Arrestation de Carola Rackete : festival de manipulations médiatiques dans Sud ouest du 30 juin !!!

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L’édition du 30 juin du journal « Sud ouest » montre bien comment des médias peuvent manipuler les foules afin de les conforter dans leur hostilité vis-à-vis des partis qui accordent un rôle prépondérant au lien de nationalité dans la conduite des affaires politiques, compte tenu des exigences requises pour l’acquérir, et qui considèrent que l’immigration, en particulier musulmane, n’apporte globalement rien d’utile actuellement aux pays occidentaux, en Europe, aux Etats-Unis et au Canada notamment.

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Deux articles offrent à voir un véritable festival de manipulations qui contribue à la dégénérescence des facultés défensives de nos concitoyens, en raison des amalgames qu’ils incitent à faire.

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Un manque d’impartialité, un manque de neutralité, une tendance à confondre l’hostilité vis-à-vis d’une idée abstraite et la haine contre des personnes concrètes, on sait à quel point ces approximations se sont immiscées jusqu’aux prétoires, compte tenu des récits surréalistes que l’on a grâce au présent site des procès de Christine Tasin et Pierre Cassen, notamment…

C’est toute une nation qui est en train de devenir « teubé », pour parler « djeun’s », et c’est très grave !!!

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Le premier  concerne l’arrestation du capitaine du Sea-Watch qui a forcé l’accès au port de Lampedusa malgré l’interdiction résultant d’un décret de Salvini.

https://www.sudouest.fr/2019/06/29/migrants-la-capitaine-du-sea-watch-arretee-en-italie-apres-avoir-accoste-de-force-a-lampedusa-6275503-6116.php?fromsar=memeSujet

Le second  article concerne l’immigration vers le Canada.

https://www.sudouest.fr/2019/06/29/au-canada-les-immigrants-sont-de-moins-en-moins-les-bienvenus-6276064-4803.php

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Concernant l’arrestation de Carola Rackete, si l’édition du 29 juin en ligne fait état d’une hostilité de certains Italiens à l’égard du capitaine du navire transportant des migrants, l’édition papier du 30 juin comporte de curieux ajouts.

« Sur le quai, des habitants et militants sont venus acclamer l’arrivée du navire, tandis que d’autres ont applaudi l’arrestation aux cris de « Les menottes ! », « Honte ! », « Va-t’en ! » »

Complément de l’édition papier :

« J’espère que tu vas te faire violer par ces nègres » !!

Bref, forcément, les anti-immigration sont de vulgaires racistes… Comment se fait-il que cet ajout se trouve dans un des articles mais pas dans l’autre, pourtant son frère jumeau ? Qui a ajouté cette phrase ? A-t-elle vraiment été prononcée ? Et si oui, cela valait-il le coup de s’en faire l’écho, tant le propos raciste d’une ou quelques personnes ne reflète pas forcément les raisons profondes d’une politique, celle menée par Salvini ?

De plus, Matteo Salvini se voit gratifier dans l’édition papier de l’étiquette « extrême-droite », comme si le fait de vouloir protéger son peuple dans un contexte sécuritaire et économique particulièrement dégradé relevait en soi d’une idéologie rétrograde…

Un journaliste impartial se serait gardé d’utiliser cette étiquette quelque peu infamante : que nous importent les catégories politiques ? Ce qui compte, ce sont les actions réalisées. D’ailleurs, les tribunaux connaissent régulièrement de contestations quant à la qualification « extrême-droite » dans les classements du ministère de l’Intérieur, les lignes politiques sont tellement bouleversées face à l’islamisation de nos sociétés que l’utilisation de cette qualification qui n’est pas neutre dans l’histoire politique française requiert la plus grande prudence. http://resistancerepublicaine.com/2018/05/06/quand-le-conseil-detat-doit-decider-si-lappellation-extreme-droite-est-legitime/

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En effet, on peut difficilement trouver plus extrême-droitiste, anti-droits de l’Homme que la charia en matière politique…

Quant à l’article sur le Canada, intitulé « Au Canada, les immigrants sont de moins en moins les bienvenus », il ne vaut guère mieux.

Ludovic Hirtzmann est-il un journaliste ou un militant politique ? Son article passe presque pour un plaidoyer…

Cela commence par des données objectives, même si dès le départ, le journaliste choisit de mettre en avant le retour de « la haine » au Canada :

Le solde migratoire s’est accru, sous le gouvernement Trudeau, mais les Canadiens sont de plus en plus réticents à l’idée de recevoir davantage d’immigrés

« Est-ce que les élections générales d’octobre 2019 seront les élections de la haine ? », a titré récemment la chaîne de télévision canadienne Global News. Un sondage publié par l’institut Léger, à la mi-juin, révèle que 63 % des Canadiens et 64 % des Québécois souhaitent une réduction de l’immigration. Le Canada, connu pour son apparente tolérance, change de visage. En 2017, une étude des universités de Toronto et McGill de Montréal révélait déjà qu’un tiers des sondés estimaient que le gouvernement devait discriminer les candidats musulmans qui souhaitent immigrer au Canada.

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Bref, vouloir renforcer le principe de précaution et faire prévaloir les intérêts de la population déjà installée au Canada, formant une communauté liée par un lien particulier de solidarité (la nationalité), ce serait de la haine… Allez comprendre ! Et pourquoi pas, pourtant, de l’amour pour son prochain, celui qui nous est le plus proche, son compatriote ? Pourquoi les principaux journaux nous offrent-ils si rarement, pour ne pas dire jamais, l’occasion de voir les choses ainsi ?

Le gouvernement de Legault se voit accuser de « surfer sur les peurs », comme si finalement ne pas vouloir davantage d’immigration relèverait forcément de l’irrationnel, voire de la débilité mentale…

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On n’a pas le droit d’avoir une autre opinion qu’eux.

Ne pas vouloir davantage d’immigration, une idée abstraite, devient sous la plume du journaliste une « tendance anti-immigrés », comme si finalement les Québécois allaient mal se comporter avec ceux qui sont déjà installés. Car il y a une différence, cher M. Hirtzmann, entre l’immigration envisagée comme un processus qui a des conséquences économiques, sociales et sécuritaires et les immigrés, des personnes physiques individualisées, qui, une fois qu’elles ont été légalement acceptées sur un territoire, n’ont pas à souffrir de maltraitances ou d’hostilité car c’est le choix d’un peuple. On peut être anti-immigration et tout à fait respectueux des immigrés déjà installés, cela n’a rien à voir !

Par l’adoption récente de son projet de Loi 9 sur l’immigration, le gouvernement du premier ministre du Québec, François Legault, a en partie répondu à cette nouvelle tendance anti-immigrés. Avec un symbole fort. Par le vote de cette loi, qui réduit, pour 2019, le nombre d’immigrés de 20 % dans la Belle province, Québec a aussi jeté à la poubelle les dossiers en attente de 18 100 immigrants, soit environ 50 000 personnes, si l’on compte les proches. La raison officielle ? La mise en place d’un nouveau système de sélection de l’immigration, avec de nouveaux critères.

Surfer sur les peurs

Les 18 100 candidats à l’immigration, dont les demandes datent parfois de 2016 en raison de l’inefficacité des fonctionnaires québécois, ne conviendraient plus aux besoins du marché du travail. Il faut « répondre adéquatement aux besoins du marché du travail par une intégration réussie des personnes immigrantes », a tweeté le ministre de l’immigration du Québec, Simon Jolin-Barrette, au moment du vote de la Loi 9.

« Les fonctionnaires québécois » en prennent pour leur grade au passage, taxés, eux, dans leur ensemble, « d’inefficacité »! Sympa! Comme si l’on traitait 18100 candidatures en un rien de temps… sachant toutes les enquêtes qui doivent être faites si l’on tient à ne pas faire rentrer de djihadistes sur le territoire.

D’ailleurs, juridiquement, il n’y a pas de droit acquis à voir sa candidature examinée, cela relève du domaine des simples expectatives que la loi peut remettre en cause, mais sans doute cette distinction échappe-t-elle à ce journaliste… ou bien préfère-t-il ne pas le dire !

Le Sud-ouest en profite d’ailleurs pour égratigner un peu Marine le Pen au passage, c’est Macron qui va jubiler, il est bien ce journal, très bien, puisque tout opposant au système Macron-Trudeau passe pour un arriéré ayant un « fantasme », des hallucinations, bref, à enfermer !

Afin d’être élu, François Legault a surfé à l’automne sur les peurs des campagnes de voir déferler des immigrants dans leurs villages. Au point d’être chaudement félicité par Marine le Pen (c’est Sud-ouest qui met en gras) lors de son élection. (…) Pourquoi ces peurs relevant du fantasme ? En 2017, quelques dizaines de milliers d’Haïtiens vivant aux États-unis avec des visas temporaires ont fui l’Amérique de Donald Trump pour se réfugier au Québec.

Et de conclure en nous expliquant qu’avec 5% de chômage, le Québec aurait besoin de cette main-d’oeuvre. Comprenne qui pourra, 5%, c’est quand même beaucoup, mais pas assez sans doute pour le patronat avide de main-d’oeuvre à bas coût !!! … et pour ses porte-parole officieux Hirtzmann et Sud-ouest. Et en plus, ça nécessiterait de représenter les différentes ethnies et communautés au sein du gouvernement, là encore on ne voit pas trop le rapport… et ce sont les opposants à cette politique qu’il faudrait enfermer en psychiatrie ???

Depuis son élection, le premier ministre libéral (Trudeau), en opposition à Donald Trump, a voulu donner l’image d’un pays tolérant, tant dans l’accueil des réfugiés que d’un gouvernement de la diversité, avec des ministres d’origine sikh, afghane, iranienne, latino, somalienne, etc. Sans se rendre compte que les citoyens ne partageaient plus ce multiculturalisme qui a longtemps fait la marque de fabrique du Canada.

Alors forcément, si les Québecois sont devenus majoritairement anti-Trudeau, c’est qu’en plus d’être plus ou moins racistes, ils sont jaloux et entretiennent des « ressentiments ». Ah, les vilains, ils ne veulent pas cohabiter avec des gens qui ne parlent pas leur langue et ne veulent pas se mélanger, ils sont fous, ma parole de journaliste ! Car moi, journaliste, je dédaigne l’idée qu’il existerait une identité canadienne, c’est une « prétendue » identité. Journaliste ou militant, encore une fois ?

Au-delà des beaux discours du gouvernement sur une prétendue identité canadienne, le passeport est souvent le seul lien entre les citoyens. Les communautés ethniques vivent entre elles sans se mélanger, d’autant qu’elles ne partagent pas toujours une langue commune, notamment à Montréal, où de nombreux immigrants ne parlent pas français. L’étranger est de plus en plus l’objet de ressentiments et de jalousies.

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On voit bien l’opprobre que fait peser le système médiatique sur les Québécois qui souhaitent vivre avec des gens avec lesquels ils partagent quelque chose d’autre qu’un passeport, avec lesquels ils peuvent avoir une discussion improvisée sur un marché, dans un bus, sur un quai de gare… avec lesquels ils peuvent donc se lier d’amitié ou d’amour, fonder un foyer… en lesquels ils peuvent avoir confiance aussi parce qu’ils ont reçu une éducation similaire à partir de principes de savoir-vivre semblables.

Puisse ce mépris renforcer au contraire le sentiment des peuples à avoir un droit de se dire chez soi.

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10 Commentaires

  1. C’était Québec Solidaire, les chefs sont partis, Françoise David et Amir Khadir. Maintenant je pense que c Manon Massé et on les appelle Québec Suicidaire, pour ceux qui sont en désaccord avec eux.

  2. Il parait que le parti démocratique américain alimente la victimite chez les noirs américains afin de s’attirer un électorat facile en ramollissant les noirs. Des noirs se tournent maintenant vers le parti conservateur américain et dénoncent cette manipulation délétère pour la population noire engoncée dans une dynamique négative. Il y a deux têtes noires américaines super positives à suivre:
    un professeur d’université noir gai arrivé de Jamaïque aux USA avec 120$ en poche, monsieur Jason Hill https://www.frontpagemag.com/fpm/274153/embattled-depaul-prof-jason-hill-joins-freedom-frontpagemagcom, traduction de l’article à partir de l’icône à droite sur la barre d’adresse
    et
    une communiquante noire issue d’un milieu carencé et de criminels, madamoiselle Candace Owens

  3. Il y avait un autre quartier de Montréal au Québec où je passais de temps en temps en autobus, dont j’ai oublié le nom, bien tenu, peuplé de noirs anglophones jamaïcains et autres. L’ambiance dans le bus était radicalement différente de celle des quartiers francophones blancs: tous les passagers, qui étaient noirs anglophones en majorité, bien habillés, tiraient une tronche méticuleusement hyper négative tout le long du trajet dans un environnement matériel absolument pas agressant. Je me suis dis que leurs seuls modèles sont les vedettes noires américaines atteintes de victimite aigue. Ils n’ont pas d’autre culture à arborer dans un environnement socialement et matériellement développé dont ils bénéficient en plus donc pas à se plaindre objectivement.

  4. Je suis tout à fait d’accord avec vous Maxime j’abonde dans les sens que le fait d’être hostile à l’immigration de masse liée soit à des lois de regroupement familial, qui maintenant perdurent depuis plus de 30 ans, soit par le nouveau contexte lié au migrants, n’empêche pas d’ autre part d’entretenir des rapports amicaux avec des gens issus de l’immigration. Au contraire je suis même sûr que l’aggravation de l’envahissement de masse ne peut -être que générateur de tension de blocage d’incompréhension entre population autochtone et immigrée; Plus il y a d’immigrés moins les nouveaux arrivants ont besoins d’avoir des relations avec l’autochtone puisque c’est la diaspora organisée en communauté qui vont les accueillir et les intégrer. Elle favorise parallèlement chez les partisans du remplacement qui ont des intérêts électoraux et financiers évidents ,une propension à créer un contexte de plus en plus liberticide de façon a limiter les possibilités de contestations qui se font de plus entendre à mesure que la pression migratoire est forte.
    Ce contexte est dangereux même pour l’opposant au remplacement dans le sens où il est diabolisé et stigmatisé donc déconsidéré comme un pestiféré,sur lequel, donc, on légitime à l’avance, toute exaction à son encontre!!!!
    Il se trouve fragilisé dans son propre pays parce qu’ayant encore un semblant de fibre patriote. Il faut le faire !
    Bien que sur moi cela fasse l’effet inverse ,cette situation ayant tendance à aiguiller mon esprit de révolte, je sais que sur d’autre persoone ça peut avoir l’effet inverse et créer chez elles une crainte ou un mutisme.
    Et c’est bien le but recherché§ Où sont le vivre ensemble la mixité le métissage recherchés dans ce contexte ou les population entrantes se complaisent et ne se reconnaissent que dans la communauté parce que ne partageant rien de commun avec l’autre et encore moins avec celui qui acceuille. ce qui est relativement normal quand on émigre en grand nombre vers un pays .Cela a été le cas au 19ème siècle aux EU ou le pays s’est constitué en communautés à la différence que le continent américain était immense et le taux de population au KM2 extrêmemnt faible On va jusqu’à juxtaposer des communautés de pays à des commuautés religieuses. vous avez donc le communauté des marocains des Tunisiens ou Algériens et Turcs mais inscrites dans un ensemble qui est la communauté de l’oumma des musulmans ! Et la République Française dans tout ça , elle est où???
    La société est rendu folle par cette situation qui créé une schizophrénie où on veux une chose c’est à dire « le vivre ensemble » et on favorise une autre: le communautarisme qui est le vivre entre soit!!

  5. aux fers dans une oubliette pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi,
    quoi que intelligence soit un bien grand mot pour cette saloperie!

  6. elle porte bien son nom la Racketeuse, !

    une cagnotte a été ouverte pour la soutenir, on imagine qui a pu faire ça ,
    on va la faire passer pour une héroïne, cette sale petite péteuse immigrationniste

  7. Le 23 octobre 1959, ma mère et mes 5 soeurs sommes arrivés à l’aéroport de Cartierville, à Montreal au Québec. Mon père arrivé presque un an plus tôt avait réussi à nous payer les billets d’avion.
    Nous avons été contrôlés et nos passeports  » tamponnes  » comme  » immigrants « RECUS »…….
    Nous avons grandi, étudié et fait notre vie au Canada, pays que j’aime, que je respecte et que je défendrai jusqu’à mon dernier souffle.
    En ce qui concerne les  » migrants  » principalement musulmans, sans qualification, et porteurs de toute la haine qu’ils cultivent depuis leur enfance. Ils forcent les portes de nos pays ( Europe et Amérique du Nord) pas pour s’intégrer, mais pour imposer leur secte diabolique et nous faire payer toutes leurs frustrations.

    • La devise dans le cœur des québécois est « vivre et laisser vivre »: les québécois chérissent la liberté et son respect plus que tout. Les musulmans empiètent sur la liberté de tous, restreignent la liberté, ont des croyances aliénantes imbéciles, sont arrogants, agressent et sont dangereux. Dans l’article le journaliste dit: « L’étranger est de plus en plus l’objet de ressentiments et de jalousies ». Aucun québécois sain d’esprit ne peut être jaloux d’un musulman. Il l’abhorre.
      Jusqu’à ce que je quitte le Québec en 2008, j’avais remarqué qu’avant l’immigration musulmane, un voyage en bus en ville à Montréal était typiquement un moment méditatif de respect mutuel entre voyageurs. Avec les musulmans c’est devenu le voyage de suspicion et de regards haineux. Un jeu que j’avais remarqué c’est le musulman qui s’assoit deux sièges derrière celui où est assise sa femme et il espionne tout le monde d’un air mauvais. Les nouvelles générations d’haïtiens qui polluent les transports en commun sont des racailles consommées souvent proxénètes qui photographient les passagers qui ne détourne pas les yeux comme promesse de harcèlement par quiconque de leur bande présent dans les différentes rames de métro. Dans les années 1970-1980 les immigrants haïtiens étaient pépères et gentils. Les médias parlent des minorités « opprimées » mais on ne parle pas des majorités agressées systématiquement par ces faux opprimés.

      Je ne connais pas le degré actuel de nuisance des « progressistes » au Québec. Mais il y a près de vingt ans j’avais assisté à une réunion par un de ces partis qui mettait à l’avant plan ce qui compte: il y avait ce qu’on appelle au Québec un « homme rose » au micro qui débitait des flatteries exagérées, c’est l’homme hétéro féministe progressiste lobotomisé exclusivement pro-femmes, il y avait une des deux chefs du parti: un homme et une femme pour la parité – l’homme un migrant musulman si je me rappelle bien – avec un livret manifeste pondu par la femme chef ultra égocentrique sur son éminente personne, et l’association des femmes à barbe: apparemment des lesbiennes masculines barbues.

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