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Il y a 30 ans exactement, en Roumanie…
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Le , six anciens membres du Parti communiste roumain critiquent dans une lettre ouverte (publiée en français par Le Monde) la politique de Ceaușescu qui « terrorise et affame le peuple roumain »
Mais la population est si désespérée que le 16 décembre, une manifestation spontanée a lieu à Timișoara contre l’expulsion par la Securitate d’un pasteur protestant, László Tőkés, membre de la minorité hongroise de Roumanie. Pendant la manifestation, la foule entame des chants libertaires et religieux, jugés anti-communistes par le régime. Les troupes spéciales de la Securitate (USLA) réagissent par des tirs de gaz lacrymogènes et par l’usage de canons à eau, mais la manifestation reprend de plus belle le lendemain. L’armée intervient alors : des combats de rue ont lieu, des voitures sont incendiées, des coups de feu retentissent. La manifestation prend fin après l’envoi des blindés. Le 18 décembre, un groupe de 30 jeunes gens arbore des drapeaux tricolores dont ils ont arraché l’emblème communiste et chantent l’ancien hymne national Deșteaptă-te, române!(« Éveille-toi, Roumain ! »), interdit sous le régime communiste.
Source wikipedia
L’idée de découper l’emblème communiste au centre du drapeau était déjà venue aux manifestants de l’insurrection de Budapest en 1956….
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– 16 décembre 1989 : Une manifestation spontanée a lieu à Timișoara contre l’expulsion par la Securitate d’un pasteur protestant, László Tőkés.
– 17 décembre 1989 : Toujours à Timișoara, l’armée intervient et tire sur la foule, des combats de rue ont lieu.
– 18 décembre 1989 :Timișoara, des manifestants arborent des drapeaux roumains dont ils ont arraché l’emblème communiste et chantent l’ancien hymne national Deșteaptă-te, române! (« Éveille-toi, Roumain ! »).
– 21 décembre 1989 : 100 000 personnes manifestent à Timișoara, » nous sommes le peuple « .
– 21 décembre 1989 : à Bucarest, un rassemblement organisé par le pouvoir se transforme en manifestation de protestation contre le régime.
– 22 décembre 1989 : Nicolae et Elena Ceaușescu s’enfuient de Bucarest.
– 25 décembre 1989 : Nicolae et Elena Ceaușescu sont exécutés.
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Dans Visegrád Post, László Tőkés qui fut le détonateur, nous parle de cette période et nous livre sa vision de la situation actuelle en Roumanie et en Hongrie :
Entretien avec László Tőkés, évêque calviniste de Transylvanie : « Le sort du couple Ceaușescu me révulse mais était mérité ».
László Tőkés est une figure incontournable de la révolution roumaine qui a conduit à la chute du régime de Ceaușescu. Il est ensuite devenu une importante figure politique en Roumanie, mais aussi en Hongrie, puisqu’il présente l’originalité d’avoir été député européen de Roumanie (2007-2014) puis de Hongrie (2014-2019).
Trente ans après la révolution de 1989, il est revenu sur ces moments décisifs de l’histoire contemporaine de la Roumanie, mais a également livré son opinion sur les perspectives futures de la Roumanie et de l’Europe centrale.
Voir l’article ici :
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Ce sont d’anciens de la Securitate qui gouvernent encore aujourd’hui si bien que ce pays est comme paralysé. Il n’y a même pas une autoroute dans le pays !. Les autorités profitent des fonds européens pour continuer à mener la vie qu’ils avaient pendant cet tyrannie de Caucescu qui était vraiment un cas unique dans l’histoire de l’Europe Ils ont imposé un autarcie complète à leur peuple qu’ils ont complètement isolés pendant toute cette période d’une part par la misère et aussi par une surveillance intensive par une sécuritate qui utilisait la carotte de la dénonciation, en récompensant de bons de rationnement ceux qui se prêtaient à ce chantage. Sans compter la pratique de la torture pour faire avouer ceux qui avaient été dénoncés. La Securitate était réputée pour mettre des micros partout chez les gens qu’ils soupçonnaient d’être des opposants, jusque dans les chiottes!
Que leurs restent-ils comme perspectives aujourd’hui après une telle expérience, où comme dans tout totalitarisme qui se respecte, on a commencé par faire table rase de leur histoire et de leur culture et de . leur racines . Je pense qu’il faut recréer une cohésion sociale, une base , un socle justement en réaffirmant leur identité , il faut qu’ils se réapproprient leur histoire comme l’ont fait les Polonais voisins , les Hongrois, les Russes.
En cela ils se garderont des fausses solutions du mondialisme heureux à la Soros , des frontières passoires et de la négation des identités. Le mondialiste étant une autre forme de totalitarisme qui veut lui aussi faire table rase des nations comme entités historiques . Il faut bien reconnaitre aujourd’hui que l’Europe dans ses nouvelles pratiques n’a toujours pas trouvé de solution à une société Roumaine qui reste bloquée , qui n’a toujours pas vu sa première autoroute , qui a des infrastructures délabrées ou inexistantes y compris dans des secteurs de la santé . Pourquoi parce que L’UE négocie avec une équipe de bras cassés de repentis issus de l’ancienne équipe de la Securitate,dont les membres sont frustres et n’ont aucune culture ni épaisseur . Ils ont d’ailleurs commencé leur collaboration avec l’UE par les travailleurs détachés et ont chassé leurs plus gros problèmes sociaux qu’étaient les Roms, hors de leur frontières pour les voir rappliquer illico chez nous, qui sommes le laboratoire multiculturel du mondialisme en marche.
De plus le pays se voit piller de ses terres agricoles par des riches producteurs européens ou autres . C’est là que l’on s’aperçoit que l’UE a vraiment mal évolué, là, où ,dans les année 80 à 90, elle faisait encore illusion , avec l’Espagne par exemple ,dont elle a contribué a rénover les infrastructures qui sous le régime franquiste étaient dans un état qui n’était pas digne d’un tel pays. Ce qui m’a intéressé de l’excellent documentaire que j’ai vu récemment à la TV sur la Roumanie, c’est de faire le parallèle avec la France. Ce sont deux expériences totalitaires, complètement différentes dans la manière de les appliquer , mais qui malgré les apparences présentent la particularité et la similitude l’une et l’autre d’avoir une oligarchies qui s’escrime à nier à leurs peuples leur histoire , leur culture, leurs racines ce qui fait l’identité d’un pays ,son homogénéité et sa cohésion. Ce sont comme par hasard, les deux pays les plus malades de l’Europe l’un par l’autarcie et le blocage de ses institutions et la paralysie l’autre à l’inverse total par la submersion migratoire qui impose le multiculturalisme hostile et en confrontation direct contre nos valeurs culturelles et identitaires ,utilisé pour nous imposer une vision déformée, fausse et tronquée de notre histoire et de ce qui a fait notre pays .
Ils insultent les nationalistes en les traitant de fachos alors que si il est vrai que dans sa version outrée pour des raisons de volonté hégémonique certaines nations dans l’histoire ont utilise des icones outrancières tels que le blond aryens sensés représenter l’archétype de l’allemand par les nazis ou le centurion romain utilisé par l’Italie fasciste de Mussolini pour la nation de l’oumma nous avons aussi aujourd’hui le combattant barbu et son cimeterre et comme avant la dernière guerre, tout le monde regarde ailleurs pour ne pas voir ce vrai danger fasciste dans notre propre pays. Comme ils minimisaient les propos d’Hitler. Ils oublient facilement que c’est aussi au nom du retour à la souveraineté de nos patries et avant toute idéologie funeste que des gens sont entrés dans la résistance et ont libérés leurs nations respectives pas pour en faire des halls de gares où des carpettes dénuées de toute consistance sur laquelle le monde entier s’essuie les pieds sans aucune considération où on ne vient pas pour adopter les valeurs culturelles et historiques du pays mais plus succinctement les aides sociales généreusement données qui sont les armes pour nous faire envahir .
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Les exécutions sommaires ont l’inconvénient d’être surtout pratiquées par les dictateurs mais ont l’avantage, quand le dictateur en est l’objet, d’assurer le Peuple que celui-là au moins ne reviendra plus, que personne ne lui trouvera jamais d’excuse afin de lui donner une deuxième chance car l’État de Droit protège d’avantage celui qui connaît le Droit (puisqu’il le crée) et en abuse que celui qui s’en plaint et subit : le Peuple, l’ensemble des gens sur lesquels le pouvoir s’exerce. Les dictateurs des démocratures d’aujourd’hui n’ont plus besoin d’exécutions sommaires : un bon » procès de Moscou » par une justice aux ordres fixant une amende astronomique vous tue son opposant aussi radicalement sans entraîner de critique internationale.
deux jours aprés « Delevoleur » le successeur est mouillé dans une affaire d’ arrosage par auchan ou il a « touché » 70.000 euros pour un mois de boulot
et un TOUCHEUR de plus
la confrérie des « je touche, tu touches, ILS netouchentrien «
pas possible ??
pas de chance le maqueron, quelle guigne !!
ah ! quel GJ ne prendrait pas ces 70000€ ??
« » » » » » » » » » » » » » » » » » »
De nombreux internautes, ainsi que quelques élus d’opposition, s’étaient étonnés de ces plus de 71.000 euros touchés parallèlement à son mandat. Or, Laurent Pietraszewski avait « fait part à la déontologue de l’Assemblée » du fait qu’il avait reçu cette indemnité
Laurent Pietraszewski, nouveau secrétaire d’État chargé des retraites et ex-responsable des ressources humaines chez Auchan, a en 2019 touché 71.872 euros d’indemnités de licenciement économique de son ex-employeur, ont indiqué mercredi des sources proches du dossier à l’AFP. Sa déclaration d’intérêts et d’activités publiée sur le site de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) indique cette somme perçue en août-septembre 2019.
>> INTERVIEW -Selon René Dosière, la déclaration d’intérêts de Laurent Pietraszewski « n’est pas claire à 100% »
Laurent Pietraszewski, élu en 2017 député LREM du Nord, avait alors rempli comme parlementaire une première déclaration retraçant ses revenus ces cinq dernières années comme « Responsable Département Ressources humaines » jusqu’en juillet 2017. Il a rempli une déclaration rectificative en octobre, précisant cette indemnité consécutive à son licenciement. De nombreux internautes ainsi que quelques élus d’opposition s’étaient étonnés de ces plus de 71.000 euros touchés parallèlement à son mandat. Laurent Pietraszewski avait « fait part à la déontologue de l’Assemblée » du fait qu’il avait reçu cette indemnité, a-t-on ajouté de source proche du dossier.
Ecoutez « Démissions ! » le nouveau podcast d’Olivier Duhamel qui raconte les petites histoires des démissions de ministres
Qu’ils partent pour un désaccord politique de fond, la photo d’un homard reprise sur les réseaux sociaux ou… des mandats non déclarés découverts en pleine tempête sociale comme Jean-Paul Delevoye, Olivier Duhamel raconte l’étonnante histoire des démissions de ministres sous la Ve République dans « Démissions ! », le nouveau podcast politique produit par Europe 1 Studio. Pour l’écouter, abonnez-vous sur Apple Podcasts, Google Podcasts, SoundCloud, Dailymotion ou YouTube et retrouvez toute la série sur Europe1.fr.
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Pietraski !
Il n’y a pas qu’au ski qu’il est piètre .
» Par ailleurs, Laurent Pietraszewski avait également été cité par Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon dans leur ouvrage Le président des ultra-riches (Zones) comme l’a rappelé sur Twitter un journaliste de Libération. Les sociologues y racontent une péripétie datant de 2002,
lors d’un conflit social chez Auchan, au cours de laquelle Laurent Pietraszewski, alors responsable des ressources humaines de l’hypermarché de Béthune (Pas-de-Calais), avait mis à pied une salariée pour une «erreur de commande de 80 centimes d’euro et un pain au chocolat cramé donné à une personne». ( RT )
Sale type !
Ils ont été jugés puis fusillés dans la cour, comme les malpropres qu’ils étaient
Magnifique exemple.
Pourquoi « fusillés’, ils n’avaient pas de corde.
vivement chez nous
un timming chaud a rats