Caroline-Christa Bernard : « Notre quotidien est transformé par l’islamisation »

Le 14 mai dernier, sur LCI, un débat opposait Éric Zemmour à Daniel Cohn-Bendit. À leurs côtés, des invités ont pu témoigner de leur quotidien.

Ce fut le cas de Caroline-Christa Bernard, qui s’est fait remarquer par des propos sans filtre, notamment sur l’immigration incontrôlée et ses conséquences.

Pour Boulevard Voltaire, elle revient sur son intervention.

https://www.bvoltaire.fr/caroline-christa-bernard-notre-quotidien-est-transforme-par-lislamisation/

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6 Commentaires

  1. Vous avez raison Adalbert il faut parfois appeler un chat un chat!
    L’islamisation est un fléaux en France où elle s’applique sur des population qui est appelée à … nous remplacer !!
    ça fait peur !
    Parce que dans les quartiers la réalité sociologique sur laquelle l’Islam applique son influence c’est la délinquance, le traffic, et la caf!
    Comment les politiques peuvent ils cautionner un religion qui s’impose dans de telle conditions tout cela pour le confort de leur petite paix sociale ! Si encore ils avaient tirés des leçons de cette délinquance institutionnalisée et des émeutes avec leur lots de destructions et avaient fait cesser ce scandale de l’immigration massive ,mais ils n’en ont pas assez! ils continuent les blaireaux !
    Les attentats ont bien démontrés que cette religion s’appuyait sur un lupemprolétariat pour faire ses basses oeuvres comme beaucoup de fascismes l’ont fait dans le passé , y compris le nazisme;
    Le lupemprolétariat: un prolétariat sans conscience de classe la définition de Larousse qui colle parfaitement à toute cette population de jeunes désoeuvrés qui s’adonnent au trafic ou vivent du RSA parce que pôle emploi a renoncé depuis belle lurette de continuer faire des efforts de pure perte pour leur fournir un boulot qu’ils ne veulent pas de toute façon!
    Et toute cette classe politique dit:” amen” et interdit tout blasphème sinon: procès!

  2. Magnifique renfort pour pour Éric Zemmour que cette dame👍👍👍👍👏👏👏

  3. « Notre quotidien est transformé par l’islamisation »

    Formule un peu langue de bois quand même : pourquoi ne pas parler franchement et dire que “notre vie est pourrie par les musulmans”?

    Est-ce normal de se sentir continuellement harcelé, menacé, en insécurité aussi bien physique que culturelle, de devoir parler à mots couverts sous peine d’ennuis avec la secte ou des collabos qui leur déroulent le tapis de prière? De devoir raser les murs?

    Sans parler du quotidien de ceux qui vivent dans les “quartiers” contrôlés par les intégristes et les racailles… On n’est plus à l’abri nulle part.

    Combien maintenant de pays sont devenus infréquentables à cause d’eux?

    Personnellement je suis amoureux de la civilisation égyptienne, et je n’ai jamais eu l’occasion d’aller voir Louxor et Gizeh, sans parler de naviguer sur le Nil. Je ne pourrais sans doute jamais réaliser ce rêve.

    Allez voir à quoi ressemble l’Egypte dans les “conseils au voyageurs” du ministère des Affaires étrangères : orange ou rouge presque partout. Il y a deux ans il y avait encore des zones en vert, fini. On peut encore voir les pyramides, mais Louxor, non.

    De toute façon un jour ou l’autre les islamistes vont détruire tout cela à la dynamite, tous ces monuments impies et kouffars, comme à Bamyan, Palmyre, Nimrod, etc. Le crétinisme musulman en marche… main dans la main avec le crétinisme gauchiste droitdelhommiste niais.

  4. Fuite des cerveaux : la lente hémorragie
    :::: https://www.bvoltaire.fr/fuite-des-cerveaux-la-lente-hemorragie/
    Dominique Bilde – Députée européenne du FN
    17 mai 2019

    IMG : Portrait de Dominique Bilde
    :::: https://secure.gravatar.com/avatar/01ab177441218adfd165c34eddaf0ebc?s=300&d=mm&r=g

    Une chercheuse italienne enchaînant les contrats de trois mois, un bac+5 français happé dans l’engrenage des CDD… En 2017 déjà, le très respecté New York Times brossait un portrait édifiant du marché du travail européen, à l’heure où les États-Unis affichent, eux, une santé économique insolente. Et cette morosité, qui s’inscrit dans la durée, à en juger par des prévisions de croissance récemment revues à la baisse, affecte encore diversement un espace européen à deux vitesses, entre l’Allemagne et quelques États nordiques et une « périphérie » condamnée à une lente asphyxie.

    Car ces déséquilibres compromettent, désormais, la pérennité même de certains États. Déjà prise à la gorge par une natalité souvent au plus bas, l’Europe de l’Est assiste également, depuis l’accession à l’Union européenne, à l’exode ininterrompu, vers le Nord et l’Ouest, de pans entiers de sa population, souvent jeunes et hautement qualifiés.

    Cas limite, la Bulgarie aura vu, en vingt ans, sa population passer de neuf à sept millions d’habitants. À l’horizon 2050, elle pourrait chuter d’encore un quart, essentiellement du fait de l’émigration. Cette saignée démographique se ressent d’ailleurs au quotidien : le petit pays slave ne comptait plus, par exemple, que 28.000 médecins en 2016, contre 35.000 sept ans auparavant. Les autres, souvent formés aux frais de leur mère patrie, ont depuis longtemps convergé tels des pèlerins vers la nouvelle Jérusalem germanique. Dans leur sillage, quelque 400.000 Grecs ont pris la même direction, laissant à Aléxis Tsípras le soin de se débattre avec ses créanciers.

    Cette hémorragie, l’Union européenne l’entretient activement au nom de la sacro-sainte libre circulation des personnes ou bien, dans le vocable européiste à la mode, de la « mobilité ». Imposée par la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles ou par la directive sur le travail détaché, cette mobilité se pare également d’atours plus séduisants au travers des programmes d’échanges académiques.

    Or, qu’il s’agisse du processus de Bologne et de son fameux système LMD (licence, master, doctorat) ou du désormais légendaire Erasmus, le lien entre étude à l’étranger et émigration de travail est bien avéré. Ainsi, une recherche néerlandaise estimait, en 2009, qu’un séjour académique international diminuait de 30 % la probabilité de retour dans le pays d’origine au cours des premières années de vie professionnelle, laissant aux États de départ peu d’incitations pour investir dans leurs propres systèmes éducatifs.

    Longtemps exaltée, la mobilité s’assimile donc désormais, pour tant d’États européens, à une lutte pour leur propre survie dont la décision récente de la Roumanie d’ouvrir les vannes à l’immigration asiatique n’est que l’illustration la plus saugrenue. Et, en opposant Berlin à un désert européen, Bruxelles en porte la lourde responsabilité.

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