Prison de Réau : blues des surveillants ; la direction autorise tout aux détenus, du transat à la chicha !

 

La direction autorise tout aux détenus ! Les surveillants abandonnent.
La gestion du quartier maison centrale du centre pénitentiaire de Réau soulève beaucoup de questions, un syndicat dénonce des décisions absurdes qui seraient prises dans ce quartier dit de « haute sécurité ».
Pour avancer leurs propos, les surveillants ont établi une liste d’objets livrés par colis à la prison où se trouvant dans les cellules des détenus, Friteuse, Blender, gants de boxe et équipements de protection, corde à sauter, MP3, MP4, Ipod, Oreillette Bluetooth, Climatiseur portatif, chauffage d’appoint, four, four à micro-ondes, aspirateur, ventilateur, transat, CD gravés, graveur de CD, matelas à mémoire de forme non ignifugé, oreiller à mémoire de forme, Chicha, nourriture. Ils dénoncent également l’autorisation donnée à un détenu de financer 4 fauteuils pour meubler une cabine parloir ou à un autre de pouvoir financer une cuisine équipée pour une salle commune.
Le syndicat dénonce également des autorisations qui seraient accordées comme celle pour des détenus de secteurs censés être totalement hermétiques à se rassembler lors d’activités sportives ou encore de laisser toutes les portes du quartier disciplinaire ouvertes pour qu’un détenu accède librement au téléphone et à la cour de promenade, justifiant cette pratique par la création d’une note de service. Des détenus seraient également autorisés à se rendre aux Unités de Vie Familial ( UVF ) avec une partie de leur matériel électronique type lecteur MP4 et des casseroles… Un surveillant de l’établissement travaillant dans ce quartier aurait déclaré « J’ai abandonné, les rôles sont inversés c’est moi qui suis en cellule et j’attends mon heure de sortie à chaque service »
https://actupenit.com/2019/08/07/reau-la-direction-autorise-tout-aux-detenus-du-transat-a-la-chicha-les-surveillants-abandonnent/
En 2013 déjà, popote et rapprochements entre criminels  (pizza en cellule  !)…https://www.europe1.fr/societe/A-Reau-la-prison-du-laisser-aller-544940

 
CHRONIQUES DE LA PRISON DE REAU
JANVIER 2019
Le détenu de 100 kilos avait frappé six gardiens de la prison de Réau.
Le colosse de deux mètres qui avait frappé plusieurs surveillants de la prison de Réau a écopé de 18 mois de prison ferme, le lundi 14 janvier.
Sa seule apparition dans le box, encadré par quatre solides gendarmes encagoulés de noir, tête inclinée pour passer le portique et les poignets entravés à la ceinture, commence déjà à faire peur. Ensuite, l’énumération sans fin des délits inscrits sur son casier ainsi que l’évocation des faits de violence pour lesquels il comparaissait ce lundi 14 janvier, au tribunal correctionnel de Melun, achèvent d’inquiéter.
Un colosse
On se dit qu’avec un tel colosse de plus de deux mètres, pour cent kilos de muscles parfaitement entretenus quotidiennement en détention, les six gardiens de la prison de Réau qu’il a mis au tapis, ont dû passer un sale quart d’heure.
Ce ne sont pourtant pas des gringalets, ni même des débutants dans la profession. Mais ils le confessent à la barre : « Un tel déchaînement et un tel niveau de violence, ils n’avaient jamais vu ça». Sans signe avant-coureur, sans conflit préalable. Cela ne les a d’ailleurs pas empêchés de faire face. Courageusement.
La vidéo de surveillance qui a filmé l’agression en témoigne : une bagarre d’une incroyable violence contre un adversaire hors de proportion.
La scène a laissé d’importantes taches de sang dans le couloir et notamment une mare de 50 cm de diamètre, ainsi que le relèveront les constatations. Sans parler des blessures sérieuses occasionnant jusqu’à trois semaines d’arrêt de travail et un traumatisme psychologique sur des personnels de la pénitentiaire qui, pourtant, en ont vu d’autres.
Bête fauve
Rien ne semblait indiquer ce jeudi 1er novembre 2018, que Ruddy T. allait se transformer en bête fauve. Nouvellement arrivé à Réau après un transfert de Caen, également pour violences – il semblait calme, détendu, alors qu’il venait de réclamer une sortie de cellule pour aller téléphoner à sa famille depuis la cabine située dans le couloir. Il est 10 heures, ses gardiens le fouillent au moment de l’extraction comme c’est la règle pour un DPS (Détenu particulièrement surveillé) à l’isolement.
Il se laisse docilement emmener vers la cabine. Une fois, dans le couloir, il se retourne brutalement et décoche au gardien qui est sur ces talons, un formidable direct au visage. « Un coup pour assommer », dira la procureure, sur la base de l’enregistrement vidéo. Puis sautillant sur place en mode combat de boxe, il passe à l’attaque face à des surveillants qu’il domine de deux têtes.
L’un d’eux a le temps de déclencher l’alarme. Ensuite il faut tenter de maîtriser Ruddy T. L’un des gardiens réussit à le plaquer au sol mais reste bloqué sous le forcené, écrasé sous les cent kilos de muscles qui se débattent avec frénésie.
Les renforts arrivent. Trois autres gardiens se jettent dans la mêlée, il n’en faut pas moins pour avoir le dessus après de longues minutes. « Je peinais à lui passer les menottes vue la taille de ses poignets », dira l’un d’eux. À leur arrivée, bien plus tard, les pompiers ne pourront même pas l’approcher tant il demeurera surexcité.
Pour sa défense, le prévenu a évoqué « des paroles qui lui ont été dites et répétées par l’un des gardiens depuis la veille de l’altercation » : « des paroles qui ont causé chez moi un choc émotionnel ». Il n’en dira pas plus.
Puis sur un ton encore plus énigmatique : « la prison, c’est comme les quartiers, si on touche à ton pote… »
La procureure cherchera bien à en savoir davantage, mais en vain : ce qui provoquera immédiatement une montée de fureur du prévenu, obligeant les gendarmes de sa garde à resserrer le dispositif.
MAI 2019.
La femme d’un détenu a été violemment rouée de coups au niveau de la tête par son compagnon au parloir de la prison de Réau (Seine-et-Marne). La jeune femme est dans un état grave, son pronostic vital est engagé.
Un détenu a violemment agressé sa compagne qui était venue lui rendre visite à la prison de Réau, en Seine-et-Marne, et celle-ci, très gravement blessée, a dû être transportée par hélicoptère à l’hôpital, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
« L’agression s’est déroulée lors d’une visite au parloir » samedi après-midi, a indiqué une source pénitentiaire, confirmant une information du Parisien. « Les surveillants ont entendu du bruit et sont allés voir, c’est alors qu’ils ont découvert l’agression ».
« Le détenu a roué de coups sa compagne au niveau de la tête », a précisé cette source. Selon le syndicat FO, « il sautait à pieds joints sur la tête de sa compagne ». « Jamais un tel déchaînement de violences ne s’est produit dans nos murs », affirme le syndicat dans un communiqué.
Le détenu avait été condamné pour vol avec violence.
Évacuée par hélicoptère, la victime âgée de 27 ans a été hospitalisée dans un état grave. Selon FO, son pronostic vital était engagé samedi soir. Incarcéré depuis un an, le détenu a notamment été condamné pour un vol avec violence.
Selon Le Parisien, la visiteuse venait de dire au détenu qu’elle allait le quitter. « ”Elle m’a trompé”. Ce sont les déclarations du détenu pour motiver son acte », écrit FO.
Le syndicat demande une prise en charge psychologique pour les surveillants qui ont été confrontés à ces « faits inqualifiables » et la mise en place d’une « brigade parloir dédiée ».
 
MAI 2019.

Seine-et-Marne: l’escroc continue à berner les personnes âgées depuis sa prison

Cet homme, déjà condamné à dix ans de prison au tribunal de Meaux l’an dernier, arnaque ses victimes par téléphone en se faisant passer pour un policier.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/seine-et-marne-l-escroc-continue-a-berner-les-personnes-agees-depuis-sa-prison-02-05-2019-8064723.php
Réau = l’administration se met en quatre pour les animations !
Florilège…

Le Louvre vient à Réau

(Oct. 2018) Seine-et-Marne. Le Louvre s’expose à la prison de Réau

Une exposition présente une vingtaine d’œuvres prêtées par le musée du Louvre, à la prison de Réau.

Marcher, courir, galoper, bondir, bouger avec son corps : la question de l’esthétique du mouvement a traversé la pensée de nombreux artistes à travers les âges, de la Grèce antique au monde contemporain. C’est le thème de l’exposition qui se déroule jusqu’au 20 janvier, à la prison de Réau. Une vingtaine de représentations d’œuvres de peintures et de sculptures du musée du Louvre ont été, en effet, installées dans un espace de circulation afin de pouvoir bénéficier à un maximum de détenus.

“Mission de service public”

Le but : pousser ses propres murs intérieurs et changer les regards portés sur l’incarcération. Les prisonniers peuvent ainsi (re) découvrir les chefs-d’œuvre de François-Joseph Bosio, de Guido Reni ou de Daniele da Volterra. « Que ces œuvres puissent accompagner chacun d’entre vous comme elles nous accompagnent chaque jour », a déclaré Anne-Laure Béatrix, la directrice des relations extérieures du musée du Louvre, lors du vernissage de l’exposition qui se déroulait mardi 23 octobre. Et Séverine Muller, chargée des publics empêchés au musée du Louvre, de poursuivre : « Nos collections sont ouvertes à tous, sans oublier aussi ceux qui ne viennent pas pour des raisons diverses. Une façon de mettre l’art au service de la cité. Créer ce lien, c’est notre mission de service public et c’est l’essence même du musée du Louvre. »
Et Arnaud Soleranski, le directeur du centre pénitentiaire, de conclure : « La prison de Réau a beaucoup fait parler d’elle ces derniers temps, mais pas pour la bonne cause*, a-t-il démarré, faisant allusion à l’évasion de Rédoine Faïd, en juillet dernier. Heureusement, nous faisons aussi des choses bien. Souvent, les détenus cumulent les handicaps qu’ils soient scolaire, culturel, économique ou affectif. L’administration pénitentiaire est un service public. À ce titre, nous devons apporter un certain nombre de prestations. »
*Le 1er juillet 2018, Redoine Faïd s’est évadé de la prison de Réau avec l’aide de deux complices arrivés en hélicoptère. Ils ont découpé des portes à la disqueuse afin de libérer le braqueur multirécidiviste
https://actu.fr/ile-de-france/reau_77384/seine-marne-louvre-sexpose-prison-reau_19270051.html
Une prison habituée à jouer les musées…
Le centre pénitentiaire ultramoderne de Réau, en région parisienne, compte parmi ses 800 détenus “le roi de l’évasion” Antonio Ferrara ou le militant indépendantiste corse Yvan Colonna.

“La prison de Réau est  une antenne provisoire des musées Picasso, Guimet, du Quai Branly ou encore du Museum d’histoire naturelle de Paris.”  Source

Le temps de cette exposition,  neuf détenus condamnés à de lourdes peines sont devenus commissaires artistiques. Moussa, Djamal et Abdelmalek présentent les objets – tableaux, photos, originaux prêtés par différents musées français – qu’ils ont sélectionnés par Internet. Un espoir pour “changer d’horizon”, une façon de “s’évader”
https://actu.fr/ile-de-france/reau_77384/le-centre-penitentiaire-se-transforme-musee_6657496.html
https://www.francetvinfo.fr/societe/video-l-art-s-invite-en-prison_422931.html
Cours de danse…et spectacle
En parallèle, une dizaine de détenus et une quinzaine de danseurs amateurs et professionnels présenteront vendredi 26 octobre une chorégraphie de quarante minutes devant des surveillants, des proches, le service de probation et d’insertion… Mardi, ils ont donné un aperçu de leur travail, préparé depuis cet été avec l’Atelier de Paris, la compagnie Point-Virgule et la chorégraphe Claire Jenny qui intervient depuis près de vingt ans en milieu carcéral.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/reau-77550/seine-et-marne-ca-bouge-a-la-prison-de-reau-grace-au-musee-du-louvre-25-10-2018-7927662.php

Avril 2019

Deux prisonniers du centre pénitentiaire du Sud francilien, à Réau, ont été sélectionnés pour participer à la septième édition du raid Paris-Roubaix en VTT.

Deux détenus de la prison de Réau seront, en effet, sur la ligne de départ du raid Paris-Roubaix, le dimanche 5 mai. Cent vingt-cinq kilomètres sur routes pavées, chemins de campagne et quelques kilomètres de bitume. Pas de tout repos.
Alors, en attendant le jour J, le tandem s’entraîne d’arrache-pied pour parvenir à boucler cette course hors du commun.
Huit sorties de préparation, entre 75 et 90 kilomètres, ont été programmées par le biais de permissions, en complément des entraînements en détention sur un « home-traineur »Les détenus seront encadrés par deux surveillants mais aussi par Eric Leblacher, ancien champion de France.
https://actu.fr/ile-de-france/reau_77384/seine-marne-deux-detenus-la-prison-reau-roulent-le-paris-roubaix-vtt_23453835.html

MAI 2019

Européennes : à Réau, des détenus ont voté entre les murs de leur prison.
Conformément à la loi du 23 mars dernier, des isoloirs ont été installés dans  les centres pénitentiaires afin que les détenus qui en ont fait la demande puissent y accomplir leur devoir citoyen. A Réau, une cinquantaine ont voté aux Européennes.

MAI 2019 

Course à pied des 10 km de Sénart : trois détenus parmi les coureurs

Parmi les 2 500 coureurs du 10 km de Sénart, mercredi, trois détenus du centre pénitentiaire de Réau (Seine-et-Marne). Depuis un mois, ils préparaient ce rendez-vous avec sérieux…

http://www.leparisien.fr/sports/ile-de-france/10-km-de-senart-trois-detenus-parmi-les-coureurs-02-05-2019-8064327.php

Bonus

Prison de Réau : un concert pour les détenus (mai 2019)


(2016)

La prison de Réau a accueilli  un gala de boxe auquel ont participé plusieurs détenus. Une inititiative d’un club de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).


http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/les-detenus-montent-sur-le-ring-23-09-2016-6143261.php
Pour le badminton c’est ici : http://www.ffbad.org/badminton-pour-tous/tous-au-bad/retour-des-territoires/partout/
Les séances se composent d’un échauffement, d’une partie physique, de badminton bien sûr et aussi de renforcement musculaire et d’étirements. «Le badminton est un sport qui est facile à mettre en place en prison, simple d’accès et dans lequel on a vite des sensations. Les détenus peuvent se défouler rapidement et ça change du football, de la boxe ou du basket» 

  • Ce florilège est une sélection : on a aussi des ateliers “informatique”, l’opération  “Nuit de la lecture” pilotée par le ministère de la culture, des intervenants “photo” ++++ toutes sortes d’activités socio-culturelles.

 

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7 Commentaires

  1. eh bêêêêh!!!!
    ils ont bien plus de distractions que le péquin moyen qui va bosser tous les jours pour gagner sa pitance,
    et quel gaspillage ! lmama mia !
    , ils doivent se fendre la poire, devant des œuvres auxquelles ils pigent quedal, mais au moins, ça leur permet de s’évader et de se considérer comme s’ils étaient à l’extérieur, n’est-ce pas le but recherché ???
    il n’y a pas de prison, juste un intermède dans leurs activités délictueuses, au frais de leurs victimes abandonnées, intermède durant lequel, ils reprennent des forces et préparent leur futures actions, nouant des contacts qui peuvent se révéler productifs
    miam ! y a bon les prisons françaises!!

  2. Cette prison est à l’image de ce que devient la France,et à nos frais. Les Français baissent les bras,macron se marre et les musulmans islamisent notre pays,en nous imposant leur volonté. Et nous,nous continuons de constater cette transformation spectaculaire de notre pays,en nous connectant chaque matin sur internet. J’en fait partie,bien sûr,mais je pense que nous devrions tous nous rassembler,avant qu’il ne soit trop tard,afin de nous révolter concrètement,face à cette destruction de notre pays et de notre peuple. Une autre chose,que je tiens à dire,et dont personne ne parle très souvent,mais qui à son importance,pour la survie de notre peuple;en me promenant,le soir,je vois de plus en plus de jolies filles,bien de chez nous,avec tous ces migrants,à peine arrivés,et qui ont tout ce qui leur faut;alors que de très nombreux jeunes Français désespérés,continuent de mendier,dans nos rues,en compagnie de leur chien,et sans espoir de construire une famille. N’y a t’il pas là,de quoi se révolter,et de renvoyer tous ces étrangers chez eux.? (sans oublier, bien sûr, de remettre en place toutes ces salopes qui se font baiser par nos envahisseurs, et pondront des petits métis, dont peut-être des voyous) C’est aux hommes de se réveiller, car c’est sûrement pas les féministes qui sauveront notre pays; au contraire..!

  3. Il n’y a même pas de mots… En plus, tout ça gratuitement aux frais des Français (les vrais)…. Je pense au chauffage d’appoint notamment que je ne me permets même pas de mettre chez moi tant cela consomme de l’électricité devenue de l’or pur sur les factures autant qu’injustifiées vu le service rendu qu’innommables….

  4. La justice eb France est entre les mains des femmes :avocats,magistrats,juges ,procureurs etc …
    Les gars se marrent : une petite leçon de morale et hop en liberté !
    Pour ceux qui passent par la case prison ,c’est les grandes vacances pour un temps ,sur un jugement “assorti de soins ” .Une fois que la juge a prononcé ces mots bouhhhh ,ça fait peur au type qui saute à pieds joints sur la tête ou le ventre de sa femme enceinte ,
    Mais il se marre !
    Dans les prisons américaines c’est pas la fête à neu neu .Récidive ou pas (chez les psyhotiques il y a toujours récidive ) ,c’est sûr que cela ne leur laissera pas un goût de revenez-y .

    • Effectivement il serait très utile de se servir un peu plus de ce genre de suppositoire

  5. devant des violents comme “RUGUOSY T” il existe des suppos calmants qui t’ empêchent de vivre aussi longtemps que Jeanne du même nom….
    c’est conique, ça pèse en genéral 45 grammes et en métal, et pas besoin du fion pour s’ enfoncer
    ça se plante entre les deux yeux et ça donne une étoile sanglante
    impressionant…….

  6. On comprend bien pourquoi les ordures veulent toutes être jugées en France, c’est la belle vie et l’hôtel 4 étoiles assurés!! La France est un pays où plus t’es une ordure plus tu es bien considéré et bien traité.. Et pendant ce temps les victimes crèvent dans leur coin oubliées de toutes les institutions et associations de merde

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