Communisme, islam… pour le camarade Mélenchon, tout est bon dans le totalitarisme !

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Le camarade Mélenchon rêve de totalitarisme : communiste, islamique…

Peu importe, pour ses rêves de grandeur, tout est bon à prendre !

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La République démocratique allemande, qui n’avait de démocratique que le nom, manque à Mélenchon.

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Il le dit sur Twitter.

Le Monde Diplomatique consacre sa couverture à la réunification, présentée comme une “annexion” par l’Allemagne de l’Ouest.

 

Le mot de trop. “Violence.”

Melenchon rêve du totalitarisme communiste !

Pour Mélenchon, la chute du Mur de Berlin est une violence !

La fin du système totalitaire soviétique est une violence !

La fin de l’interdiction de quitter le pays et des miradors est une violence !

La libération des opposants politiques est une violence !

L’accès des Allemands de l’Est à la démocratie, à l’économie libre, à l’information libre, au confort occidental et aux droits fondamentaux, est une violence !

La fin de la division du peuple allemand en deux camps ennemis est une violence !

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Quand l’Allemagne de l’Est rêvait de l’Homme nouveau.

«Nous vivrons mieux avec le plan quinquennal», assure cette affiche de propagande. En 1951, le rêve d’un homme nouveau dans une société socialiste parfaite était encore intact. © Stiftung Haus des Geschichte/DR

La dictature de l’«Homme nouveau».

L’Allemagne de l’Est envoyait sa police politique jusque dans les écoles pour réaliser son idéal utopique.

Pendant quarante ans, de 1949 à 1989, la République démocratique allemande (RDA) a rêvé de forger un «homme nouveau» au service d’une société socialiste parfaite.

Pour atteindre cet idéal utopique, récurrent dans les dictatures, le régime n’a pas hésité à envoyer sa police politique dans les écoles et à enlever des enfants de dissidents.

Auteur de plusieurs études sur le sujet 1, l’historien Emmanuel Droit, directeur adjoint du Centre Marc Bloch à Berlin, décrypte cet Etat totalitaire où chaque école était «une machine à construire la société».

Qui est cet «homme nouveau» dont rêvait la RDA?

Emmanuel Droit: C’est un projet quasi prométhéen, qui naît sur les ruines du national-socialisme. L’idée est de faire table rase de l’idéologie militariste, impérialiste et raciste nazie pour construire une société socialiste nouvelle. L’homme nouveau doit développer des qualités intrinsèques à cette société: un attachement aux valeurs de paix, d’égalité, de justice et de solidarité entre les peuples, mais aussi une haine de la guerre, de l’impérialisme et du fascisme. L’ambition est que tous les enfants qui naissent dès 1949 soient dotés de ces qualités pour servir le régime.

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De quel modèle s’inspire cet homme socialiste nouveau?

L’inspiration est double. Elle est évidemment communiste, la RDA étant une réponse soviétique à la création de la République fédérale d’Allemagne en mai 1949. Jusqu’à la mort de Staline, on observe un processus de soviétisation. Ainsi, les textes pédagogiques des années 1950 sont des traductions d’ouvrages russes. La RDA ne doit cependant pas être vue comme une simple province soviétique. Les Allemands de l’Est sont aussi les héritiers d’un mouvement ouvrier national de longue tradition, qui se réfère à Marx et Engels.

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Vous vous êtes penché principalement sur l’éducation socialiste en RDA. Comment les enfants étaient-ils «formatés» à l’école?

Le discours idéologique était très fort en histoire ou en éducation civique. Mais la formation de l’homme nouveau ne se limitait pas aux cours. Les enfants étaient pris en charge par des organisations de jeunesse: les jeunes pionniers de 6 à 15 ans, puis la Jeunesse libre allemande. Ils y recevaient une formation politique, étaient formatés idéologiquement pour devenir des citoyens socialistes parfaits. Ce formatage passait par des discussions politiques, des excursions dans la nature, la rencontre d’ouvriers, la découverte d’anciens camps de concentration, la visite de casernes où les «bons soldats» défendaient la patrie contre «les méchants impérialistes». La vision d’un monde binaire de type guerre froide était fortement diffusée.

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Comment les enfants recevaient-ils pareil discours?

Les enfants issus de familles socialistes intégraient facilement l’idéologie du régime. Ceux des familles opposées au système, en revanche, n’étaient pas dupes. Certains le disaient ouvertement, risquant une exclusion. La plupart des jeunes faisaient toutefois semblant d’y croire. Ils donnaient le change à l’école mais regardaient la télévision de l’Ouest à la maison.

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Il y avait aussi des écoles ­spéciales pour les futures élites…

L’élitisme était tabou dans les sociétés socialistes, qui se voulaient égalitaires. La RDA n’en était pas moins confrontée à la question de la succession de ses élites. D’autant plus qu’avant la fermeture du rideau de fer en 1961, des milliers de médecins, avocats et professeurs étaient partis en RFA. Des écoles spécialisées dans les langues, les sciences et le sport ont alors été créées sur le modèle soviétique. Les élèves les plus doués étaient recrutés sur la base de leurs notes et de leurs convictions politiques. L’esprit de compétition était stimulé par des olympiades de maths, physique ou russe, et par des joutes sportives.

 

L’homme nouveau devait donc avoir des qualités physiques?

Oui. L’homme socialiste se voulait sportif. Il y avait une grande valorisation des sports collectifs à l’école, avec un côté très hygiéniste. Les sports individuels étaient qualifiés de «bourgeois», sauf s’ils exigeaient un dépassement de soi. Des «spartakiades», mêlant athlétisme et éducation politique, étaient organisées au niveau local, régional et national. Les futurs champions y étaient repérés.

Etant populaire et démocratique, le sport permettait de soutenir l’idéologie du régime. Et le cas échéant, de préparer la jeunesse au combat. Il ne faut pas y voir un culte du corps exaltant une supériorité raciale, comme dans le nazisme. Si le corps était glorifié dans le naturisme, très en vogue en RDA, c’était davantage dans l’idée d’une harmonie avec la nature, voire d’un rejet des valeurs bourgeoises.

 

L’un de vos livres s’intitule 
La Stasi à l’école. Que faisait la police politique dans les préaux?

La Stasi était censée surveiller, contrôler, réprimer toute forme d’opposition ou de déviance politico-idéologique. Cette déviance pouvait être simplement de porter un jeans de l’Ouest, d’avoir les cheveux longs, d’écouter de la musique occidentale. Pour infiltrer le champ scolaire, la Stasi a recruté des enseignants dès les années 1950, ainsi que des lycéens de 16 à 18 ans. Des officiers traitants produisaient des rapports. Mais dans les années 1970 et 1980, les arrestations étaient rares, la Stasi n’étant alors plus un instrument de répression.

 

Tout de même, le régime n’hésite pas à enlever des enfants de familles dissidentes. On parle 
de 10 000 «enfants volés»…

Pour une part, il s’agit de cas sociaux. La garde des enfants est retirée aux parents incapables de s’en occuper. En RDA, on se méfiait des familles pauvres avec beaucoup d’enfants. Il y a toutefois aussi eu des enlèvements d’enfants pour des raisons politiques, par exemple si les parents cherchaient à s’enfuir à l’Ouest. Ces enfants étaient confiés à de «bonnes familles» socialistes. Cela a provoqué des drames épouvantables. Ces cas ne sont pas répertoriés et difficilement chiffrables.

 Emmanuel Droit, Vers un homme nouveau?, Ed. Presses universitaires de Rennes, 2009, et La Stasi à l’école, Nouveau Monde Editions, 2009.

https://www.laliberte.ch/dossiers/histoire-vivante/articles/la-dictature-de-l-homme-nouveau-384246

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Courant après tous les totalitarismes, Mélenchon rêve aussi bien-sûr d’islam

Musulman est une « race »; critiquer l’islam est raciste !

 

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10 Commentaires

  1. ll faudrait rappeler à cette sous-merde de mechencon que le communiste a juste, trois fois rien, fait plus de …100 MILLIONS de morts !!

    D’autre part, envoyez donc ce lien à tous les CONNARDS qui soutiennent le stalinien mechencon :

    https://www.youtube.com/watch?v=7Ze5ZmpTSqk&t=6s

    Lui, Vladimir BOUKOVSKY, a été enfermé 12 années dans les prisons du « paradis » communiste, alors que ce CONNARD de mechencon, nos impôts paient cette ORDURE pour nous imposer son « paradis perdu » …

    Je me rappelle encore les paroles de l’ETRON :  » Ma personne est sacrée !!  » SACRE CONNARD oui !!!

  2. Ah lá lá le communisme quelle horreur! Certes… Mais je crois avoir lu sur RR un reportage sur les volontaires bulgares qui se rendaient à la frontière grecque pour empêcher les clandestins d’entrer dans leur pays.
    Et on ne cesse de célébrer sur RR les mérites de Victor Orban. Bulgarie et Hongrie sont à l’heure actuelle des nations héritières du communisme, qui a eu le mérite de préserver les pays de l’Est de l’immonde décadence que nous connaissons, décadence qui va nous ramener au niveau économique de l’Afghanistan, pays dont la production est encore plus faible que celle de l »ex-pays des kolkhozes et des sovkhozes, et qui ne survit qu’en exportant:
    – des migrants
    – du cannabis et de l’opium pour intoxiquer nos jeunes.

    • Elle ne sont pas « héritières » du communisme dans le sens où elles ont dû le subir pendant 44 ans. Le peuple n’a pas choisi le communisme, l’Union soviétique le leur a imposé.

      En fait, pour moi, les anciens pays de l’Est sont héritiers de leur histoire millénaire et refusent toute immigration musulmane et ingérence étrangère du fait des invasions ottomane et soviétique.

      Mais quelque part, oui, cela les préserve d’une certaine décadence (et des gauchistes dhimmis).

  3. Mélanchon s’insurge contre l’attaque de la mosquée de Toulouse mais ne dit rien quand les églises sont brûlées, les cimetières vandalisés. ce type est un dangereux personnage à jeter aux ordures.

  4. Bonjour @Jules Ferry et merci pour cet article indispensable avec une mise au point si riche.

    Il faut impérativement que les Français se réveillent et de tels articles sont les sonnent-matins. À partager sans retenue.

    Je me suis toujours étonnée que Monsieur Mélenchon, déjà en âge de retraite, alors qu’il clame partout, lui le pas raciste du tout, sa haine du blond, des yeux bleus du gaulois, du chrétien… oui pourquoi cet homme qui aime SA France et non la France et les Français, nostalgique de son enfance au pays du Maghreb, ne s’en est jamais retourné vers ce qu’il affectionne. Pourquoi n’est-il pas reparti au pays et, amoureux de faire avancer les sociétés par la politique, pourquoi ne s’est-il investi là-bas pour exercer ses talents de tribuns et modeler la société arabo-musulmane selon son idéal. ?

    Pourquoi, même adulte, même plus à l’âge de la retraite il s’obstine à vouloir imposer son idéal politique aux français qui lui ont démontré tout au long de sa carrière, qu’ils n’en veulent pas de son rêve ?

    Enfin, pourquoi ne tente-t-il pas au Maghreb, en Afrique le : j’étouffe, je ne supporte pas les gens tous pareil ; je me sens vraiment mal entouré de cheveux noirs, de yeux noirs…. d’islam ?

    Son rêve n’est pas celui de la majorité des Français et donc e la France ; il serait grand temps qu’il aille parler de son idéal de société au Maghreb.

  5. Dominique Schwander nous fait un petit rappel dans son ouvrage :  » L’Europe soumise et l’islam. Islamisation rampante de la Suisse  » – Essai et analyse suggestive de février 2019

    Chapître : Comment se joue l’alliance entre la gauche mondialiste et l’islam-idéologie supra-nationaliste
    :::: http://www.ilguastafeste.ch/islampdf.pdf#page=133&zoom=auto,-274,719

    – Une idéologie ou une religion peut se construire sur le contraire de la vérité et devenir une gardienne endiablée du mensonge.

    – « Avec les loups, il faut hurler ou faire semblant de hurler, bêler est la dernière chose à faire. »Boualem Sansal : 2084. La fin du monde.

    TABLE des MATIÈRES à consulter pour susciter l’envie irrésistible de lire l’ouvrage
    :::: http://www.ilguastafeste.ch/islampdf.pdf#page=4&zoom=auto,-274,801

  6. Le camarade Melenchon aurait eu des problèmes avec la Stasi ou la VolksPolizei en DDR que j ai connu. Pauvre type. C est un traître non accepte en DDR ni chez les muzz. Sic transic gloria mundi (ainsi va la gloire du monde)…

  7. Pauvre type ce Melenchon. Moi autrefois j ai un peu connu la DDR et c était pas triste. Un paradis communiste comme on ne l imagine pas.
    Pays triste et pauvre mais communiste.
    Le communisme amène que la misère et le désespoir.
    J as un petit drapeau de la DDR. faucille et marteau.

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