Big Brother Zuckerberg chasse 5 intellectuels pro-Trump de Facebook

Devenu grand mufti islamodémocrate des réseaux sociaux, Mark Zuckerberg fait advenir Big Brother à la réalité. Toute opinion contraire à Big Zucker pourra être bannie d’un clic de souris. Et non seulement cette opinion, mais toutes les opinions rattachées de près ou de loin à cette opinion. Et pour cela, il suffit de supprimer des comptes de gens influents, voire très influents.

C’est ce qui vient d’arriver à cinq célèbres analystes conservateurs bannis le 2 mai 2019 de Facebook et Instagram parce qu’ils seraient dangereux et inciteraient à la violence. James Woods, l’une des seules stars pro-Trump d’Hollywood, a été bannie de Twitter le 3 mai 2019.

Paul Nehlen, que je ne connaissais pas. Milo YiannopoulosLaura LoomerPaul Joseph Watson : critiques de l’islam et de la bêtise des gauchistes qui défendent l’islam alors que ce dogme politico-juridico-religieux va contre les valeurs qu’ils prétendent défendre, ainsi qu’Alex Jones, l’administrateur du site de réinformation InfoWars. Ses enquêtes approfondies sur les grands réseaux de corruption des élites et d’asservissement des populations ne plaisent pas en haut lieu.

Les journaux Le Figaro et La Tribune de Genève les présentent très négativement conformément à leurs a priori mondialistes et anti-Trump. Mais j’ai quant à moi une opinion très favorable à propos d’Alex Jones, Laura Loomer, Milo et Paul Joseph Watson : contrairement aux médias dominants, ils sont capables d’articuler trois phrases sans se contredire ni proférer de mensonges contredisant trop fortement la réalité.

«Nous avons toujours interdit les individus ou organisations qui promeuvent ou se livrent à la violence et la haine, quelle que soit l’idéologie» se justifie Facebook. Les attentats de Christchurch ont donné une occasion en or au camp immigrationniste mondialiste pour faire le ménage dans le camp de ceux qui veulent défendre les nations et les peuples contre la vague d’asservissement mondialisé des hommes aux mains des grosses multinationales.

Pour faire bonne mesure et donner l’illusion de l’impartialité, Facebook a évacué dans la même pelletée le suprématiste noir Louis Farrakhan, leader de Nation of Islam, pour ses propos régulièrement antisémites. Il faut dire qu’il ne se retient pas, et que vraiment cela devenait un peu trop visible et un peu too much, même aux yeux des Démocrates, qui comme le Labour au Royaume-Uni et LFI en France, flirtent un peu trop avec le léchage de babouches et la haine anti-juive sous couvert d’antisionisme.

Mais bon, les discours de haine, etc. tout ce blabla sur le suprématisme blanc qui a causé les attentats de Christchurch et qui menace le monde entier, c’est du pipeau certifié halal. Facebook a laissé en vie des milliers et des milliers de comptes incitant au jihad armé pendant des années et aujourd’hui il y a encore pléthore de comptes salafistes ou frères musulmans qui ne sont pas inquiétés.

En réalité, ce qui se passe, c’est que dans l’optique des prochaines élections présidentielles de 2020, le patron de Facebook et d’Instagram continue à éliminer les têtes pensantes ou les personnalités les plus influentes du conservatisme, du populisme, du souverainisme et de la défense de l’Occident mais aussi les critiques de l’islam – ce sont souvent les mêmes.

Paul Joseph Watson évoque «une purge purement politique», affirmant n’avoir «enfreint aucune règle» du réseau.

Ces polémistes ou journalistes conservateurs avaient en effet fortement contribué à la victoire inattendue de Trump en 2016 qui a mis le Deep State, les démocrates, tous les SJW et les bobos pseudo-progressistes, islamocollabo et ultralibéralocompatibles en PLS.

 

À coups d’analyses, d’interviews, de discours, de vidéos, de tweets, de pages facebook qui explosaient le conformisme médiatique, pulvérisaient la propagande du politiquement correct et ridiculisaient les délires gauchistes, ils ont permis de contrebalancer l’influence immense des grands médias télé, journaux, radio, qui, à part Fow News, sont 100 % à charge contre Trump (comme en France) .

La Chine a peut-être mis en place un système de « crédit social » qui classe bons et mauvais citoyens, mais Facebook n’a aucune leçon à lui donner. N’est-ce pas Big Brother Mark ?

Si vous connaissez l’anglais, regardez et écoutez cette petite vidéo de Paul Joseph Watson. Pour les autres, je compte la traduire dans un prochain article. La première phrase de cette vidéo, c’est : « À une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. » (George Orwell, 1984) qui justifie le titre de cet article.

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4 Commentaires

  1. Zuckerberg dictateur numérique mérite l’échafaud , comme tous ceux qui musellent la liberté d’expression et qui servent la dictature mondialiste !

  2. Il ne faut pas oublier que FB a été créé pour permettre à Obama de gagner les élections !
    Maintenant FB est devenu encore plus de la m…..e ! Il travaille pour les muzz !

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