Illustration : des « mamans » forment une chaîne humaine pour manifester contre le trafic de drogue (France Bleu)
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Une fois les Blancs partis, chrétiens ou juifs, que reste-t-il à Saint-Denis (93) ? Et bien, un maire communiste, des musulmans, des racailles et des « mamans ».
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Constance est donc une « maman » (selon la terminologie à la mode chez les journalistes pour parler des mères de famille issues de l’immigration) et se bat contre le trafic de drogue qui pourrit la vie du quartier Delaunay-Bellevillle-Sémard.
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Car, hormis quelques enclaves à bobos votant écolo, la Seine-Saint-Denis s’avère être un département perdu de la République : avec plus de 30% de population étrangère, c’est le plus pauvre, le plus endetté, le plus islamisé, le plus africanisé, le plus violent, bref, le plus pourri de France. En même temps, c’est un département aux mains des derniers communistes du pays, ceci expliquant peut-être cela… Pour être réélus à coup sûr, les élus de Saint-Denis ne demandaient-ils pas le droit de vote pour les étrangers non-européens ? N’ont-ils pas créé un Conseil des citoyens étrangers siégeant à la mairie ?
Et bien sûr, la ville de Saint-Denis se doit d’être jumelée avec une ville palestinienne lui ressemblant (Gaza).
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Alors, au milieu des cités, des quartiers, des racailles et des « mamans », la basilique des rois de France, à Saint-Denis, fait presque tâche. On se demande, d’ailleurs, par quel miracle n’a-t-elle pas encore brûlé.
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Car ici, tout est menacé de brûler : les églises, la civilisation française, les voitures le jour de Noël mais aussi les « mamans » comme Constance.
« On va vous brûler » : menacées par les dealers, des familles de Saint-Denis demandent à être relogées
Depuis qu’elles ont témoigné dans les médias pour dénoncer le trafic de drogue dans leur quartier à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), des mamans et leur famille affirment subir des menaces et des représailles de la part des dealers. Elles demandent à être relogées en urgence.
La chaîne humaine des mamans de Saint-Denis autour des écoles de leurs enfants a fait le tour des médias depuis le printemps dernier. Plusieurs parents poursuivent ce « rituel » chaque matin encore, pour dire stop au trafic de drogue aux abords de l’école et au pied de leurs immeubles. Mais aujourd’hui, certaines payent cher.
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Insultes, menaces, harcèlement
Constance, maman de deux enfants, fait partie des femmes qui ont accepté de témoigner au micro des radios et devant les caméras de télévision. C’est aussi l’une des rares, menacées aujourd’hui, qui accepte encore de parler au micro. Elle nous raconte les insultes presque quotidiennes : « sale pute, sale chienne, on va te brûler ».
Il y a aussi les pneus de sa voiture qui ont été crevés cet été et ces jeunes qui se regroupent depuis plusieurs semaines, devant sa porte ou qui sonnent à l’interphone presque chaque soir « jusqu’à minuit ou une heure du matin ».
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« J’ai envie de partir »
Aujourd’hui, Constance, qui adore sa ville de Saint-Denis, envisage de la quitter, « parce que je suis épuisée, je n’en peux plus », nous confie-t-elle. Parce qu’elle veut protéger aussi ses deux enfants. En même temps, il y a toujours cette volonté de résister aux dealers qui l’anime. C’est pour ça qu’elle accepte encore de nous parler, malgré les risques.¨Parce que j’ai encore de l’espoir ! Je veux encore espérer que ça peut changer quelque chose et parce se taire c’est les laisser gagner ».
Saint-Denis : du cannabis découvert dans l’enceinte du groupe scolaire Balzac
Au terme d’une après midi de fouille méticuleuse dans le groupe scolaire Victor-Hugo-Balzac-l’Hermitage, à Saint-Denis, le chien de la brigade cynophile a découvert 30 g de cannabis dans un recoin de l’école…
Le trafic de drogue gangrène le quartier
« Les intrusions de dealers sont monnaie courante dans l’école. Elles se produisent les week-ends, pendant les vacances scolaires. Lundi, ce qui était nouveau, c’est qu’elle s’est produite pendant le temps scolaire », avait dénoncé, avant la saisie, Ariane Weyl-Sahli, professeure des écoles, déléguée du SNUIPP-FSU, qui n’a pas hésité pas à qualifier l’établissement de « passoire »…
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on se doute bien que la police ne viendra JAMAIS prendre la défense de cette mère de famille,
c’est pas comme si on les appelait pour la protection du président
Le contrat social est rompu depuis longtemps.
L’etat ne protège plus les citoyens.
Comme il est également démontré depuis longtemps qu’il ne peut plus les soigner et les éduquer correctement.
Sachant que sa police et sa justice ne servent plus qu’à le maintenir en état de survie artificielle, on peut se poser la question : mais à quoi sert il?
Un procureur reproche aux époux Balkani de, je cite: « servir pour se servir »
Moi, je reproche au gouvernement de se servir sans nous servir.
Et, macro Tu nous emmerdes avec ton vivre ensemble et ton Pas d’Amalgame Faudrait que tu te bouges ton cul et fasse tout de meme quelques choses Ils ne veulent meme plus vivre ensemble Allez,un bon geste ,je suis certain ,vu tes relations, que tu pourrais facilement trouver un appart à St Denis et aller y vivre avec ta copine Brigitte avec les parents d’élèves Ca sa aurait de la gueule
Le 93: un aperçu de ce que sera la France quand ces saloperies d’islamo-collabos seront arrivés à leur fin à savoir l’invasion totale de notre pays et le grand remplacement des FDS par la merde musulmane. El là tous les bobos et autres politicards pourris se barreront ailleurs car eux ils auront les moyens de le faire laissant les FDS restants se faire égorger et définitivement éliminer
la france est – devient- un narco etat………………….
Voilà où en est arrivé de pire en pire,mon dieu que devient notre belle France ,et ce sont des mères qui doivent régler le problème ?incroyable.