J.Y. Le Gallou : «Il faut démasquer les médias de propagande pour espérer changer la politique»

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Voilà déjà dix ans que la fondation Polémia débusque avec humour les «fake news» des médias «mainstream».

Les médias rééduquent plutôt qu’ils n’informent, estime Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia.

Petit entretien de 12 minutes :

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La confiance envers les médias s’érode lentement, mais sûrement depuis plusieurs décennies. Seulement 23% de l’opinion ferait confiance aux médias télévisés en 2019, contre 65% en 1988.

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En cause ? Le traitement de l’information par les journalistes, et même un véritable «système de propagande», selon Jean-Yves Le Gallou. Chaque année depuis dix ans, cette dernière décerne les «Bobards d’or» aux journalistes attrapés en flagrant délit de désinformation. Une cérémonie caustique, un message politique qu’évoque à notre micro le président de la Fondation Polémia.

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Comme Le Gallou le dit lui-même à partir de 3 minutes 15, il anime sur TV-Libertés une émission hebdomadaire, i-média, dans laquelle il analyse plusieurs manipulations médiatiques. Ci-dessous, le dernier numéro d’i-Média :

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4 Commentaires

  1. Pour le largage de gaz en Syrie, sur RR, on a dénoncé également ce montage mal ficelé,

    nous nous doutions que cette histoire était montée de toutes pièces pour discréditer Bachar El Assad,

    mais je suppose que 99,9% des téléspectateurs y ont cru

  2. je n’ais aucune confiance dans les merdias, je les lit bien sur mais d’un derrière distrait, quant a l’audio et a la télé oui je les suit mais avec un scepticisme exacerbé, il est bien de savoir ce qu’on essais de nous faire gober comme propagande, juste déjà pour éclairer son entourage et garder a l’esprit une clarté de vue sur nos dirigeants, sans tout gober je m’efforce de garde un esprit critique….

  3. les merdia francais m ont rien a envier a la chine soviet financer par des enemies a la france

    • OK pour le contenu mais l’orthographe, ouf !
      Si nous ne voulons pas ressembler à ceux que nous aimons, évitons, autant que possible trop de libertés avec la langue de Molière et sa transcription !
      Moi je dis ça, je dis rien !

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