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Hier matin, bien avant l’arrivée des parents et enfants, des agents de l’école découvert la directrice de l’école maternelle, qui avait mis fin à ses jours dans le hall. Elle avait laissé des lettres destinées à sa famille, à sa hiérarchie, à ses collègues…
Or, rien n’a fuité sur les raisons qu’elle a forcément données, de sa mort.
Rien. Etrange, non ?
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Cela laisse de la place pour toutes les suppositions.
-Epuisement ? La rentrée c’était il y a 3 semaines. On peut supposer que la raison est ailleurs.
-Problèmes personnels, familiaux ? Pourquoi dans ce cas se suicider sur le lieu de travail ? Cela n’a pas de sens.
-Découragement de quelqu’un aimant son métier et comprenant que ce n’est plus possible de le faire, pour des raisons diverses et variées :
Lourdeur de la tâche de directeur ? Evolution catastrophique de l’enseignement, des programmes, des consignes ? Enfants devenant de plus en plus ingérables et/ou inenseignables ? Evolution de la Seine-Saint-Denis ? Remise en cause de toutes ses options politiques ou humanistes, face à la réalité ?
On ne sait pas. On ne sait rien. Pourquoi cela ? Pourquoi le cachent-ils ? Qu’ont-ils à cacher dans sa hiérarchie ? Personne, même parmi ses collègues pour parler aux journalistes d’habitude très curieux ?
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Naturellement, les gauchistes du « Café Pédagogique » ne veulent y voir que la faute de la hiérarchie, les « injonctions » toujours plus intenables de la hiérarchie (Inspecteur d’Académie, recteur, ministre…).
Si l’on veut bien croire qu’avec le pouvoir macronien désireux de mettre son nez partout les circulaires et directives dont certaines capables de se contredire réciproquement rendent la tâche difficile, on n’est pas sûr du tout pour autant que les gauchos qui enseignent respectent à la lettre programmes et injonctions contraires à leur idéologie, mais on remarquera surtout la précipitation de la « co-secrétaire » (sic!) générale du SNUIPP93 à tout de suite dédouaner, sans savoir, la Seine-Saint-Denis, et sa particularité de territoire perdu de la République. « il n’y a pas plus de problèmes à Pantin qu’ailleurs ». On se demande bien pourquoi la perspective d’être nommé dans le 93 dissuade nombre de nos jeunes de passer le concours de l’Education nationale… La Directrice aurait-elle nommé, à la manière de l’ancien Ministre de l’Intérieur, le fait de ne plus pouvoir vivre ensemble, de ne plus pouvoir tenir des classes, des écoles en Seine-Saint-Denis ?
Et cette sotte de prendre comme exemple le cas de la tentative de suicide d’une autre institutrice à Fos-sur-mer… Dans les Bouches du Rhône, à moins de 50 km de Marseille, dans un endroit où il y a énormément d’industries et donc de travail et donc d’immigration… comme dans le 93 (l’immigration, pas les industries, sauf à considérer que le trafic de drogue en soit une) :
http://www.linternaute.com/actualite/delinquance/fos-sur-mer/ville-13039
Suicide d’une enseignante à Pantin
La directrice de l’école maternelle Méhul de Pantin s’est suicidée durant le week end dans le hall de son école. Elle a laissé plusieurs écrits attestant de son choix. Ce drame provient après deux autres faits dont celui de Fos sur Mer où le management a été mis en cause. « Il faut lever le tabou dans notre ministère et tout faire pour éviter des gestes dramatiques« , a déclaré S Crochet, secrétaire général du Se Unsa sur Twitter. Interrogée par le Café pédagogique, Marie-Hélène Plard, co secrétaire générale du Snuipp 93, souligne « l’émoi dans la profession » et « va être attentive aux suites données à cet événement » car « il n’est pas anodin de mettre fin à ses jours sur son lieu de travail ». Mais selon elle, « il n’ya pas plus de problèmes à Pantin qu’ailleurs. Le contexte d’injonctions et le new management deviennent très pesants ». Elle relève que l’IEN de secteur vient d’arriver dans la circonscription.
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2019/09/24092019Article637049069597887295.aspx
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Ce qui s’est passé à Fos sur mer ?
Une fois n’est pas coutume, on a laissé le salmigondis à la mode, écriture inclusive, féminisation des fonctions… ça donne une idée du niveau des syndicalistes enseignants du Snuipp13.
Le management mis en cause dans la tentative de suicide d’une enseignante
» Les actuelles situations d’excès d’autoritarisme d’humiliations ou de pressions professionnelles, de gestion de la relation hiérarchique dans certaines circonscriptions sont intolérables. Or, plusieurs témoignages concourants de collègues ou le constat d’incidents répétés confirment que ces situations existent ». Le Snuipp Bouches-du-Rhône impute « à sa situation de travail » la tentative de suicide d’une professeure des écoles. » Il est indispensable que la DSDEN 13 apporte une solution urgente pour mettre fin à ces pratiques inacceptables, dont les conséquences peuvent s’avérer dramatiques pour les enseignant.es qui les subissent, voire pire, les conduire à l’irrémédiable, et cesse de couvrir des comportements qui n’ont rien à voir avec l’habituelle gestion du service public d’éducation » affirme le syndicat. Le Snuipp a saisi le CHST académique et déposé une alerte sociale. Dans une lettre ouverte au Dasen le Snuipp dénonce des conditions de travail dégradées « dans certaines circonscriptions » du fait « de manque d’autonomie dans le travail, notamment par un non respect des textes ministériels », « d’injonctions souvent parfois multiples et contradictoires » et » de réflexions d’ordre personnel, portant atteinte à la personne ».
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2019/09/18092019Article637043870896734650.aspx
Voir aussi, sur le sujet :
https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5682395/fos-breve.html
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Quelques détails commencent à filtrer :
https://www.ouest-france.fr/ile-de-france/seine-saint-denis/la-directrice-morte-dans-sa-maternelle-avait-poste-des-courriers-mettant-en-cause-l-education-6536521
A noter : « les incidents avec les familles… Et l’absence de soutien de la hiérarchie. »
Le type de « famille à incidents » n’est pas précisé, ce qui vaut désignation implicite : famille mahométane
« … surtout la précipitation de la « co-secrétaire » (sic!) générale du SNUIPP93 à tout de suite dédouaner, sans savoir, la Seine-Saint-Denis, et sa particularité de territoire perdu de la République. « il n’y a pas plus de problèmes à Pantin qu’ailleurs ».
Eh, bien, un peu comme on dédouane une racaille islamisée qui hurle « Allah Akbar » quand il égorge ou tue avec tout autre arme par destination en le qualifiant de « déséquilibré » !
Pour illustrer ce que je disais plus haut ,je suis tombée aujourd’hui ,comme par hasard ,sur l’emission: « je t’aimes ,etc. » présentée par Daphné Bürki, pur produit de Canal +. Donc vous aurait compris à qui nous avons affaire . Hors quel était le thème de l’émission : » les ravages de l’alcool sur la santé » et pas que puisque j’ai entendu à l’occasion que cela avait des effets négatifs même sur la sexualité et la libido. Mis à part que cette émission est programmée, comme par hasard ,au moment des vendanges et des nombreuses foires au vin ,on est obligé de se dire un moment qu’entre deux addictions,ils puissent laisser penser qu’il vaille mieux choisir l.’autre celle qui est
prisée par les gens cool à l’inverse de celle des franchouillards et leur culture du pinard.
C’est clair que ce n’est pas pire à Pantin qu’à …St Denis ou Aubervilliers . Ces syndicats d’enseignants ne sont plus des syndicats mais un système dans le système chargé de veiller à ce que le personnel ne dévie pas de la ligne. C’est le fer de lance de certains partis de gauche surtout le PS dont c’est la chasse gardée. Si ils n’ont plus ça ils n’existent plus car désavoués majoritairement par la population. Population qui n’en peut plus de ces mains mises politiques dans des secteurs qui devraient être vierges d’influences et idéologie par la matière qui est concernée ou alors permettre que toutes les sensibilités soient représentées. Mais là autant mettre une croix dessus jamais la gauche ne partagera le pouvoir . Ce qui prouve bien que le danger totalitaire anti démocratique n’a pas besoin d’une extrême droite fantasmée ,il est là et bien là ,jusque dans les écoles ,pour façonner les cerveaux aux nouvelles donnes migratoire et non seulement empêcher dès le plus jeune âge d’acquérir un esprit frondeur et indépendant,mais transformer les mômes en moutons pour l’abattoir ..hallal? Une des explications du succès des écoles privées. Je me rappelle lors des grandes manifs pour la participation de l’état aux écoles privées, j’avais alors pester contre Mitterrand qui avait cédé . Peut-être anticipait-il la situation que nous connaissons actuellement. Normal puisque c’est lui qui l’avait provoqué en mettant ses pions dans tous les rouages de la société pour pouvoir dire au moment opportun à l’instar de de Gaulle ; »C’est moi ou le chaos ». Et depuis tous les gouvernements qui se sont succédés ont hérité de cette situation qui fait que toute décision gouvernementale pour améliorer doit passer par la fourche caudines des syndicats tous puissants qui dirigent réellement .Cette situation qui perdure depuis une éternité pour les personnels qui ne la cautionne mais qui croient leur métier peut être vécue de façon désespérante puisque ne laissant pas la place à un semblant d’amélioration.
La Justice française , malade ?!
Qu’est-ce qui se passe en France pour que tout soit sens dessus-dessous ? Pour que tout fonctionne anormalement ?
Mais que font-ils de la France ?
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Coma éthylique, ecchymoses, brûlures… un beau-père jugé responsable des hospitalisations d’un bébé de 2 ans
:::: https://fr.sputniknews.com/france/201909241042148929-coma-ethylique-ecchymoses-brulures-un-beau-pere-juge-responsable-des-hospitalisations-dun-bebe-de-2/
Des hématomes, des ecchymoses, un coma éthylique et des brûlures… Suite à une succession de faits inquiétants pour la santé d’un enfant de deux ans, un homme, son beau-père, vient d’être condamné à 15 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve.
Un homme a été condamné à 15 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve, lundi 23 septembre, par le tribunal correctionnel de Rennes, en Ille-et-Vilaine, rapporte Ouest-France.
Selon le quotidien, en 2015, un garçonnet de deux ans, l’enfant de la compagne du condamné, est tombé dans le coma après avoir bu un verre de rhum.
En 2014 et 2015, à Fougères, le bébé a subi des maltraitances de la part du compagnon de sa mère, âgé d’une vingtaine d’années au moment des faits, suite auxquelles l’enfant a été hospitalisé à plusieurs reprises.
Une première fois le garçonnet a été hospitalisé pour des coliques, pourtant les médecins ont aussi remarqué la présence d’hématomes et d’ecchymoses sur son corps. Un autre incident s’est déroulé en août 2015, quand l’enfant a été hospitalisé en coma éthylique après avoir bu un verre de rhum sous la surveillance de son beau-père.
Un mois plus tard, le bébé a été admis à l’hôpital pour des brûlures. Cette succession d’incidents a poussé les médecins à faire un signalement d’enfant en danger.
Voulant se défendre à la barre du tribunal, lundi 23 septembre, le mis en cause a déclaré que toutes les blessures de l’enfant n’étaient pas volontaires, reconnaissant, malgré tout, sa négligence.
Selon le quotidien, le prévenu a expliqué qu’il ne surveillait pas le bébé lorsque celui-ci a bu le verre d’alcool, et que ses brûlures provenaient de sa douche. Pourtant, ces versions ne correspondent pas aux constatations des médecins.
La procureure de la République a estimé que «ce n’est pas un psychopathe tortionnaire d’enfants, mais le petit ne s’est pas fait cela tout seul».
Malgré tous ces incidents, la famille vit toujours ensemble, en outre, elle s’est même agrandie avec l’arrivée d’autres deux enfants.
Ce n’est pas d’aujourd’hui, il ne faut pas se leurrer, on n’en dit pas plus sur la situation sociale, cependant je sais que ce qui se dessine là est ancré dans une dynamique qui ne relève pas que de ce qui se passe ces dernières années mais qui remonte à un bon bout de temps et bien sûr, l’actuel n’arrange pas les choses bien au contraire.
Actuellement il est vrai, et je l’ai dit souvent, il y a les addictions et l’assistanat (mis en place par le RMI – JOSPIN – en grande partie)…. un ensemble qui fait des dégâts, le second encourageant voire facilitant l’autre.
C’est vraiment un problème de fond.
C’est la « wide » qui en est la cause, mais parait-il que cela rend très cool. Moi je pense plutôt ,qu’à long terme, chez certains ,cela rend complètement cintré. Et comme tous dingos ,ce ne sont pas les principaux intéressés qui
s’en aperçoivent les premiers, mais ceux qui les subissent .Et quand on sait le nombre de personnes qui s’y adonnent ,plus les effets conjugués avec certaines pratiques idéologiques ou religieuses et l’effet cocktail mélangé avec plusieurs substances, on ne peut être étonné que cela ait un effet notoire sur la société. Mais sur ce phénomène, quelques informations médicales pour plaindre le pauvre toxico, mais peu de réflexions sociologiques au contraire de l’alcool dont l’abus a suscité maintes études et stigmatisations y compris par rapport au coût pour la sécurité sociale . Une certaine omerta règne sur l’impact que les effets des drogues peuvent avoir sur nos choix ,nos comportements , notre caractère, nos sentiments et collatéralement ,sur nos caisses sociales et nos impôts par la délinquance, due non seulement à sa consommation, mais aussi à sa vente ,et les passages à l’acte dans des agressions qui sont permis par l’effet désinhibiteur du produit et donc son coût en matière de justice , de police et de détention.
Et aussi ce que engendre son addiction dans certains milieux sociaux . Il est clair que cela pose des problèmes différents chez le bobo, que chez le prolo ou encore chez le travailleur que chez l’étudiant, où on peu s’apercevoir que les uns ont du mal à se concentrer, quand cela créé l’absentéisme et le manque de fiabilité au travail chez l’autre, si bien que l’on ne peut lui faire confiance, et à la mesure de toute une population ,cela devient particulièrement problématique. Pourquoi les politiques sur ce sujet ,sont-ils gênés aux entournures ? C’est aisément expliquable puisque cela concerne majoritairement une clientèle qui vote à gauche, pour ce qui est du consommateur, quand l’offre s’est développé conjointement à l’immigration concernant l’autre panel votant à 90% pour un hollande ou un macron. Partant du principe qu’un problème qui n’est pas sérieusement identifié et diagnostiqué ne peut-être réglé et donc créé une paralysie et partant aussi de l’adage que ce qui n’est pas stoppé ,avance et dans notre cas empire, il ne faut plus s’étonner des effets notoires que nous ressentons sérieusement sur notre société qui nous semble complètement anesthésiée sur les sujets qui interessent proritairement les Français et même les angoissent. Ce n’est pas pour cela que l’on doit voir le dealer du coin , il y a encore de très bons médecins qui savent évaluer les effets notoires des médicaments qu’ils nous prescrivent!
Je ne sais pas ce qu’ils s’est passé pour cette enseignante mais il est certain qu’il est urgent d’agir, ce n’est plus possible, et il faudra bien que la FCPE se plie (la dissoudre pour « Troubles à l’Ordre Public » ?).
Il y a un commentaire qui dit que Sarkosy avait pensé à des mesures (je ne serais pas étonnée, j’étais sur le terrain et j’en ai vues qui n’ont pas été respectées) et que Fillon aurait écrit des livres se voulant prendre les choses en mains au sujet de tout cela (du coup, je ne serais pas étonnée de ce qui lui est arrivé…. car je n’y ai jamais cru pour ma part connaissant les règlements de compte de politiques).
« École : 900 cas d’atteinte à la laïcité entre avril et juillet »
https://www.lepoint.fr/education/ecole-900-cas-d-atteinte-a-la-laicite-entre-avril-et-juillet-24-09-2019-2337356_3584.php?M_BT=2525525865047#xtor=EPR-6-%5BNewsletter-Mi-journee%5D-20190924
« On » ne nous dit pas tout… et quand un politique est rejeté il faudrait creuser à deux fois avant de suivre les accusations.
D’ailleurs, bien souvent, il est à remarquer pour nuire et donc neutraliser « on » utilise ce qui marche bien avec les Français : « l’argent »…. et ceux qui en auraient trop ou qui auraient piqué dans les Caisses (comme si l’Etat était un exemple à ce sujet…), là on est sûr qu’ils vont hurler sans même regarder de quoi il en retourne vraiment.
Ce sont surtout les gauchistes qui ont un problème avec l’argent.
Jaloux de celui des autres, ils sont avides de celui qu’ils peuvent engranger en occupant sans travailler des emplois fictifs, publics ou dans des « ONG » plus ou moins bidons. Leur « job »: « militant » professionnel, autrement dit glandeur et parasite vivant aux crochets des autres. La cigale qui réussit à traire la fourmi.
Remarquons que les gauchistes sans sans pitié et d’une moralité inflexible envers les riches (simplement parce qu’ils ont du pognon, forcément « volé »), envers les « fraudeurs » du fisc, c’est-à-dire envers les matraqués à qui on prend de l’argent pour alimenter les caisses de l’État, et une indulgence infinie pour ceux qui reçoivent indûment l’argent de ce même État et le détournent et l’accaparent via la fraude sociale ou les associations et autres ONG fictives grassement subventionnées.
J’ai entendu ainsi plusieurs politiciens gauchistes et plusieurs syndicalistes justifier la fraude sociale avec des propos ahurissants.
En réalité, on voit bien leur raisonnement : il faut prendre l’argent des « riches »pour qu’ils puissent eux en bénéficier. Ce sont de modernes Robin des Bois, ils prennent dans la poche des riches pour le mettre dans la leur.
« En réalité, on voit bien leur raisonnement : il faut prendre l’argent des « riches »pour qu’ils puissent eux en bénéficier. Ce sont de modernes Robin des Bois, ils prennent dans la poche des riches pour le mettre dans la leur. »
Alors là, on ne peut pas mieux dire.
C’est comme lors de la Révolution Française, la bourgeoisie active (« derrière » les barricades bien sûr) à nourrir la révolte du Peuple, s’est montrée tout aussi active à s’approprier les titres de noblesse une fois les nobles neutralisés.
Ce sont les « ascendants » finalement des Robin des Bois modernes (j’aime bien l’image) qui suivent à la lettre la dynamique de leurs ancêtres.
Pas de changement en fin de compte (je l’ai dit souvent, j’ai l’impression que la Révolution n’est pas terminée dans la tête de certains), juste des places qui changent, les humains en question eux, toujours les mêmes.