Les différences nationales en intelligence sont-elles génétiques ?

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La fameuse carte des QI nationaux diffusée par Laurent Alexandre a remis le débat sur la table. Elle montre des résultats très inégaux sur les tests psychométriques à travers le monde : autour de 100 en Occident et en Asie du Nord-Est et autour de 70 en Afrique Sub-Saharienne.

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Vivement critiquée dans les années 2000, la validité empirique de la carte ne fait plus débat. Le schéma général des disparités intellectuelles des différentes régions du monde est accepté par les plus éminents psychologues. Des chercheurs affiliés à La Banque Mondiale ont intégré ces résultats dans une carte mondiale du capital humain ; The Lancet, grande revue de médecine, a également publié une telle carte ; les presses de Cambridge ont édité en 2018 un ouvrage entier sur la question, écrit par le psychologue allemand Heiner Rindermann, Cognitive Capitalism.
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La carte de Richard Lynn est régulièrement mise à jour par son collègue David Becker et The Intelligence of Nations est paru en 2019 pour présenter au grand public les nouvelles données et les méthodes de calcul des QI nationaux. Celles-ci intègrent les résultats donnés par le PISA, lesquels sont étroitement corrélés aux résultats des tests de QI.
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La question qui semble animer la communauté scientifique n’est donc pas celle de savoir s’il existe des disparités intellectuelles entre les nations mais celle de leurs causes. Les héréditaristes et les environnementalistes s’affronteraient à ce propos. En réalité, la part génétique des différences entre les races fait l’objet d’une littérature bien établie, et ce malgré l’autocensure des chercheurs et les pressions institutionnelles. Une chape de plomb morale s’est étendue sur l’université rapidement après la seconde guerre mondiale. Elle rend la recherche difficile mais pas impossible.

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Pour saisir l’argument principal des héréditaristes, il faut préciser qu’un test de QI se compose de différents sous-tests, lesquels mesurent plus ou moins l’intelligence dite générale (g). g est la corrélation positive des différentes tâches (verbales, spatiales, mathématiques, etc.) qui sont au cœur des tests psychométriques. n’est pas qu’une construction statistique, c’est une réalité biologique largement héritable. Précisément, c’est la partie la plus héritable des tests psychométriques.
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Les psychométriciens ont pu montrer, en toute logique, que les gains de l’effet Flynn ou ceux observés chez les enfants adoptés étaient les moins prononcés sur les sous-parties des tests qui mesurent le plus g. Ils ont également découvert que les différences raciales sont saillantes sur les sous-parties des tests qui mesurent le plus g. Concrètement, cela signifie que ces différences ont une forte dimension génétique.

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Les généticiens l’ont récemment confirmé. Grâce aux études d’association pangénomiques, l’on connaît des centaines de marqueurs génétiques associés à l’intelligence, et des données génomiques représentatives des populations du monde sont accessibles aux chercheurs. Aussi Davide Piffer a-t-il a pu constater que plus le quotient intellectuel national est élevé, plus la fréquence des marqueurs génétiques associés à l’intelligence est haute.
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Pouvait-il en être autrement ? L’étude du fonds génétique de nos ancêtres du paléolithique et du néolithique jusqu’à la révolution industrielle montre une sélection naturelle toujours plus rapide, substantielle et locale. L’agriculture, notamment, a accéléré l’évolution de l’humanité. Il est admis que chaque culture est une niche évolutive qui sélectionne intensément des traits précis. L’intelligence ne fait pas exception : Augustine Kong a montré, par exemple, que la fréquence des marqueurs génétiques associés à l’intelligence s’était réduite tout au long du XXème siècle en Islande. Nos cerveaux se transforment constamment, l’on ne peut donc pas s’attendre à rencontrer deux populations intellectuellement similaires.
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Heiner Rindermann montre les corrélations qui existent entre le QI national et diverses variables économiques et sociales : par exemple, le revenu par tête (.82) ou bien le « bien-être national » qui prend en compte la richesse, la santé, la satisfaction dans la vie, le niveau de confiance, la démocratie, l’état de droit, l’égalité des sexes, la criminalité, la corruption et le taux de divorce (.71). C’est toute la civilisation qui dépend du capital cognitif.
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Le capital cognitif des nations occidentales est doublement menacé. La menace la plus évidente est celle de l’immigration. La deuxième est celle de la corrélation négative qui existe entre l’intelligence et la fertilité. Celle-ci aurait fait perdre à l’Occident depuis la révolution industrielle, qui est à l’origine de cette fertilité dysgénique, 10 à 15 points de QI. Michael Woodley of Menie et son équipe estiment que, toutes causes confondues, nous perdons plus d’un point de QI par décennie. Cette tendance lourde devrait être au sommet des préoccupations politiques, parce qu’elle détermine toutes les autres.

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Auteur : Obiter.

Obiter vient de créer un site sur les sujets controversés. C’est le premier article du site. Il y a aussi des vidéos, une bibliographie et des infographies.

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Très bonne vidéo sur la génétique des populations qui met en pièces les préjugés véhiculés par l’antiracisme dominant :
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Articles
« L’identité d’un peuple, c’est sa génétique ! » (Nicolas Faure)
Les différences nationales en intelligence sont-elles génétiques ? (Obiter)
Le RDV de l’Identité – Génétique des Populations : réponse à Dirty Biology & cie (Obiter)
Africains, Asiatiques, Caucasiens : des populations moins intelligentes que d’autres ?
Génocide En Marche : importer des millions d’Africains et Arabo-musulmans c’est la mort des Européens
Et si les mauvais résultats scolaires de la France étaient dus à son islamisation ?
 
La France devient-elle un de ces « pays de merde » dont les habitants ont un QI inférieur à la moyenne ?

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Soutien à Cédric Villani, qui a osé lier échec scolaire et immigration

 

Sous-développement en Afrique : la faute au QI ?

 
Les Américains d’origine asiatique ont un QI supérieur aux Blancs et aux Noirs…

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28 Commentaires

  1. Pour porter une appréciation sur les groupes humains, Comment distinguer , dans l’espèce humaine, ce qui relève de la nature et ce qui relève de la culture ?
    Car la nature de l’espèce est précisément de dépouiller l’espèce de ses instincts par la culture , en créant des institutions. Il est évident que toutes les cultures ne se valent pas , puisque les africains rêvent de venir en occident; ce n’est pas une question de races, mais d’évolution culturelle, d’histoire ! Par contre, une culture dépend du peuple qui l’a créée….mais ce peuple, quelles que soient ses caractéristiques ethniques, ne se distingue pas de sa culture, son histoire, sa manière de vivre et penser. Les anglo-saxons ont tendance à considérer que tout est une question de nature, quand les Français ont tendance à considérer que tout est acquis et culturel. Sans doute, les 2 exagèrent, mais dans quelle proportion ? et surtout, comment le montrer ?

    • Je suis d’accord avec votre commentaire.
      Je rajouterai que certaines ethnies mettent l’accent sur certains aspects des capacités humaines et donc paraitront sous-développées à d’autres qui auront sur-investi d’autres versants.
      Ainsi, en Afrique par exemple, il y a des savoirs qui ont été développés que même des européens reconnaissent (médecins notamment au niveau des guérisons).
      Je ne développerai pas mais il y a d’autres pays (y compris les Etats-Unis, le Royaume-Uni et bien d’autres….) qui y sont sensibles et qui avancent sérieusement à ce sujet pour reconnaître bien des capacités voire des dimensions qui dépassent nos connaissances actuelles.
      En France, nous surinvestissons la pensée “cartésienne” (qui n’est pas l’intelligence “pure” contrairement à ce que pensent certains qui pensent avoir du coup “cerné” la Connaissance au vu de ce qui se voit et de ce qui se sait à l’instant T, mais est juste une capacité de déduction), sans même tenir compte du fait que le questionnement de Descartes tournait autour du spirituel (sens large du terme).
      Il y a des dimensions de l’Humain évidentes et des que l’on ne pourra jamais prouver sans doute, pourtant violemment rejetées en France (pour donner un exemple concret, il suffit de constater dernièrement la violence envers l’homéopathie) qui nous coupe.d’une certaine intelligence et d’un savoir bien supérieurs à une stricte pensée cartésienne “rassurante”.

  2. Ce débat est bien difficile à aborder et ce sera peut être impossible. Mais quand même on peut dire que les tests de QI ont été combattus en France par les psychologues plus ou moins analystes voire lacaniens sortis des facs après 1970, date de la création du diplôme, tous et toutes gauchistes, comme Jay Gould d’ailleurs.Il serait peut être temps de réexaminer ce problème chez nos psychologues infiltrés de toute cette merde gauchiste. Sortir un cas ( mon voisin ,mon beau frère …) face à des statistiques n’est pas rigoureux . Car à ce moment là quand vous avez des statistiques sur l’imigration, la dèlinquance,…il ne faudrait pas y croire non plus. Ce serait indigent.
    Promouvoir l’autonomie de la personne ce qui fut la règle de ce métier, n’empêche pas de prendre en compte d’autres variables .
    De plus c’est complètement faux que le QI serait uniquement dépendant du langage et d’une culture donnée, ça ce sont les échelles verbales, évidemment.
    L’autre partie s’appelle performance et porte sur des figures géométriques sans parole et qui se voudraient universelles ( à voir) pourquoi alors glorifier les savoirs faire et l’ingéniosité de certaines tribus, ethnies….
    Là aussi, comme ce sont des êtres de culture, la leur, on ne peut dissocier la personne du groupe.
    Que l’on soupçonne certaines régions de fabriquer des petits QI tient au progrès de la médecine, qui leur a permis de lapiner, et surtout à ceux de bas QI , lesplus intelligents se reproduisant moins comme écrit ci dessus.
    Enfin ce qui fait «  grandir » l’intelligence c’est l’action, le geste, le savoir faire des anciens….
    Sans aller jusqu’à être racialiste je suis persuadée que les asiatiques sont plus intelligents que nous, par génétique et la culture du travail qui en est apparue depuis toujours chez eux. Bien sûr il doit y avoir des japonais idiots, presque autant que les petits français à qui on a bien lavé le cerveau.

    • “on ne peut dissocier la personne du groupe.”
      Ca fait peur….
      Vous pensez en savoir quelque chose… libre à vous de le penser, quoiqu’il en soit, sachez que rien de ce que j’ai démontré n’est faux (je sais de quoi je parle).
      Il y a généralement beaucoup de fantasmes concernant les psychologues (pas grès gentils le plus souvent, on se demande pourquoi), mais la “réalité” est qu’ils ne sont pas tous de gauche. Beaucoup de lacaniens oui, mais ils ne sont pas tous lacaniens et parmi ces lacaniens, il y en a beaucoup qui ne sont pas psy de formation justement et tous les psy ne sont pas psychanalystes.

    • “Car à ce moment là quand vous avez des statistiques sur l’imigration, la dèlinquance,…il ne faudrait pas y croire non plus.”
      Moi en tous les cas, je n’y crois jamais.

  3. Il y a chez Maxime et ceux qui le soutiennent une erreur de base. Vous pourrez toujours trouver un noir plus intelligent qu’un blanc ou qu’un asiatique. Mais lorsque les individus sont regroupés par races, les différences de volume cérébral moyen et de Qi moyen sont des constantes que les individus habitent sur leur continente d’origine ou qu’ils vivent dans d’autres continents. Ainsi la hiérarchie des Qi mouyens raciaux est la même aux USA en Australie etc.

  4. A généraliser, on se trompe complètement et le risque est toujours de se faire une fausse idée de la problématique (c’est pour cela que les politiques se plantent à trop écouter les sociologues qui ne parlent que du collectif et non des différences individuelles).
    Quand on dit “scientifique” tout le monde plonge dans les certitudes pourtant, dans tout ce qui concerne l’Humain que ce soit en Médecine ou en Psychologie, on ne peut travailler qu’en terme de “probabilités”, et ce n’en est pas moins “scientifique”.
    Ces mesures AMERICAINES pour la plupart (ils adorent le cognitif) très prisées par l’Education Nationale française (on adore mesurer le “cognitif” qui ne parle pourtant “que” du rapport au savoir et non des véritables capacités de l’élève), ne veulent pas dire grand-chose tant manquent de nombreux critères d’interprétation qui biaisent l’analyse des résultats.
    J’ai déjà démontré “ici” à quel point une “mesure” de “QI” est on ne peut plus “aléatoire”, déterminée par un ensemble de facteurs qui influent les résultats qui sont donc à “relativiser” par une analyse approfondie :
    – contexte particulier (la passation du test lui-même mais aussi relatif au testé lui-même),
    – avec des ‘items (épreuves du test) qui sont avant tout “culturels” (donc quelqu’un d’une autre culture qui le passe est déjà désavantagé, on a vu aussi des réponses à des items qui ont complètement changé selon la politique du moment),
    – etc….
    Je n’ai vraiment pas envie de le redire mais, pour ceux que cela intéresse, il y a un livre très intéressant à ce sujet qui parle de cette frénésie de la “mesure” (pas que le QI) commencée au début du XXe siècle suite à l’industrialisation et aux travaux du psychologue Alfred Binet et coll. dans le domaine de l’Education afin d’identifier les difficultés que les enfants pouvaient avoir afin de mettre en place des aides appropriées.
    Cette “malmesure” aurait ainsi conduit à moult dérives, pour exemple (entre autres) : mesure et poids du cerveau pour voir si les femmes était moins intelligentes que les hommes vu que le leur est plus petit, etc…
    – “La mal-mesure de l’homme” – de Stephen Jay Gould –
    UN EXTRAIT :
    “……. Pour les déterministes, en effet, le comportement des groupes humains et leurs différences sont innés. Il en ressort invariablement que les opprimés, les désavantagés sont inférieurs et méritent donc leur statut.
    Mettant en évidence les faiblesses scientifiques de ces arguments et présentant le contexte politique dans lequel ils ont été élaborés, Stephen Jay Gould repère les préjugés qui ont conduit les savants à des conclusions fausses.
    La Mal-Mesure de l’homme a reçu plusieurs prix prestigieux aux États-Unis, lors de sa publication……
    Stephen Jay Gould enseigne la biologie, la géologie et l’histoire des sciences à l’Université de Harvard (États-Unis).

  5. Sur ordre de Mahomet, vous vous mariez exclusivement consanguin incestueux depuis cent générations, et sur ordre de Mahomet, vous mentez comme des arracheurs de dents. Vous êtes maintenant devenus aussi peu intelligents que des animaux de race pure…

  6. Ce qui est paradoxal dans ces démonstrations c’est qu’on nous dit que depuis l’industrialisation le QI a baissé, ce qui tendrait à prouver que l’homme s’appuyant sur le progrès fait moins d’efforts et donc ne progresse plus…
    Alors, comment comprendre que des populations, non évoluées techniquement, menant une vie primitive exigeant des prouesses de réflexions, soient moins intelligentes ?
    Ou alors j’ai mal compris ?
    Si quelqu’un peut me fournir une explication je suis preneuse. Merci.

    • Explications 1 et 2 résumées par Obertone dans un chapitre de la France interdite :
      1) Immigration fait baisser le QI.
      2) Les plus intelligents (au sens QI élevés) font moins d’enfants. Et les moins intelligents font plus d’enfants. Donc au fur et à mesure…
      3) 3e cause (explication perso) : Culturellement, l’éducation nationale est volontairement (par les mondialistes) et involontairement (par les gauchistes idiots utiles des mondialistes) bousillée petit à petit depuis 60 ans, donc le rendement intellectuel n’est pas optimal par rapport aux années 50-60. Ça demande à être testé en comparant le QI initial et final de deux cohortes d’enfants similaires, mais différant par l’enseignement l’une suivant les programmes et manuels de 50-60 et l’autre des programmes et méthodes actuels. Mais bon, pour moi, le résultat du test ne fait aucun doute.
      4) récemment, années 60 : apparition de la télé et encore plus récemment console, jeux vidéos et encore plus récemment applis, réseaux sociaux. Or, ces apparitions ont un impact négatif majeur sur la cognition notamment -mais aussi sur plein d’autres aspects de la vie – et chez les jeunes, c’est encore pire, puisque cela perturbe gravement et endommage le développement naturel des fonctions cognitives (voir travaux de Michel Desmurget)

      • J’ai bien rigolé en vous lisant, car affirmer que les jeux vidéos perturbent et endommagent le développement naturel des fonctions cognitives.
        Vous devez être d’une ancienne génération… prenez le temps d’ouvrir un ordinateur et lancer un jeu vidéo. Vous constaterez que d’une part, que certaines facultés seront nécessaires, tel que l’analyse rapide d’une situation, les interactions des joueurs machines, l’acuité visuelle nécessaire etc…
        Contrairement à la télévision ou nous sommes passifs, nos jeunes doivent être actifs lorsqu’ils sont devant leur clavier.

        • Oui, effectivement. C’est ce que tout le monde pourrait penser en voyant le nombre de boutons, etc. C’est une illusion d’optique. J’avais également tendance à dire la même chose avant de lire Michel Desmurget. Je connais aussi des instits et on parle parfois (de manière anonyme) des petits lobotomisés qu’ils doivent se coltiner en classe. Et si les écrans, les applis, les jeux vidéo rendaient plus intelligents en général, ils le verraient. Ça rend plus intelligent pour réussir à des jeux vidéos, voilà tout.

        • @franck
          ” l’analyse rapide d’une situation, les interactions des joueurs machines, l’acuité visuelle nécessaire etc…”
          Ce sont des données qui ne stimulent que des capacités immédiates (on ne connait pas les effets non plus sur le visuel à long terme), et rien de la pensée “conceptuelle” (abstraction).
          Ce n’est pas forcément négatif en soi mais cela ne doit pas être la seule référence à l’apprentissage du savoir. Il y a des “opérations mentales” qui sont indispensables pour l’intégration des connaissances
          Sans compter qu’il y a des stimuli qui peuvent développer des illusions d’acquisition sans qu’il y ait véritable investissement de la personne (= volet subjectif = réfléchir, prendre du recul, déduire,structurer mentalement, s’approprier, etc….).
          Pour ce qui est d’un enfant en construction on passe des étapes importantes. L’enfant saura “gérer” ce qui va se présenter “en surface” mais pas s’approprier pour du long terme, ce qui est la base du véritable savoir qui se développera ultérieurement à mesure des acquisitions..

        • Je souscris les jeux vidéos au minima ont l’avantage d’entretenir certaines fonctions cognitives et de les développer comme la concentration,le temps de réaction, les capacités. d’analyse l’attention surtout chez l’adulte que je suis de plus au même titre qu’un bon livre , de purcel ou haendel,ils permettent de nous abstraire pour un temps de la morosité qui nous entoure

    • “Ce qui est paradoxal dans ces démonstrations c’est qu’on nous dit que depuis l’industrialisation le QI a baissé, ce qui tendrait à prouver que l’homme s’appuyant sur le progrès fait moins d’efforts et donc ne progresse plus…
      Alors, comment comprendre que des populations, non évoluées techniquement, menant une vie primitive exigeant des prouesses de réflexions, soient moins intelligentes (je complète : que des populations qui ont des techniques avancées leur permettant de survivre sans trop de difficultés et dont le Qi est donc en train de baisser) ?”
      L’explication pour les différences raciales entre populations ayant été éloignées pendant des millénaires sont les mêmes que pour les différences raciales entre animaux.
      Le milieu différent fait que certains individus réussissent mieux que d’autres à se nourrir, à se défendre, à faire des enfants,etc. Au fur et à mesure une sélection naturelle s’opère et des sous-espèce se forment.
      Le fait que les populations primitives du nord (européennes, aise de l’est) et du sud (tout le reste) aient divergé sur le plan du QI s’explique par la différence entre les facultés de prévision et d’organisation nécessaires pour planifier les récoltes, gérer les stocks, etc. qu’il fallait aux populations exposées aux hivers rudes et froids pour survivre.
      Un bas QI à l’échelle d’une société empêche une gestion optimale des stocks alimentaires. Ce qui donne des carences. Ce qui diminue le QI. C’est un cercle vicieux.
      À la base, la part génétique (majeure) du QI s’explique par la quantité de nourriture disponible. Mais dans le sens inverse de celui qu’on pense : les hivers rudes de l’Occident ont obligé le développement d’un QI élevé pour anticiper le gel et gérer les stocks.

      • ” les hivers rudes de l’Occident ont obligé le développement d’un QI élevé pour anticiper le gel et gérer les stocks.” CQFD , d’où les migrants /réfugiés par dizaines de milliers dans nos gélifs territoires pour augmenter leur QI et gérer les stocks…Non mais @Julien Martel! Vous rigolez, là???

        • Je ne comprends pas ce que vous dites et je vois à peu près ce que vous voulez dire, mais comme je ne suis pas sûr, je préfère ne pas me fatiguer à fournir une réponse à une objection dont je ne sais pas si c’est bien celle qui a été formulée. Pouvez-vous reformuler plus clairement votre critique, s’il-vous-plaît ?

  7. Non, ce n’est pas génétique.
    Mon ami, mon alter ego, né dans la savane, abandonné par sa famille, ayant vécu ses premiers mois de sa vie en orphelinat, adopté très jeune par des Français et élevé par eux, est d’une intelligence qui me subjugue.
    Il a grandi en France à une époque où les campagnes n’étaient peuplées quasiment que de Blancs (en général, les seuls enfants “de couleur” étaient des enfants adoptés alors), il en a développé un sentiment de profonde différence très difficile à vivre pour lui à cette époque. Mais il n’a pas rejeté la France ni ses parents, pour autant.
    Pour lui son pays, c’est la France et il travaille pour son pays, dans un poste qualifié de la fonction publique, sans aucun désir de retourner en Afrique, de retrouver sa famille qui n’a pas su le garder et lui permettre de se développer dans son milieu biologique.
    Son cas a nourri bien des réflexions que je me suis faites sur le déracinement, les rapports entre la nature et la culture, le racisme…
    Impossible d’être raciste quand on a croisé le chemin d’une telle personne, qui a eu bien souvent l’occasion de montrer dans sa vie qu’il était plus intelligent que la plupart des Blancs, ne serait-ce qu’en réussissant grâce à son seul mérite là où beaucoup échouaient.
    On peut avoir la peau noire sans être Noir… 😉

    • Magnifique témoignage, Maxime, qui mériterait d’être développé pour en faire un article, ne croyez-vous pas ?

    • Ton témoignage est un cas particulier. Il n’entre donc pas en contradiction avec le fait que statistiquement il peut arriver des cas où des individus soient au-dessus ou en-dessous de la moyenne.
      De plus, il ne donne pas de mesure de QI, donc impossible de comparer.
      Enfin, il montre l’importance de la culture dans l’intelligence, mais cela ne rentre pas en contradiction avec le texte qui admet aussi l’importance de la culture dans l’intelligence.
      Voir aussi cette discussion entre H et Ph
      H :Pour les différences de QI, il y a aussi une part culturelle et sociale, non? Un enfant sénégalais adopté par des Suédois dès la naissance, est-ce que son QI ne serait pas similaire aux enfants Suédois de souche? 🤔
      Ph : Oui et non.
      La corrélation avec l’hérédité augmente avec l’âge.
      Pour schématiser, les écarts d’intelligence entre deux enfants du même âge peuvent en partie s’expliquer pas l’environnement. De mémoire, le taux de corrélation génétique tourne autour de 60%.
      En revanche, avec l’âge, l’influence de l’environnement diminue et le taux de corrélation génétique se rapproche des 90% je crois.
      En gros, deux vrais jumeaux séparés n’auront pas les mêmes résultats aux tests à 10 ans, selon qu’ils sont élevés dans un milieu riche ou pauvre (intellectuellement parlant).
      Néanmoins, ces deux jumeaux à 50 ans auront des résultats similaires.
      L’intelligence se nourrit aussi d’expérience et donc, les écarts aux tests d’intelligence diminuent avec l’âge pour des individus de même QI.
      S’agissant des noirs, les écarts de points de QI persistent même dans les sociétés multiculturelles et même pour les adultes.
      Sources :
      Pour commencer : https://twitter.com/nico_unv/status/935456013033136130
      Ensuite, wikipedia. Il faut regarder les sources citées, dont certaines sont des publications dans Science ou encore Nature : https://en.m.wikipedia.org/wiki/Heritability_of_IQ
      Différences entre les groupes ethniques. On retrouve ces différences entre les mêmes groupes au sein des sociétés multiculturelles (donc pour une même instruction reçue puisque même scolarité ).Cf. aussi les sources citées : https://en.m.wikipedia.org/wiki/IQ_and_Global_Inequality
      Une tribune d’un chercheur dans le NY Times sur le sujet et son appel à cesser le politiquement correct en la matière : https://www.nytimes.com/2018/03/23/opinion/sunday/genetics-race.html
      Sur l’influence des gènes dans l’expression du comportement (gauchisme = tare génétique ? 🤷🏼‍♂️) : https://www.franceinter.fr/sciences/selon-une-etude-l-empathie-serait-en-partie-genetique
      En gros, l’héritabilité du QI est un consensus scientifique. Les débats portent surtout sur le niveau de cette héritabilité (batailles de pourcentages).

      • “En gros, l’héritabilité du QI est un consensus scientifique”
        Faux.
        Il n’y a jamais eu de réponses “tranchées” à ce sujet pour la bonne raison que c’est indémontrable, il n’y a que des “suppositions”.
        Les tests de QI ne mesurent “que” ce qu’ils se veulent mesurer donc les aspects pour lesquels il est construit, et comme je l’ai dit, ils ne sont significatifs que dans une culture donnée.

    • Bravo à Maxime. Je connais plusieurs cas similaires peut- être pour avoir eu la chance de travailler dans un contexte international.Mais je me pose toujours la question du devenir de ces connaissances ou amis, quand ils retournent dans leur pays pour “l’aider” avec des postes à responsabilité au vu de leurs diplômes et de leur expérience.. Tout le monde n’a pas la chance de Daniel dans la fosse aux lions!

    • Je pense qu’il y a une part génétique de l’intelligence, maintenant les capacités se développent ou pas, cela dépend aussi de la personnalité de l’individu.
      Je donnerai pour exemple notamment en Afrique, le cas d’un jeune adolescent noir, très intelligent qui voulait devenir ingénieur.
      Empêché, l’école n’étant plus accessible pour des raisons liées à l’environnement, il a inventé avec des moyens de fortune, sans connaissances particulièrement précises sauf à lire dans les livres, une pompe pour amener de l’eau dans son village (entre parenthèse, personne ne l’a aidé, tout le monde se moquait de lui mais en ont bien profité quand ce fût fini).
      On ne peut donc pas parler d’environnement là (culture africaine dans un milieu matériellement rudimentaire) qui aurait influencé l’intelligence de l’adolescent en question, il était bien né avec ces capacités intellectuelles qu’il a su, malgré son contexte de vie, développer (il y a donc aussi, en plus de la génétique, le désir qui intervient – et là on est plus dans le domaine de l’affectif – et pas seulement le cognitif).

  8. Et quant à certains endroits laissés en blanc, il est du niveau MEINKORAMPF.

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