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Excellente analyse d’Onfray sur les retraites et Macron. Analyse écrite avant la démission de Delevoye qu’il ignorait à ce moment-là mais cela ne change rien à la pertinence de l’analyse. (Les illustrations ont été choisies par Résistance républicaine et n’accompagnent pas le texte original d’Onfray).
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Emmanuel Macron ne souhaite pas restaurer un ordre ancien, mais installer durablement celui du marché planétaire.
Quand le regretté Pierre Bourdieu était intervenu en prenant la parole gare de Lyon lors des grèves de 1995, il avait parlé d’un « combat de civilisation« . Il avait raison ; près d’un quart de siècle plus tard, c’est le même qui se joue ces temps-ci dans les rues.
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Pour empêcher toute réflexion de ce type, on braque les projecteurs ailleurs : le problème ne relèverait donc pas d’un choix de civilisation mais d’une série de débats sur des questions concernant le point et l’âge pivot, la répartition et la capitalisation, les régimes spéciaux et le simulateur de retraite, un système universel et « l’âge d’équilibre » (!), le systémique et le paramétrique, autrement dit, d’une juxtaposition de négociations d’intendance technique.
On regarde la chose avec le plus petit bout possible de la lorgnette.
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Voyons-la plus tôt du point de vue de Sirius : il s’agit clairement pour Emmanuel Macron de faire avancer le bulldozer libéral maastrichtien dont le but avoué consiste à supprimer la puissance des Etats de façon à atomiser la société pour obtenir des monades plus faciles à circonscrire et à endoctriner.
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Il s’agit de tuer l’antique Citoyen éclairé de la République pour faire advenir le Consommateur abruti du grand marché planétaire. Pour les tenants de cette nouvelle barbarie, il ne doit plus y avoir de Nation et de République, mais des individus séparés comme autant de spermatozoïdes cherchant l’union avec l’ovule au prix de la mort de tous les autres.
Cette prétendue réforme n’est jamais qu’une variation sur le thème néo-darwinien de la lutte pour l’existence et du droit à la survivance des mieux adaptés. Macron se sert des retraites pour imposer cette société de sauvages qui s’entre-tuent dans laquelle chacun cherche à sauver sa peau avec sa petite capitalisation en tournant le dos à toute solidarité.
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Pour ces néo-barbares libéraux, il faut isoler les individus, atomiser la société, fragmenter les communautés, empêcher les solidarités, abolir les aides et les entraides.
Ces gens-là retirent la Fraternité de la devise républicaine après avoir également soustrait l’Egalité devant le droit et la loi, on sait en effet qu’au tribunal il vaut mieux être puissant que misérable, en même temps qu’ils ne reconnaissent plus à la Liberté qu’une seule définition : permettre au plus fort de nuire au plus faible, au plus riche de détruire le plus pauvre, au plus puissant de mépriser le plus misérable, au plus gros poisson de manger les plus petits.
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Ce qui est détruit, sous prétexte d’en finir avec l’inégalité des régimes spéciaux, c’est l’instauration d’une autre inégalité entre ceux qui auront les moyens de se payer une retraite privée et les autres. Cette logique avalise le processus de paupérisation qui est la clé de voûte du libéralisme maastrichtien.
On ne demande pas à ceux qui possèdent de faire des efforts mais aux plus modestes, sous prétexte que la richesse des riches ruissellera naturellement jusqu’aux pauvres, c’est la vieille théorie de la fable des abeilles de Mandeville : les vices privés des riches constituent les vertus publiques de la société ! Ce qui, en d’autres mots, donne : ne touchez pas aujourd’hui aux plus aisés, laissez-les s’enrichir, c’est pour le bien des pauvres plus tard…
Or, pour l’heure, les pauvres s’appauvrissent et les riches n’ont que faire de cette histoire de points, leurs capitaux sont déjà bien placés, leurs retraites se préparent dans les banques des paradis fiscaux, leurs avoirs rentables crachent leurs bénéfices chaque jour que Mammon fait.
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Je ne suis pas jaloux de l’âge de départ à la retraite des quinquagénaires dans telle ou telle profession.
J’estime au contraire qu’il faudrait repenser le travail et indexer des projets politiques dignes de ce nom sur cet objectif : travailler autrement et moins.
Les socialistes qui, aux dernières élections présidentielles, militaient pour un revenu universel (autant à François Pinault et Bernard Arnaud qu’à leurs femmes de ménage…) seraient bien inspirés, dans un pays où le chômage est si élevé, de proposer des alternatives avec un travail repensé de fond en comble.
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Il n’est pas normal que les jeunes ne trouvent pas de travail, que les séniors soient évincés dix ans avant l’âge légal de la retraite et que soient entretenus dans l’allocation chômage une partie des forces vives de la nation, c’est un gâchis d’énergie et de talents, de forces et de compétences, de volontés et d’aptitudes. Il faut un nouveau projet de société et non une nouvelle régression sociale sous prétexte de progressisme libéral. C’est ce à quoi devrait aussi s’occuper la gauche qui se contente si souvent d’être contre sans jamais proposer quoi que ce soit de neuf, sinon voler les idées de la droite, depuis un demi-siècle.
Le travail n’est pas l’horizon indépassable d’une vie. Que de Fillon à Cohn-Bendit en passant par Sarkozy et Hollande soit repris l’argument qu’une augmentation de la durée de vie oblige à une augmentation de la durée du temps de travail dans la vie constitue une aberration !
Cette augmentation de la durée de vie milite bien plutôt en faveur d’une pensée refondée du travail et d’une large place accordée à une retraite qui ne serait pas un dépotoir d’énergie. La quantité de vie n’est un argument contre la qualité de vie que chez ceux qui, à droite comme à gauche, préfèrent la quantité à la qualité, signe de nihilisme.
Vivre plus longtemps ne signifie pas vivre plus longtemps en bonne santé : car l’augmentation de la quantité de vie va souvent de pair avec la diminution d’une qualité de vie avec le temps. Le travail est pensé depuis deux mille ans par le judéo-christianisme comme une punition consécutive au péché originel, il me semble que cet archétype mental qui a traversé les siècles a contaminé bien au-delà des chrétiens.
Ce que les manifestants défendent dans la rue c’est la civilisation construite par les gaullistes et les communistes après la Libération pour remettre la France debout en donnant de la dignité aux travailleurs. Le programme du Conseil national de la résistance a été la colonne vertébrale politique des années d’après-guerre jusqu’au départ du général de Gaulle.
C’est ce que Macron veut détruire.
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Qu’on y prenne garde, ce jeune banquier d’affaire a intitulé l’un de ses livres de campagne présidentielle « Révolution« . La chose avait beaucoup fait rire en son temps, mais on a eu tort. Sa révolution n’avait rien à voir avec la Révolution française, c’est un clin d’œil qui a égaré la plupart, car elle avait à voir avec autre chose : il s’agissait d’une révolution libérale dont l’objectif était de faire tomber la Bastille de l’Etat protecteur et d’abolir les privilèges syndicaux.
En regard de 1789, ce que propose Macron est rien moins qu’une contre-révolution.
Il ne souhaite pas restaurer un ordre ancien, mais installer durablement celui du marché planétaire.
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Cette prétendue réforme (pourquoi ce mot et non un autre comme « destruction ?« ) présentée comme nécessaire (par qui et pourquoi ?) vise à privatiser la retraite, c’est tout simple, car la privatisation est l’horizon politique absolu de Macron et de Maastricht.
Il fait le job de l’Etat maastrichtien qui, c’est un paradoxe, impose le libéralisme à marche forcée.
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Voilà pourquoi, chacun sachant que le diable est dans les détails, l’indice qui trahit le crime est le fait que Jean-Paul Delevoye, a « oublié » de déclarer à la Haute Autorité pour la transparence (!) de la vie publique le fait qu’il était payé par une société privée.
Après avoir vaguement dit qu’il était bénévole, il promet de rembourser environ 270 000 euros.
Voilà donc un bénévole payé qui oublie de déclarer ses fonctions alors qu’il sait que le conflit d’intérêt se trouve constitué, la preuve : son « oubli !«
Il démissionne de ses fonctions privées mais rien de plus, rien d’autre.
On n’a pas entendu Macron sur ce sujet, personne ne trouve la chose anormale, le monsieur continue alors qu’il était donc lobbyiste pour le privé, à occuper un poste de haut-commissaire du gouvernement pour faire aboutir un projet dont le but consiste à faire du secteur privé le grand bénéficiaire de cette désétatisation du régime des retraites.
Cet homme qui planche au Grand Orient affirmait il y a peu qu’il faudrait une arrivée massive de 50 millions d’immigrés en Europe pour régler le problème des retraites à venir.
En 2013, alors président du Conseil économique et social, ce monsieur avait jugé irrecevable une pétition de 700 000 signatures contre le mariage pour tous.
« On est dans un moment très malsain de notre démocratie« , disait Delevoye en affirmant il y a peu de façon obscène (car où sont les étoiles jaunes et les camps de la mort ?) que les musulmans d’aujourd’hui étaient les juifs d’hier…
Où l’on voit que le Jean-Paul travaille bien au projet de civilisation des européistes qui sont le cheval de Troie du gouvernement capitaliste mondial.
Cet homme qui, avec un minimum de dignité, aurait dû démissionner après avoir été ainsi pris la main dans le sac, reste évidemment en place pour faire le travail.
Il rejoint la cohorte des nombreux séides de Macron qui ont touché au grisbi et sont actuellement en délicatesse avec la justice.
Hommes et femmes de sac et de corde, ils sont parfaits pour exécuter le travail qui leur a été confié : ravager la fraternité républicaine afin de faire triompher la loi de la jungle libérale.
C’est vraiment au saccage d’une civilisation que ces gens travaillent au profit du capital.
En effet, le citoyen Delevoye a raison : « On est dans un moment très malsain de notre démocratie« …
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Colbert pas mort. Il faut prendre aux plus pauvres Sire ! Pourquoi cela mon cher Colbert ? Parce qu’ils sont les plus nombreux Sire.
Il me semble évident qu’une personne de 50 et même 55 ans peut encore rendre des services à la société et ne doit pas être mise au rencart de la retraite.
Les grutiers CGT de Marseille ont prétexté qu’il leur était difficile de rester très attentionné pendant longtemps comme l’exige leur travail à certains moments, ce qui est plausible pour des quinquagénaires. La solution n’est pas la mise en retraite pour vivre oisif aux dépends de ceux qui travaillent mais plutôt dans un recyclage. Cette longue grève injustifiée a ruiné le port de Marseille, les armateurs préférant maintenant faire décharger leur cargaison à Gênes ou à Barcelone.
@Armand Lanlignel
Il y a quelques mois, à Paris, j’ai eu une conversation avec un individu qui avait fait tout son « parcours » dans les bureaux du Sernam dans une ville du Midi. Il n’aimait-pas travailler, aussi quand un jour quelqu’un est venu dans le bureau demander qui voulait partir, il s’est empressé de lever la main, et à 53 ans il est parti. Cela fait ainsi plus de 20 ans qu’il est en retraite d’un parcours de planqué, et n’hésite-pas à s’en vanter. La SNCF est-elle une machine à fabriquer des retraités peinards, super-parasites sociaux?
De même sont injustifiées et abusives les retraites des « professeurs » de médicaillerie, nommés à l’agrégation par la combine, qui fraudaient les concours d’Internat pour transmettre la rente de situation aux copains des copains, tout en engraissant leurs comptes en Suisse en pratiquant des actes médicaux sans valeur et totalement injustifiés, ceci sur le dos de l’In-sécurité sociale, donc des cons qui paient les charges salariales et patronales dans les entreprises et des doubles-cons qui raquent la CSG-RDS.
De même sont injustifiées les retraites des avocaillons fraudeurs, malhonnêtes et dépourvus de toute scrupule. En 1980 l’avocaillon désigné pour me représenter devant un tribunal administratif, pendant que j’étais bloqué sous les drapeaux à l’étranger, n’a pas hésité à se laisser acheter par la partie adverse pour frauder le procès et ainsi prétendre m’empêcher de dénoncer la corruption de la médicaillerie merdeuse.
Conclusion: seuls les pigeons cotisent au régime général de l’état pour financer les retraites de tous ces parasites sociaux destructeurs de la société et profiteurs. Quand la France n’a plus les moyens de ces largesses abusives et un PIB stagnant, le gouvernement n’a-t-il pas raison de soutenir que ces retraites ne sont pas justifiées? Vivement la guerre civile qui tirera la chasse d’eau dans le pays.
Article confus.
Il y a un point fondamental à rappeler au sujet de cette guerre des syndicats contre l’Etat. C’est que certaines personnes ne trouvent jamais leur place dans la vie. Ils travaillent, par exemple dans les transports publics, à un job qu’ils haïssent, et ne leur offre aucun sens d’accomplissement. Ils suspectent, au moins, que ce qu’ils font n’est pas très important. Ils sont payés pour effectuer de petites taches répétitives qui leur offrent peu de débouchés pour la créativité et l’intelligence. En Réalité, ils ne font pas réellement grand-chose car ils ne comprennent pas, dans un sens global, quelle est la signification de leurs actions. Ils suivent des ordres. Ils font ce qu’on leur dit de faire. Leur travail pourrait-être fait par une machine et le Monde ne serait pas pire, comme le montrent actuellement, par exemple, les lignes automatisées de métro. Ce sont des conformistes. Ils n’ont aucun projet qui les inspire et manquent de passion pour quoi que ce soit. La routine quotidienne, du « boulot », les laisse sans passion, ni énergie pour quoi que ce soit qui les satisferait. Et le soir, ils rentrent chez-eux, manger (ou « bouffer » voire s’empiffrer) des cochonneries qui leur détruisent la santé, et chercher la consolation dans des shows télévisés qui leur montrent des gens bien habillés rire, réussir et s’amuser entre-eux. Dans les maisons de ces malheureux employés des transports publics, le retentissement des éclats de rire de ces sitcoms devient un commentaire ironique sur la plaisanterie qu’est devenue leur vie de minables. Et bien sûr, quand ils seront morts, tout ce qui comptera seront les choses qu’ils auront laissées derrière-eux, donc ce qu’ils auront fait quand ils étaient vivants: RIEN. C’est une triste description, mais malheureusement elle décrit la vie de ces employés des transports publics aujourd’hui.
Ces gens-là finissent ainsi parce qu’ils cherchent la « sécurité », un emploi « sûr », un style de vie « sûr », mais en Réalité cette vie qui manque de sens et d’espoir ne leur donne aucune sécurité, et ils en voient la preuve actuellement quand le PIB du pays tombe.
En 1940, la France s’est révélée être une fausse Nation et elle est rapidement tombée dans l’abîme. A la Libération, De Gaulle et les Communistes ont imposé la dictature communiste qui viole les lois fondamentales de l’économie. Le Plan Marshall et la fourniture de technologie ont permis de financer l’industrialisation du pays et de littéralement DONNER du travail à tous ces employés paumés. Actuellement cela n’est plus possible. Le pays ne peut plus se permettre de vivre au dessus de ses moyens. On ne peut plus payer des retraites abusives à des planqués qui partent dès 50-55 ans! Le gouvernement n’aura pas d’autre choix que de rendre les Français responsables de leur vie, et donc de privatiser les transports publics par exemple. Enfin, c’est justement parce que le pays est communiste que l’on prend les Français pour des cons et que la corruption s’est déchaînée. Regardez les résultats obtenus par Trump aux Etats-Unis et Netanyahou en Israël. Les Américains ont interdit tout parti communiste et les Israéliens ont su casser le pouvoir de la Histadrut après 1977. Macron n’est aucunement responsable de cette situation établie bien avant sa naissance, mais comme il n’a pas le courage de tirer la chasse d’eau pour rendre le pays compétitif, il a choisi de liquider la France dans le magma cosmopolite de l’Europe moribonde, en attendant l’explosion généralisée de la guerre civile. N’hésitez-pas à réfuter cela!
Bonjour,
Je trouve votre commentaire extrêmement injuste.
@Antiislam
Dans ce cas, n’hésitez-pas à développer et à montrer où je me tromperais.
« société de sauvages qui s’entre-tuent » ?
s’ils s’entre-tuaient entre eux, ce serait un moindre mal!
mais là en l’occurence c’est nous qu’ils tuent!
Que tout est si bien dit !
Où on a la preuve que l’immigration massive n’est pas pour financer les retraites mais bien pour augmenter le capital des assureurs en augmentant le volume d’assurés.
Le nouvelle réforme des retraites, c’est la privatisation du système de retraite, donc en aucun cas, les nouveaux froncés seront ceux qui financeront les pension de retraite, mais leur plan de retraite individuellement et pour chacun d’entre eux.
Donc, l’immigration massive est faite pour les banquiers, assureurs, hommes d’affaires multinationales…
Si on ne réagit pas, on sera complètement roulés dans la farine et nous ne pourrons que subir sans plus pouvoir rien faire.
Donc, nous sommes bien dans notre droit légitime pour dire stoppe à l’immigration qui n’a pas lieu d’être et ne resterait donc, que du point de vue exclusivement de nos zélites qu’une histoire de démographie et çà : C’EST LE PROBLÈME des afro-arabos musulmans, puisque ce ne sont qu’eux qui se déplacent vers l’occident ; à eux de traiter en charge leur problème spécifique. Quant à la raison climatique….
Le lien de l’article de M Onfray :
https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/philosophie-de-la-greve?mode=video
Et quant aux immigrants diplômés, en tant qu’Occidentale, ceux musulmans me révulsent. Je n’accepte pas d’être soignée par un médecin musulman qui admire comme modèle suprême le prophète Mahomet de la religion musulmane qui selon sa légende « sacrée » a lui-même lors d’une bataille décapité 300 hommes, ou aussi tué le père, le frère et le mari d’une femme qu’il a « épousée » le même jour. Le terme « épousée » révèle la grave dégénération des musulmans pour désigner un viol immonde commis par leur guide « spirituel », plutôt guide au crime. Leurs hautes autorités spirituelles contemporaines approuvant l’esclavage sexuel, sans non plus d’age minimum ni maximum ni rien sur comment ces esclaves finissent. Dur de faire dans le plus dégueulasse. Et ainsi de suite avec toute la dépravation de ce prophète, les délires ultra violents du coran et de la sharia et enfin le mépris intrinsèque de tous les musulmans vis-à-vis les non-musulmans. Faire commerce avec un musulman c’est subir son expression faciale imbue de lui-même et pleine de haine idiote et irrémédiable car son endoctrinement est total. Chaque centimètre du musulman est malade: constitué de déni et/ou d’offensive, lui-même dépouillé d’humanité pour n’avoir qu’une identité, celle de musulman et cette identité est tissée des délires obscurantistes et violents de l’islam. Voilà l’immigration musulmane diplômée.
Et comme disent les ex-musulmans à l’intention des femmes occidentales séduites par un musulman qui vit à l’occidentale: « c’est comme vivre avec une bombe dont tu ignores quand la minuterie déclenchera l’explosion ». Car l’endoctrinement islamique fait des hommes musulmans des violents approuvés par la sharia et ça ils l’ont dans la peau.
Et tous les apostats de l’islam, les ex-musulmans, sont partout sur la terre menacés d’être tués par n’importe quel musulman. Pour toute la durée de leur vie, quelque soit leur temps d’apostasie. Et on n’a jamais vu sur la terre les musulmans réformer une virgule de leur tyrannie « sacrée ». Les musulmans sont donc des tarés endurcis et je n’en veux pas en Occident.
Par exemple le gouvernement mondialiste-immigrationniste combine l’ouverture des frontières – pas de filtrage des migrants sur ce qu’ils représentent pour la sécurité physique des citoyens en termes de maladie et criminalité ni la circulation des sommes en argent et moyens de subsistance, sans parler de leur statut de réfugiés pratiquement strictement mâles et jeunes: où sont passés les vieux, les femmes et les enfants s’il s’agit d’une fuite d’une région pour sauver sa vie et pourquoi ouvrir les frontières de l’Europe s’il existe 60 pays musulmans plus près de leur point de départ? Les migrants sont notoirement sous-éduqués donc n’occuperont pas des emplois rémunérateurs. Et ils sont culturellement des individus endoctrinés dans des systèmes familiaux et sociétaux ultra misogynes, violents et hégémonistes afin de dominer la société où ils arrivent.
Donc le gouvernement mondialiste-immigrationniste combine cette migration dérégulée, illimitée, suspecte, non nécessaire, gouffre de coûts sans fond et dangereuse avec la « cultivation » de zones de non-droit sur le territoire d’arrivée des migrants, sur le territoire national. Drogue, crime, violence, rapports de domination exercés sur la population par des gangs et des groupes religieux belliqueux et hostiles à l’Occident.
Migration dangereuse illimitée combinée à zones de non-droits, non contrôlées. Voilà la gestion du pays par ce gouvernement mondialiste-immigrationniste. Un désastre de mise en danger et de coût astronomique en destruction de l’humain, du matériel et de l’économique. La négligence et la chute du savoir et de la civilisation. C’est le bilan du « brillant » Macron-poubelle.
Les décodeurs du monde condamnés pour diffamation contre http://www.les-crises.fr. https://www.fdesouche.com/1313989-samuel-laurent-et-le-monde-pour-un-article-dadrien-senecat-condamnes-pour-diffamation-envers-olivier-berruyer
Le responsable du site les-crises.fr a réalisé que les décodeurs planchaient sur son cas pour le diffamer alors qu’il travaillait sur l’analyse du patrimoine de Macron. Coincidence ou attaque téléguidée contre un site de réinformation qui appuie là où ça fait mal? D’ailleurs, il n’y a pas que l’argent qui fasse marcher les politiciens mondialistes-immigrationnistes, il y a une défaillance morale. Le monde qu’ils bâtissent est malade de partout.
« »jadis, on disait de tel ou tel homme politique qu’il était un ancien ministre du général de Gaulle. Aujourd’hui, qui oserait dire ancien ministre de Chirac, de Sarkozy, de Hollande ou de Macron ? » »