8 Commentaires

  1. Elle est folle cette dame ,ou elle à de la merde dans les yeux et dans les oreilles je ne l’insulte pas et je respect les juifs mais la plupart des agressions contre la communaunétés juive elles viennent de ou et qui voudrai rayée de carte Israel

  2. Chriracaille avait à peu près dit que  » les missiles nucléaires iraniens ne parcourraient que quelques mètres dans l’atmosphère avant d’être vitrifiés  » . Ça me fait imaginer que quelques SNLE français, américains et peut-être même russes croisent au large de Téhéran prêts à leur dérouler le turban. L’islam pourrit tout : Perse, qu’es-tu donc devenue ?

  3. le parti socialiste sauve la mise, qu’elle dit,
    oui, mais après tout le mal qu’il a fait ???

    n’est-ce pas ce put<< de parti qui a fait rentrer en masse les maghrébins , a établi la loi du sol, a naturalisé à gogo les musulmans de tous les horizons, a construit et aidé à construire des centaines de mosquées ????

    c'est le parti qui a le plus contribué à l'islamisation de la France,
    les Français l'ont si bien compris, que le parti n'existe quasiment plus

    alors, je me demande s'il y a encore qq chose à sauver chez les sociaputes,
    un sursaut de dignité sans doute ???

  4. Pour qui sont nos musulmans de France ? Les israéliens qui vivent à l’occidentale et sont souvent imprégnés de culture européenne ou les Iraniens des mollahs du moyen âge qui ne rêve que d’éradiquer Israël ?
    Je regrette mais on ne peut être pour la France et en même temps pour L’Iran . C’est incompatible! Mais à force de faire rentrer des gens hostile à l’Etat d’Israël qui veulent éliminer tous les habitants de ce pays,, on va avoir une population majoritairement pro Iranienne et hostile donc à Israël! Là aussi des tensions en perspective!

  5. L’analyse est bien trop complexe pour moi et mes connaissances. En déduire que : « Ce sont les bourgeons de quelque chose de meilleur. Il y aura vraisemblablement encore une épreuve militaire majeure, un défi complexe, qu’il faudra remporter par écrasement de l’ennemi, ensuite je vois une longue période de calme, avec de nouveaux amis. Le monde change. »..
    C’est une analyse hébraïque – je ne m’y oppose pas du tout,personnellement- Toutefois, Israël est un petit pays(géographiquement s’entend) à petite population.Pour leur victoire et les NOUVEAUX AMIS, il va falloir transposer magistralement à un étiage sans doute plus conséquent que celui de la géopolitique actuelle.Restant sans voix ou répartie, je ne peux que prier comme beaucoup..

    • @ Fomalo, bien d’ accord, oui il faudra cette épreuve militaire majeure
      ce que je veux dire c’est qu entre un miniscule pays (surface de 3 départements français et 9 millions d’ habitants et un pays de centaines de milliers, voire millions de km2, y a pas photo

      une seule frappe iranienne (atomique) et y a plus d’ ISRAEL

      Alors je soutiens la thèse de frapper le premier, quand Téhéran et ses centes nucléaires serons vitrifiés,

      la seule fois ou Israel n’ a pas frappé le premier a failli lui etre fatale en 1973? Alors les « conventions internationales, les droits des peuples, les régles de la croix rouge ou verte, toutes ces conneries dont l’ islam se sert contre la race blanche, allez hop! au panier!

      le malheur de l’ occident a commence avec ce « respect  » imbecile pour ces crasseux a cul en l’ air, prétendant gouverner le monde au nom d’ une doctrine préhitorique alors qu ils ne furent jamais foutus d’ inventer un stylo a bille ou un vélo………

  6. allez! une fois trés proche le « cerveau de l’ hydre » étant l’ Iran, qui clame depuis des années sa volonté d’ éradiquer Israel, vient de passer en cinquième vitesse

    le fuhrer barbu iranien en veut décidément

    il n’ arrête pas de répeter que l’ année prochaine verra la disparition d’ Israel

    du coté Israélien, silence radio…. rien , pas la moindre réponse , ni la moindre rodomontade

    les vieux dechets barbus et la racaille a leur solde devraient se méfier

    ils semblent avoir oublié que l’ arme nucléaire a raison de trois centaines d’ ogives est entre les mains d’ Israel…

    et que la leçon de tonton Dolphie est inscrite dans les neurones du peuple juif

    « celui qui vient pour te tuer, lève toi et tue le »

    je ne vois aucune objection a vitrifier ce pays, avant qu il ne soit en mesure de nucléariser son bled et le sanctuariser

    je vous offre ce billet de la Mena, dirigée par deux eminents politologues vivant a Metulla, dans le nord d’ Israel, a quelques kilomètres de la frontière avec le Hizballah

    xxxxxx

    sraël prépare la guerre qui assurera sa pérennité (010611/19) [Analyse]

    Par Jean Tsadik © Metula News Agency

    Avec Stéphane Juffa

    Le chef du Khe’l Avir, l’Armée de l’air israélienne, le Général Amikam Norkin, a annoncé la semaine dernière que les batteries de Khetz [heb. : flèche], les Yahalom [heb. : diamant], le nom donné par les Israéliens au missile anti-missiles américain Patriot, les Frondes de David ainsi que les Dômes de fer avaient été placés en état d’alerte. Norkin a ajouté que le défi de la défense se fait plus complexe ; qu’à la menace des missiles et des roquettes s’ajoute désormais celle des drones d’attaque et des missiles de croisière.

    C’est évidemment de l’Iran qu’il est question. Dans ces colonnes nous avons maintes fois écrit que les missiles des ayatollahs étaient imprécis et qu’ils ne constituaient pas une menace sérieuse pour notre sécurité. Nous avions également averti que la situation n’était pas définitive et qu’à force de développer des armes, l’industrie perse parviendrait tôt ou tard à produire des engins de précision.

    Nous basions nos estimations optimistes sur l’observation des tentatives de tirs des missiles de Téhéran qui s’étaient toutes soldées par des revers cinglants, explosant à de grandes distances de leurs objectifs lorsqu’ils parvenaient à s’élever dans les airs.

    La très nette augmentation de la tension est aussi due à l’observation : les détails de l’attaque iranienne sur les installations de l’est de l’Arabie Saoudite nous ont persuadé que l’ennemi chiite avait beaucoup progressé dernièrement. Contre les raffineries, il est parvenu à lancer simultanément 25 drones d’attaque et missiles de croisière qui ont causé des dommages très importants à leurs objectifs.

    Tsahal (et nous dans son sillage) a particulièrement noté l’introduction réussie du Quds-1 [ara. : Jérusalem], un petit missile de croisière précis et destructeur qui avait été présenté publiquement pour la première fois lors d’une exposition le 7 juillet dernier [regarder la vidéo]. Sur la vidéo, c’est le missile bleu ciel et blanc sur lequel il est inscrit Quds.

    kokh.jpg

    Le commandant en chef de Tsahal Aviv Kokhavi :

    une réflexion permanente, libre et brillante

    La question que nos responsables sécuritaires ont été amenés à se poser dans une relative urgence a été la suivante : pourquoi les mollahs ne tenteraient-ils pas une opération contre un objectif en Israël du même type que celle réussie en Arabie Saoudite en septembre ? Avec les mêmes armes et sur la base de plusieurs tirs simultanés de matériels différents.

    Et ce ne sont pas les raisons qui manquent aux ayatollahs pour en faire usage contre nous, particulièrement nos attaques aériennes incessantes qui les visent ainsi que leurs alliés irakiens et libanais le long de l’autoroute chiite, le plus souvent (mais pas uniquement) en Syrie, à la frontière irako-syrienne et dans la profondeur du territoire irakien.

    A vrai dire, comme la plupart des armées occidentales, Tsahal a été surpris par le succès de l’attaque sur les raffineries. Une surprise assez désagréable car on n’attendait pas les Perses sur le terrain des missiles de croisière, puisque nous avions privilégié le développement des Khetz dont la fonction consiste à intercepter des missiles balistiques.

    L’autre surprise a été politique : l’inaction de l’Amérique du Président Donald Trump et, mais cela était prévisible, des Européens. Après avoir attaqué et arraisonné des pétroliers dans le Golfe arabo-persique, face à la débilité des Occidentaux, Téhéran a poursuivi son escalade en menaçant plus gravement encore l’approvisionnement du monde en or noir sans déclencher la moindre riposte de Washington et de ses alliés.

    Pour Jérusalem le signal est simple : nous ne pouvons – et c’est plus clair qu’à l’accoutumée – décidément ne compter que sur nous-mêmes. Mais également : les ayatollahs sont encouragés par la passivité des Occidentaux et leur prochaine cible pourrait bien être l’Etat hébreu.

    Non seulement il existe de grandes chances que Trump ne réagisse pas à nouveau, mais cela pourrait même ajouter des atouts à la dictature théocratique lorsqu’il s’agira de s’asseoir et de renégocier l’accord sur le nucléaire avec les Américains. S’ils parviennent à démontrer qu’ils sont capables d’atteindre avec précision des cibles en Israël, cela leur procurera à n’en pas douter une monnaie d’échange appréciable.

    Encore faut-il pour eux parvenir à causer des dégâts en Israël, qui soient suffisamment importants pour faire la démonstration de leurs nouvelles capacités – on évoque à la fois des dommages matériels et des pertes humaines – et trop circonscrits pour conduire à un conflit généralisé avec Jérusalem, dans le cadre duquel la théocratie chiite sait qu’elle ne ferait pas le poids.

    Même en considération d’éventuelles frappes de missiles de croisière et de drones-suicides, Tsahal possède les moyens de déjouer les plans des Iraniens ainsi que de leur infliger des représailles dévastatrices.

    Car c’est précisément contre des menaces de ce genre que nous avons développé la Fronde de David. La préoccupation vient du fait que nous n’avons jamais eu l’occasion de la tester en situation d’attaque réelle et que le baptême du feu risque d’être soudain. Un autre élément à prendre en considération tient à cela que chaque interception revient à un million de dollars environ. C’est désagréable mais pas ingérable, vu que les ayatollahs ne disposent assurément pas de milliers ni même de centaines de missiles de croisière. Pour le moment.

    En Israël et aux Etats-Unis on parle beaucoup du scénario catastrophe décrit il y a trois jours par l’ancien ambassadeur hébreu aux USA sur The Atlantic, Michaël Oren. Tout n’y est pas rigoureusement précis, en particulier les capacités de riposte de Tsahal qui sont largement sous-estimées. Reste que l’hypothèse proche de celle évoquée par Oren se trouve bien au centre des préoccupations de l’Armée et de celles des politiciens qui ont encore la tête à se pencher sur la sécurité du pays plutôt que sur leurs problèmes personnels.

    L’hypothèse, c’est celle d’un raid qui tourne mal et qui dégénère en conflit global. Une guerre durant laquelle l’Etat hébreu serait simultanément opposé aux missiles balistiques, de croisière et aux drones perses, à l’Armée de Bashar al Assad, au Hezbollah et ses 140 000 roquettes, ainsi qu’au Hamas et à ses 20 000 roquettes (ce sont mes chiffres, pas ceux de Michaël Oren. Ndla.).

    Le chef du Hamas, Yahya Sinwar, a menacé lundi dernier Benny Gantz de « frapper Tel-Aviv en faisant résonner les sirènes le matin, le soir et la nuit pendant six mois complets ». Sinwar a également affirmé qu’il lui « fera maudire le jour où sa mère lui a donné naissance ».

    Il faisait écho aux propos du candidat au poste de Premier ministre et ex-commandant en chef de Tsahal après les tirs spontanés des terroristes islamiques de Gaza sur leurs voisins civils israéliens du Néguev le weekend passé.

    Gantz avait promis qu’un « gouvernement sous sa direction ne tolérera pas une menace pour les habitants du Sud et n’acceptera aucune atteinte à sa souveraineté. Nous allons rétablir la dissuasion à tout prix, même si nous devons personnellement frapper ceux qui mènent l’escalade ».

    C’est en fait de cela qu’il s’agit. Car pour tirer des projectiles pendant six mois sur Tel-Aviv, il faut impérativement rester vivant durant ces six mois. La question n’a rien à voir avec ces polémiques de bon aloi, une quelconque idéologie, ni avec des considérations politiques qui ont trop duré, elle est uniquement stratégique. Pour éviter un « scénario à la Oren », Israël doit faire ce que nous préconisons depuis de très longues années à la Ména : reprendre le contrôle de Gaza et éradiquer le Hamas.

    En suivant un principe simple : une grande puissance régionale a le devoir d’éliminer les organisations terroristes qui menacent ses frontières. Précisément afin de ne pas se retrouver à avoir à mener un affrontement généralisé sur quatre fronts à la fois.

    La Turquie s’est prévalue de ce droit pour agresser les Kurdes dans le Rojava. C’était un faux prétexte pour grignoter une partie de la Syrie, parce que les Peshmerga ne sont pas des terroristes et qu’ils n’ont jamais menacé de génocider les Turcs. Ce que font Sinwar et ses collègues chaque matin en se levant à propos d’Israël. Joignant chaque weekend l’acte à la parole, en provoquant artificiellement des violences contre Israël.

    Erdogan est un dictateur criminel, mais le modèle stratégique qu’il a instrumentalisé est correct. Un grand pays doit sécuriser ses frontières, il a dû le lire dans un vieux bouquin d’école de guerre.

    Dans le cas d’Israël, le plus tôt sera évidemment le mieux. Dans le cas du Hamas à Gaza mais également dans celui du Hezbollah au Liban. Mais pour cela, il faut suivre une stratégie conséquente, et prendre conscience de sa puissance ainsi que de son droit au calme. Il faudrait, entre autres, parler à l’intention du gouvernement légitime de Beyrouth, ne serait-ce que pour augmenter davantage la pression de la rue contre la présence armée du Hezbollah. Manier le bâton et la branche d’olivier en vantant les mérites de la paix, en rappelant chaque semaine que les Libanais et les Israéliens n’ont pas de raison de maintenir entre eux de situation conflictuelle et qu’une frontière ouverte assurerait le plein emploi aux habitants du pays aux cèdres et leur bien-être économique.

    Il faut aussi mettre Michel Aoun en demeure de désarmer le Hezb, jusqu’à ce que cette exigence retentisse sur les murs de toutes les instances nationales et internationales. Et qu’aucun ministre beyrouthin ne puisse plus faire un pas en dehors de chez lui sans qu’il ne se trouve assailli par cette question attenante aux armes de destruction massive aux mains des Iraniens au Liban, qui lui font courir un réel danger d’anéantissement en cas de conflit avec Israël.

    Cela s’appelle la diplomatie. Nos dirigeants n’y comprennent déjà pas grand-chose à la base et de plus, ils sont bien trop occupés pour se souvenir d’en faire usage. Elle ne suffit pas à elle seule à désarmer Nasrallah mais elle a la faculté de le placer sur la défensive, de même que ses maîtres à Téhéran. Car dans la nouvelle situation qui s’est constituée, après la volte-face de Trump en Arabie et en Syrie, il y a aussi le risque pour la théocratie perse de perdre le contrôle à Beyrouth et à Bagdad au profit des sunnites en cas de guerre meurtrière qui les impliquerait et de la défaite inévitable, provoquant des milliers de morts et de blessés inutiles, qui y mettrait un terme.

    Car l’issue du scénario Oren ne fait aucun doute, avec ou sans intervention américaine. Israël, et l’ancien ambassadeur le rappelle, est capable d’aligner plus de soldats bien équipés sur le champ de bataille que la France et la Grande-Bretagne réunies.

    Le questionnement qui taraude Aviv Kokhavi, le chef d’état-major de Tsahal, n’est pas si Israël va gagner la prochaine guerre ou pas. Elle concerne le prix qu’il va falloir payer : quelques dizaines de victimes ou des milliers ? Un conflit de deux mois ou de deux semaines ? Une économie minée par les destructions ou un pays qui aura su prendre à temps les mesures adéquates pour faire parler sa force de frappe en éliminant l’effet de surprise et les balbutiements ?

    Kokhavi a un plan, il l’a nommé « Momentum ». En français, il faudrait traduire cela par le « moment », mais le « moment cinétique ». A la définition mathématique, on préférera une explication du genre : la quantité de mouvement d’un corps en mouvement, mesurée par le produit de sa masse par sa vélocité. Plus simplement : l’impulsion gagnée par un objet en mouvement.

    Il faut donc mettre Tsahal en mouvement, l’adapter à la nouvelle situation, Kokhavi ne craint pas d’appeler cela une révolution et de la chiffrer : Momentum coûtera au contribuable un milliard de dollars supplémentaire par année pendant environ dix ans.

    Encore faudrait-il qu’il y ait un gouvernement qui fonctionne et un parlement qui vote un budget pour entériner ce plan. Mais le chef d’état-major n’a pas le temps d’attendre les politiciens, il a parlé des priorités de la sécurité d’Israël à Gantz et à Netanyahu, et il a dit qu’il fonçait et que l’officialisation viendrait ensuite. Gantz et Netanyahu l’ont assuré de leur appui.

    Comme toutes les choses intelligentes, l’objectif de ce plan peut s’énoncer simplement : réduire la durée de la guerre en remportant la victoire le plus rapidement possible et le plus décisivement aussi. La réduction du temps du conflit limite en effet les pertes humaines, les dégâts matériels, l’impact négatif sur l’économie et le tourisme, de même que le coût financier de la guerre.

    Dans les faits, il s’agit d’étendre considérablement la capacité des missiles à la fois offensifs et défensifs d’Israël, son aptitude à recueillir des renseignements sur les cibles ennemies intégrées, et la préparation de ses soldats à la guerre urbaine (il faudra aller détruire les roquettes du Hamas, du Hezb et des autres avant qu’elles ne soient tirées).

    Mais par-dessus tout, Aviv Kokhavi est en train de dessiner une armée qui se dote des moyens d’écraser violemment, rapidement et définitivement ses adversaires. En les rouant de coups décisifs si vous préférez. En étant bien moins parcimonieux et plus impitoyable que Tsahal ne l’est aujourd’hui ; en s’occupant de gagner les guerres et non plus seulement de remporter des victoires militaires.

    La voie est juste, l’analyse stratégique est correcte, les ingrédients de la révolution sont connus, ils sont à portée de main.

    Toute la région a les yeux fixés sur Israël. Après la démission de Trump et l’inconsistance des Européens, l’Etat hébreu est devenu l’unique recours, le dernier rêve des régimes et surtout des populations du Moyen-Orient. Avec la remise en marche des centrifugeuses à Fordo, en Iran, cela ne va pas tarder à devenir brûlant.

    Mais à Beyrouth, la foule demande l’exclusion du Hezbollah et le renoncement à la politique de guerre contre Israël. A Bagdad, elle a pris d’assaut l’ambassade d’Iran la semaine dernière. Et à Gaza, au moment de soumettre cet article à la correction, on apprend qu’il s’y déroule la plus grande manifestation publique contre le Hamas depuis l’instauration du califat.

    Ce sont les bourgeons de quelque chose de meilleur. Il y aura vraisemblablement encore une épreuve militaire majeure, un défi complexe, qu’il faudra remporter par écrasement de l’ennemi, ensuite je vois une longue période de calme, avec de nouveaux amis. Le monde change. On ignore où il va, mais il ne s’arrête jamais et ne revient jamais sur ses pas.

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    alors ??

  7. Lévy……… ,Française…..de confession Juive……….. quelle horreur…..
    J’attend toujours de voir un Français, blanc, propre sur lui (, Bouddhiste, Protestant ou musulman ou pire, un ATHÉE, égorgé par un Juif…………….
    A mon avis il faudra attendre la fin des temps………

    Dans ce domaine , les macaques lobotomisés nazislamistes sont passés maîtres, comme le vieux barbu pédophile qui leur sert de  » Führer ».

    C’est une seconde guerre de cent ans qui s’annonce et quand le dernier fidèle de cette secte maléfique sera refoulé de l’autre côté de Gibraltar, il faudra s’occuper de ceux que le Qatar et l’Arabie Saoudite sponsorise au sud des Balkans.

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