Sont pas écolos les maîtres-nageurs qui ne laissent pas les djeunes faire leur lessive dans la piscine

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Y’ a pas à dire, un vent de fraîcheur souffle sur les piscines.

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Alors que des « copains » qui devisaient gaiement et sans doute discrètement, quelques énergumènes psychorigides appelés maîtres-nageurs sont venus interrompre le jeu favori, qui consiste à faire sortir un max d’eau du bassin et la distribuer à toutes les personnes au bord. C’est frais et généreux.

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Mais le but des ensifflettés MNS n’était pas de féliciter les « copains » pour leur participation à l’ambiance festive de l’après-midi. Les as du sifflet leur reprochaient une surface de tissu de la tenue de bain excessive par rapport au mètre-carré de bassin : cela peut prendre des formes diverses parfois appelés burqinis, ici on avait affaire à des shorts. Ceux-ci recouvrent la plupart du temps le genou et les couleurs d’origine ont été complétées artistiquement par la crasse accumulée avec patience par le porteur.

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Et là… horreur, méprise : alors que les « copains » étaient dans une démarche écologique-proactive qui consistait à profiter de la sortie du WE pour faire la lessive, et de fait économiser des litres d’eau de lavage, ils se sont fait arrêter dans leur quête pour le prix Nobel de l’environnement…

Les « copains » se sont retrouvés face à une falaise d’entêtement, de braquage, d’obstination alors qu’eux n’avaient soif que de liberté, d’innovation, de créativité bref d’intelligence, que ce qui devait arriver, arriva. Les têtes de linotte ont tellement fait ch..r tous les potentiels doctorants en écologie, que leurs sphincters n’ont plus pu remplir leur rôle. Alors qu’au départ tout était finesse, légèreté, à cause de ces kapos de m….e, deux étrons étaient nés !

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Alors on ne félicite pas les empêcheurs de conquérir en rond, qui entravent les porteurs de short, parce que c’est leur choix. Il ne sont pas conscients qu’il privent peut être quelqu’un d’un peu trop « calmo-vindicatif » de faire la queue  pendant des heures aux urgences surchauffées pour se faire poser des points de suture, offerts généreusement par les scientifiques du lavage ; c’est tellement apaisant !

Autre fois nous aurions dû transpirer sur une copie pour : « racontez une journée de vos vacances » mais là grâce à nos libérateurs en short, le mot d’ordre c’est : nous ne racontons plus rien et surtout fermons nos gueules !

Autre nouveauté, à partir de maintenant c’est : ma liberté s’arrête là où «  Morice » a poussé le bouchon (comptez sur lui pour pousser le bouchon toujours un peu plus loin…..). C’est le miracle du changement en marche.

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