Illustration : cette campagne date de 1981, autant dire de la préhistoire eu égard à l’islamisation de notre société. Imaginez-vous la même campagne actuellement ?
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Intéressant article de Causeur qui commente le dernier sondage ifop. On notera avec révolte mais sans surprise le remplacement de « seins nus » par « topless » qui en dit long sur l’anglicisation de notre langue mais aussi, et surtout -l’un ne va pas sans l’autre- sur la pudibonderie qui se développe.
https://drive.google.com/file/d/0B5URtBPVjWmhS3lCNm02QVg0RFByWk12MUpPbUNyX01zcFBn/view
Demain j’enlève pas le haut!
Le topless disparaît, interdisons au moins le burkini…
Un sondage IFOP montre que la pratique du topless diminue en France, alors que les burkinis ont fait leur apparition… 73% des Français souhaitent l’interdiction du burkini dans une piscine publique. Un rejet massif.
Tiens donc, les Français deviendraient-ils de plus en plus pudiques ? À la lecture des chiffres de l’enquête publiée par l’Ifop ce jour pour le site Vie Healthy, oui!
Voici enfin le sondage sur le burkini que nous attendions ! Il tombe à point nommé, après les incidents de Grenoble et alors que nous préparons maillots de bain et lotions solaires pour rejoindre les plages.
La première fois que l’on mesure le rejet du burkini
Force est de constater que la bêtise puritaine n’attend pas le nombre des années. Le rejet du “topless” sur les plages augmente et l’acceptation des tenues de bain “islamiques” semble acquise dans notre jeunesse – qui ne perçoit pas bien en quoi le burkini est un problème politique – et prône au contraire le « respect ». Leurs ainés habitués au topless des années 70, sont plus circonspects.
75% des Français sont dérangés par la vue d’une femme en burkini dans une piscine publique. 73% des Français souhaitent son interdiction dans une piscine publique et 66% veulent qu’il soit interdit sur les plages
Sans grande surprise, 75% des Français sont gênés par la vue d’une personne en burkini à la piscine municipale. Un rejet massif, beaucoup plus faible chez les jeunes donc, et qui ne saurait s’expliquer par la prétendue “islamophobie” des citoyens, assimilée à un racisme, dont des associatifs et des militants de gauche ne cessent de nous parler, dans une logique de communautarisation qui leur est profitable.
Sur les plages, ce sont 68% des Français qui se déclarent également gênés par le maillot en vogue chez les islamistes. Selon François Kraus de l’IFOP, il est frappant de constater “la plus forte intolérance des Français à l’égard des formes de voilement des corps féminins sur la plage qu’à l’égard des formes de dénuement”… Mais on va le voir, les temps changent…
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Le sondeur précise son analyse : “Concrètement les gens sont bien plus choqués par une femme qui porte un burkini, que par une femme qui pratiquerait le naturisme”. Si les polémiques déclenchées par des groupes provocateurs sont nouvelles, ce rejet massif lui ne l’est pas tellement. “Même si les formulations étaient différentes, nous avions déjà mesuré à l’IFOP en 2016 que 64 % des Français soutenaient les interdictions du burkini sur la cote, des arrêtés municipaux ayant suivi l’affaire de la plage de Sisco en Corse. On voit qu’on est passé de 64% à 66 %, ce qui est grosso modo le même chiffre, même si les questions n’étaient pas parfaitement identiques”.
Evolution des normes de pudeur
Pour les Français, cette forme de voilement des corps sur les plages – dédiées à la base aux bains de mer et de soleil ! – apparaît comme contradictoire avec l’espace même : “une forme de nudité apparaît comme légitime pour la majorité à la plage!” explique François Kraus.
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Oui, mais parallèlement à ce très large consensus des Français autour de la volonté de bannir des accoutrements à connotation religieuse sur les plages (et encore plus dans les piscines municipales), on observe que les normes de pudeur évoluent. Par exemple, une diminution de la pratique du topless est constante ces dernières années.
“Il y a certes l’impact des mises en garde médicales liées à l’exposition au soleil, mais cela n’explique pas tout. Une gêne croissante à la vue d’une femme ayant les seins nus sur la plage est mesurée” explique François Kraus. “Concernant le naturisme, sa pratique gène désormais 7 femmes sur 10 à la plage, alors qu’elles n’étaient que 48% il y a 10 ans… Concernant le topless, 29% des femmes sont gênées par la vue d’une femme seins nus sur la plage. Elles n’étaient que 22 % il y a 10 ans. On observe clairement un recul de la liberté des femmes à se dénuder – partiellement ou intégralement – sur les plages, et ceci alors même qu’il s’agit d’un espace dédié aux bains de soleil!”
Insécurité culturelle
“Notre enquête montre que les femmes n’enlèvent plus le haut sur les plages en été, pas uniquement à cause du facteur sanitaire pour la peau, mais aussi pour le risque d’agression. Il y a clairement la crainte de susciter un désir qui pourrait ensuite déboucher sur une agression verbale, physique ou sexuelle” explique le sondeur. “J’appelle cela Me too and the beach! Les pressions qui s’exercent dans la rue où les transports en commun en priorité sur les femmes de moins de 25 ans se retrouvent à la plage. Les femmes ressentent le regard concupiscent des hommes, mais aussi le jugement moral des autres femmes, qui sont souvent celles qui rappellent à l’ordre de manière subtile ou inconsciente les femmes qui oseraient se dévoiler… »
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Une femme de moins de 25 ans sur 2 révèle en outre que c’est par crainte d’une agression qu’elle n’a pas fait de topless ces 3 dernières années. Assiste-t-on à la fin de la parenthèse enchantée, à un raidissement général des mœurs ou à l’ensauvagement des plages françaises ?
“Au sens strict, la parenthèse enchantée est terminée depuis longtemps avec l’apparition du sida” corrige François Kraus. “En revanche, oui, les jeunes femmes ont intériorisé le risque de rappel à l’ordre dans le cas où elles dénuderaient leurs poitrines comme pouvaient le faire leurs mères dans les années 70-80… Je pense aussi qu’il y a un effet communautaire qui joue sur les résultats de cette étude.” En effet, l’enquête montre très clairement que les minorités ethniques maghrébine, subsaharienne et musulmane au sens large sont nettement plus réticentes et conservatrices dans leur acceptation du nu dans notre espace public. François Kraus précise enfin que la crainte des critiques négatives sur le physique est également plus présente qu’autrefois. Réseaux sociaux, presse féminine et pornographie où règnent des corps parfaits ont fait leur œuvre. Pour se montrer dénudé, la jeune génération pense qu’il faut avoir le corps parfait. “Ne pas correspondre aux standards de beauté constitue une crainte, alors que le culte de l’apparence et du corps parfait règne” précise François Kraus.
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Demain, quelles interdictions?
Concernant le burkini, il y a une volonté claire de l’opinion de légiférer pour son interdiction. 73% des Français veulent qu’il soit interdit à la piscine publique, et ils sont 66% à vouloir une interdiction aussi à la plage.
Cette volonté est d’autant plus forte que le citoyen sondé se situe à droite de l’échiquier politique, évidemment! 9 électeurs sur 10 de Le Pen ou de Fillon souhaitent l’interdiction. “Tous les votes sont pour l’interdiction, même chez Hamon (62%) ou Mélenchon (59%) ! Ce sont pourtant les candidats qui attirent le plus le vote des minorités en question”signale l’IFOP. Le maire de Grenoble, Eric Piolle, pourrait y penser avant de renvoyer la question de l’interdiction du burkini au gouvernement et de baisser les bras devant les perturbations qu’il rencontre…
“Entre voilement et dévoilement, nous sommes sur une problématique non seulement sociétale mais également politique : la liberté des femmes à ne pas cacher leur corps dans l’espace public en s’affranchissant notamment des normes de pudeur imposées par la morale religieuse est un symbole de l’émancipation féminine en France et en Occident”conclut pertinemment François Kraus.
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Rappelons en effet que le topless est interdit dans une majorité de pays dans le monde, dans les pays arabes bien sûr, mais aussi aux États-Unis, par exemple. Si l’interdiction de la burqa chez nous repose dans la loi sur la notion d’ordre public, pour le burkini, l’interdiction dans des piscines relève uniquement d’un argument d’hygiène pour l’instant (comme le caleçon des hommes NDLR), ce qui reste discutable et peut être combattu par les associations communautaristes. Autant dire que la question du burkini risque de se poser de plus en plus régulièrement…
Des batailles de chiffonniers en perspective, d’autant que l’étude nous apprend que 75 % des musulmans pensent qu’il ne faut pas interdire le burkini. Et si vous en doutiez, les mêmes souhaitent aussi majoritairement une loi interdisant le topless en France (54%).
Étude Ifop pour VieHealthy.com réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 11 au 15 avril 2019 auprès d’un échantillon de 5 026 femmes, représentatif de la population féminine âgée de 18 ans et plus résidant en Italie, en Espagne, en France, en Allemagne et au Royaume-Uni
https://www.causeur.fr/ifop-interdiction-burkini-topless-plages-piscines-grenoble-163721
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Cette coexistence de deux sociétés d’ époques différentes, constitue un anachronisme qui conduira immanquablement à la confrontation
Désolé pour cette grosse faute de français,
ce n’est pas l’anachronisme qui coexiste, j’ai fait un raccourci incompréhensible,
deux sociétés aux antipodes, dont l’une reflète le 7ème siècle, et l’autre le 21ème, ne peuvent coexister sans heurt, et surtout pas vivre-ensemble,
la régression que cela demande à la société la plus évoluée , pour se mettre au niveau de l’autre est impensable,
quant à la plus barbare, qui est incapable de se hisser au même niveau, elle cherche à faire rétrograder la première,
la guerre est inéluctable
Il y a incompatibilité sociétale,
ces gens ne font pas partie de notre civilisation et n’en feront jamais partie, tant qu’ils obéiront à leur torchon du 7ème siècle
la différence est trop importante, soit ils s’adaptent, soit ils remigrent,
un anachronisme de cette taille ne peut pas co-exister sur le même territoire
Pas compliqué : ceux qui ne supportent pas la façon de vivre des kouffards qui payent tant d’impôts pour les recevoir et les entretenir, doivent partir vers des pays cultivant leur folklore mahométan !
Oui, nous sommes prêts à payer leurs frais de rapatriement ! A dégager ! Ils ne nous imposeront pas leur vie moyen-âgeuse ! Dehors !
Et tout le monde sera content !
Ce qu’en pense les musulmans, on n’en a strictement rien à cirer, on les emmeeeeerde !
ceux qui ne sont pas contents, la porte de sortie est grande ouverte,
il est bien évident que les seins nus se font de plus en plus rares, de peur d’agression des arriérés muzz qui traînent sur les plages, autrefois si tranquilles,
d’ailleurs en Allemagne, chez la grosse maquerelle, les migrants rentrent agresser les baigneurs dans les piscines de nudistes, en hurlant
alla au bar
Je me souviens de cette affiche de 1981 alors que nous habitions Paris. A l’annonce de la troisième affiche, une délégation de femmes s’est rendue à l’archevêché pour demander une intervention près de la mairie de Paris afin de l’interdire. Cette affaire nous avait franchement fait bien rire. Quant aux seins nus, ils proliféraient à cette époque sur notre petite plage bretonne sans le moindre problème. Mais maintenant, devant l’attitude sexiste des « chances pour la France », les jeunes filles et jeunes femmes deviennent prudentes et c’est très compréhensible.
Mais………………….la France n’en n’a strictement rien à faire de ce que pense les musulmans………………..l’islam s’adapte ou se barre
Les jeunes, grâce à la télé, au lavage de cerveau de l’éducation nationale désormais composée de jeunes profs ignares et déjà formatés eux-mêmes, sont de vrais abrutis, comme le souhaite Macron. Prêts à manifester contre le réchauffement climatique tout en jetant leur sac de MacDo dans la rue, l’oreille et l’oeil en permanence fixés sur leur téléphone mobile. Prêts à accepter toute régression dans le droit du travail, pas choqués par le burkini et au cerveau délavé par la propagande immigrationniste. Bande de petits cons.
« « seins nus » par « topless » qui en dit long sur l’anglicisation de notre langue »
je peux a présent avouer que cette avalanche de termes anglais, qui etait reservée aux semillants garçons qui gravitent autour du pouvoir, histoire d’ exhiber leur « différence » d’ avec les sans dents et les boeufs bien Franchouillards comme moi…, cette irruption dans notre si jolie langue française me désole au plus haut point et laisse deviner un engluement de plus en plus profond dans cette voie funeste..
quand aux attitudes envers le burquini, 75% des français sont contre!
normal, les 23% de musulmans en France sont pour, en complétant avec les
les 2% manquants sont les convertis, qui ne sont pas trop décidés: voilà le compte: 100%
une etude réalisée par mon propre bon sens et mes quelques vagues connaissances de institutions musulmanes ,m’ ont permis d’ analyser les raisons de la conversion de ces Français(es) a l islam
dans 90% des cas c’est l’ attrait et le mariage avec un jolie Halima ou Nadia, les 10% restant se ventilent entre ratés ayant choisi le terrorisme ou bavards impénitents devenant « imam » devant un public religieux ébahi d’ entendre un imam parler si bien le Français !!
sans oublier les eternels « contre tout ce qui est pour et pour tout ce qui est contre », ni les féru(e)s d’ exotisme qui vont au marché le vendredi matin deguisés en Aladin ou Schéhérazade
d’accord avec MACHINCHOSE je suis de plus en plus outrée de tous ces mots anglais qui envahissent nos écrits, notre parler, alors que notre belle langue fut (dans des temps anciens) APPRISE DANS TOUTES LES COURS ROYALES D EUROPE ET DE NAVARRE, qui embauchaient des profs français….nous marchons la tête à l’envers : la langue de Molière ne serait-elle plus à l’honneur?
54% des musulmans contre les seins nus…
bin voyons les muzz si ils peuvent se rincer l’oeil ils ne se gênent pas! à condition que ce soit une blanche et pas leurs frangines!