Pour France culture, Socrate, Phidias, Périclès, Pline l’Ancien et Auguste étaient des nazis trop blancs !

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J’ai beau me pincer, ce n’est pas un cauchemar, c’est la réalité. 

Nous connaissons tous et subissons depuis des lustres la haine du Blanc véhiculée dans les sociétés occidentales par les Indigènes de la République, les immigrés racistes, l’islam et les gauchistes…

Mais comme ils sont très forts et qu’ils ont infiltré toute la société et notamment la culture et les medias, les voilà qui réécrivent et l’histoire et l’histoire de la sculpture ! 

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Un article de France culture vaut le détour pour comprendre ce qu’ils veulent démontrer, avec une absolue mauvaise foi et, surtout, une haine pathologique pour le blanc, la blancheur… associés, excusez du peu, au nazisme. Ben oui, on apprend que ces salauds de Romains, quand ils ont copié les chefs-d’oeuvre de la statuaire grecque aujourd’hui disparus ont utilisé… le plâtre ! Non pas parce que c’était le seul outil à disposition pour fabriquer un moule mais par amour de la blancheur et par haine des gens un peu trop bronzés, un peu trop colorés !

Auguste était un nazi !

Mieux encore, les Grecs eux-mêmes étaient des nazis ! Socrate, Phidias et Périclès aussi étaient des nazis ! 

Puisque France-cul vous le dit !

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Démonstration…mes commentaires en bleu

Extraits ci-dessous de l’article de France culture.

« Vous et moi, dans un musée, nous sommes frappés par la blancheur des statues. En réalité, ces statues étaient tout sauf blanches, elles étaient soit peintes, soit dorées, soit peintes et dorées. » Philippe Jockey, archéologue et historien de l’art à l’université de Nanterre et à l’institut français d’Athènes analyse depuis des années la polychromie des statues de l’Antiquité grecque, et la genèse de ce « blanchiment » par diverses strates d’Histoire jusqu’à très récemment. »

Jusque-là tout va à peu près bien, on sait depuis toujours qu’il y avait de la couleur sur les temples grecs et les statues, et que le temps et les précipitations avaient fait leur oeuvre, faisant disparaître la peinture. Mais de là à parler de « blanchiment par des strates de l’histoire » il n’y a qu’un pas que franchit allègrement le quidam Jockey qui aurait mieux fait d’aller s’occuper des chevaux. 

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« Pour les Grecs anciens, ce qui reste en marbre blanc est inachevé.  Pour imiter un réel idéal, leurs statues sont bleu égyptien, vert pomme, pourpres, roses, dorées« …

Le marbre blanc inachevé ? Vraiment ? Pour des Grecs ayant pour idéal le kaloskagathos  » beau et bon » ? 

Des statues vert pomme ? Vraiment ? Quand les Grecs partent du réel pour aller à l’idéal… le vert ne fait pas partie de leurs couleurs préférées, loin de là. Et vous en connaissez beaucoup, vous des hommes vert pomme ? Les Grecs mangeaient plus de figues que de pommes… Quant à avoir besoin du bleu « égyptien » dans la Grèce qui baigne dans le bleu du ciel et de la mer partout, ça c’est sacrément tordu, d’autant que le mot grec pour bleu est « cyan ».

Pour les Grecs l’idéal est lumineux, au contraire de ce qui est noir et repoussant. C’est ainsi dans notre civilisation de Blancs. Ça les dérange fortement, les universitaires dégénérés !

Quant à leurs couleurs, elles sont liées à leur vision du monde et non à la réalité : 

 

Goethe, dans sa Théorie des couleurs, avait déjà observé que le lexique grec de la couleur est extraordinaire, c’est-à-dire loin de toute norme, tant il est différent du nôtre, tout comme leur langue était différente de la nôtre. Des associations chromatiques si inédites qu’elles ont conduit certains érudits du xviiie et du xixe siècle à prétendre que les Grecs ne voyaient pas les couleurs. Ils les voyaient bien – et comment – c’est simplement qu’ils les exprimaient autrement : pas de doute, les yeux des hommes sont et resteront toujours les mêmes.

            Les couleurs étaient avant tout pour les Grecs vie et lumière : une expérience entièrement humaine et non physique, optique, et qui n’a rien à avoir avec le spectre chromatique du prisme tel que l’a théorisé Isaac Newton.

            Homère, dans l’Iliade et l’Odyssée, ne mentionne que quatre couleurs : le blanc du lait, le rouge pourpre du sang, le noir de la mer, le jaune-vert du miel et des champs.

            Noir, μέλας, et blanc, λευκός, désignaient l’obscurité et la lumière (le mot latin lux, « lumière », a la même étymologie que la couleur grecque). Et, selon les Grecs, c’est précisément du mélange de la lumière et de l’ombre que se formaient les couleurs.

Le grec ξανθός désigne une couleur qui va du jaune au rouge et au vert : vert-de-gris, pourrions-nous peut-être dire. Sa teinte est celle, chaude, du grain mûr ; mais aussi des cheveux tout blonds des héros homériques ; jusqu’à la lumière rougeâtre du feu ardent qui illumine la nuit, ou du soleil, orange et rond, au crépuscule.

L’adjectif πορφύρεος signifie « agité », « en mouvement continu », « bouillonnant », et va jusqu’à désigner la couleur pourpre qui, du rouge sang, confine au bleu ; πορφυρεύς signifie le « pêcheur de pourpre », car les teintures provenaient d’une substance extraite de certains coquillages élaborée ensuite par la main d’habiles teinturiers.

La couleur κυάνεος, cyan, désigne une couleur bleue si générale qu’elle vagabonde depuis le bleu azur jusqu’au rouge sombre et au noir de la mort.

Il y a aussi ma couleur grecque préférée, γλαυκός, glauque, qui signifie d’abord « brillant », « luisant », « débordant de lumière », précisément pour définir la mer qui ruisselle de lumière. Les yeux d’Athéna sont glauques, « clairs comme ceux de la chouette », de couleur céruléenne, azur ou gris-azur.

William Gladstone (1809-1898), illustre homérisant et homme politique anglais, fut l’un des premiers à insister sur l’impression lumineuse des couleurs grecques. Aux siècles précédents, certains ayant en effet remarqué les mêmes bizarreries linguistiques dans la définition des couleurs chez d’autres peuples et jusque dans la Bible, un fervent débat académique avait éclaté sur la possibilité que les Anciens aient pu avoir une capacité physiologique de perception – au niveau de la rétine elle-même – inférieure à nos yeux, au point que l’on parlait de la cécité des Grecs.

Les théories de Darwin d’abord, et les études de physiologie et de médecine ensuite, démontrèrent irréfutablement le contraire : les Grecs voyaient la mer, les champs, le ciel, les paysages de la même couleur que nous les voyons aujourd’hui – ou peut-être d’une couleur plus belle encore, parce qu’ils ressentaient le besoin de l’exprimer d’une autre manière, une manière personnelle.

En définitive, les Grecs de l’Antiquité donnaient à chaque couleur une autre signification, un sens de luminosité, de gradation de clarté. Ils voyaient la lumière et ils en coloraient l’intensité : ainsi, le ciel est d’airain, vaste et étoilé, jamais simplement bleu, et les yeux sont glauques, scintillants, jamais simplement azur ou gris.

https://www.laviedesclassiques.fr/article/les-couleurs-des-grecs-extrait-de-la-langue-géniale-0

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« Pour que ces statues, ces sculptures soient achevées, il fallait qu’elles soient peintes, d’abord pour approcher au plus près une forme d’imitation de la réalité, mais une sorte de réalité idéale ; ils peignent de manière idéale, avec une palette aussi riche que celle d’un Michel-Ange. Ça, c’est la grande grande découverte de ces toutes dernières années. »

Les archéologues l’observent pourtant depuis le XIXe siècle et depuis les années 2000, les progrès des analyses chimiques et physiques le prouvent sans ambiguïté : « Dès qu’on les cherche, les couleurs, on les trouve. On est absolument sûrs que ces couleurs existaient. » « 

Ce n’est pas une grande découverte, non… J’ai toujours su qu’il y avait de la peinture sur les oeuvres grecques qui nous sont restées… et mon immersion dans le monde gréco-romain est presque aussi vieux que moi.

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« Pourtant, aucune trace de ce fait historique ni dans nos musées, ni dans notre imaginaire de ce « berceau de l’Occident ». Cette Antiquité colorée au mieux n’est pas connue et au pire rejetée comme kitsch, vulgaire. C’est le résultat de 2 000 ans d’une histoire qui place le blanc au cœur de ses valeurs et rejette l”’impur”, le bigarré, le métissage des couleurs. »

« Employons des grands mots, en effet, c’est un rejet de l’Autre, que l’on voit apparaître dès les textes de Pline l’Ancien, jusqu’aux pires excès de la Seconde Guerre mondiale. À chaque fois, c’est l’autre qui est en jeu, le rejet des couleurs de l’autre.« 

Nous y voilà. Tout ça pour tenter de démontrer que l’Occident serait raciste et que, si l’on ne savait pa, avant,  que les statues étaient peintes (et encore, pas si peintes que ça, mais on y reviendra plus loin) ce n’est pas parce que l’on n’avait pas pris la peine d’examiner les vestiges au microscope ou au rayon laser, c’est que l’on ne voulait pas que l’antiquité aimât les couleurs, par racisme, par haine du non blanc.Tiré par les cheveux, certes, ami lecteur, mais cela ne les gêne pas… Et voilà le naturaliste Pline l’Ancien, l’écrivain, l’observateur, le conseiller de Vespasion, l’auteur de l‘Histoire naturelle en 37 volumes (la première Encyclopédie), philosophe stoïcien et humaniste avant l’heure… estampillé nazi rétrospectivement ! Sans doute qu’il aimait trop Cincinnatus et Caton l’ancien, des patriotes attachés à leur terre, à leurs pays et à leurs coutumes…Ah ! il appelait « mon maître » Juba II, roi de Mauritanie… un berbère ! Un raciste que je vous dis ! Un nazi !

« L’archéologie du « blanchiment »

Dès l’engouement de la Rome antique pour les modèles grecs, on veut les associer à la pureté, l’élégance, la blancheur immaculée du marbre de Paros. Les Romains copient en plâtre blanc les marbres d’origine. Avec les premiers Chrétiens, le paganisme coloré est rejeté au profit de la bancheur associée au sacré et à l’innocence.

Veuillez excuser les Romains d’avoir aimé le marbre, blanc naturellement, parce qu’ils aimaient la beauté. Veuillez excuser nos lointains ancêtres chrétiens d’avoir eu des symboles et notamment celui de la blancheur associée à l’innocence et au sacré, comme dans pratiquement tout l’Occident !

À la Renaissance, on déterre les copies romaines, qu’on copie à nouveau pour diffuser en Europe l’idéal antique, contre le bariolage médiéval et le chatoiement oriental, à nouveau grâce aux plâtres blancs. […]

On appréciera le « bariolage » (péjoratif) médiéval et le « chatoiement » (laudatif) oriental… Ben oui, barioler c’est associer des couleurs qui ne vont pas ensemble… Quel mépris pour notre Moyen Âge !

Le blanc antique deviendra même un argument politique en 1830 quand la nation grecque s’émancipe du joug ottoman, et se “purifie” de ses couleurs vives : « On débarrasse Athènes et tous les autres sites des monuments postérieurs à l’Antiquité classique, et on en profite aussi pour se débarrasser de tout ce qui n’est pas blanc. Donc la blancheur, là aussi, se construit encore comme un idéal en référence à cette Grèce classique rêvée, idéalisée qui n’a jamais réellement existé que dans la tête de ces gens-là. »

Les Grecs ? Des nazis qui osent rejeter les symboles de ceux qui ont occupé le berceau de la civilisation (occidentale, mais c’est un pléonasme), les Ottomans .  La blancheur qui nettoie des couleurs vives et agressives de l’Orient guerrier et de l’occupant ? Un crime. 

 

« Dans les années 1930, l’idéologie de la blancheur se radicalise encore quand l’écrivain xénophobe Charles Maurras fait “l’éloge de la blanche Athènes” posant ainsi un jalon dans l’exaltation antique reprise par les régimes fascistes et nazis. « On va appuyer le mythe de l’homme supérieur, de l’aryen, sur cette idéologie blanche. »

Avec 1968, on commence à prendre en compte les couleurs grâce aux nouvelles techniques d’investigation de la matière, et au retournement culturel. « Là, c’est une révolution, une révolution militante, c’est-à-dire qu’on affirme de manières idéologiquement très forte la couleur, la polychromie de la sculpture grecque, comme on la refusait pendant des siècles. »

Aujourd’hui, quelques musées commencent à proposer des copies en plâtres colorés ou des reproductions virtuelles, à côté des originaux antiques. »

Chez les cons et les salauds, rien de nouveau.

 

Maurras a eu le tort de trouver beaux Athènes, le Parthénon, l’Erechteion… tels qu’on les voyait et connaissait. Tels qu’on les voit encore ! Quel nazi ! 

 

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Pour terminer, une petite remarque sur les couleurs des statues…

Seuls étaient peints les accessoires, les vêtements… les statues des dieux grecs, citoyens  grecs (blancs, forcément) avaient la peau blanche. Et on le voit et sur les originaux et sur les reconstitutions pas encore trafiquées :

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Sauf, évidemment, quand il s’agissait de représenter un étranger, un barbare ( les barbares étaient ceux qui ne parlaient pas grec), un homme de couleur, comme Paris, l’ennemi troyen, le moyen oriental… à la peau foncée ! 

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Sauf, encore, quand il s’agit de représenter des dieux avec des statues chryséléphantines (faites d’or et d’ivoire), comme la statue d’ Athena du Parthenon ou celle de Zeus à Olympie. L’ivoire… ne serait-pas trop blanc ? Que n’ont-ils utilisé de l’onyx ! 

L’original avait environ 12 fois la taille de cette copie de Varvakeion

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Une seule consolation devant ce souci de réécrire l’histoire, travers purement stalinien, c’est qu’il y aura forcément un retour de bâton. Comme les Grecs qui avaient fini par chasser les envahisseurs ottomans et leurs bariolages pour revenir à la beauté et à la blancheur, nous allons jeter dehors tous ces dhimmis, tous ces collabos qui instrumentalisent même nos racines en les travestissant avec les couleurs de la peste verte. 

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12 Commentaires

  1. France culture? Drôle de culture ! Drôle de France ! Peut être…France Cul ?

  2. Signalons à l’anti-France anti-Culture que les bronzés raffolent des femmes blanches .Michael Jackson s’est transdéformé en femme blanche.

  3. Quand la culture se fait déborder par les racistes et les gauchistes tarés qui réécrivent l’histoire statuaire et font des grecs anciens, d’horribles nazis…
    Nous atteignons le summum de la revisite culturelle ou le blanc, la couleur blanche, sur tous points, y compris avec les statues devient l’ennemi.
    Le totalitarisme fait des ravages masochistes sur les esprits de ceux qui sont sensés nous montrer la beauté de nos anciens sculpteurs, pour en faire des « salauds de racistes » parce qu’ils n’auraient pas montrés « volontairement » des traces de la « fameuse diversité » idéalisée dans leur esprit malade de gauchistes.
    Donc si vous aimez les statues grecques et romaines, vous êtes sûrement un nazi qui s’ignore ou pire, qui l’assume par votre amour du blanc.
    Pauvre France.
    Gerard Brazon

  4. Vu le retour de bâton pour le petit jockey de Rance cul(ture) j’ai compris que Christine était à la manœuvre. Visiblement le crétin n’était pas dans la même classe que l’érudite ou alors pour laver par terre et taper les brosses.
    Décembre approche, avec ses premières chutes de neige blanche nazie. Après avoir fait un bonhomme de neige hitlérien, blanc, nous irons nous réchauffer les mains sur un bol de lait chaud raciste, blanc, avec une bonne tartine de pain xénophobe, blanc, et de confiture. C’est curieux cette tendance de la nature à être raciste, non ? Ce matin même les nuages sont blancs. Effrayant !

  5. Le Sénat augmente une taxe sur les mutuelles de 40%
    Le Sénat a voté la hausse de 40% de la contribution exceptionnelle des mutuelles pour l’année 2019, mercredi soir lors de l’examen du budget de la Sécurité sociale. Cette hausse représente un coût de plus d’1 milliard d’euros pour les complémentaires.
    :::: https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/le-senat-augmente-une-taxe-sur-les-mutuelles-de-40-135464
    Yann Quercia et Alexandre Poussart
    15 novembre 2018

    C’est une autre taxe qui pourrait faire du bruit. Mercredi soir lors de l’examen du budget de la Sécurité sociale, les sénateurs ont voté un amendement prévoyant la hausse provisoire de 40% de la taxe de solidarité additionnelle (TSA) de solidarité des mutuelles, pour l’année 2019. Cette taxe de solidarité additionnelle a pour but de garantir l’équilibre des comptes de la Sécurité sociale.

    §.- Le gouvernement défavorable à cette hausse exceptionnelle

    La ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, s’est montrée défavorable à cette hausse car elle ne veut pas assommer les mutuelles : « Votre amendement augmente le taux de la TSA pour 2019 de 13 à 18 %, ce qui représente 1,5 milliard d’euros. Le reste à charge zéro suscite déjà bien des débats, pour 250 millions d’euros… Avis défavorable. » Agnès Buzyn avait déjà assuré, la semaine dernière, que les mutuelles s’étaient engagées à ne pas répercuter le coût de la réforme du reste à charge zéro pour des frais auditifs, optiques et dentaire, sur le prix des complémentaires.
    —->« Cette hausse brutale va se répercuter sur les assurés » selon Agnès Buzyn

    Mais pour cette contribution exceptionnelle de la TSA votée par les sénateurs, la ministre confirme un effet sur les prix des mutuelles : « Une taxation brutale va se reporter sur les assurés. Pour un retraité qui paie 120 euros par mois, le passage à 18 % représenterait un coût de 70 euros à l’année. Privilégions la négociation et la confiance dans la capacité de ces organismes à tenir leurs engagements. »

    Pour Jean-Martin Cohen Solal, délégué général de la Mutualité Française, cette hausse de taxe va se répercuter sur les assurés : « Nous sommes prêts à lisser l’effet du zéro reste à charge sur trois ans mais une hausse de la taxe de solidarité additionnelle va se répercuter automatiquement sur les prix des complémentaires. »

    §.- Le Sénat en appelle à « l’engagement citoyen des mutuelles »

    Jean-Marie Vanlerenberghe, sénateur centriste et rapporteur général de la commission des Affaires sociales, contredit le chiffre de 1,5 milliard évoqué par le gouvernement : « Nous estimons plutôt la hausse à 1 milliard d’euros. Quand on sait que les complémentaires recueillent 36 milliards d’euros et qu’elles ont des frais de gestion de 20 à 25 %, on ne peut pas ne pas les solliciter. J’en appelle à l’engagement citoyen et responsable de ces organismes et nous sommes prêts à en discuter avec eux. »

    Interrogé dans notre émission Sénat 360, Alain Milon, président LR de la commission des affaires sociales, estime que « les mutuelles peuvent encaisser cette augmentation. » Il tient à préciser « que ce n’est pas une taxe mais un prélèvement unique annuel, une seule fois, d’un milliard d’euros sur les bénéfices de l’ensemble des organismes complémentaires de l’Assurance maladie et surtout les complémentaires privés. »

    Il ajoute : « C’est en compensation de la remise de l’indexation sur l’inflation des retraites. Quand on prend un milliard aux organismes complémentaires, on redonne 3 milliards aux retraités. Le gouvernement lui, ne donne pas 3 milliards aux retraités et laisse 1 milliard de recettes aux complémentaires.

    —–> #Senat360 @SenateurMilon #Plfss2019 Le Sénat augmente une taxe sur les mutuelles de 40% : « Les mutuelles peuvent encaisser cette augmentation. » pic.twitter.com/PhHt7rjFve
    — Public Sénat (@publicsenat) November 15, 2018

    …./….

  6. Bravo, Christine. Ce que la langue grecque retenait , c’était d’abord l’éclat, l’intensité lumineuse. Le spectre des couleurs n’es donc pas superposable au nôtre. Vous l’avez dit avec brio, c’est le cas de le dire.
    J’allais le dire, si vous ne l’aviez fait (notre agrég de lettres classiques suscite en nous les mêmes démangeaisons de rejet – saine allergie, je crois !- à la lecture des nouveaux Diafoirus de l’université et du « journalisme »).

  7. Bonjour,

    Merci pour cette passionnante étude, Christine.

    Mais nos adversaires sont tellement c***s !

  8. Suffit d’observer le faciale des statues, les proportions du corps, les chevelures pour voir qu’il ne s’agit pas d’extra-Européens colorés.

  9. Vos commentaires et développements sur le sujet résonnent presque comme un cadeau de Noël chère Christine ,car ils incitent à creuser si j’ose dire le sujet! Et les références littéraires ou bibliographiques ne manquent pas .C’est très justement que vous citez Goethe,car son voyage en Italie fut pour lui fondamental dans ses recherches scientifiques. Oublions ce crétin ,même si ses commentaires illustrent bien l’abaissement de la culture universitaire ,en France tout au moins et ce dans bien des domaines.

  10. j’ai arrêté d’écouter France culture car j’avais noté leur mauvaise foi. les bonnes émissions sont les rétrospectives d’époque qui passent très tard dans la nuit 2h00 et 3h00 du mat .
    trop de gens du torchon libération ont annexés cette radio . le problème est que désormais nous n’avons plus de radios culturelles sur les ondes, qui tiennent toutes les régions de France comme le fait cette radio .
    désormais je n’écoute plus que radio classique . je serai tôt ou tard obligé de prendre internet chez moi , si je veux écouter des bonnes radios comme radio courtoisie .
    lorsque les gauchistes parlent de notre civilisation c’est toujours pour la dénigrer .

  11. C’est une opinion. Beaucoup savaient que la plupart des statues et des fresques étaient peintes et colorées dans l’antiquité. Y compris à partir du XIème siècle dans les églises chrétiennes. Les couleurs n’étant pas « stables » (non fixées avec les produits adéquats) noircissaient ou se décoloraient. Je n’adopte pas complètement pour autant la thèse de Philippe Jockey- regardons les dégâts du noir de bitume ou de judée il y a deux siècles dans les oeuvres picturales sur toile des grands maîtres- Mais en sculpture blanc c’est blanc :le marbre de Paros , lumineux par nature,quand le foncé vire au noir violacé(les variations du porphyre ou du basalte). Les fresques égyptiennes peuvent nous renseigner ? Sans doute, car les nubiens sont représentés bien noirs. Mais la statuaire grecque est incomparable et elle a servi de modèle pendant des siècles en Europe. Evidemment, ça défrise muhammad toutes ces beautés à poil!

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