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  1. Un quart des hommes sont des hommes battus par leur femme, ils sont où ?
    Il est vrai qu’ils préfèrent rester discrets et ne versent pas dans l’hystérie collective généralement, ils ont plutôt honte et se culpabilisent.

    Je lisais un témoignage l’autre jour, d’un homme qui racontait que son locataire avec été découpé morceaux par sa femme qui l’avait mis dans le congélateur….

    Il y a des hommes battus aussi qui appellent la police l’épouse le frappant parce qu’il refuse de lever la main sur elle (il a pris de bonnes résolutions en voulant éviter les bagarres de couple finissant dans des affrontements physiques réciproques qui lui ont, pour lui, valu de la prison) qui ne se déplace pas parce que c’est un homme (témoignage).

    Il faut éviter de faire de cas particuliers des généralités, les relations humaines sont multiples et complexes, et l’on risque de passer à côté du vrai problème voire l’encourager et en matière de violences « conjugales » (il ne faut pas oublier le terme « conjugal »), il y a les structures qu’il faut en France « pour les femmes » j’entends.

    Par contre, ce qu’il manquait : des structures pour aider les hommes violents à comprendre et résoudre cette violence (cela se fait en Angleterre), ce que Shiappa dit qu’elle va faire, et là, pour une fois, je l’approuve, c’est une bonne chose.

    Il est vrai aussi que lorsqu’il y a des bagarres de couple récurrentes et que malgré les interventions régulières de la Police rien ne se passe du côté de l’agressé (e) qui continue à rester dans l’ambiance de son couple, la Police se lasse et ne réagit plus au quart de tour car elle n’a pas que ça à faire et à chacun finalement de gérer sa vie, pas au collectif de le faire.

  2. Il faudrait aller les chercher dans les cités les machos plutôt que dans les quartiers bobos. Il y en a plein les points de deal, elles devraient bien le savoir ces neo féministes, elles ne vont pas me dire qu’elle ne prennent jamais un petit joint pour se détendre de leurs « combat » contre le mâle incarné par ce pauvre guignol qui se fait trainer en laisse . J’espère pour lui qu’il en tire quelques bénéfices « en nature » avec le nombre de gonzesses qu’il a autour ce serait du gâchis! ça c’est mon côté provoc!

  3. Il faut avouer que c’était un beau lâcher de salopes : il y en avait 49 000, selon la presse.

    ( était-ce une incitation au salopicide ? )

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