogue. Ces personnes sont donc classées malade mental psychiatrique, alors qu’il n’en est rien dans la structure mentale proprement dite.
Là il a repris ses esprits (cela prouve qu’il n’est pas malade psychiatrique), mais sur le moment comme je le dis ci-dessus, il a pu être hospitalisé pour cette raison (ou sur « pressions » de l’entourage pour valider son cas comme « psychiatrique »… allez savoir, je n’ai confiance en rien actuellement, ce serait possible).
Les experts psy n’ont donc, dans ce cas, pas pu dire autre chose que son état au moment du passage à l’acte (quoique, là aussi, j’ai des doutes car dans l’après-coup c’est invérifiable, ils ont dû juste se fier aux rapports psychiatriques lors de son hospitalisation).
Ce qui m’étonne aussi c’est qu’un délire sous cannabis n’altère pas la conscience au point de ne pas savoir ce que l’ont fait, même si la conscience est envahie de sentiments de persécution qui « peuvent » pousser à des gestes démesurés. Là, il savait ce qu’il disait (selon ce qui a été rapporté), c’était « orienté » avec projection massive, donc ce délire s’apparente bien à quelque chose de cet ordre.
Un autre point aussi à prendre en considération : les juges parfois « interprètent » à leur manière les rapports de psy. Cela est significatif lorsqu’on peut lire par la suite les compte-rendus qui paraissent dans les journaux qui alors n’ont rien à voir avec ce qui a été dit ou qui reprennent seulement un « élément » de l’expertise en question, ce qui fausse l’ensemble de l’évaluation psy (les psy ne répondent qu’aux questions « précises » posées par les juges).
Bref, on pourrait en parler longuement sans avoir le fin mot de l’histoire, c’est complexe et il suffit parfois d’un psy qui ne soit pas d’accord avec le reste pour que les juges retiennent ce qui les intéresse (par peur de se tromper ou autre raison).
Vous voyez…. ce n’est pas simple et là, on manque d’éléments.
Mais je n’ai jamais vu de telles conclusions si ce qui est dit est exact… Je suis même choquée.
J’espère sincèrement que la situation va être revue.
Bonjour,
Merci Amélie pour votre échange, très intéressant.
Mais les Verts et autres Gauchistes ne peuvent pas à la fois nous seriner que le cannabis est anodin et en même temps excuser ce type en imputant son crime au cannabis.
Bonjour Antiislam,
Je suis entièrement, oh combien, d’accord avec ce que vous dites. C’est cela qui est triste justement de le faire croire.
Le comble c’est que certains autres (que je préfère ne pas citer) sont dans le même discours. C’est très inquiétant.
J’ai oublié un point aussi dans mon analyse : j’avais lu et je dis juste cela pour argumenter ce fait car c’est connu, il est facile aussi de simuler une maladie mentale si l’on prend connaissance des symptômes répertoriés de telle ou telle pathologie, et l’on sait que c’est utilisé également.
D’ailleurs j’ai des doutes justement pour les différents passages à l’acte de « déséquilibrés » soit-disant que l’on nous sert, ce serait peut-être aussi des prises de drogue ou une identification volontaire à une pathologie psychiatrique dans le but d’arriver à obtenir une irresponsabilité pénale.
Un autre point qui m’est venu à l’esprit : dans le délire paranoïaque justement, il a été reconnu en clinique psychiatrique que l’application de l’article 64 du Code Pénal (« irresponsabilité pénale ») n’était pas appropriée et que le contraire, une sanction pénale pouvait même « aider » le patient véritablement paranoïaque.
Ce fait en rajoute aux nombreuses questions que l’on peut se poser dans ce cas, avec ce dont on dispose comme éléments bien sûr.
@Amélie Poulain
Les infos que l’on a sur Traoré est qu’il n’avait aucun antécédents psychiatriques mais de nombreux antécédents en matière de délinquance.
Ensuite, vous dites » il y en a qui sont hospitalisés pour des raisons d’alcoolisation massive, idem des drogués qui seraient en crise de violence « .
C’est bien là le fond du problème : ils sont hospitalisés parce qu’ils sont en crise, maintenant, ou massivement alcoolisés, maintenant, pas deux ans après leur cuite, ou deux après leur consommation de cannabis.
C’est bien ce qui rend cette mesure judiciaire incohérente. Et cette incohérence démontre la perfidie de cette justice. Si ces juges étaient vraiment honnêtes et aussi dérangeant que cela puisse l’être pour les vicitimes, alors Traoré aurait dû être remis en liberté, parce qu’il n’est pas malade. Et c’est en cela que cette décision de justice crée un précédent dangereux et ouvre carrément une boîte de Pandore : désormais, les avocats de voyoux pourront faire jouer cet arrêté pour défendre leurs patients ayant consommé de la drogue en forte quantité avant leur méfait, du moment que l’on ne pourra prouver la moindre préméditation.
C’est pourquoi, je ne pense pas qu’il puisse rentrer dans ces catégories que vous évoquez d’hospitalisation pour alcoolisme violent ou pour toxicomanie violente.
je suis bien d’accord avec vous Amélie Poulain, tous les psy ne sont pas de gauche mais la gauche s’est accaparée de la psychologie comme si elle en avait une propriété morale ou le monopole . Cela permet de donner une supériorité et d’appuyer l’argumentaire de donneur de leçon ou censeur propre au gauchiste quand la réalité lui donne tort et parfois utilise des notion pour le moins emprunt à des termes utilisés en psy; par exemple pour dire que les gens qui s’émeuvent de la trop grande présence d’immigrés ont un problème ou une psychologie fragile qui ne leur permet pas d’avoir sufisamment de discernement Pour ce qui est de la justice , je pense sincèrement qu’il y a collusion entre psy et Juges surtout à l’intérieur du système. Sur quel base assermentent-t ils les psychologues choisis pour faire des expertises ? Une conformité à un certain type de raisonnement politique ?.La justice a bien demandé à Marine Lepen de se plier à un examen psy pour avoir diffuser des photos d’exactions commises par daech sur son compte tweeter. Là on est en pleine collaboration juges et experts psychiatre ou psychologues normés à la justice parce que d’un côté vous avez le juge qui convoque et le psychologue qui se prête à cette mascarade politico judiciare !!!
@bm77
Je suis désolée cette fois-ci de ne pouvoir « absolument pas » aller dans le sens de votre documentaire, et je sais de quoi je parle.
J’ai déjà, à un autre moment ici, développé ce sujet que vous évoquez et je ne souhaite pas recommencer.
Sachez quand même que les gens de gauche s’accordent en général « très mal » avec les psy (ça les fait trop réfléchir, les psy n’allant généralement pas dans le sens de l’assistanat que les gens de gauche adorent), vous confondez avec les sociologues ce qui n’a rien à voir tant au niveau de la profondeur de la réflexion que du sujet traité.
Ou alors vous parlez des psychanalystes (qui ne sont pas forcément de formation psy telle que définie par le Titre) notamment Lacaniens qui sont généralement de Gauche jusqu’au bout des orteils, ils ont d’ailleurs fait beaucoup de dégâts.
D’ailleurs, avez-vous déjà vu en politique un avis de psy ? En général ce n’est pas écouté et diffusé….. car ça dérange ceux qui veulent « penser en rond ».
Par contre, les avis « généralisant » des sociologues qui pensent en miroir de l’idéologie gauchiste et donc va dans « leur » sens (le « milieu » qui brime l’individu qui lui n’existerait pas) qui met tout à toutes les sauces sans creuser, c’est moins « inquiétant ».
Et l’on ne peut pas non plus parler de collusion avec la Justice ou autre dans une activité d’expertise, c’est ignorer « complètement » ce qu’est ce genre de travail.
Ne mélangeons pas tout…..
@pikachu
Je suis pleinement d’accord avec votre commentaire, c’est d’ailleurs tout à fait le sens du mien.
J’ai parlé juste des hospitalisations possibles car vous me disiez que c’était impossible d’être hospitalisé pour un épisode aigu, afin d’illustrer la dynamique pratiquée réellement et donc montrer que c’était au contraire tout à fait possible.
Il est clair, comme je l’ai dit et démontré, que ce jugement est on ne peut plus bizarre.
@Amélie Poulain
ok, il y a eu un malentendu. Je n’ai jamais écrit que l’on ne pouvait pas être hospitalisé pour un épisode aigu. J’ai seulement dit que son jugement, deux ans après les faits, était de l’interner, alors qu’il avait eu un « épisode délirant ». L’épisode étant clos depuis deux ans, on se demande bien pourquoi l’interner.
De deux choses l’une : soit il est coupable et va en prison, soit il n’est pas réellement coupable mais alors il doit être libre puisque son accès délirant est fini. C’est cela qui me dérange, cette mesure intermédiaire qui démontre que la justice est incohérente. Cette façon de faire laisse entendre qu’il lui est vital de pouvoir continuer à utiliser le filon du « déséquilibré » pour adresser le problème du terrorisme islamique.
(sans parler du corporatisme qui peut expliquer beaucoup concernant cet arrêté : cette affaire fut traitée, depuis son tout début, de manière on ne peut plus étrange)
@pikachu
Oui tout à fait d’accord avec vous, cela n’a aucun sens de l’interner (mais il faut bien « justifier » je pense…), rien n’est clair de toute façon dans cette affaire. C’est peut-être aussi un jugement de « protection ».
Et je pense comme vous quand vous soulevez la question du « corporatisme ».
Déjà, jugement de deux ans… seulement après les faits, c’est « très » rapide vu la dynamique de la Justice.
Ce n’est pas l’horrible ordure traoré qui a tué,mais le cannabis! Le crime se serait fait à l’ insu de son plein gré !!! Ils nous auront tout fait ces juges de gauche! On comprend mieux pourquoi Zemmour est toujours en guerre contre cet état de droit qui est un pouvoir qui se substitue à celui du peuple , auquel les politiques en place ont donné délibérément une place capitale ,tout en se défaussant, eux, de leur responsabilité régalienne . Il n’est plus besoin d’affirmer la séparation des pouvoirs exécutifs , législatifs et judiciaires puisqu’ils se nourrissent les uns des autres , ils sont tous dans le même panier de gauchistes bon teint à la sauce mondialiste.
Ils ont d’ailleurs démontré tout leur complicité et leur proximité idéologique à travers ces attaques opportunes et tout azimut contre les principaux opposants à macron que ce soit contre Fillon , Marine ou Mélenchon , ou dans des procès où ils ont pu démontré toute leur partialité idéologique avec l’affaire Méric ou les identitaires et les relaxes à répétition pour les rappeurs menaçants et orduriers , les tueurs déclarés irresponsables les djihadistes terroristes dont les peines se sont vues réduites au fur et à mesure du déroulement des procès . Et si on veut avoir une idée de ce que les politiques ont réellement dans le coffre, il suffit de consulter les décisions de jugement pour s’en rendre compte. Il y a aussi un facteur qui a mon avis prend un peu trop d’importance c’est l’intervention des psychologues ou psychiatres , les psy en général. Quand une cour de justice ne veut pas prendre ces responsabilités pour des raisons, qui souvent ,sont ,que cela heurte en partie la conviction politique profonde des magistrat qui l’a compose, elle s’en remet à un psy. C’est bien commode. Et toute la conclusion d’une procédure est tributaire de la décision d’une « expert » en maladies mentales et d’insupportables criminels se retrouvent dédouanés par la seule décision d’un spécialiste d’une science qui n’a rien d’exacte! On psychologise tout le monde, c’est une mode,que ce soit pour déresponsabiliser les criminels souvent issus de l’immigration ou au contraire pour stigmatiser ceux qui seraient victimes d’une paranoïa qui ferait qu’ils ne voient pas et ne comprennent pas ce qu’ils constatent dans leur quotidien mais aurait le sentiment de ou seraient atteint d’une peur irraisonnée que serait l’islamophobie par exemple . On a tenté d’ailleurs de faire subir des examens psychiatriques à la principale opposante à macron. Est -il besoin de préciser que le milieu des psy est très noyauté par la gauche et celui ci intervient partout dans la vie des gens et accompagne de plus en plus le totalitarisme soft dont il est un des principaux rouages .C’est la nouvelle religion auquel tout le monde doit se plier même si cette profession est souvent exercée par des charlatans. Michel Onfray avait d’ailleurs créé un grand émoi dans ce milieu quand ils avait osé s’attaquer à cette vénération exagérée et aveugle des adeptes de l’icone de cette nouvelle prophétie en la personne de Freud l’intouchable! .Comme si le fait de s’attaquer à l’idole les faisait tomber tout l’édifice !
La prochaine fois que vous aurez un accident mortel pour avoir conduit bourré comme une cantine, » trois expertises psychiatriques concorderont pour affirmer que vous avez agi lors d’une «bouffée délirante» liée à une forte consommation de calvados » ce qui vous dispensera de poursuites. Vous pourrez continuer à rouler bourré en espérant que les autres vous évite. Ça c’est de la bonne justice !
Et dire que des Français ( qui n’ont tué personne ) sont en prison pour récidive d’alcool au volant sans même avoir grillé un feu rouge ! …..par contre je suis étonné du peu de contrôles concernant les consommateurs de shit , c’est dommage car vu le nombre de fumeurs de cette merde a qui on sucrerait leur permis la circulation diminuerait de 40% .
oui, insupportable ! on ne peut pas imaginer que ce soit possible, on nage en pleine fiction gauchiasse
et en plus cette histoire d’éloignement par rapport à la famille, comment faut-il l’interpréter ??
est-ce que les juges craignent que les enfants ne vengent leur mère ?? puisqu’ils n’ont pas obtenu justice ,
comment les historiens futurs vont-ils évaluer cette période où une grande partie des Français semblent avoir perdu le sens commun, et agir comme un troupeau déraisonnable sous hypnose idéologique ??
Robert Spencer du site jihadwatch fait une petite énumération de ce que les musulmans croient au sujet des juifs:
« Le Coran dépeint les Juifs comme un mal invétéré et déterminé à détruire le bien-être des musulmans. Ils sont le plus fort de tous les gens dans l’inimitié envers les musulmans (5:82); ils fabriquent des choses et les attribuent faussement à Allah (2:79; 3:75, 3: 181); ils prétendent que le pouvoir d’Allah est limité (5:64); ils aiment écouter les mensonges (5:41); ils désobéissent à Allah et n’observent jamais ses commandements (5:13). Ils se disputent et se querellent (2: 247); cacher la vérité et tromper les gens (3:78); organiser une rébellion contre les prophètes et rejeter leur direction (2:55); être hypocrite (2:14, 2:44); donner la préférence à leurs propres intérêts par rapport aux enseignements de Mahomet (2:87); souhaiter le mal aux gens et essayer de les induire en erreur (2: 109); ressentir de la douleur lorsque les autres sont heureux ou chanceux (3: 120); être arrogant au sujet de leur être le peuple bien-aimé d’Allah (5:18); dévorer la richesse des gens par subterfuge (4: 161); calomnier la vraie religion et être maudit par Allah (4:46); tuer les prophètes (2:61); être impitoyable et sans cœur (2:74); ne jamais tenir ses promesses ou tenir ses paroles (2: 100); être libre de commettre des péchés (5:79); être lâche (59: 13-14); être avare (4:53); être transformé en singes et en porcs pour avoir violé le sabbat (2: 63-65; 5: 59-60; 7: 166); et plus. Ils sont sous la malédiction d’Allah (9:30), et les musulmans devraient faire la guerre contre eux et les soumettre sous l’hégémonie islamique (9:29). être lâche (59: 13-14); être avare (4:53); être transformé en singes et en porcs pour avoir violé le sabbat (2: 63-65; 5: 59-60; 7: 166); et plus. Ils sont sous la malédiction d’Allah (9:30), et les musulmans devraient faire la guerre contre eux et les soumettre sous l’hégémonie islamique (9:29). être lâche (59: 13-14); être avare (4:53); être transformé en singes et en porcs pour avoir violé le sabbat (2: 63-65; 5: 59-60; 7: 166); et plus. Ils sont sous la malédiction d’Allah (9:30), et les musulmans devraient faire la guerre contre eux et les soumettre sous l’hégémonie islamique (9:29).
Et dans leurs prières quotidiennes les musulmans répètent des dizaines de fois qu’ils ne doivent pas être comme « ceux contre qui Allah est en colère », c’est-à-dire, les juifs. Comme lavage de cerveau anti-juif c’est dur de faire mieux 365 jours par année.
Oui, je ne peux même pas imaginer…. Le cannabis n’a jamais été une maladie mentale et les juges ont dû allègrement interpréter les conclusions des psy dans le sens qu’ils voulaient leur donner, ce n’est pas possible autrement.
C’est quelque chose d’insupportable…..
Et les bons conseils de ses avocats ont permis à l’assassin de broder une défense à la mode pour les musulmans: irresponsable. Avec quels arguments? Le mensonge quant à la perte de discernement car c’est étrange, la plupart des drogués se donnent du courage en fumant de la drogue et c’est justement pour cela qu’ils se droguent. L’assassin avait besoin de la sorte de courage fournie par la drogue afin de faire abstraction de la société occidentale et d’agir selon la société musulmane. Ce n’est pas du délire, c’est du confort pour l’exécution d’une juive.
ça dépasse toute morale et tout sens civique,
la dite justice n’a pas le droit de dépénaliser un meurtrier raciste, antisémite, qui insultait sa victime chaque fois qu’il la croisait dans l’escalier en la traitant de « sale juive »
forcément pour cet être primitif et barbare, peu évolué et pas instruit, un juif représente le démon d’après le coran,
et voilà avec qui ou plutôt avec quoi, la saloperie gauchiste oblige les Français à vivre , côtoyer et supporter, et cela jusqu’à la mort s’il le faut,
maudits ! soyez maudits ! bande d’ordures !
et en plus ils excusent le meurtrier au lieu de lui signifier la peine de mort, ou au moins l’expulsion définitive sans retour possible,
mais non, nous allons le prendre en charge dans un hôpital psy, en attendant qu’il tue un autre juif ou un chrétien, ou un athée, c’est selon,
et à ce moment là, personne n’ira chercher le juge qui l’a absout et libéré pour lui faire payer sa clémence irresponsable et dramatique
Soyons optimistes.. une erreur médicale peut arriver en ces temps de grève et de manque flagrant de personnel qualifié ! Erreur de neuroleptique, de « sismothérapie », de fiche/patient malencontreusement déclassée ou échangée.. : Prions, prions Sainte Chronicité des hospices, pour abréger au plus tôt la souffrance délirante des enrôlés aux Haschichins!
« la dite justice n’a pas le droit de dépénaliser un meurtrier raciste, antisémite, qui insultait sa victime chaque fois qu’il la croisait dans l’escalier en la traitant de « sale juive » »
Oui c’est insupportable, de plus, cet élément en rajoute à son « état de conscience » certain de ce qu’il faisait.
Il aura sans doute droit à salle de sport, salle de prière, hammam, assistances sociales et escort girl visiteuse etc…
Y’a bon vos impôts !
Entre les excuses dues à leur « religion » et celles liées à la consommation de saloperies diverses, ils ne sont coupables de rien….
Qu’attendons-nous pour en faire autant, puisque tout est « excusable » ?
Histoire de leur rendre la monnaie de leur pièce….
Oui @dmarie, vous avez raison.
« Toute personne qui sera atteinte d’une bouffée délirante parce qu’elle aura pris une substance illicite et dangereuse pour la santé se verra exonérée de responsabilité pénale ! »
C’est ridicule !
Faute : consommation de cannabis …donc la loi doit s’appliquer
et il faut en assumer les conséquences !
Mais moi, si je fume et que je conduise, mon discernement sera altéré et je ne serait pas condamné, …. selon ce jugement !!!!
Justice ridicule.
ont marche sur la tête dans ce pays !
ce connard massacre une personne âgée et la jette par dessus le balcon au cris de » alha akbar » et cette »justice » de merde lui trouve des excuse (sic) , mais c’est le monde a l’envers ?!
comme dit le dicton : Avinas Veritas ! sont antisémitisme a rejaillit par les substance qu’il avait consommait (le shit) , d’ailleurs , il paraît que lorsque une personne est sou l’emprise d’alcool ou de stupéfiant , cela fait ressortir sa vrai personnalité . donc cette ordure est un islamiste , antisémite de la pire espèce . peine capitale pour ce genre d’ordure !
Ben voyons et avec tous les cons qui veulent légaliser le cannabis, on a du mouron à se faire avec tous les connards qui en fument .lamentable
@Corsica
Je suis pleinement d’accord avec vous.
Alors on peut jeter nos ennemis par les balcons après avoir fumé ?
A condition d’avoir la bonne couleur ou religion , sinon……..
alain
je vais encore aller au lit avec des idées de meurtres
et pourtant je ne fume pas !
cool on va pouvoir rouler bourré !!! cela va faire jurisprudence pour tous les tarés qui font n’importe quoi sous l’effet de l’alcool ou de la drogue !! il faut que la justice se ressaisisse et arrête d’encu..les mouches et se penche sur les vrais problèmes.
Il y a déjà bien longtemps que le « mur des cons »,décide à la place de ces pauvres juges,sous l’emprise du gauchisme. Ce sont eux,qui ont besoin d’être internés dans des hôpitaux psychiatriques.
normalement, n’est-ce pas considéré comme circonstance agrravante ?